De vie, envie

(Média : Zaz "Plume")

Au bord de l'infini que personne n'a caressé,
Ô si ! Mais par mégarde s'en est trop approché,
Le jour où le silence inspire l'universalité,
Et que du deuil et de la mort, le chagrin est comblé.

Oeuvre qui, comme un miroir nous depeind l'absolu,
Nous ne sommes que des Hommes et mortels pas plus.
Comme une course où le coeur vieillissant s'endort,
De nous même ou non, nous sommes amis de la mort.

Et c'est dans nos coeurs jeunes et utiles,
Que résident, frivoles, nos gestes bien habiles.
Comme un demain inatteignable dont on peut rêver,
C'est dans de toutes jeunes promesses que se crie "Liberté".

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