Chapitre 3
Bonjour tout le monde! J'ai enfin fini de corriger ( enfin essayer de corriger ) cette partie qui est je l'avoue très courtes mais aussi très complète. C'est un peu une transition pour poser les bases pour la suite de l'histoire. Je compte poster la suite très bientôt.
En espérant qu'elle vous plaise!
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Yaku sanglotait assis sur la chaise, incapable de prononcer un mot, incapable de faire taire ses sanglots qui déchiraient mélanger a ceux des autres le silence de l'infirmerie de fortune qui avait été monter. Le jeune homme essuyait ses larmes, il détestait être faible, il était loin d'être une petite chose fragile et délicate qu'il fallait protéger, il était un elfe, fils de guerrier et ancien garde royale, il était le conseiller de Nekoma. Le jeune homme n'avait pas eu la chance d'une vie facile, cela se voyait, assis sur sa chaise, une infirmière épongeant ses plaies sur ses épaules blanches, les nouvelles coupures dus à l'effondrement d'une tente se mêlaient aux anciennes.
Il avait grandit dans un orphelinat, son père était mort avant sa naissance et sa mère c'était remarier à un riche marchant, l'abandonnant seul dans la cité de marbre blanc, le laissant dépérir sur les marches du temple. Il avait grandit avec les sages et les gardiennes du temples, marchant pieds nue sur le sol de marbre, il se rappelait de l'odeur d'encens qui venait de la salle de prière, il se rappelait des rayons du soleil qui balayait le temple au petit matin. Il se souvenait en fermant les yeux de ses hommes en robe blanche qui marchait sans prononcer un mots dans les allées des jardins. Yaku Moritsuke avait toujours été un garçon petit et frêle pour son âge, les autres enfants se moquaient de sa petite taille pourtant il était aussi douer qu'eux pour les études et le combat, seul sa force physique différait. Il se souvenait encore quand à dix ans, cette homme était venu, il disait s'appeler Ashim, soldat de la garde royale, il le trouvait très grand, très intimident aussi avec sa barbe rousse et son casque en or, sa lance était plus grande que lui. Se jour là, pour la première fois en dix ans, il avait cet émerveillement dans ses yeux, lui qui était toujours silencieux, ne parlant jamais, lui qui se jouait jamais, ne courait pas, ne criait pas. Lui, l'enfant sans parents, le garçon trop petit, trop différent avait les yeux brillants alors que ses camarades reculaient effrayer par se géant qui venait d'arriver. Il se rappelait, les autres avaient peur, peur de cet homme imposant, peur de son arme brillante au soleil, peur de son armure doré et bleus nuit, peur de se cheval ébène qui l'accompagnait et qui frappait ses sabots sur le sol du temple. Mais pas lui, il c'était approcher alors que les sages essayaient de calmer les autres enfants, il était aller jusqu'a frôler l'animal, le regardant avec des yeux impressionner, tant de vigueur, de puissance dans un simple animal. L'homme l'avait regarder et l'avait pointer de sa lance, la plaçant sous son menton, il ressentait encore le métal glacer sur sa gorge, il n'avait pas reculer, même pas trembler, il n'avait pas peur, si l'homme avait voulu le tuer il l'aurait déjà fait depuis longtemps. L'homme avait alors sourit et lui avait demander son nom. Yaku l'avait fixer avant de répondre, quelque chose lui disait que c'était important, très important, mais il avait fini par le lui dire, haut et fort, puis son âge.
L'homme avait sourit et l'avait regarder toute la journée, aussi bien durant ses heures d'études que lorsqu'il s'entrainait seul à l'arc et à la lance dans le jardin, il faisait très chaud, le soleil était haut et bouillant, le marbre était tiède, les autres avaient renoncer. Mais pas lui, il avait comprit depuis longtemps qu'il lui faudrait faire le double des efforts des autres pour être aussi bon, alors il en faisait le triple, il voulait être meilleur, il voulait leur prouver qu'être petit ne changeait rien, il serait plus puissant qu'eux. Yaku n'était pas le genre d'enfant qui prenait peur devant l'adversité, c'était même l'inverse, il courait vers les montagnes, escaladait les difficultés. L'homme l'avait observer jusqu'a la tomber de la nuit puis lui avait demander s'il voulait se marié et fonder une famille, il avait répondue non, l'homme avait sourit. Huit jours plus tard, il entrait à l'école de la garnison, pour devenir soldat de la garde royale, l'élite de la nation.
