IV

C'était une journée chaude et ensoleillée, Yugyeom voulait voir si Mark allait mieux alors il s'était invité chez lui. Johnny, lui n'était pas là donc avec stress et excitation, le noiraud était seul avec son bien-aimé secret. Le plus grand avait insisté pour préparer le repas histoire d'être sûr que le rougeaud mange proprement.

Une fois le repas fait, tout deux s'installèrent pour manger. Le noiraud avait tellement de questions en lien avec l'accident dernier mais il n'osa et préféra ne rien dire.

Le repas était fini et les deux s'installèrent sur le lit de Mark, celui-ci voulait montrer ses disques de musiques favorites. Étrangement leurs rythmes cardiaques étaient accélérés, même sentiment pour l'ambiance tendue et chaleureuse. À chaque contact, chaques légères rencontres de leurs coudes faisaient frissonner de façon électrifiante leurs corps chauffés. 

Leurs mains s'étaient touchées accidentellement, ce contact fut foudroyant, celles-ci se serrèrent, leur regards las, le cœur enjoué, la chaleur montante de leurs corps enivrait la pièce de plaisir charnel. Étouffés et à la fois en paix, deux visages, dans l'obscurité voulant cacher le soleil qui chauffait la pièce, ceux-ci se rapprochèrent, les yeux des deux aimants ne se quittèrent plus du regard. Leurs lèvres étaient attirantes pour les deux, leurs mains entrelacées par leurs doigts, larmoyant de chaleur et d'envie leurs deux visages ne faisaient plus qu'un. La mâchoire fit l'action d'ouvrir et de fermer la bouche des deux hommes, leurs lèvres humides se penchèrent, se mélangèrent, se fondaient et se chauffaient à ce contact.

Pincement au ventre, chaleur bouffante et agréable dans tout le corps, Yugyeom passa la main derrière la nuque du plus vieux, les amants intensifièrent leur baiser, un, puis deux muscles roses s'infiltrèrent dans la cavité buccale de chacun, une danse endiablée prit le dessus. La salive chaude au goût de l'amour, se mélangeant à celle du voisin, coulait dans toute leurs bouches. Le temps d'un arrêt, la respiration brûlante et forte des deux entre leurs  bouches, impatient, Mark enleva le haut de son voisin de bouche et fit de même pour lui. Prit d'excitation et de trop plein d'amour, le coréen lâcha des mots qu'il avait gardé pour lui pendant bien trop longtemps ;

-Ahh...je t'aime, laisse moi rester auprès de toi...

Bouleversé, Mark le fixa, puis son souffle devint plus saturé, laissant place à une envie sauvage des lèvres de Yugyeom. Leurs torses mouillés de chaleur se collèrent, intensifiant leur baiser repris.

Avec accord, Yugyeom passa un, puis deux doigts dans l'entre de Mark, en effectuant des gestes en ciseaux. Le visage crispé de douleur, quelques minutes plus tard, le rougeaud  bougea du bassin, voulant acquiescer la prochaine infiltration de son amant.

Complètement nus et transpirants, un torse sur un dos, les deux bras le longs de deux autres, ceux-ci étaient reliés par les nœuds de leurs mains. Reniflant et embrassant les cheveux rouges et humides, le noiraud aux reflets bleutés pénétra avec douceur de son arme protégée qui, terrifia de douleur le plus vieux qui criait déjà de celle-ci. D'avant en arrière, le bassin bougeait, créant une affliction du péché, mal ou pas, les cris de douleurs devinrent des gémissement de plaisir. Frissonnant sous les baisers sur son échine, le rougeaud haletait d'envie de l'addiction des coups qu'il recevait. Quant au donneur de coups plaisants, celui-ci était étourdi de plaisir et l'addiction, répétant ses dommages comme un texte qu'on aurait apprit par cœur, le plus grand voulu terminer de beauté et d'originalité et retourna le corps affaibli de Mark et écarta les jambes de celui-ci en enfonçant de façon moins douloureuse que la dernière intrusion, faisant crier de plaisir le rougeaud et gémir Yugyeom. Les coups butoirs et répétitifs devinrent si rapides et plaisants que leur apogée fut proche :

-Enh ! Mark ! J-je vais...

-Y-Yugyeom !

Le noiraud se déversa à l'intérieur de l'américain, se vautrant sur le dos de ce dernier et haletant à son oreille. La voix et le corps épuisés, Mark était épuisé de fatigue et essoufflé, couvert de sueur. 

Le plus grand se mit à coté de Mark, ce dernier ce blottit sur le torse de Yugyeom et ferma les yeux, attentif au prochains dires de son oreiller humain :

-Je t'aime, Mark...

Les deux s'endormirent dans les bras l'un de l'autre et apprécièrent la chaleur réconfortante de leur amour un peu trop enivrante.

La nuit passée mais pas finie, Mark se réveilla comme beaucoup de ses précédents sommeil, il réfléchissait, se morfondait dans ses tristes et sombres pensées. Aucunes larmes ne coulaient cette fois ci, juste une pensée sérieuse sur ce qu'il venait de faire. Le rougeaud ne pût se lever car la douleur était trop handicapante pour aller plus loin que le lit. Il resta là, dans les bras d'un homme réchauffant son cœur et son lit, mais celui-ci ne connaissait rien de sa vie, de son monde, de ses pensées. L'américain de détacha de la douce emprise de Yugyeom et se plaça sur le coté et réfléchit. Pensif pendant un temps si long qu'il pourrait dire que cela a duré bien une heure, Mark se fit une conclusion avec énervement, il se décevait lui même, comme d'habitude. 




"Non ! je te déteste ! C'était rien...tu as profité de moi ! Tu ne connais rien de moi réfléchis..."

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MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA                                                                                                      NIARK NIARK NIARK NIARK

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