Chapitre vingt-un.

Les gars j'ai posté mon RantBook, donc si voulez. Sinon, bonne lecture.



_« Oh, tu es plutôt mignon avec ce costard.»

_« Seulement mignon ? » me demande le brun en s'approchant de moi à grands pas.

J'enroule mes bras autour de sa nuque et embrasse le bout de ses lèvres, souriant contre ses lèvres.

_« Je dirais que tu es seulement beau, il y a mille fois mieux que toi.» dis-je en riant.


Il me pousse légèrement et me fixe d'un air faussement méchant. Il appuie ses mains sur ma taille et je laisse de ce faîte un petit cri sortir d'entre mes lèvres.

_« Tu peux changer de gars.»

_« J'y pense souvent le soir. J'ai quelques petites idées mais il faut que je programme le petit rendez-vous.»

_« Enrique Iglesias et dans le coup, je parie.»

_« Il était mais des amies à moi m'ont dit qu'il n'était pas aussi bon qu'il paraît l'être.» dis-je en grimaçant.

_« C'est quoi ces échos ? »

_« D'après un article qu'elles ont lu dans un magazine, il aurait un petit pénis.»

Il lâche un rire et dépose plusieurs baisers sur ma mâchoire, ma joue et pour finir sur mes lèvres.


_« Je suis bien tentée par Neymar, ouais.»


_« Tu m'appartiens, tu es à moi. Je ne te laisserai jamais filer surtout dans les mains de mon pote.»


Je souris contre ses lèvres et le serre dans mes bras, fortement en réalisant que j'ai vraiment de la chance de l'avoir. Je ne le laisserai plus jamais filer, il est à moi et pour toujours.


_« Tu es magnifique dans ce costard.» murmurais-je dans son oreille.

_« Tu es pas mal, non plus.»


Je surélève un sourcil, croisant mes bras contre ma poitrine. Il lâche un rire avant de partir s'asseoir sur mon lit.

_« Tu es magnifique. Je suis très pressé d'enlever ce bout de tissu et te faire du bien.» Commente-il avec un sourire pervers.


Un sourire sadique s'installe sur mes lèvres.


_« Comme, c'est bête j'ai mes règles.»


Le sourire pervers disparaît de son visage pour laisser place à une mine boudeuse. Je fais deux tresses plaquées et finie mon maquillage.


_« Genre, je vais pas pouvoir te toucher pendant une bonne semaine.»

_« C'est bien bête, pour toi.»

Je poudre mon nez et repose mon pinceau ainsi que ma poudre sur ma coiffeuse. Je me baisse légèrement et attrape mes escarpins à lacets noirs et les enfilent.


_« T'as pas mis de
soutien-gorge ? » s'exclame-t-il.

_« Non, pas avec ce haut rouge.»


J'attrape ma veste noire et l'enfile. Une fois prête, je donne ma main à Antoine qu'il attrape. Il serre celle-ci et dépose un baiser tout mignon sur ma joue.



_« Allons, te présenter mes parents.»


Il me tire la langue comme réponse. Je ris en comprenant qu'il devient de plus en plus stressé, anxieux de rencontrer mes parents.

Je ne devrais pas rire, me foutre de lui parceque dans moins de trois semaines c'est à mon tour de rencontrer ses parents et sa sœur. Heureusement, pour moi je connais déjà son frère. J'espère juste que tout ira bien pour nous deux.






_« Je t'aime fort.» me dit Antoine en me donnant sa main.



Il ramène ma main contre sa bouche pour pouvoir y déposer un baiser, tendre. Je lui souris et approche à mon tour mes lèvres des siennes. Je pose un baiser sur la commissure de ses lèvres et pour finir sur ses lèvres.



Il pose une main derrière ma nuque et caresse de son autre main ma taille. Il recule son visage légèrement et mon front rencontre le sien. Nos regards entrent en contact et créé une vague sensationnelle.



_« Je t'aime aussi, Antoine.»




Je suis follement amoureuse de ce garçon et j'ai envie de l'épouser la toute de suite, maintenant. Je veux qu'il devienne mon homme officiellement et non qu'il soit que mon copain.



C'est peut-être trop tôt pour beaucoup de personnes mais pas pour moi. Je me suis beaucoup trop tardé sur ma vie sentimentale. J'ai longtemps caché mes sentiments, pour le footballeur.




Je pensais, je disais ne pas l'aimer alors qu'au fond je suis raide dingue de cet homme. Je suis toujours autant raide dingue de cet homme et encore plus en regardant son visage d'ange.



Je veux l'épouser. Je veux crier sur tous les toits que je l'aime. Je ne veux plus me cacher et de toute manière à quoi ça servirait ? À rien. Je sais ce qu'il me reste à faire.




_« Pourquoi, tu me regardes comme ça ? »


_« Comment ? »



_« Comme si t'allait me bouffer.» dit-il en lâchant un rire tout mignon.



Je passe ma main dans ses cheveux et approche mon visage du sien.




Parce-que, tu es beau.» répondis-je en posant mes lèvres sur les siennes.



Antoine, approfondit le baiser et ses mains se baladent sur l'entièreté de mon corps. Je mets fin au baiser en sentant l'excitation naissante d'Antoine.




_« Nous devrions rejoindre mes parents au restaurant avant que tu ne deviennes fou.»



_« C'est à cause de toi, aussi. Tu n'arrêtes pas de me regarder comme si j'étais la merveille du monde et tes yeux scintillent tellement. Et, cette robe aussi et tes lèvres, ton corps, tu me rends fou.»



Je lâche un rire, innocent et commence à marcher afin d'entrer dans le restaurant.




_« C'est con, tu ne pourras te faire plaisir j'ai mes règles.»


Il lâche un rire nerveux et pose son bras sur mes épaules afin de nous emmenés dans le restaurant.



_« Limite, j'ai envie de faire demi-tour et t'emmener dans la voiture et de te faire des choses pas très catholiques mais je peux pas.»



_« C'est bête.»


_« Très bête.»



Je souris et nous entrons dans le restaurant. Je reste tout de même nerveuse à la future rencontre très avancée de mes parents et Antoine.



J'espère sincèrement que tout se passe dans de bonnes conditions et dans la bonne humeur.




°°°



_

« Antoine, êtes-vous un garçon sérieux et fidèle ? » Demande mon père en mettant une bouchée de son plat dans sa bouche.



Je pose ma main sur le genou d'Antoine pour essayer de le calmer, le rassurer. Mon père n'arrête pas de lui poser des questions sur son ancienne vie sentimentale, sur ses anciennes conquêtes. Il pose beaucoup de question indiscrète et je n'aime pas ça, du tout.




Ma mère, elle préfère rester silencieuse mais son regard sur Antoine veut tout dire. Elle n'adhère pas.



_« Je ne suis pas un connard. Je m'occupe parfaitement de votre fille monsieur Giroud.»


Il resserre l'emprise qu'il exerçait sur mon genou signe qui ne se contient plus et qu'il est prêt à exploser. Je décide de prendre les choses en main.




_« J'ai quelque chose à vous annoncez.» dis-je en fixant mes parents.



Je pose mon verre d'eau sur la table et prends une énorme inspiration avant de dévoiler mon annonce.




Je pars m'installer en Espagne, avec Antoine.»


Quoi ? » s'écrient-ils en même temps.



_« Et, je suis très heureuse de partir avec lui.» m'exclamais-je fière.

Tu ne peux partir, comme ça.»

_« Pourquoi, je ne pourrais
pas ? »


_« Tu ne vas pas tout abandonner pour un garçon que tu connais à peine. Vous ne finirez même pas votre vie ensemble. Je te connais, ma fille un mois avec lui et tu changeras de mec, parce-que tu te seras lacé de ce garçon. Je ne veux pas que tu quittes la France et tu ne quitteras pas la France.» s'exclame ma mère d'un ton froid.


_« Comment oses-tu dires de telles choses et en plus devant-lui ! »


_« Tu préfères que je sois hypocrite ? »



_« Non, mais un peu de retenue et de politesse ne serait de refus.» dis-je sous l'emprise de la colère.


_« Et, toi tu devrais écouter et respecter ta mère. Ce garçon n'est pas assez bien pour toi.» dit mon père à son tour durement.



Je lâche un rire jaune. Je ne pensais pas que cette soirée allait être aussi catastrophique.