Il se souvenait des entrainements, il se souvient des nuits blanches à lire et relire ses livres de cours, ses heures passer à apprendre, il se souvenait avoir fini par vomir certains jours quand il courait trop, avoir cracher du sang quand son corps n'en pouvait plus. Il se souvenait que les autres avaient peur de lui, il était le plus petit et le plus jeune de la classe, les autres ne l'approchait pas et pourtant, la solitude en lui pesait pas plus que ça. Il lui suffisait de regarder le ciel, si bleu, si grand, si vaste, il se sentait alors entourer de millions de personnes. Puis vient ses seize ans, son passage à l'âge adulte, il n'avait pas été émue, il n'avait pas crier ou pleurer, rien, pas un mots, c'était un passage obliger alors très bien, il le ferait mais contre son gré. Il se souvenait quand les gardes l'avaient récupérer, ils avaient peur que sa n'aille plus mais il n'avait fait que devenir plus fort. Puis son entrée à la garde et finalement sa rencontre avec la famille royale, il se rappelait qu'il n'avait pas comprit en les voyants, ils étaient tous beaux, brillants et semblaient baigner dans une douce innocence, il les avaient vue virevolter dans les couloirs, afficher un rayonnant sourire, il les avait entendue chanter et rire toute la journée. Et lui qui n'avait jamais eu de famille avait trouver celle si tellement belle, unie et forte, alors il avait décider de leurs dédier son insignifiante existence. Yaku se rappelait quand ils devaient les accompagner jusqu'au lac ou dans les plaines, il les voyaient tresser des couronnes de fleures, il se rappelait d'un jour ou Oikawa était venu les voir alors qu'ils les observaient depuis l'ombre d'un arbre, il leur avait demander de venir s'entrainer avec eux. Ses compagnons l'avait pousser lui, le prince avait rie et le disant un peu petit pour être si redoutable. Yaku avait simplement prit sa lance, avait retirer son plastron et ses bottes de fers, perdant quelques centimètres de plus, sourit et prit place en plein soleil. Il se rappelait que le prince était douer, talentueux même, il maniait sa lance avec force et finesse, silencieusement mais voilà, Yaku la maniait depuis plus longtemps encore et il l'avait bloquer en deux prises, le laissant allonger eu sol, sa lance sous la gorge du châtain, celle du prince dans la main. Mais Tooru Oikawa n'était pas du genre à savourer la défaite, il c'était relever et dans son sourire il lisait toute la flamme guerrière du monde. Il en avait redemander et les autres princes s'y étaient mis aussi, il y avait passer la journée, les voyants rires et se moquer gentiment les un des autres, puis finalement Hinata était aller trouver un des deux frères qui voilée était assis à l'ombre, le plus petit, le tirant par la main. Kozume Kenma. Quatrième fils. Promis au mariage. Yaku lui avait envoyer une lance que le plus jeune avait attraper avec facilitée, le prince avait retirer sa robe, se retrouvant en chasuble courte et nouer à la taille par une ficelle de cuire, il avait retirer son voile, les gardes pouvaient les voir lui et son frères sans leurs voiles. Yaku l'avais vue s'encrer dans le sol, sa lance vers le sol. Les frères étaient assis, regardant amuser le spectacle, le plus petit ne c'était pas méfier, tentes minutes plus tard, il mordait la poussière.
C'était la dernière journée qu'il avait passer avec les princes, à les voir rires et chanter, souriant, ensembles. Le lendemain leurs frères ainée atteignait son seizième printemps comme lui quelques mois plutôt. Il voyait soudainement le palais plein de vie sombrer dans le silence, les rires s'estomper et les chansons s'envoler dans le vent. Yaku s'en rappelait encore parfaitement. La bataille, le sang, les corps, les flammes et finalement sa fuite aves les gens du palais, escortant comme étaient les ordres de ses supérieurs. Il avait fait son devoir mais en arrivant à Nekoma, blesser, le tors ouvert, affamée et dévasté il n'avait trouver aucun réconfort car il était hanté par les souvenirs de ses princes qu'il avait tant aimer.
Il sanglotait un peu plus fort alors qu'on lui pansait l'épaule droite, il n'avait presque rien eu, un miracle en sommes, ses blessures étaient petites et peu nombreuses. La jeune femme s'abaissait et lui tendait une chasuble bordeaux qu'il enfilait doucement, la remerciant avant qu'elle ne parte vers un autre, il regardait ses mains, tremblant, ses larmes devenait plus fort et il posait une main sur son ventre. Vide. Son bébé, son bébé, il pleurait plus fort en sentant le vide d'un poids en moins. Il l'avait perdu, il avait perdu son enfant dans la bataille, une poutre qu'il n'avait pas sue éviter, il en était à plus de trois mois de grossesse, il avait eu tellement de mal à tomber enceint et le voila vide. Il caressait son ventre, espérant sentir un petit poids en lui, même un vague nauséeuse habituel, mais les sages avaient été unanime, l'enfant était mort broyer et depuis son propre corps avait rejeter la poche d'eau contenant qu'une forme sanguine. Son enfant, son bébé. On n'imaginait pas sa douleur, son effroi en l'apprenant, il avait perdu la petite vie qui se développait en lui, c'était une partie de lui qui était morte à se moment là. Il en pleurait encore, il ne s'y faisait pas, comment pouvait-il vivre en le sachant, comment allait-il l'annoncer à Lev? Qu'il avait perdu leurs enfants. Ses pleurs se firent plus forts, son amant avait disparut dans la nuit, il l'avait perdu de vue et depuis il ne l'avait pas retrouver.
Le campement avait été en majorité détruit il y a trois jours de cela, les rares tentes qu'ils avaient pus reconstruire servaient d'infirmerie et les gens s'y regroupaient, dehors c'était en perpétuel mouvement, il fallait tout réorganiser et on ne retrouvait pas toujours ses proches. Ils étaient plus de milles soldats dans un champ de ruine, c'était comme chercher une feuille verte dans la foret d'automne. Presque impossible. Et il n'en avait même pas la force, il ne dormait plus, vomissait en continue, tremblait et pleurait, incapable de contenir sa douleur lancinante qui le prenait dés qu'il touchait son ventre plat. Pourtant il revoyait son amant quand il avait saisit son épée, l'avait embrasser avant de le pousser vers la tente des princes ou Kenma était avec ses frères. