Prologue
Hey, Hey, Hey! J'espère que tu vas bien, j'espère que vous vous sentez bien et que le prologue vous plairas? Alors, les chapitres vont être plutôt longs donc dites moi si vous les vouliez. plus nombreux mais plus cours ou si je continue comme ça.
On part sur un royaume merveilleux dans le nord avec des princes jeunes. J'ai vraiment beaucoup réfléchit avant de choisir les princes et en fait c'est ceux qui j'imaginais le mieux dans se rôle donc dites moi si vous trouvez ça bien ou pas. J'ai adorée écrire sur Kei petit car je l'imagine toujours hyper innocent.
Bref, bonne lecture mes licornes.
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Le vent faisait voler ses cheveux blond en arrière, il avait les yeux clos, ses longs cils claires ressortaient pourtant sur sa peau claire, son nez droit et ses pommettes saillantes comme toutes celles de son peuple. Sous ses boucles blondes, de longues oreilles pointue ressortaient, percée de plusieurs trous, des petits anneaux dorées, un anneau ressortait de bronze le long d'une boucles. Il avait le visage tourner vers le soleil, assis là, en équilibre sur le rebord de pierre blanche comme la neige, ses mains poser sur le bord du muret, le marbre froid sous ses longs doigts blancs également. La vision était presque angélique, dans sa longue chasuble blanche aux coutures argenté, il ressemblait presque à un ange, ses pieds battaient l'air, il souriait, un sourire reposer, tranquille, un sourire d'enfant. Les montagnes s'étendaient derrière lui, la neige au sommet brillait sous les rayons sur soleil, les arbres roses et rouges, prenaient doucement des reflets dorés et oranges, les branches des arbres tombaient recouvertes de fleurs roses pales. La cité étaient faite de marbre blanc, étincelant au soleil, froid et parfaitement lisse, percher sur une colline, un lac à l'eau turquoise s'étendait aux pieds des murailles. Le jeune homme avait l'air d'être encore un enfant, un corps maigre, élancer, des membres tendues, une peau porcelaine, les trais encore arrondis.
Pourtant malgré ses allures frêles, il avait fêter son douzième printemps il y a peu, bientôt il aurait l'âge de suivre la cérémonie officiel, celle faisant de lui un adulte, il aurait l'âge de plonger dans la source blanche, l'âge d'apprendre l'art des plaisirs charnels, puis bientôt celui de trouver une épouse ou un époux. Après tout, il lui faudrait un héritier de son sang, après tout, il était un prince. Le jeune homme n'avait pas l'air d'un noble, encore moins d'un prince avec ses cheveux mi-long, avec sa chasuble légère et ses pieds nues, il ne ressemblait pas vraiment aux autres princes. Pourtant il en était un, il était le cinquième des six fils du roi All'Rus, roi des plaines du nord, royaume des elfes blanc. Il ne montrait pas sur le trône, jamais, même une fois adulte, c'était son frère ainée Oikawa qui devrait gouverner, d'ailleurs son frère était bien plus désigner que lui. Le plus vieux avec un corps svelte, agile, puissant et des muscles dessiner, sa peau blanche contrastait avec ses cheveux châtains, sa beauté n'avait pas d'égale dans les pays voisins. Il était plus grand que leur père, il était aussi rapide qu'un guépard, fort qu'un ourse, rusée qu'un renard. Le jeune prince avait toujours songer que son frère serrait certainement un très bon roi, aimant son peuple, fidèle, courageux et vaillant avec une intelligence égalent sa beauté. Puis c'était son frère, celui avec qui, il avait apprit le maniement des armes, les rudiment de la magie, celui de son enfance. Il n'y avait à ses yeux d'enfant pas son égale sur cette terre. Le jeune homme était toujours appuyer sur son rebord quand il ouvrit les yeux, des yeux doré, brillant d'intelligence et vivacité, d'une beauté subjuguante. Des six fils, il était le plus logique, s'interessant plus aux études qu'au combat, lisant durant des jours, apprenant tout ce qu'il pouvait, apprenant même à manier ses pouvoirs avec ses précepteurs.
Le roi avec eux six fils et une unique fille dans cet ordre là, il était un homme dans la quarantaine, aux cheveux grisonnant, une peau parfaitement lisse, avec de grands yeux doré semble à ceux de ses quatre dernier fils. Il était un homme grand, aux muscles puissants, toujours vêtue de longues robes blanche et or, de sa couronne de laurier doré, symbole de puissance et de richesse. C'était un souverain aimer de son peuple, juste, droit, qui avait vaillamment combattu dans la guerre de l'ouest quelques années plutôt, pourtant, il était un père absent, cruel, exigeant et sévère qui n'hésitait pas à punir ses fils. Il avait donner au royaume sept héritiers de trois femmes différentes, ses enfants portants tous les noms et prénoms donner par ses épouses, des noms puissants. Son ainé Tooru Oikawa était le seul enfant de sa première épouse, hélas décéder à sa naissance, on la disait d'une douceur sans pareille, d'une incroyable beauté et d'une intelligences sage. Son second fils Koshi Sugawara, enfant de l'eau, née de sa seconde épouse, plus frêle que ses frères, d'une santé fragile et hélas d'une faiblesse musculaire inquiétante, il n'en était pas moins d'une beauté délicate, une peau parfaitement lisse, tel du marbre blanc, des yeux pareille à la terre, des cheveux gris claire, une silhouette fine, délicate, d'une rare féminité. Si leur père avait promit son fils aîné au trône, il avait promis son cadet au mariage avec un fils des pays voisin. Koshi avait la taille fine, des jambes blanche, des épaules étroite et une absence naturel de poiles, il avait le corps tel que celui des anges dans leurs livres d'enfant. Il était donc, éduquer en tant que tel, ne portant que de longue robes aux couleurs pales, un voiles cachant son visage au yeux de tous, n'apprenant pas à se battre comme ses frères, étudiant la magie, devenant un érudit. Kei trouvait que son ainé était trop bien pour ses barbares, il était d'une rare douceur, d'un calme, d'une certaine sérénité même, il avait durant toutes leurs enfances remplacer leur mère. Celle de Koshi avait été répudier après son troisième anniversaires, son fils était trop maigre, de santé fragile et n'avait pas la vivacité de son frère. Son troisième fils, Keiji Akaashi -qui aura les yeux doré dans cette fiction- était d'un brun nuit, une peau cependant très pale, une silhouette plus élancer que son frère ainé, un corps svelte, plus musclée, le roi le trouvait plus puissant que ses ainés, à la naissance le bébé n'avait pas pleuré, se contentant de fixer de ses yeux doré sa mère. Première enfant de sa troisièmes épouse, Keiji était intelligent, réfléchit, assez discret et renfermer il était néanmoins d'une sincérité à toute épreuve. Ensuite venait le quatrième, Kozume Kenma, plus petit, des cheveux bruns teinté d'une colleur blonde, des yeux aux pupilles de chat, une peau pale et des muscles fins, plus mince que Keiji et Oikawa, sa silhouette ressemblait plus à celle de Sugawara, en plus forte. Il était secret, discret et malin, plutôt calme et tranquille, ne souriant pas facilement, semblant s'ennuyer rapidement. Kei avait toujours vue son frère pratiquer la magie de création, lire des livre et jouer aux osselets. Leur père en avait fait également un homme à marié, il avait donc les même enseignement que son ainé et la même tenue au voile blanc. Et enfin Kei Tsukishima, cinquième fils, troisième de sa dernière épouse, son corps d'enfant avait la même puissance et la grande taille que celui du plus vieux, pourtant le blond se désintéressait des armes, il pratiquait évidement mais la guerre ne trouvait pas grâce à ses yeux. Son petit frère Hinata Shouyou avait les même yeux doré que lui, en plus foncer peut-être, sixième et dernier des fils du roi, il avait hériter des cheveux flamboyant de leur mère, il avait un corps musclée, une peau pale, une puissance surprenante malgré son jeune âge et un talent inée pour l'équitation, pour la maniement de l'épée et de la lance, pourtant il n'était pas le plus intelligent, loin de là même, il était naïf, léger, riant souvent trop fort. Mais après tout, ce n'était qu'un jeune enfant, une dizaine d'année tout juste passer, il courait encore dans les couloirs blanc du palais avec joie, ses boucles rousses brillaient autour de son visage rond. La dernière était une fille, Natsu était la seule enfant de sexe féminin du roi, elle ressemblait en tout point à Shouyou avec des yeux plus claire, la petite fille n'avait pas atteint ses quatre printemps passant encore tout son temps dans les appartements de leur mère. Ils étaient les héritiers du trône, les enfants miraculeux, il était rare qu'un roi ai autant d'enfants, c'était un don du ciel, du sang divin coulait dans leurs veines, ils étaient tous puissants.
Mais le jeune prince n'en avait que faire, les histoires de trônes le laissait de marbre, il avait encore du temps avant de voir son avenir celé, tout le temps, il était un enfant qui voyait en se matin d'été que la beauté du paysage qui l'entourait. Il se redressa, sa peau se tendait sous ses gestes, debout derrière le muret, ses pieds nues rencontrant le marbre glacer alors qu'il se laissait marcher vers le salon qu'il avait quitter en catimini quand son frère l'avait quitter des yeux. Normalement il n'avait pas le droit de sortir le matin, encore moins sans gardes avec lui, mais c'était la dernière fois qu'il voyait le soleil avec ses frères encore avec lui, dans quelques heures, à la tomber de la nuit, Oikawa deviendrait un homme, il serait initier à la chaire, baignerait dans l'eau blanche et irait trouver l'hôtel du dieu Ashan dans le temple du lac. Il regarda le petit bâtiment blanc qui s'élevait au milieu de l'eau turquoise. Étrangement le prince appréhendait, le lendemain leur frère quitterait les appartements des enfants pour aller dans le sien, priver, il quitterait l'enfance, il serait un adulte, mangeant à la table du roi, prenant le titre d'Ikoy, hérité du roi. Kei n'avait jamais dis à personne ou il allait pour contempler le soleil, il n'avait jamais non plus dit qu'il ne pensait une fois assis cas ses frères et à sa soeur, ils étaient tout son monde après tout. Le blond les aimait sans doute plus que tout, il trouvait dans ses souvenirs avec eux plus de douceur et de beauté que dans les toiles les plus belles, il trouvait dans leurs sourires plus de richesses que dans tous les trésors du monde. Il n'avait besoin de rien sur terre en dehors d'eux. Mais aujourd'hui était un jour important, très important, pourtant il ne pouvait s'empêcher de penser que quelque chose de grave allait arriver.
Il pénétrait le salon, une grande pièce au haut plafond couvert de dorures, des rideaux en soie tombait depuis se dernier, les fenêtres étaient toutes ouvertes en cette saison. Il s'avança, tout ses frères étaient réunis autour de la table fait de bois, les coussins étaient étaler autour, les canapés repoussés plus loin. Il s'avança sur les tapis en y enfonçant les pieds. Hinata fus le premier à le voir, lui adressant un sublime sourire alors que Sugawara lui versait une tasse de thé sans rien dire, un sourire triste au lèvres. Effectivement l'ambiance était différente, moins joyeuse, plus triste, la pièce remplis d'un silence morose. Il s'assit en tailleur, remerciant silencieusement son frère en buvant son thé brulant. Soudain Oikawa posa sa tasse, ses cheveux repousser en arrières, sa chasuble bleus tombaient sur ses épaules, il leur adressa un sourire complice avant de gémir.
« Oh mes frères! Je vous en conjure ne me faites pas cela pour ma dernière journée avec vous. Sa voix était joyeuse et nostalgique en même temps, il leur souriait. À vous voir on dirait que je serais mort se soir! Koshi posait brusquement sa tasse sur la table, se retournant ver son ainé, un air grave sur le visage.
-Je t'interdis de nous dires cela Tooru, nous ne penserions jamais cela. Le gris était d'une grande sensibilité et les paroles de son frère l'avait profondément meurtrit, le châtain du le comprendre vus qu'il lui saisissait les mains avec tendresse avant de sourire désoler.
-Je m'en excuse mon frère. Le gris hochait la tête apaiser, il ne supportait pas se genre de parole. Mais aujourd'hui est un grand jour pour moi, je devins un homme se soir et j'aimerais vous voir sourires pour moi. Il les regardait attendrie avant de reporter son regard sur Koshi qui soupirait. Toi, plus que n'importe qui devrait me comprendre, ton passage sera bientôt. Le gris frissonnait et hochait la tête, certes mais pas avant plusieurs mois. Le châtain continuait en prenant Hinata sur ses genoux, le petit roux rie alors qu'il lui pinçait la joue. Puis après tout, je ne serais cas quelques portes d'écart de vous, vous pourrez venir quand vous le voudrez. Kenma rester jusque là silencieux avait eu un timide sourire avant d'hocher la tête.
-Je m'excuse alors, grand frère. Il souriait avec cette fois plus de joie. Tu as raison, c'est une journée de fêtes pour nous. Keiji hochait la tête, encourageant son cadet dans ses paroles. Demain tu seras un homme et bientôt tu pourras prendre un époux ou une épouse...il fus couper dans sa phrase par la porte qui s'ouvrait sur une petite fille rousse et une femme tout aussi rousse.
-Mère. Koshi se levait prestement pour venir aider la femme à porter la petite fille qui bougeait dans ses bras, le femme lui adressait un sublime sourire avant de venir trouver place près de l'ainé qui lui souriait doucement.
Si, elle ne les avait pas porter dans son ventre, elle n'en était pas moins celle qui les avait élever durant leurs enfances, celle qui c'était lever la nuit et les avait tout deux traiter comme ses fils, les aimant comme elle aimait leurs frères et Natsu. C'était une belle femme, aux boucles rousses et épaisse qui tombait sur un corps mince, des courbes attirantes, ses épaules étroites et des hanches larges. Sa peau plus allé que la leur, rappelait à Kei le lait aromatiser qu'ils utilisaient pour se laver, sa robe aux manches vaporeuse était d'une couleurs verte aux multiples dorures, son châle presque transparent tombait sur ses épaules et son chignons tresser étaient sublimer par des broches doré. Elle saisissait la main d'Oikawa alors que Natsu venait naturellement se blottir contre Kenma. Akaashi lui servait une tasse fumante de thé qu'elle prit avec un tendre sourire. Elle avait prit l'habitude de venir ici pour prendre le thé avant le petit déjeuner et leurs leçons respectives, elle venait avec leur soeur qui pouvait ainsi profiter de ses frères. Elle caressait les cheveux gris de Koshi, le jeune homme comme son cadet ne portait pas son voile ici, ni dans les bain ou sa chambre vus que seul la famille royale était autoriser à entrer ici. Elle pouvait donc profiter d'eux et leurs frères avec plus de simplicité et sans manière dans le salon. La reine bus une gorgée de thé.
-Je n'ai pas pus m'empêcher d'entendre les paroles de ton frère. Elle sourit à Kenma qui rougit timidement avant de regarder Tooru. Je suis également très fière de toi, tu feras un homme magnifique j'en suis certaine. Elle caressa ses cheveux. Tu seras un roi magnifique mon fils. Il saisissait sa main et l'embrassait, sa mère de coeur avait toujours eu cette voix légère et aimante pour eux, une voix atone qui avait bercer son enfance d'histoire et de chansons.
-J'essaierais d'être digne de vous mère. Elle lui souriait et il regardait Koshi. Mais mes frères m'aideront dans ma tache, ainsi gouverner me sera moins dure avec eux. Elle fus soudainement plus triste, elle repliait ses mains sur ses cuisses et les regardait un instant avant de fixer Oikawa avec autant de douceur que de sérieux.
-Oh, mon enfant. Elle secouait tristement la tête. Tu sais bien que bientôt du devras également choisir qui, t'es frères prendront pour époux, ils doivent donner un héritier masculin à un des fils des pays voisins au notre...son ton était triste, après tout, elle aussi malgré ses longues oreilles était originaire d'un autre pays, princesse d'un royaume elfique du sud. Oikawa se rembrunit un instant.
-Mes frères ne sont pas du bétail que je vends à un autre. Il souriait à Koshi et Kozume. Ils sont trop biens pour la plus part des sauvages qui vivent au loin de notre royaume, je ne céderais leurs mains que lorsque qu'ils trouverons quelqu'un qu'ils jugent dignes d'eux. Il souriait encore et hochait la tête. Je refuse de laisser mes frères épouser le premier venu, peu importe ses richesses. Elle souriait doucement et caressait ses cheveux. Il en est de même pour ma précieuse princesse, jamais un homme ou une femme ne me la prendras. La petite fille eu un sursaut en voyant que son frère lui souriait, elle était occuper à jouer avec les cheveux de son autre frère, elle lui souriait néanmoins.
Kei trouvais sa mère belle, avec son jolie visage au pommettes hautes et saillantes, avec ses grands yeux bleus comme le ciel de son pays natale. Parfois elle lui contait avec mélancolie et nostalgie les comptes de son pays, les histoire de magies, de princesse dans des palais recouvert d'or et de cristaux, elle leurs parlait des plages de sables blanc, des eaux azures. Elle leur racontait combien son pays était beau, très différent, chez elle, il n'y avait pas de montagnes, seulement du sable à perte de vue, elle leurs parlait des oasis, des villes aux multiples fontaines, des étoffes parfumés. Parfois elle leur racontait avec tristesse son enfance entourer de ses soeurs cadettes, elle leur racontait leurs jeux dans les courettes de carrelages multicolores, de leurs chansons, des rares nuages qui parcouraient parfois le ciel. Elle leurs racontait les huiles dont on s'enduisait le corps, donnant une couleurs olivâtre ou parfois doré, elle leurs parlaient des champs d'oliviers, des animaux que l'on trouvait dans ses lointaines contrées. Kei avait toujours imaginer combien cela pouvait être beau chez elle, dans ses palais, dans ses oasis, il imaginait les longues robes vaporeuses qu'elle portait, les bracelets à clochette qu'elle avait attacher aux chevilles. Il l'écoutait avec délectation leur parler de ses merveilles.
-Grand frère...Koshi fus d'un coup bien plus grave, bien que les idées idyllique de son frère le touche et le rassure, il ne serait pas marié de force, il n'en restait pas moins que contrairement à lui, il devait trouver un époux avant sa cérémonie dans quelques mois. Et il devrais lui donner un enfant dans l'année suivante ou son époux pourrait le répudier sans gêne, le disant incapable d'enfanter. Tu sais bien que pour moi, ce serra père qui décidera de mon sort, je suis déjà promit parait-il...sa phrase résonna alors qu'Akaashi lâchait sa tasse sur le sol, les yeux river vers le gris comme le reste de la tablée, même Natsu le regardait sans réellement comprendre. Oikawa ne pus s'empêcher de couiner.
-Quoi? Mais...mais je pensais que...il ne finissait pas sa phrase, Koshi lui souriait rassurant. Kei avait sentit son coeur rater un battement, de tout ses frères, Koshi était celui qui s'occupait le plus d'eux, remplaçant leur mère durant la journée et le soir, il était celui sans qui le monde ne tournait pas. Oikawa lui, le fixait dépiter, il espérait que son père attendrait sa cérémonie pour procéder à cette décision. Il regardait leur mère qui tête baisser fixait le sol.
-Il espère pouvoir crée une alliance avec les hommes, un royaume prêt de la mer de l'Est. Kei glapissait, c'était atrocement loin, à plus de dix jours de voyages à cheval, à deux semaines en calèches, trois si on y allait avec une escorte. Koshi haussait les épaules. Il te connait tu sais, si, il te laissera faire pour Kenma et Natsu, moi mon sort est sellé. Oikawa soupirait tristement, soudain Akaashi réagissait.
-Je le ferais à ta place. Tous l'avaient regarder estomaquer, il était si sérieux qu'ils ne voyaient pas la blague, il n'y en avait pas. J'irais épouser se prince à ta place mon frère. Koshi secoua la tête. Keiji continua pourtant. Je peux également porter un enfant, les sages sont formel sur ma fertilité, j'aurais pus être promit à marié. Le gris le fixait toujours, incapable de savoir quoi penser en dehors de l'horreur de voir son petit frère prendre sa place dans se mariage de force. Ici, seul Kei et Hinata ne peuvent pas porter un enfant...il continuait, bredouillant. Tu dois rester ici pour seconder Tooru, en plus avec ta santé fragile...sa voix se coupait dans un sanglot alors qu'il finissait. Tu ne survivrais certainement pas au voyage tu le sais...
Effectivement, si tous avaient aussi peur de le voir partir ce n'était pas que à cause du manque horrible qu'il allait laisser, ou de la tristesse, c'était également car depuis leurs plus jeunes âges tous avaient vue leur frère tomber gravement malade, une fois même, avait-il faillit y laisser la vie. Il ne sortait pas souvent et en hiver il était toujours couvert de couvertures ou d'une épaisse chemise de nuit en velours. Il avait facilement de la fièvre, à cause de la chaleur ou bien au contraire du froid, un effort physique également pouvait l'épuiser. Un tel voyage le tuerait, ou alors l'affaiblirait assez pour qu'il ne puisse par revenir, surtout que Koshi allait avoir une grossesse très compliquer à cause de sa santé, Akaashi contrairement à lui supportait très bien les climats compliquer et sa fertilité était parfaite. Pour un mariage arranger, sans aucun sentiments, il fallait mieux que le promit puissent survivre et donner un enfant rapidement, son frère aussi fragile était fait pour un mariage d'amour et de tendresse. Pourtant Koshi refusait fermement, jamais alors qu'il avait été éduquer pour cela, il ne laisserait son petit frère prendre sa place, encore moins dans se genre de situation délicate. Pourtant Akaashi restait très sérieux.
-Je t'en supplies mon frère...il s'approchait et prit ses mains dans les siennes. Je ne supporterais pas de vous perdre ou de vous savoir affaiblie à cause de cela. Il secouait la tête. Vous avez fait tellement pour moi...laisse moi prendre ta place, ainsi, je pourrais vous épargner cela. Le bruns le regardait, les yeux larmoyants, le gris ébahit le regardait avant de soupirer longuement.
-Je ne peux accepter cela Keiji..le brun avait eu un sursauta et Koshi lui caressait la joue en un geste maternel. Le but de ma vie à été de prendre soin de vous tous, de veillez à votre bonheur, je ne peux si prêt du but, te laisser gâché ainsi ta vie. Keiji avait eu un sanglot et Kei aussi, Koshi l'attirait aussitôt dans ses bras, le berçant alors que Kenma se rapprochait et se serrait contre son cadet, Oikawa serrait Hinata contre lui. Le gris soufflait doucement. Je veux vous voire heureux avec la personne que vous aimez, je sais que Tooru y veilleras alors je peux partir tranquille. Il serrait Kei, lui caressant les cheveux alors que leur mère le serrait elle même contre lui. Se prince n'a pas l'air méchant, il serra là aux festivités de cette nuit, je pourrais le rencontrer. Il regardait Oikawa. Ainsi tu pourras te choisir une épouse...il eu un sourire. À moins que tu ne pense encore à se prince du Sud...
Le châtain, les larmes aux yeux le poussait doucement du bouts des doigts en riant doucement, Kei s'autorisait un minuscule sourire, ses frères grandissaient, lui même avait déjà douze printemps, Koshi en aurait seize dans quelques mois, Akasshi en aurait également seize dans un an, puis Kenma dans deux et lui dans quatre, Hinata dans cinq. Il soupirait doucement en fermant les yeux, même avec tout ça, il avait toujours se pressentiment qui lui serrait le ventre, toujours se pincement au coeur et étrangement quand il entendait le rire d'Hinata et voyait le sourire de Tooru, il avait eu l'impression morbide que c'était la dernière fois avant très longtemps.
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Le soleil était depuis longtemps coucher, la fête était bruyante, grouillante de monde venu de tout les pays pour rencontrer les pinces et félicitée le nouvel héritier du trône. Des guirlandes de lumières multicolores décoraient les rues de toutes la citées, illuminant la ville de milliers de lumières dorés, sur le lac, des barques remplis de bougies, l'eau avait été recouvertes de milliers de pétales de fleures par magie, les berges étaient illuminer et les sol couvert de fleures. La boisson et la nourriture coulait à flot, la musique résonnait dans toute la ville et les gens dansaient et chanteraient durant trois jours consécutifs. Tous étaient vêtus de tenus de fêtes, des hautes sandales en cuirs aux robes colorées, les bijoux dorées ornant oreilles, coups, poignets. Pourtant alors que ciel était illuminer d'étoile, alors que dans les rues, des filles dansait, alors que la musique résonnait jusqu'a fond du palais, alors que tout les rois et princes étaient impatients de voir se fameux prince elfe dont la beauté était vantée partout. Alors que les habitants et visiteurs inconscient chantaient et buvaient, riaient, un drame se tramait plus haut, dans une chambre du palais.
Koshi essayait d'apaiser un peu la peine et la douleur de son frère, celui-ci allonger sur son lit, en sueur comme après une course, pleurait toutes les larmes que son corps pouvait vider. Son corps pourtant nue était brulant, ses cheveux étaient tremper et coller à son visage, il était prit d'une fièvre importante. Il se retournait, roulait, se cambrait sur son lit, prit d'un terrible cauchemar, il gémissait de douleur et de peur, hurlant parfois si fort que le prince pensait que quelqu'un allait les entendre. L'eau froide ne changeait rien à la douleur de son frère, la fièvre ne baissait pas et ses yeux larmoyant lui brisaient le coeur. Le prince était partit dans le temple déposer son offrande au dieu Ashan, il avait été ainsi béni, puis il était revenu boire le vin de cent ans, avant de plonger intégralement dans l'eau blanche pour purifier son être intégralement. Puis était venu l'heure de l'initiation, c'était toujours une personne du même sexe qui venait, pour lui se fus un homme, la trentaine, à la barde brune. Son frère n'avait pas eu peur, un léger sursaut mais pas plus, après tout, tout le monde y passait, il n'avait pas a avoir peur. La famille c'était reculer dans les jardins pour commencer les festivités. Puis Koshi avait commencer à trouver le temps long, son frère ne revenait pas, Keiji était venu le voir également curieux de savoir pourquoi l'ainé n'était toujours pas venu. Ils étaient donc aller discrètement vérifier que tout allait bien, après tout, peut-être bien qu'ils c'étaient endormis tout les deux.
