Chapitre 6


 Et me revoilaaaaaaaaaaa....sans aucune excuse en dehors du fait que j'étais hélas occuper à des trucs bien moins drôle de l'écriture d'Evanescence. Le chapitre 6 est sortit et mon dieu, on approche de la fin, c'est la, tout près, tout bientôt, le prochain chapitre sera le dernier, après se sera l'épilogue et après...et bien après j'écrirais encore sur cette histoire, autre chose.

Je pense tout poster aujourd'hui ou demain, j'ai fini d'écrire cette aventure dans la nuit et si se chapitre et celui que j'aime le moins, il est triste, juste triste et sombre, je n'aime pas se que j'ai écrit comme j'aime le reste, car se sont des scènes que je n'aime pas, je suis triste en les écrivant et même si parfois j'aime écrire des choses tristes la je trouve ça rude.

Mais enfin, qu'importe je réécrirais se chapitre un jour sans doute, mais pour le moment bonne lecture


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Hinata montait sur sa monture, il angoissait, voila, ils y étaient, ils partaient en guerre, ils allaient combattre, il souffla profondément, son souffle était cours et il avait une boule au ventre depuis le début. Rien n'y faisait, voir tout ses hommes, assis sur leurs chevaux, dans leurs armures brillantes, il voyait le rouge se mélanger au noir et argent, le noir onyx rencontrer le violet foncer des aigles. Ils étaient plus des milliers à partirent tous en même temps, une charge vers la citée, il voyait d'ici les nuage noirs dans le ciel, il soufflait. Il retournait dans le pays de son enfance, la ville qu'il avait quitter des années plutôt, il retournait en arrière, ses oreilles frémirent.

Il se souvenait des montagnes blanches, de l'eau turquoise du lac, de se temple blanc qui s'élevait au centre, il se souvenait alors du parfums des jardins, de la voix grave de son père, de ses yeux doré qui le fusillait parfois, de ses mains, calleuse quand il lui ébouriffait les cheveux. Hinata se souvenait du grand homme fière et droit qu'était son père, de son regard poser sur eux, il se souvient qu'il en avait toujours eu peur et qu'il n'avait jamais raconter une seule de ses journées à cet homme. Son père qu'il aimait pourtant tant n'était qu'un inconnue. Il se souvenait des voix des dames de compagnies de sa mère, de ses boucles rousses, de ses robes ambrer, de ses yeux, de son sourire, de sa voix atone, douce, de ses sourires lumineux, de la douceur de sa peau quand elle le serrait contre elle. Il se souvenait de ses histoires, de celle de Sakura et Jacinthe, il se souvient des contes qu'elle leur racontait en souriant, il se souvenait encore et encore de toutes ses fois ou assis sur ses genoux il l'écoutait émerveiller.Tout cela il s'en souvenait, il se souvenait de vague impression, de la chaleur du feux en hiver, des tapis colorée, des ruelles aux banderoles multicolore, du visage de ses frères alors enfants, des sages et des dames du temple, de ses gardes en armure bleu et or, il les revoyait. Il revoyait les couronnes de fleures de Koshi, les lances de la salle d'entrainement, les livres entasser dans le salon, il revoyait les jardins de son enfance et sentait le parfums des fleures. Des souvenirs il en avait eu plein, de bon, des mauvais et avec le temps parfois, ceux de son enfance s'estompaient un peu. Comme s'il les avait user à trop les regarder, comme s'il les avait doucement estomper de ses larmes...

Il serrait sa lance, les raines de sa monture dans la main alors que plus loin, devant lui, Kozume, assis sur son ourse, sa couronne sur la tête, ses cheveux tresser en arrière, une longue chasuble fendu d'un rouge ardent. Il semblait tout puissant, une fourrure brune sur les épaules, il voyait d'ici ses cheveux solidement attacher par une ficelle de cuire, ses mains serrer, une tenait sa lance. Son frère avait tellement changer, pas seulement durant ses six dernière années, il était plus fort, la santé bien moins fragile, son visage moins rond, ses cheveux plus long, ses yeux doré plus froids. Son frère, son grand frère avec qui il courait dans les jardins, celui des légendes et des brises, celui qui lui lançait le ballon, celui avec qui il avait grandit, le petit garçon curieux et joyeux qu'il avait été était mort. En six ans ou depuis que son unique amour lui avait été arrache? Il le regarda, le fragile jeune homme n'était plus, éteint comme la flamme d'une bougie ou le vent avait souffler trop fort. Là, lance à la main, sur un ours brun aux dents acérer, tout cela en portant les couleurs flamboyant de Nekoma, il lui semblait aussi proche de lui qu'un aigle qui passerait dans le ciel. Son frère c'était effondrer avant de se redresser, plus fort, plus froid, personne n'avait pus lui arracher un sourire depuis des mois, comme si, lorsque Kuroo était mort, il était mort avec lui. Une mort lente, une agonie qui continuait encore aujourd'hui. Et dans son nouveau visage atone, froid, lasse, il voyait tant de similitude avec celui blesser de Tooru, tant se similitude, tant se résignation dans ses yeux.

Hinata se souvenait de la nuit ou tout avait basculer, oui, Keiji, Tooru et Koshi était aller parler avec leurs père dans la salle du trône, ils voulaient lui parler du fait que Keiji prenne la place du gris dans le futur mariage arranger. Son frère ne voulait pas que Koshi risque ainsi sa vie pour eux, qu'il puisse mourir comme cela, qu'ils puisse ne plus le revoir, il avait donc dit qu'il prendrait sa place et après avoir rencontrer le fameux prince, il en était convaincu, il l'épouserait à la place de Koshi. Jusqu'a lors, leurs frère avait été plus que fermer mais finalement il avait accepter et ils étaient aller demander audience. Son seizième anniversaire était dans moins d'un mois, il lui fallait trouver un nouvel époux avant cette date là. Il était aller se coucher avec Kozume et Kei, dans leurs chambres. Il y avait tout d'abord eu du bruit, il avait entendue Kei lui dire qu'il allait simplement voir pourquoi tout se vacarme, plus les minutes étaient passer sans que son frère ne revienne, il était tellement petit à cette époque. Quand sa mère, arme à la main et Kozume était arriver, il avait comprit à leurs yeux remplis de larmes et leurs visage dévaster que quelque chose de grave était. arriver, ils avaient courut dans les couloirs, leur mère pleurait en les tirant dans les couloirs, Kozume accrocher à sa robe, son frère pleurait également. Et alors qu'ils arrivaient dans la salle du trône, un monstre avait surgie, il se souvient de son hurlement de terreur alors que son frère le reculait en tirant son sa chasuble, il pleurait, il avait peur, le monstre était bien plus grand qu'un homme, noir, avec des yeux globuleux et des dents acérés dans sa gueule. Le feux avait prit le palais et sa mère leur avait hurler de s'enfuir, lui mettent cette lance entre les mains, ils avaient courue dans les couloirs avant de tomber sur un groupe de monstre, Kozume et lui c'étaient cacher derrière un petit mur de pierre, le marbre était brillant des flammes bleus, les vitres exploser, il faisait horriblement chaud, il y avait tant de corps éventrer au sol, de sang sur les escaliers. Hinata été née bien après la dernière guerre, il n'avait jamais connue de bataille à se moment là, le sang le dégoûtait, il y avait tant de cries, de hurlement et il voyait des serviteurs coururent. Il se souvient que Kozume avait essuyer ses larmes en lui assurant que tout irait bien, puis il l'avait pousser vers les portes principales, en lui disant de ne pas faire de bruit et qu'il allait distraire les monstres. Shouyou avait courut de toutes ses forces, le plus vite possible alors que Kozume passait devant les monstres en courant vers les jardins, il avait entendue des hurlements puis un rugissement de bêtes avant de tomber sur Kei, il pleurait aussi. Il ne comprit pas, il ne comprit pas que Keiji était mort, simplement que son frère avait du sang sécher sur les pieds et la pommette droite ouverte, qu'il avait une coupure sur le bras et qu'il pleurait. Puis il avait vus Koshi tenue contre le mur par une bête, une femme cette fois, il avait vue Oikawa se jeter sur le montre avec son épée, se battre en lui hurlant de lâcher son frère. Puis alors que Koshi pleurait, Oikawa à terre, leur hurlait de s'enfuir, son corps dans une flaque de sang, il voyait ses os se tordre. Le sang avait gicler jusqu'a son visage quand la lame c'était enfoncer en lui, Koshi les avait tirer en arrière, Koshi les avait tirer jusqu'aux écuries, avait monter Kei sur une jument, puis lui derrière le gris et finalement ils avaient fuis.