_« Vous ne savez pas ce qui est bien pour moi. Antoine, est la meilleure chose qui m'est arrivé dans ma vie et il est très bien pour moi. Si, vous n'êtes pas heureux pour moi, j'en ai rien foutre puisque je le suis, après tout je n'ai pas besoin de vous.»



Je suis vraiment furieuse contre eux mais en même temps triste qu'il n'accepte pas Antoine. Je me lève récupèrent mes affaires tout ça sous les yeux de mes parents en colère.



_« Je partirais en Espagne avec ou sans votre autorisation et je vivrais heureuse avec Antoine.»




Je sors aux côtés d'Antoine de ce restaurant sans même saluer mes parents. Je suis vraiment en colère contre eux. J'ai envie de tout exploser autour de moi pour laisser sortir cette rage mais je n'ai rien autour de moi sauf des voitures.


Je me vois mal fracasser des voitures. C'était vraiment une idée de merde d'arranger une rencontre entre eux, je me sens mal mais tellement mal surtout pour Antoine.



Il ne dit plus rien depuis les remarques de mes parents. Il reste silencieux, sûrement touché par leur propos dégueulasse.


Je me sentais si bien en entrant dans ce restaurant et j'en ressors au bout du rouleau. C'est bien beau.






_« Je suis sincèrement désolée, Antoine.» dis-je en attachant mes cheveux en un haut chignon.


_« Pourquoi, tu t'excuses ? »


_« C'est à cause de moi tout ça, je n'aurais pas dû mettre en place ces rencontres. Mes parents ont dit des choses dégueulasses et ça ta fait du mal.»


Je remonte la couette sur mes jambes alors qu'Antoine retire son t-shirt qu'il venait de mettre d'ailleurs.


_« Je t'assure que ça ne m'a rien fait et cela grâce à toi. Tu m'as défendu alors que ce sont tes parents et je trouve ce geste si magnifique.»



Il saisit ma mâchoire d'entre ses mains et me force à confronter ses prunelles bleues. Il est si beau, si compréhensif.



_« Ils sont contre notre relation mais tu sais quoi j'en ai rien à faire. Nous n'avons en aucun cas besoin d'eux pour construire un avenir ensemble. Je ne vais certainement pas te lâcher parce-que tes parents pensent que je suis mauvais pour toi, j'en ai rien a faire de ce qu'ils pensent tant que tu es avec moi, c'est tout ce qui compte.» dit-il en touchant mes lèvres avec le bout de son doigt.


Je craque littéralement. Il est si mignon avec moi pourtant mes parents ont été odieux avec lui. Je serais en train de pleurer toutes les larmes de mon corps à sa place, ne pas être accepté par ses beaux-parents c'est vraiment pas facile.



_« J'ai peur de ne pas être accepté par ta famille, Antoine.»



Avec, ce qui s'est passé ce soir j'ai peur maintenant. J'ai peur de ne pas être accepté et d'être rejeté. Je sais parfaitement que quand nous ne sommes pas acceptés par la famille de son copain ou de sa copine affaiblie d'une façon ou d'une autre le couple.



Et, je ne veux pas que ça se produise sur nous. Je ferais tout pour que ça n'arrive jamais.



_« Impossible, les Griezmann t'adorent déjà. Tous les Griezmann t'aiment.» me souffle-t-il au-dessus de moi.



Je passe mes bras derrière sa nuque et rapproche nos corps au maximum, afin que nous soyons collés.




_« Ne panique surtout pas, mon ange, tout se passera bien je t'en fais la promesse.»




Je souris contre ses lèvres. Je ne peux que lui être reconnaissante. Il me rassure trois semaines avant la rencontre avec sa famille, c'est formidable de sa part de faire ça.




_« Je n'ai pas mes règles, Antoine.»



Un sourire se dessine sur son si beau visage et il lui en faut pas plus pour faire se jeter sur moi, tel un lion contre sa proie.

Nos corps s'unissent une fois de plus cette nuit et Antoine me montre avec de simples gestes qu'il est éperdument amoureux de moi et je ne peux qu'apprécier ça, c'est avec lui que je veux finir ma vie.





J'espère que ce long chapitre vous aura plu. Bientôt les 60k merci infiniment vous êtes les meilleures :) bonne soirée.

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