Ils avait traverser les couloirs de marbres blanc en silence, la longue robe blanche de Sugawara frôlant le sol, son frère ne faisait pas de bruit non plus. Ils n'avaient strictement rien dit, ils n'avaient pas parler du fait que Kenma malgré son voile avait passer la soirée à parler à un garçon humain, un grand bruns qui devait avoir l'âge de leur ainé, ils n'avaient pas parler non plus du garçon à qui Akaashi avait parler durant la fêtes, celui avec qui, il avait même danser quelques danses pour amuser Hinata et Natsu. Non, ils n'avaient rien dit. Puis des hurlements avaient retentit derrière la porte de leur frère, non pas de plaisir mais de douleur, de peur. Un hurlement entrecouper de sanglots. Il entendait sa voix derrière la porte hurlant à l'homme d'arrêter cela. Ils avaient pénétrer la pièce sans réfléchir en entendant un bruit sourd comme un corps qui s'écroule. Il avait trouver le lit défait, du sang sur les draps, les fenêtres grandes ouvertes sur la nuit et prêt de la porte, le corps en sueur de leur frère. Koshi avait hurler à son frère d'aller chercher de l'aide après qu'ils aient placer le corps sur le lit. Le Brun était partit en courant sans rien dire. Depuis le gris essayait de calmer son frère, de comprendre ou était l'homme, pourquoi tout se sang. Finalement son père et ses frères arrivèrent, leur mère tirant les plus jeunes dehors, ne laissant que Akaashi et Kenma entrer dans la pièce.
Leur père avait voulu comprendre se qu'il arrivait à son fils, avait presque hurler sur les autres pour savoir, Koshi avait raconter comment ils en étaient arriver là, il avait raconter l'état de son ainé. Finalement leur mère était entrer alerter par un crie plus fort, elle avait prit le garçon dans ses bras, le berçant, épongeant son front avec une serviette humide. Oikawa avait fini par se calmer, il respirait faiblement, tremblant. Et la vérité était tomber, lourde, insupportable, horrible.
« Il ma violer, j'avais trop mal, il ma attacher et ma forcer..je ne voulais pas, j'avais mal. Il ma frapper. Je...je crois que...qu'il ma mit enceinte mama... »
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Kei Tsukishima était un garçon solitaire, certain le disait même renfermer, surtout après que son frère ainé est prit sa place d'héritier du trône. Ça ne faisait que six mois et pourtant déjà, la ville avait changer, elle était devenue plus silencieuse, les passants se faisaient plus rares, parfois un garde passait dans les rues, les habitants ne comprenaient pas pourquoi tout cela mais c'était belle et bien pour les protéger. Mais il semblait que l'air était plus lourd, l'ambiance plus triste, leur roi adorée était enfermer dans son palais et ses fils qui avant parcouraient les rues en saluant chaque passant, qui sur leurs chevaux s'arrêtaient aider une vielle femme a porter ses courses avaient déserter la citée. Et on sentait l'humeur du jeune prince en pâtir, comme celle de ses frères et de la princesse.
La palais avait toujours autant de magnificence, percher au sommet de la colline, les coupoles de verre s'élevaient toujours dans le ciel, les arbres fleurit s'étendaient toujours dans les cours du château, dans les jardins l'odeur sucrée des fleures embaumait toujours les allées. Rien n'avait tellement changer et en même temps tout était atrocement différent, les couloirs qui avant débordaient de vie, les servantes parlaient joyeusement, les talons des gardes claquaient sur le sol, les rires des princes résonnaient comme une douce musique permanente, les gens aimaient ses petits princes aux yeux brillant. Avant on croisait des émissaires du monde entier passer et repasser dans les couloirs, on voyait la troisième épouse et ses dames de compagnies dans les jardins, les musiciens du roi jouaient en continue. Maintenant il y avait un silence total, plus aucun rire, aucune notes de musique, pas même des paroles, une ambiance sombre et triste, Kei le sentait tout les matin en quittant son lit, quand lui et ses frères s'habillaient de leurs chasubles, quand en buvant leurs thés, ils ne parlaient plus, aucun mots, rien, car ils étaient tristes, horriblement tristes.
Les journées passaient évidement, le temps s'écoulait doucement et il ne fallut pas longtemps au petit prince pour voir que la plus grosse différence tenait dans le comportement de son frère ainé. Tooru Oikawa n'était plus qu'une statue de pierre, toujours vêtu de tenues princière, il avait abandonner ses chasubles, ses sandales pour les longues robes que portait leur père, ses cheveux n'avaient plus rien de naturels, sa couronne en bronze toujours poser dessus et son regard vide qui fixait impassible de le monde depuis sa fenêtre. D'après leur père, jamais son fils n'avait été aussi concentrer sur ses leçons, jamais il n'avait été aussi sérieux et rigoureux, jamais il ne l'avait vus travailler autant et aussi bien. Le roi était heureux, il voyait en son prodige un homme fort, talentueux qui serait un roi d'exception. Les princes eux ne voyaient plus qu'une coquille vide qui parfois fixait le vide durant de longues minutes, s'il se présentait encore aux repas c'était uniquement pour rassurer les plus jeunes. Pourtant Kei n'était pas idiot, Shouyou non plus, ils avaient parfaitement consciences de se qui c'était passer cette nuit là, de pourquoi leur frère avait passer des jours alitée avec des soignants et des sages à son chevet, pourquoi il avait dus se rendre au temple se jour là, pourquoi il avait pleurée durant des jours entiers. Il savait comme son cadet que son frère avait été violer, salit par un homme inconnue, que pour conserver l'honneur de leur père, Oikawa avait dus abandonner l'enfant qu'il portait, qu'il avait dus céder se petit être qui vivait en lui depuis tout juste un mois, qu'il avait avec ça perdu la capacité naturel d'avoir des enfants. Maintenant leur frère n'en aurait peut-être jamais, ou alors très difficilement si il choisissait d'épouser un homme. Leur père pensait déjà à un mariage arranger avec une jeune femme pour garder l'honneur familial sauf. Kei n'en avait rien à faire de son honneur tant que son frère pouvait retrouver un peu de vie et de joie, tant qu'il pouvait arrêter de pleuré la nuit, tant qu'il pouvait arrêter de caresser négligemment son ventre creux quand son esprit de perdait. Le blond n'avait jamais contempler un de ses frères plonger dans un tel désespoir, le futur roi ne se lamentait pas, ne se plaignait pas, mais il souffrait, son aura était plus sombre, ses yeux tristes et éteints.
Quand il y pensait, le ventre de Kei se serrait douloureusement. Parfois il voyait son frère aller dans sa robe de nuit, une longue chasuble blanche jusqu'au ponton du lac le matin, très tôt, quand les oiseaux s'éveillaient et que le ciel gardait encore des couleurs de la nuit. De son muret il l'observait, il le voyait s'assoir immobile, il le voyait ouvrir les bras comme pour s'offrir au ciel, au soleil, il le voyait garder les yeux clos. Dans ses rares moments, Kei ne le trouvait jamais aussi beau que là, illuminer par le soleil, à regarder les reflets dorés sur l'eau turquoise. Son frère attendait, il le savait, à l'époque ils le savaient tous qu'Oikawa attendait, il attendait tous les matins et tout les soirs avant de se coucher qu'il revienne, aujourd'hui, pour la première fois depuis des années Tooru avait besoin d'Iwaizumi.
Hajime Iwaizumi avait l'âge de Tooru et était un prince des contrées du Sud, d'un royaume humain, en réalité, les hommes étaient bien plus nombreux que les elfes mais la paix durable faisait que beaucoup se mélangeaient. Ils c'étaient rencontrer avant même de naitre, la mère de Oikawa était très amie avec celle d'Iwaizumi qui était un demi-elfe, le rendant bien plus précieux aux yeux de se peuple. Ils avaient pratiquement grandit ensemble malgré la distance, leurs royaumes s'entendaient très bien et les souverains se rendaient souvent visite pour des raisons aussi bien commercial que diplomatique. Les deux princes s'entendaient très bien, se connaissant par coeur, pourtant à l'entrée dans l'adolescence leur relation parfaite c'était abimer, ils avaient commencer à se disputer voir à se battre, s'insultant allègrement, se moquant de l'autre, ils paraissaient se détester. Mais ils restaient meilleurs amis, toujours ensembles, se connaissant mieux que personne, pouvant parler durant des longues heures sans se lasser. Leurs pères avaient longtemps espérer que leurs fils finiraient par tomber amoureux et se marieraient, renforçant l'alliance entre les deux peuples. Iwaizumi n'étant pas le premier fils de son père, il en avait un autre, eu avec une autre femme des années avant lui. Se serrait en effet le prince Klaus qui hériterait du trône, le plus vieux était d'ailleurs bien plus âge que son frère, il allait bientôt sur sa vingtième années et avait déjà prit une épouse, une princesse d'un royaume voisin. Elle ne lui avait donner encore un enfant mais on la disait enceinte depuis peu. Le fait était que jamais Oikawa n'avait eu autant besoin de son meilleur ami, hélas en déplacement diplomatique le jour de sa cérémonie, de toute manière, Tooru avait refuser que son ami sois présent alors qu'il passait à l'âge adulte. Mais depuis six mois était passer et aucuns signes du brun en dehors du missive reçut quelques jours après la cérémonie. Un simple «Attend moi ». Et depuis lors, Oikawa attendait, Kei le voyait, le regard tourner vers les fenêtres, absent.
Au fond, bon dieu, s'il avait pus aider son grand frère, calmer sa douleur, apaiser ses cries silencieux, s'il avait pus le sauver, rien ne serait arriver, rien, jamais et aujourd'hui, la cité de marbre blanc serait toujours debout.
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