Et le revoilà, six ans plus tard, là, à regarder les pleines qui entourait le palais, le lac, sombre, les nuages gris et finalement au loin, les ravages sur la cité. Il avait changer oui, il n'était plus le petit garçon qu'il avait été, il n'était plus se fragile enfant qu'il fallait protéger, il ne tremblait plus, il avait grandit mais à quel prix? Il regarda sa chaine en or, celle de Keiji, celle de son frère, il sentit ses yeux le bruler. Au fond oui, aussi horrible cela soit-il, il comprenait son frère, il comprenait qu'il soit mort, il comprenait qu'il soit partit car lui non plus, il n'aurait pas survécu sans Kageyama à ses cotés. Il regarda le brun, assis sur sa monture, à sa droite, le visage fermer. Il ne lui avait pas parler du plan, il ne lui en avait rien dit, simplement par manque de courage ou d'audace aller savoir, ou juste car dans le fond il en avait lui même peur. Se plan devait tous les sauver, se plan devait sauver tout le monde mais au prit de cette réalité, on le lui avait expliquer des dizaines de fois, il devait simplement libérer toutes son enneige magique d'un seul coups, comme Kei. Mais ça faisait quand même peur, car au fond, personne ne savait exactement se qu'il se passerait, peut-être même qu'il perdrait sa famille, Kageyama au prix de la liberté? Non, il ne pouvait pas lui en parler, il ne pouvait pas lui parler de cela sans se sentir perdu, car il avait peur, car il ne savait pas comment lui expliquer que tout irait bien, qu'il le trouverait encore, car ils n'en avaient pas parler aux autres armées.

Et dans le fond, c'était sans doute mieux ainsi...






*****







L'assaut fus lancer brutalement, comme si quand la corne de brume avait retentit c'était un boulet de canon qui avait soudainement exploser, comme si lorsque le roi Sawamura avait lever le bras si haut, quand toutes les armées derrière lui il avait lancer son étalon au triple galop droit vers les pleines qui entouraient la capitale Aoba Josai. Le vent foutaient le visage des gardes et alors que l'armé sombre et noir de Fukurodani dirigé par le souverain de Nekoma s'engagea entre les champs d'olivier dessécher, quand les éclaires zébraient le ciel noirs et que la pluie tomba, quand le vent se fit brutale alors il pus voir la première créature arriver, à quatre pattes, longeant le sol, des yeux globuleux et des dents blanches, alors aussi improbable que cela le fus, le roi de Nekoma dans son armure se leva, debout sur son ourse et sauta, on aurait dit un instant que deux grandes ailes blanches lui poussait quand sa lance s'enfonça dans le crâne de la créature qui tomba. Quand il saisit les raines de son ourse qui donnant des coups de crocs comme d'épaules forçaient les lignes de défenses. Se fus le véritable boulet de canon, l'armé rouge et noir se mêlaient à celle obscure des chouettes de l'est, les deux avaient perdu leur roi, avait perdu celui qui dirigeait dans cette guerre, alors il suivait l'elfe qui les guidait. Et Kozume n'aurait reculer devant rien au monde, ni les rivières qu'ils traversaient comme une vague, ni les monstres qui arrivaient par groupes, sortant des hautes herbes comme des ruines, qui jaillissaient des forets sombres, car devant eux au loin de dressait le palais de marbre. L'assaut sonna et avant même que tous ne le réalise la guerre avait commencer, elle était la, ils se battaient, ses monstre sans âme n'épargnerait personne, on reculait puis avançait ou alors il courait droit vers l'ennemis comme se roi en violet qui la cape blanche claquant au vent, épée à la main abattait tout eux qui s'opposaient, comme le roi de Karasuno qui vaillamment dirigeait les troupes vers la cité. La guerre, les bruits de lutes, la poussières, les nuages de cendre, les corps qui tombent, les cadavres des chevaux dévorer par des crocs, ceux des soldats parfois les yeux ouvert d'horreur, le crie silencieux des âmes qui résonnent. 

L'horreur, la peur, le malheur, la guerre.

Au milieu du champs de bataille, lutant un homme s'effondra, plus loin une femme coincé sous son cheval se fit arracher la tête, les gens blesser, à pieds, tomber de montures, les autres galopaient, montait leurs ourses toujours plus loin, toujours plus loin, allant au delà, longent le lac azure et les nuage sombre menaçant.

On aurait dit que les dieux pleuraient, pleuraient les vies perdu, la cité de marbre et les temples en leurs gloires. 

Quand une flèche se planta dans la poitrine du monstre qui faisait fasse à Hinata il se tourna, plus loin, sur sa jument ébène Tobio Kageyama arc dans les mains le fixaient, ses yeux bleus semblant le supplier de ne pas faire de folie. Il ne pouvait que murmurer un "je t'aime" muet au milieu des batailles avant de disparaitre dans la foule de soldat, au milieu de la terre battue, du sang et des cadavres. 



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Là, au milieu des dizaines d'autres combattants en armures noir, la cape claquant au vent froid qui arrivait des montagnes, il était debout, épée dans la main. Ses yeux d'un noir onyx fixaient inlassablement les créatures qui arrivaient en courant, à quatre pâtés parfois, des armes noir dans les mains, de dents blanches couper comme des couteaux,  des yeux globuleux. Il serra son arme, genoux plier et hurla l'assaut, hommes et femmes courant autour de lui. Soudain son étoile fus lourde sur sa poitrine alors qu'il tenait son épée à deux main, son arme c'était la sienne, celle qu'il aimait tellement, celle avec laquelle il tuerait ses monstres.

Il se souvenait de lui par moments, c'était plus douloureux alors car un cours instants tout leurs moments revenait dans sa tête tel un ouragan, il revoyait tout, du plus minuscule de ses cilles à sa tache de naissance dans le creux de son coude. Il revoyait ses sourire tantôt malin, tantôt doux, il revoyait ses yeux brillants d'intelligence et de vie, ses yeux pétiller. Il s'y était tellement plonger dans ses yeux, quand ça allait mal, par temps claire ou temps trouble. Car dedans il trouvait toujours un soutient sans failles qui le rassurait. Par moments, il devait se pincer, faire rougir sa peau pour se souvenir que tout était belle et bien réel, qu'il l'avait perdu, il avait du mal même cinq ans plus tard, même après tout se temps, il n'arrivait pas à s'y faire, à accepter qu'ils soient morts se jours là, sans lui. Il était soldat, chef de la garde royale de Karasuno, ami proche des souverains et pourtant, cinq ans plutôt il n'était rien d'autre d'un simple garçon, il n'avait rien pus faire pour eux. Absolument rien pas même les arrêter, les empêcher de faire quelque chose qu'aussi idiot que courageux, il n'avait même pas pus les serrer dans ses bras. Il devait vivre avec cela dans la tête, avec le fait que à tout juste quinze ans il avait vus son unique meilleur ami, son frère de coeur, le garçon dont il avait vus la naissance, avec qui il avait apprit à marcher, à parler, à lire, à écrire, à manier son épée, se garçon mourir. Il avait vécu avec lui, longtemps, ils étaient nés à trois mois d'intervalle, lui quand le soleil perce les nuage et Yuu alors que les fleures naissent, ils avaient grandis ensembles, il l'avait vus naitre et le temps n'effacerait jamais rien de tout cela. Le temps ne tarirait pas ses souvenirs, n'essoufflerait pas sa douleur et ne les retirerait pas, jamais, de sa mémoire.

Il fixa Hinata, il avait toujours aimer le petit rouquin tel un petit frère, tel un enfant à protéger, il avait aimer son innocence, sa douceur, sa joie de vivre et son enthousiasme tellement similaire à celui de son meilleur ami. Shouyou n'imaginait pas comment en grandissant il pouvait ressembler à Noya, il ne pouvait pas imaginer combien il lui rappelait l'attachante tornade qu'était son meilleur ami. Hinata était tellement remplis de joie et d'énergie qu'il éclairait le monde. Il l'avait entrainer à l'épée, lui avait apprit à monter à cheval, tel un vrai soldat, mais le petit était douer naturellement, il parlait presque à son étalon, il était agile, il maniait la lance, les sabres, l'épée, la dague avec l'adresse des grands soldats. Tel le plus grand de guerrier. Après la mort de Yuu et de Chikara il avait un temps sombrer dans les ténèbres, incapable de reprendre le dessus sur sa peine, ne dormant plus, les entendants encore rires, il les avait perdu tout les deux le même jour. Bien trop tôt, trop vite. Et inconsciemment une partie de lui était morte en même temps, il n'avait plus été capable de rire, de se sentir aussi libre et léger, certains disait qu'il avait gagner en maturité, en audace, en puissance, la vérité était qu'il était simplement éternellement triste. Avec eux, il était libre, lui même, avait la sécurité de les avoir dans sa vie, petite lumières. Les perdre ça avait tout changer pour lui, il se levait oui, pour pleurer encore et encore, il se levait, pour hurler combien il avait mal, il se levait, pour ne pas rester allonger en fixant le plafond, il se levait, alors que son coeur était mort tel un poids dans sa poitrine. Yuu était sa famille, il était son frère, il était celui avec qui, il avait toujours tout vécu et sans lui, sans cette lumière dans sa vie il se retrouvait dans le noir brumeux.

Il n'en parlait pas, simplement car ça faisait toujours aussi mal. Par moment il pensait à Chikara, c'était plus rare, plus douloureux aussi, comme une brulure, ou peut-être que c'était simplement car des regrets il en avait plus en pensant à lui. Oui, il en avait des centaines. Il n'était du genre sensible et sentimentale, enfin pas vraiment, mais étrangement c'était comme cela que l'avait définit Chikara la première fois qu'il le lui avait demander, à douze ans. Ils étaient assis, tout les deux, sur le bord d'une fontaine, attendant Yuu qui était avec Asahi, Chikara avait rie et l'avait déclarer sensible. L'autre l'était lui, sensible, il pensait aux autres, il aimait aider, soutenir les gens et s'inquiétait toujours de leurs situation, d'un autre côté il était beaucoup plus stricte, carrer, franc et sévère que lui qui rigolait de tout. À onze ans, quand le jeune érudit était arriver, il c'était dit qu'il était coincé, qu'il était incapable de rire et pourtant Yuu l'avait tout de suite adorée, alors Ennoshita avait rejoint leurs duo. Et il était extraordinaire, il avait de l'humour, un caractère fort, il n'avait pas peur d'eux, il aimait lui parler, encore plus quand le brun le regardait. Car dans se regard, il voyait tellement de chose, il voyait tellement de choses qu'il n'avait jamais vue ailleurs, sa relation pourtant portait le même nom que celle qu'il avait avec Yuu. « Meilleurs amis ». Mais il n'était pas certains que des meilleurs amis devaient se voir comme cela, les années étaient passer, ils avaient changer et leurs relations aussi, ils se disputaient, ils s'inquiétaient pourtant tout le temps pour l'autre, puis ils c'étaient aimer, plus que tout, un temps, il avait tout eu. L'amitié, la famille et l'amour.

Et il avait tout perdu alors il c'était rattacher à la seule chose qu'il lui restait encore, la famille royale, il était devenu soldat, puis commandant, puis finalement générale avant d'être chef des armées. Il avait tout donner pour eux, son temps, toute son énergie, il noyait son chagrins dans leurs sourires, leurs rires qui lui rappelaient les leurs, il se tuait au travail mais ça le gardait en vie. Pour eux il ne dormait pas, il se battait, les jeunes l'admirait, si jeune et si haut grader, si jeune et pourtant tellement mature, sérieux et combattant. Tellement de cicatrices que les autres ne voyait pas. Tellement de marques que personnes ne pourrait effacer. Les autres le trouvait impression car il était un meneur, juste, un bon stratège, personne ne savait qu'il n'avait rien de tout cela des années plutôt, il était un meneur car Yuu lui avait apprit comme l'être, juste car il jugeait tout avec l'esprit que toutes vies étaient importantes et son sens de la stratégie il l'avait acquise avec Ennoshita, voila, le vrai stratège c'était lui. Il n'était pas née avec de fantastique capacités, née avec un talent naturel, non, il était même assez moyen comme personne ne naissance, mais il c'était entrainer, il avait travailler dur, il avait apprit avec du temps et de l'acharnement. Les autres ne voyaient pas cela. Ils ne devinaient pas qu'il se rattachait à la seule chose qu'il avait encore, et c'était cette famille, son dernier trésor, sa seule raison de vivre.

Alors quand la créature noir s'approcha de trop près d'Hinata qui lance à la main, tuait ennemie sur ennemie, quand il entendit Kageyama un peu plus loin hurler, il n'hésita pas. Il courut vers le mur, se projeta dague à la main vers le démon et sans aucune hésitation il lui trancha la tête, retombant en ouvrant le poitrail d'un autre, s'élançant vers le groupe de créature, courant sur les murs, peu importait que ses bêtes soit bien plus grand que lui, qu'elle soit plus forte, que du sang noir vienne éclabousser son visage, qu'il meurt même. Il courut, s'aidant de sa lance, s'appuyant pour sauter, ses bottes couvertes de sang, dague à la main, il ouvrait crâne, tors, jambe, coupait leurs membres, peu lui importait, tant que derrière lui, tant qu'ils allaient tous bien. En enfonçant sa lance dans le crâne déformer du démon, le sang tachant sa cape, il grimaça et serra plus fort son arme. Il les avait perdu, car il était trop faible, car il n'avait pas été assez fort, car il n'avait pas sue les défendre, il les avait perdu tout les deux, simplement car il n'avait pas eu assez de puissance. Cette fois c'était très différent, il était celui qui allait se frotter aux monstres, il était celui qui possédait les armes, son étoile fus soudainement brulante contre sa peau, ses yeux furent humides. Il ne perdrait plus personne, il ne perdrait plus jamais, il ne laisserait personne tuer la seul chose qu'il lui restait, il leurs avait promis d'être un protecteur de Karasuno et il contait bien le faire. Il les rendrait fier de lui.

Car c'était la seule chose qu'il pouvait encore faire.






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Daichi hurla quand la créature eu le tors transpercer par une épée, puis il reconnue la lame ensanglanter de celui qui avait un jour tout donner à son frère. Il reconnue la lame, fine et pointue, fendu le le dessus, il reconnue la silhouette haute et carrer de son meilleur ami, alors son coeur se brisa. Car quand il l'avait reconnue son coeur avait battue si vite qu'il c'était crue condamner à une souffrance éternelle. Il le vit ouvrir de grand yeux dans un hurlement de douleur silencieux, il le vit regarder la lame qui le traversait, le sang écarlate qui en coulait, puis ses yeux se posèrent sur lui.

Il hurla en accourant vers lui, l'agrippant pour le tenir le plus fort possible contre sa poitrine, il plongea son visage déformer par les larmes dans sa nuque, serrant le petit corps tremblant dans ses bras. Il gémit. Il l'avait perdu cinq ans plutôt, une nuit d'orage qui le hantait encore aujourd'hui, il l'avait perdu sans rien pouvoir faire, il n'avait jamais eu de corps, il n'avait jamais pus se dire que son petit frère reposait en paix. Il le serra plus fort, il se fichait du sang, de l'épée qui déchirait sa cape, il se fichait des regards poser sur lui, il ne les ressentaient pas. La seule chose qu'il ressentait c'était son coeur explosant en milles morceaux alors qu'il sentait le petit corps trembler dans ses bras. Il releva la tête pour croiser le regard anéantie de celui qui fus son meilleur ami d'enfance.

En face de lui, dans la tenu de guerre de Karasuno, ses mèches châtains tombant sur ses épaules, Azumane le regardait. Jamais il n'avait lue autant de douleur, autant de peine dans ses iris noisettes, là il y lisait toute la douleur du monde. Et il sue que celui du forgeron venait de tomber en morceaux aussi. Ils l'avaient crue mort, ils l'avait pleurer avait supplier le ciel de le rendre aux gens qui l'aimait, ils l'avaient hurler, cette peine, cette douleur. Daichi n'avait jamais pus refermer la plaie béante que son petit frère avait laisser en mourant si tôt, il n'avait jamais pus avancer sans penser à lui, pas un jour n'était passer sans qu'il vienne le hanter. Pourtant les dieux le savaient, il chérissait ses souvenirs, il vivait en passant devant son portrait dans le couloir, passait devant sa chambre en inspirant, regardait sa place à table le jour se son anniversaire en comptant les années qui passait. Yuu aurait eu vingt ans cette année. Mais à la place il n'avait jamais eu la chance de souffler ses bougies de nouveau. Daichi avait regretté chacun de ses mots se jour là, avait regretté chaque disputes, chaque désaccords, chaque mots qu'il n'avait pas assez dit. Car son petit frère il l'aimait tant, car c'était la seule personne qu'il avait eu près de lui quand ses parents étaient mort, car son petit frère était sa famille. Et malgré Koshi, malgré son amour pour lui, malgré ses fils, malgré cette famille qu'il avait, la douleur de perdre son frère ne le quittait pas.

Mais il avait sue avancer avec, il avait sue apaiser un peu cette peine, supporter le poids de son coeur si lourd. Il avait eu une personne à aimer, sa bouée de sauvetage, son ancre dans la tempête, Koshi avait été la plus belle chose que le monde pouvait lui offrir. Il avait été là, à chaque secondes, à chaque pas, il avait pleurer Yuu avec lui, avait fleurie sa tombe, entretenue son souvenir dans le palais, et les jours difficiles il lui avait tenu la main en le serrant fort contre lui. Koshi avait sauver se que son coeur pouvait encore offrir. Et ses fils étaient les pansement de son âme, les voir découvrir le monde, sourire, rire, s'entrainer avec Ryu, avec Shouyou, les voir ensembles. C'était ses raisons de vivre. Mais Asahi n'avait pas eu cette chance.

Evidement qu'il le savait, il l'avait toujours sue, c'était tellement évident, voyant, dans leurs regards, dans leurs rires, dans cette manière de parler à demi-mots. Quand ils étaient tout les deux, il lui semblait qu'ils s'enfermaient dans une bulle paisible ou ils pouvaient faire se qu'ils voulaient. Son frère n'avait jamais aimer les vouvoiements, les "majesté", il n'avait jamais pus comme lui renoncer à sa liberté, être enchainer à un titre, il le lui avait hurler tellement de fois. Yuu brillait, illuminait le monde, sa place n'était pas à l'étroit dans des vêtements d'apparat, sa place n'était pas enfermer dans un palais, cacher des autres, ni même autour d'une table à discuter commerce, son frère n'était jamais aussi heureux d'en dehors des murs de la ville. Mais dans son coeur, il l'avait toujours sue, il n'y avait aucun prince, aucune princesse, il n'y avait que lui, il n'y avait que son forgeron adoré, il n'y avait qu'Asahi. Depuis la première seconde. Son lui tournait autour, il lui confiait des choses personnel, osait lui parler franchement car il savait que le plus vieux serait toujours là, à le conseiller, à l'aimer, à le protéger. Asahi avait toujours sue calmer son frère, le raisonner, le rassurer parfois même sans aucun mots, il les avaient déjà vus debout l'un en face de l'autre, immobile, Yuu calant sa respiration sur celle du forgeron. Daichi l'avait toujours sue, la place de son frère était dans les bras de son meilleur ami, il ne s'y était jamais opposé, à quoi bon, il voulait leur bonheur, à tout les deux, et il était ensembles. Puis dans la cité tout le monde le savait, le petit prince et le forgeron royale finiraient ensembles. C'était une question de temps. Hélas se temps, ils ne l'avaient jamais eux.

Il le regarda fermer les yeux, se mordant la lèvres au sang, Daichi n'aurait jamais pus toucher à son frère, il n'aurait jamais pus le tuer. Alors il l'avait fait. Il était arriver par derrière, avait tendue son épée alors que le démon immobile semblait reconnaitre le roi, et il lui avait transpercer le ventre. Il était détruit. Il ne pourrait jamais s'en relever, son coeur avait trop mal, son coeur était partit en fumée. Il regarda son roi, plongeant ses yeux dans les siens, il n'y trouva qu'une gratitude, qu'une affection et une confiance que seuls des amis d'aussi longes dates pouvaient avoir. Daichi lui tendit la main et accepta la pression sur son bras alors que sa main tenant l'épée tremblait.

-Merci...il regarda son roi, exploser en sanglots amer sur l"épaule de son petit frère, le serrant contre lui, il le vit secouer la tête. Merci d'avoir été là...Asahi savait que son roi le remerciait pour toutes ses années, mais il n'avait pas à le faire, ils étaient amis.

Il secoua la tête, ile trouvait pas les mots, il n'en avait pas. Il se contenta de serrer le pommeau de l'épée, la retirant en grimaçant alors que le corps du petit prince perdait ses attribué démoniaque. Il vit les ailes disparaitre, les cornes rentrer dans son crâne, sa peau redevenir blanche. Il jeta l'épée au loin, il n'irait plus nul part, ses jambes ne le soutiendraient pas assez longtemps.

-Daichi! Le crie le fit sursauter, il se retourna, il vit Ryu courir le vite possible vers eux, ses pieds touchant à peine le sol, sa main tendue alors que face à lui, le visage recouvert de sang rouge et les yeux étincelants Chikara leur fonçait dessus.

-Asahi! Il entendit son roi hurler alors qu'il se plaçait en bouclier, il n'avait pas peur, pas une seconde, si sa vie pouvait sauver la sienne alors soit. Il mourait sans hésiter pour cela.

Il vit Chikara tendre la main, une épée apparaitre dans sa paume diaphane, ses mèches brunes volant autour de son visage pale. Asahi sourit en pleurant. Il se souvenait encore du jeune adolescent qui avait passé les portes du palais, couvert de cendre, ses cheveux lui arrivant aux épaules, vêtu piteusement. Il c'était nommer sans trembler, ses yeux vide et rouge d'avoir trop pleurer, il avait saluer le roi. Il se souvient de ses mimiques, de ses sourires, de son rire claire qui résonnait dans les jardins, Yuu l'avait tout de suite adorée. Il ne ressemblait pourtant pas au petit prince, ni à Ryu, il était franc, sévère, impitoyable. Mais ils étaient tout les trois devenu inséparable, toutes leurs journées étaient passer ensembles, il se souvient de leurs regards complices. Il se souvient les avoir vus s'enfuir des ball en courant, les avoir vus galoper dans les plaines en faisant la courses, de leurs voix se mélangeant dans un attachant boucan. Il aimait leurs bruits, c'était habituel. Il le vit s'entourer d'une aura orange brillante, comme des éclaires. Il le revoyait encore, dans sa belle tenues noirs et blanche, ses cheveux soigneusement peigné, à son coups une étoile en or, Chikara avait toujours eu un doux regard quand il la regardait, il disait qu'elle venait de sa famille, c'était la seule chose qu'il avait d'elle. Il le vit approcher alors que derrière Ryu courait le plus vite possible, ses yeux remplis de larmes, sa main tendu, essayant d'attraper de la fumée.

Ryu ne l'avait pas vue arriver, il était en train de combattre quand soudainement ils avaient démolie les escaliers, se posant devant eux. Il les avait reconnue tout de suite. Leurs apparences juvéniles, leurs regards même carmins, son coeur avait battue plus vite en les voyant. Ils n'avaient pas changer en cinq ans. Mais il n'avait pas eu le temps d'y penser que déjà Yuu s'élançait vers son frère, ils avaient diviser l'armée en deux, les divisant pour mieux les exterminer. Il c'était retrouver face à un Chikara démoniaque qui ne semblait pas le reconnaître, peut-être car ça faisait trop longtemps, ou qu'il avait tant changer en cinq ans. Puis il l'avait vus relever la tête alors qu'il venait de tuer huit soldats en quelques minutes. Il avait décollé, fondant à travers les couloirs. Ryu lui avait courut après, il ne pouvait pas le laisser partir, il ne pouvait pas le laisser partir encore une fois. Mais se qu'il avait trouver était bien différent de se qu'il pensait. Alors qu'Hinata et des hommes s'élançaient vers la salle du trône, lui voyait son meilleur ami embrocher dans les bras du roi, Azumane les regardant, l'épée à la main, son premier amour leur fonçant dessus. Il hurla son nom.

Puis tout se passa très vite, il y eu une explosion de jaune et de orange. Une grande chaleur et quand il rouvrit les yeux il les vit. Asahi pousser derrière avec Daichi, devant eux les bras ouverts, Yuu, l'épée planter dans le ventre, il hurlait alors que face au plus petit, Chikara se tenait, la poitrine ouverte d'un trous béant. Yuu venait de lui exploser le coeur. Il hurla alors que les corps de son meilleur ami et de son amant tombaient à la renverse.

Asahi hurla en rattrapant le corps convulser de Yuu alors que Daichi hurlait. Lui, debout, les fixait, le corps de Chikara allonger eu sol, mort, les yeux ouverts, il se laissa tomber à genoux en venant le prendre contre lui, fermant ses yeux alors que deux larmes en coulaient. Il avait mal, une douleur sourde qui lui broyait le cœur, comme si c'était le sien que l'on venait d'exploser. Il posa les yeux sur celui qu'il avait aimer, Chikara les avait gorger de larmes et grand ouvert comme figer d'horreur pour l'éternité. Il repensa à son départ, il regarda Yuu étaler dans les bras d'Asahi une épée planter dans la poitrine. Il avait les yeux gorger de larmes et le visage tourner vers eux. Il le vit tendre la main et comprit. Chikara avait été aussi soudain car il avait sentit Noya en danger, car il l'avait sentit blesser et alors comme lorsqu'ils étaient jeunes il avait accourut pour le secourir. Il entendit Yuu, ce n'était qu'un faible murmure pourtant ça lui broyait les oreilles.

-Chikara...c'était le song que faisait la voix de quelqu'un de briser.

Il les regardas, ils les regardas et comme cinq ans plutôt, tout s'effondrait en lui, il avait mal, peur, semblait submerger par le chagrin et l'horreur de les perdre une deuxième fois. Il ferma les yeux et pria fort pour se réveiller mais rien ne vient alors qu'il explosait en sanglots.











*****












Kozume planta sa lance dans son tors, bondissant, aussi agile et souple qu'un chat, aussi agile et souple que les combattants de son pays, Yaku le suivit, sautant en rebondissant sur la tête d'un des monstres, sa lance s'enfonçant entre les côtes des bêtes. Ces créatures polluaient, arrivant des troues dans les murs aussi bien que des failles dans le sol, le corps osseux et difformes, les yeux globuleux et luisant rouge carmins. Hideuses, d'une force titanesque, il sentait ses bras trembler quand il enfonçait sa lance dans leurs corps, brisants leurs os, entendant le craquement sinistres des crânes. Il n'avait pas peur, n'était pas dégouter non, seul une rage l'habitait alors, il voulait en finir, il voulait que la guerre s'arrêtent. La guerre n'avait jamais été une affaire pour lui, pas pour un promis, pour un prince, pour une personne aussi fragile que lui, Kozume le savait évidement que sa santé ne lui permettait pas la même endurance que les autres, pas la même force, pas la même puissance. Il l'avait toujours sue, on le lui avait répéter et répéter tout les jours durant des années, il était trop faible pour un garçon, trop fragile pour un prince, trop maigre pour combattre, promis au mariage était son destin, pas la guerre. Ses compétences n'avaient jamais égaler celles de ses frères, malgré le fait qu'il manie bien la lance et qu'il était agile et rapide, il n'avait jamais pus même se rapprocher du talent de ses frères. Mais il n'en aurait pas besoin, pas aujourd'hui, la seule chose qu'il devait faire c'était d'empêcher les créatures de tuer un de ses petits frères, un de leurs si maigres espoirs, sa mission était terriblement simple, retenir les démons le plus loin possible quitte à s'écrouler au sol. Quitte à mourir pour cela. Et pour le moment, ils y arrivaient, la cité avait été prises d'assaut depuis de longues heures et les combattants s'armaient de courages faces à ses monstres qui leur barraient la route.

Revenir ici, revenir sur les lieux du crime sautait tel un supplice pour lui, à chaque maisons, à chaque ruelles, à chaque pas qui le reprochait un peu plus du château la douleur grandissait, les souvenirs le brulants. Il se souvenait, des passants, de ses banderole colorées durants les beaux mois, de ses feux réconfortant en hiver, de ses marchants ambulants aux étoffes multicolores. Des bruits de la ville, d'une cité qui vie chaque journée dans la paix et la joie. Il se rappelait des odeurs sucrées, de fleures dans les paniers en osier, de ses femmes vêtus de blancs qui les saluaient en riant, des paisibles vieillards qui regardaient les enfants courir dans les rues. Sa ville, si belle, si grande, ses couleurs vives, ses senteurs, ses personnes dont il voyait encore les visages souriant, ses souvenirs de lui et ses frères traversant sur leurs montures les rues, saluant les passant, les souvenirs de Tooru venant aider une vieille dame à porter son panier, les souvenirs de Keiji ramassant une petite fille tomber à terre. Et là, sur la colline, surplombant le lac azure, sans ses souvenirs, le palais de marbres blanc, les jardins et ses arbres éternellement rose, se temps perdu au milieu de l'étendue bleu. Revenir était plus dur que de partir, revenir ramenait en sa mémoire ses souvenirs heureux, se beaux souvenirs d'enfance, quand son ourse avait été tuer et qu'il avait courut suivit d'une quinzaines d'hommes dans les jardins, il avait crue voir sa mère. Elle lui manquait tellement, sa douceur, son amour, sa tendresse et sa sagesse qui lui aurait été utile tellement de fois, sa mère lui avait manquer le jour de son mariage, il aurait aimer qu'elle le coiffe, qu'elle lui sourisses, quand il à sue pour son enfant, il aurait aimer qu'elle calme ses craintes comme enfant. Dans les jardins maintenants en ruines, dévaster par les flammes, les allées couvertes de cendres, les fleures fanées ou écraser et les arbres déraciner, il revoyait les souvenir de sa mère avec ses femmes de compagnies parlants en marchants dans leurs robes si pales. Il les avait traverser tellement de fois, avec sa mère, avec ses frères, avec sa soeur, c'était ici qu'elle leur avait courut après, qu'ils fabriquaient des couronnes de fleures tresser pour elle, qu'ils jouaient enfants, qu'il courait après ses ainés. Et c'était ici qu'il l'avait vue pour la première fois, qu'il l'avait vue dans son manteau rouge, la première fois qu'il l'avait vue si différent et imposant en comparaison de son frère en courtes chasuble pale. C'était ici que tout avait commencer pour eux, pour lui et Kuroo, pour leur «nous».

Le palais lui rappelait tout ses rires, toutes ses courses dans les longs couloirs de marbres, toutes ses chansons cacher dans leurs petits salons à l'abris des autres, se palais lui rappelait l'innocence dont il avait profiter un temps. Revenir faisait mal, comme si on recouvrait une plaie déjà a vif. Cet endroit était charger en histoire et chaque recoins regorgeait de souvenirs. Et pourtant, il ne pleurait pas, la douleur étouffait ses larmes et les souvenirs étaient doux, tendre, c'était de beaux souvenirs qu'il chérissait. Il revoyait ses escaliers, ses couloirs, retrouvait la maison de son enfance, celle de ses parents, des gens qu'il aimait, il revoyait Natsu faire ses premier pas dans la salle du trône, il croissait ses souvenirs en courant toujours plus vite. Et finalement ils étaient arriver dans le hall, là ou les dirigeants de pays passaient, la ou s'entassaient les présents que l'on apportait, les épices, les étoles, les trésors. Puis cette troupes de démons étaient arriver, surgissant d'une faille dans le sol, rugissant, balayant des bras, grinçant des dents et aussi soudainement son instinct c'était éveiller, cet instinct qu'avait ceux de son peuple, celui qui le faisait manier la magie avant, celui qu'il n'avait pas ressentit depuis sa fuite des années plutôt. Son instinct était bon, les sages le disaient, enfant il maniait la magie comme aucun de ses frères, enfant il faisait surgir du sol des piques de glaces et faisait voler les livres, puis il avait fuit et se talent c'était tarie avec le temps, comme si son esprit oubliait comment être un elfe loin de son pays. Et là, il s'éveillait en lui, il le sentait le faire frissonner tel un sixième sens qui s'agite. Le même qui le fis projeter trois des créatures par la fenêtre d'un simple geste de la main, le même qui raviva ceux qui faisait de lui un elfe, sa puissance et sa magie. Puis Lev, dans son armure rouge, épée à la main se jeta sur la seconde vague, Kozume le savait près à prendre autant de vies qu'il le fallait pour que lui, reste en vie, Lev avait une rage de vaincre immense, un rage de protéger ceux qu'il aimait immense. Et alors que Yaku le suivait, lance à la main, petit géant face à ses colosses, petit être de lumière, rayonnant de puissance alors que la lance s'enfonçait dans le crâne de la bête qui se hissait derrière Lev. Kozume se demandait un instant si l'un de deux souffrais autant que lui, si Yaku avait mal aussi, si lui aussi les souvenir revenait le hanter, s'il revoyait aussi les gens, les gardes en bleu et or, s'il revoyait ses amis, si lui aussi il pensait à combien se lieux avait été beau dans le temps.

Les yeux fermer, il courait maintenant, lance à la main, serrant son arme le plus fort possible, ça faisait tout aussi mal, de se souvenir qu'il n'était plus là, plus avec eux. Il vivait avec, il devait vivre avec, la douleur restait, rien n'y changerait jamais quelque chose, personne ne pourrait combler le vide qu'il ressentait, personne ne pouvait remplir se vide si grand en lui et jamais il ne pourrait aimer quelqu'un comme il avait aimer son époux. Kuroo était le soleil de ses jours, son étoile polaire dans la nuit, son phare dans une brume de souvenir, il avait été sa raison de vivre, de combattre la vide qui l'engloutissait, avait été son plus grand soutient, sa plus belle rencontre. Kuroo avait changer son monde, lui avait donner des rêves, de espoirs, des envies, des craintes qu'il pensait impossible après la perte de sa famille, il lui avait donner une envie de vivre tenace. Puis il se souvenait de tout ses réveilles ou son époux le tenait contre lui, tout ses matins ou la première chose qu'il voyait c'était lui, toutes ses journées passer ensembles, ses jours ou à cheval ils se baladaient dans les plaines, toutes ses soirées à lire au coin d'un feux, son époux la tête sur ses genoux, une main dans ses mèches brunes. Tout ses regards, toutes ses fois ou il suffoquait en voyant aussi d'amour, de tendresse dans ses yeux ambre. Et maintenant se vide qu'il ressentait tout les jours, cette douleur de le savoir partit.

Akiko avait appeler son père, lui avait demander ou il était, avait pleurer des nuits entière, ne comprenait pas qu'il ne reviendrait jamais plus et Kozume peinait à lui expliquer combien Kuroo l'avait aimer, avait aimer sa fille. Sa petite avait les yeux doré et les cheveux bruns, sa petite ressemblait à son père, lui ressemblait tellement que quand il la regardait il le voyait, sa fille était sa seule raison de vivre, sa seule raison de rester, juste pour elle, juste pour l'aimer pour deux. Sa princesse ne savait pas comment son père l'avait aimer, elle ne se doutait même pas combien Kuroo avait été heureux d'apprendre sa venu, combien de fois il avait caresser son ventre en souriant, ses yeux brillaient en le voyant et quand elle était arriver, les larmes avaient couler. Sa fille était tellement aimer, tellement chérie, tellement espérer, attendue, son petit bébé adorée, sa petite fille qui grandissait chaque jour et devenait de plus en plus merveilleuse. Kozume avait une raison de vivre, elle, sa fille, elle était se qu'il avait de plus précieux dans se monde, elle était le pourquoi il se levait le matin, et surtout la raison de son départ à la guerre, il lui rendrait sa famille. En son ventre, un bébé qui ne grandirait jamais, un bébé qu'il ne verrait pas cette vie là, malgré le fait qu'il l'aimait déjà il préférait le voir vivre entourer d'une famille que dans cette réalité.

Et soudain, le sol explosait devant eux, la poussière lui brulait les yeux et il serrait encore plus sa lance, Yaku hurlait alors qu'une forme ailée se posait devant lui, les ailes d'un noir corbeaux, Kenma ne bougeait plus, lâchant même son arme, incapable de retenir se tremblement d'effrois, d'horreur, car ça ne pouvait être qu'un cauchemar, un terrible cauchemar. Sa lance gisant eu sol, ses mains et ses bras ballent, ses yeux le piquait et son souffle se coupait. Il entendait Yaku et Lev derrière lui, l'appeler, hurler, gémir d'effrois et finalement il n'entendis plus rien d'autre que les battements frénétique de son coeur dans sa poitrine, sa respiration si rapide et il sentit les larmes monter. Devant lui, immobile, grand, majestueux avec ses deux ailes noirs et ses cornes enrouler, ses yeux rouge le fixant et se sourire cynique, devant lui, les veines noirs et les cheveux en bataille, devant lui ici, dans se château, au milieu d'un couloirs, Tetsuro Kuroo le fixait.

Il était là, en vie, face à lui, deux immense ailes noir dans son dos, son sourire le plus malveillant aux lèvres. Il ne comprenait pas. Kuroo...Kuroo était mort se jour la dans l'explosion, il avait disparut, certainement calciner dans les flammes. Il était mort et enterrer, il était mort. Il était partit et lui avait été amené à devenir roi. Comment cela pouvait être possible? Puis il croisa ses iris carmins. Rouge. Sang. Son coeur s'arrêta en comprenant l'horrible vérité. Il était devenu un démon, il était devenu un de ceux qui avait ravager sa vie sept ans plutôt, un de ceux qui avait arracher le coeur de sa petite soeur, transpercer sa mère.

Il tendit la lance vers lui, lui interdisant même de bouger mais Kuroo n'en avait que faire, il s'approcha lentement, ses plumes frôlant le sol lentement, il semblait voler. Kozume trembla mais garda sa lance pointé vers lui. Puis soudainement Kuroo s'élança, il entendit Yaku hurler derrière lui, il entendit Lev crier son nom, il crue même entendre les soldats courir mais il son instinct lui hurlait de vivre. Alors il tendit les bras. Vite, il serra sa prise sur l'arme qui avait voler dans sa main et quand Kuroo arriva à sa hauteur sans même savoir se qu'il faisait il lui transperça le tors. Il regarda son visage surpris puis baissa la tête vers sa poitrine, au niveau du coeur, la lance était enfoncer, du sang coulait déjà. Il hurla d'horreur en le voyant tomber en avant, il le rattrapa, le serait contre lui, immobile, sentant son coeur hurler de douleur alors qu'autour de lui, le monde avait arrêter de bouger. Il entendit Yaku approcher.

-Non!! Il hurla mais son souffle se coupa. A qui hurlait-il, eux ou lui? Allez vous en! Il s'entendit hurler. Partez! Je vous rattraperais! Il s'entendit donner ses ordres mais rien n'allait, ni sa voix si dur, ni sa voix si forte, si le manque de trembles dedans. Partez!! Sa voix s'élevât encore et il entendit ses hommes souffler avant d'entre un sanglot qu'il devina être de Yaku.

Il les entendit partir encore courant mais lui ne pouvait plus bouger, le monde venait de s'écrouler. Il le serra plus fort. Il regarda le visage pale de celui qu'il aimait, il sanglota, immobile, incapable de contenir le chagrins qui lui broyait le ventre, incapable de taire cette tristesse qui le submergeait. Il coulait à pique dans un océan plus sombre encore que la nuit sans étoile des frontières. Il le serra plus fort contre lui alors que la lance s'enfonçait dans son coeur, brisait ses côtes, il appuya sa tête contre son épaule, il n'avait jamais eu aussi mal. Il ne c'était jamais sentit aussi vide. Même quand sa mère l'avait réveiller se soir là, quand elle était arriver en larme, une lance à la main, même quand elle lui avait dit pour Natsu, quand il avait sue que dans son petit lit il y avait le corps inerte de sa soeur. Sa toute petite soeur, sa princesse. Il repensa à ses boucles rousses, ses sourires, les coiffures qu'elle lui faisait en riant, quand elle lui racontait ses cours avec ses professeurs, quand elle se saisissait d'une épée en bois et la brandissait contre des monstres imaginaire. Son adorable poupée de porcelaine. Il hurla de douleur alors qu'il sentait deux bras encercler son corps tremblant, il retira l'arme d'un geste brusque, le sang recouvrait sa main, sa cape en était recouverte, mais il s'en moquait.

Il jeta la lance ensanglanter au sol dans un tintement avant d'entourer son ventre de ses doigts, les serrant contre la peau brulante, il sanglota. Non. Il voulait l'aimer, il voulait une seconde chance, il cacha son visage dans sa nuque alors qu'il sentait un sanglot monter, il hurla de nouveau, de douleur, de peur, de tristesse. Un désespoir tenace lui serrait le coeur alors qu'il volait en morceau. Voilà, son coeur était briser, exploser en morceaux dans sa poitrine, il ne pourrait jamais le réparer. Il se recula, pleurant toujours alors qu'ils tombaient au sol, se laissant entrainer contre lui. Il n'avait plus de force, il n'avait plus la force de se tenir debout, ni même de respirer correctement alors il hoquetait en s'étouffant avec ses larmes. Il sentit la chute, le choc contre le sol, le sang qui s'écoulait de la plais et se rependait au sol comme une mer rouge et opaque. Il se redressa, se hissant à sa hauteur, posant son bras à côté de son visage pour se soutenir alors qu'il prenait sa main dans la sienne, poser sur sa poitrine, il sentait son souffle, son tors se soulever doucement. Il le regarda, ses cheveux étaient en batailles, sa peau pale et ses yeux avaient reprit leurs couleurs ambres, il sourit à travers ses larmes le regardant lui rendre en tremblant sous la douleur.

-Bonjours mon amour...il sanglota doucement en l'entendant l'appeler comme cela, comment voulait-on qu'il vive sans lui, qu'il se lève, respire et aime sans l'avoir à ses côtés. Il pressa sa mains, liant leurs doigts ensembles, regardant son anneaux briller sur ses doigts blanc. Il vient coller leurs front, fermant les yeux, inspirant doucement.

-Tetsuro...il lui serra la main, ses yeux clos, il n'avait pas besoin de les ouvrir pour savoir que l'ambre avait reprit sa place, que sa peau étaient laiteuse, si pale, que ses joues étaient livide et qu'il avait une mine affreuse. Il le sentait, quand son coeur s'emballait avant de ralentir, quand il sentait le sang couler. Il retient un gémissement de douleur.

-Kozume...sa voix était rauque, grave et lente. Il le sentit tousser et se redressa. Regarde-moi...il le fixa, plongeant ses yeux dans les siens pour voir ses lèvres rouges afficher un sourire tremblant. T'es cheveux...Kozume ouvrit de grands yeux en le voyant sourire amuser. Ils sont en batailles...il sentit son coeur se briser, tombant en cendre en lui. Il secoua la tête, effectivement ses mèches blondes tombaient sur ses épaules, il le regarda.

-Ils sont impossibles à dompter...il sourit complice à son regard, il allait tellement lui manquer, ses sourires, ses regards, ses mots, ses piques et ses blagues. Ses caresses, ses baisés, ses mots d'amours, ses rires. Il frotta leurs nez, souriant tendrement en le sentant se crisper. Ça va aller, tout va bien aller...il ferma les yeux. Nous sommes ensembles...

-Qu'ai-je fais...il serra les dents en pressant sa main plus fort alors que la voix de Kuroo devenait lointaine, comme essouffler, il le sentait se coeur qui ralentissait, cette agonie pour mieux les briser. Il secoua la tête doucement, tremblant alors que les larmes revenaient.

-Rien, tu n'as rien fais mon coeur. Il se blottie contre lui, sentant Kuroo poser sa main dans ses mèches blondes, le serrant de ses maigres forces, lui n'en avait plus. Il se sentait essoufflé aussi, épuiser, il posa son menton contre son épaule, le regardant baisser la tête pour plonger ses yeux dans les siennes, le brun toussa en secouant la tête.

-Je sais se que...il fus couper par une quinte de toux. Je sais se que j'ai fais. Il lui sourit en tremblant, le sang se répandant au sol alors qu'il tremblait, le visage couvert de sueur. Ses yeux se voilèrent et Kozume sanglota contre son épaule, serrant fort sa main dans les siennes, elle était glacer, si faible.

Quand il avait fuit bientôt sept ans plutôt il avait crue qu'il ne reviendrait jamais plus chez lui, il fuyait sans aucun espoir de revoir sa maison. Il se pensait condamner au malheur, que le soleil ne lui sourirait plus, qu'il serait éternellement seul dans cet océan de ténèbres dans lequel il se noyait. Cette nuit là avait marquer un tournant dans sa vie, il revoyait les flammes, sentait la petite main de Shouyou dans la sienne, le bruit sifflant de leurs respirations et les battements de son coeur s'affolent dans sa poitrine. Il se revoyait cacher derrière le muret, silencieux, regardant son petit frère, si jeune, tremblant, pleurant de peur alors que les créatures rugissaient non loin, il se revoit lui mettre la lance dans les mains, le pousser et courir. Kozume était l'enfant du milieu, avec Keiji ils étaient entres les plus vieux et les plus jeunes, lui en était même l'exacte milieu, il avait toujours eu les câlins et l'affection des plus âgés mais n'avait jamais pus occuper vraiment cette place. Il était fragile, il le savait, cela l'empêchait de jouer avec ses comme il le voudrait, il n'avait pas pus les protéger et les aider comme ses frères mais il les aimait, il les avait aimer plus que tout au monde durant des années, ses frères il aurait fais n'importe quoi pour eux. Alors il avait courut aussi vite que possible, passant devant les monstres, projetant des flèches de glaces sur eux, elles se brisaient sur leurs peaux. Mais ils l'avaient vus, l'avaient charger et saisit pas la nuque et le soulevant, alors il avait penser qu'il était mort, que sa vie finirait ici, il avait prier pour que Shouyou ai eu le temps de s'enfuir, que ses frères soient en vie, il avait penser à sa petite soeur, à ses cheveux flammes, au fait qu'ils se retrouveraient en haut tout les deux. Il avait pleurer alors que soudainement le montre le projetait à travers la fenêtres, brutalement son souffle c'était couper, il avait cracher du sang sous le choc avant de tomber en chute libres vers les toit des maisons, il avait rouler sur les toits, dévalant la ville et ses hauteur avant de se projeter au sol, guider par son instinct, le vent l'aidant naturellement. C'était la dernière fois qu'il l'avait ressentit. Il c'était réveiller après avoir courut des heures durants, au milieu de champs de blés fumants, sous un ciel gris, une pluie fines tombant sur lui, ses muscles étaient douloureux, ses cheveux humides, sa joues entailles, ses jambes couvertes de coupures et de bleus. Il c'était mit debout, cherchant un abri, essayant de remettre ses souvenirs en place, il avait finalement trouver une fermer ravager par les flammes, le reste calciné des murs fumants encore et au milieu, un étalon blanc. Il l'avait enjamber, s'accrochant à sa crinière, pleurant, voulant seulement fuir. Il ne savait pas comment il avait fait pour fuir, pour courir quand son cheval était tomber raide mort, comment avec ses jambes si lourdes il avait pus marcher, de jour comme de nuit, tombant sous l'épuisement, la fièvre le faisant entendre les voix de ses frères lui soufflant de continuer. Finalement il avait atteint une ville, avec une haute muraille, il c'était laisser tomber à genoux sur les pavés glacer en suppliant l'asile.

Kuroo était alors arriver sur son étalon ébène, dans la même vestes rouges à fourrure qu'enfant, aussi beau que dans ses souvenirs, aussi majestueux. Il l'avait regarder un instant, ses oreilles dresser depuis la hauteur de sa monture, puis il avait ouvert de grands yeux ambres avant de sauter pieds a terre, tombant près de lui, il lui avait tendu la main et Kozume se souvient de la chaleur de sa paume dans la sienne si petite en comparaison. Kuroo l'avait hisser sur ses jambes avant de le soulever comme les princes dans les contes pour enfants , il se souvient des battements de son coeur si apaisant, il se souvient de ses premiers pas dans ses bras, il se souvient qu'il c'était mit debout, avait fixer le ciel qui pleurait en se demandant si par miracle un jour il le verrait de nouveau bleu.

Les premiers jours il n'avait rien fait d'autres que de fixer le vide, incapable de se lever, de manger, de boire, de parler, il fixait le plafond bordeaux de sa chambre. Evidement, retrouver Yaku et d'autres elfes le remplissait de joie mais le vide était si grand que cela ressemblait à une goute d'eau dans le désert. Il était vider. De toutes émotions en dehors du désespoir. Mais Kuroo avait été là, il venait le voir, caressait doucement son dos, lui parlait lentement, il avait été le pilier auquel il c'était accrocher dans sa chute. Le bruns avait été merveilleux, il l'avait couvert de tendresse, d'attentions, supportant sa tristesse, ses larmes, ses angoisses, ses terreurs, ses regrets et ses moments de mélancolie ou il fixait le ciel. Et un jour Kuroo l'avait tirer sur le balcon, avait couvert ses yeux avant de les laisser voir le ciel, se ciel il s'en souvient encore, se bleu lui avait bruler les yeux tant il était brillant et colorée. Il avait ouvert la bouche en silence, regardant les oiseaux voler dans le ciel, il regarda les arbres verts, la piètre grise,  il se tournait vers lui, le regardant avant de pencher la tête et de sourire.

Le premier sourire qu'il lui offrit.

Ils c'étaient aimer plus que tout au monde, ils avaient passer des nuits entières ensembles, à se murmurer des mots d'amours, à souffler doucement à l'autre tout se qu'ils pourraient s'offrir, ils avaient passer des journées entières blottie l'un contre l'autre, des après-midi à parler blottie dans leurs canapés. Lui qui avait toujours penser que l'amour n'était pas fait pour lui, qui pensait devoir passer sa vie dans les bras d'un inconnue découvrait que l'amour sonnait parfois. Il avait tout aimer, ses blagues, ses questions, ses baisés, son souffle, le bruit de ses pas dans les couloirs, celui de son rire, le bruit de sa respiration, celui de ses gloussement, la voix grave qu'il avait quand il lui disait tout bas combien il l'aimait. Il avait aimer, fort, quelqu'un de merveilleux, quelqu'un qui l'avait regarder avec plus d'amour que n'importe qui avant lui, il avait aimer cet homme qui l'avait sauver, qui l'avait réparer avec la minutie des plus grands artisans, il lui avait créé un nouveau monde ou ils seraient deux. Il lui avait crée de nouveaux rêves, de nouvelles envies, une nouvelle vie dont l'apogée approchait, Kuroo lui avait donner tout se qu'il était, il lui avait offert son coeur en échange d'une promesse. Il avait réparer son coeur, combler les trous de son âme, il lui avait redonner le gout de la vie, lui avait donner une raison de se battre. Et il lui avait offert une famille, envers et contre tout, une famille à lui, une qu'il créeraient ensembles, sa petite fille en était la première pièce, elle était la plus belle chose qu'il n'est jamais vus.

Akiko avait été sa surprise, elle avait été son bébé miracle, lui qui doutait de pouvoir donner la vie un jour à un petit être avec sa santé, il se souvient de l'annonce à Tetsuro. Le bruns l'avait soulever dans ses bras, tournant emporter par un élan nouveau, souriant, il avait embrasser chaque partit de son visage avant de frotter leurs nez avec tendresse. Si lui avait eu peur, son époux avait remplis la palais de joie et d'attente, lui n'avait pas peur, n'avait pax craint de perdre l'enfant, non, car Kuroo croyait en lui plus que lui ne le pourrait jamais. Elle était arriver une nuit d'automne, il se souvient de son tout petit corps tremblant que l'on avait poser dans ses bras, un petit bébé fripé, rose avec un épais duvet bruns et de longues oreilles, elle était si petite dans ses bras, si fine, si fragile. Il avait pleurer, elle était là, dans ses bras, vivante, les yeux fermer, elle était là, sa toute petite fille, son adorée, sa princesse. Mais rien ne valait le regard de Kuroo quand il était venu s'assoir avec lui sur l'immense lit, quand il l'avait prit dans ses bras en tremblant de peur de la cassé, il avait pleurer en la serrant contre son coeur. Il l'avait appeler doucement. Akiko. Enfant de l'automne. Il l'avait regarder et Kozume avait sut que pour rien au monde il ne les échangerait, ils étaient merveilleux. Le plus beau des cadeau c'était elle, lui, eux. Puis sa petite fille avait grandit, elle avait commencer à regarder le monde de ses grands yeux dorés, il la voyait fixer la neige, elle cherchait parfois des yeux son père. Elle avait grandit son bébé, elle avait commencer à courir dans les couloirs, à jouer avec les oursons bruns du palais, à rire, à parler longtemps. Elle était si merveilleuse sa petite princesse, si belle, si formidable, il aurait voulu la voir grandir, sourire, il aurait voulus que lui et Kuroo la voit monter à cheval, à dos d'ours blanc, la voir apprendre à lire, à écrire, à chanter et jouer du piano ou elle accompagnait son père assises sur le petit fauteuil à côté. Il aurait aimer que Kuroo râle des prétendant qui viendraient, il aurait aimer la voir tomber amoureuse, trouver son âme soeur. Il pensa à se petit être qui ne connaîtrait jamais la couleur de leur ciel. Il avait tellement de regrets, tellement de peur, tellement de terreur.

Kozume regarda la visage déformer par le douleur de Kuroo, en sueur, le coeur sur le point de s'arrêter, le sang s'écoulant, la bouche sèche, les yeux vitreux, un voile les recouvrants. Il frotta son front contre sa joue, il le regarda, savait-il combien il pouvait l'aimer? Il souffla doucement, tremblant, ses mains devenaient de plus en plus faible.

-J'attends un bébé...il sentit à peine le sursaut de Kuroo, il secoua la tête, les larmes lui brulaient les joues. Il ne te connaitrait jamais, il ne saurait jamais combien tu étais...il reprit son souffle...combien tu étais merveilleux. Il ferma les yeux, arrêtant de le fixer, son souffle devant difficile, il allait mourir. Je t'aime, je t'aime tellement. Il haussa les épaules reniflant. Je t'aurais aimer même si mes frères avaient été en vie, je t'aime depuis que nous sommes enfants, depuis la première fois que j'ai vue...il gémit de douleur. Je t'aurais suivit au bout du monde...

-Je suis...il entendit sa voix hacher et sentit son coeur ralentir. Je t'aime...Kozume sursauta en se redressa le regardant les yeux fixant son visage, il le vit sourire alors que des larmes coulaient de ses yeux, il le regarda, ouvrant la bouche sans rien trouver à dire. Puis il sentit une main glacer sur sa joue, il le regarda. Je t'aimerais toujours...il l'entendit hoqueter...tu...il le vit souffler doucement, sa voix se brisant à la fin...tu étais ma...sa main tomba au sol...destinée...

Kozume sentit la main quitter sa joue, glissant, il l'entendit tomber au sol, l'anneau frappant la sol de marbre, il le regarda, ses yeux sans éclats fixant le vide, son visage échouer au sol, les larmes coulant encore de ses yeux ouverts. Alors il comprit dans un hurlement de douleur, Kuroo était mort, Kuroo était mort, là, devant lui, dans ses bras, sans qu'il ne puisse rien faire, sans qu'il ne puisse même alléger ses souffrances. Il était mort là, sur le sol d'un couloir de son palais d'enfance, de la demeure de son passé. Il hurla de douleur, son coeur était partit en fumé, il ne sentait même plus son corps, il avait l'impression que le monde venait de s'écrouler devant lui. Il gémit en le regardant.

Là au milieu du couloirs on pouvait voir l'ancien roi de Nekoma, allonger au sol dans une mare de sang écarlate, les yeux encore ouvert fixant le vide, à ses côté, genoux à terre, hurlant de douleur, agripper à son corps, son époux, le visage détruit. C'est se que les dieux virent avant qu'une intense lumières blanches apparaisse passant de glacer à brulante avant que tout ne disparaisse.

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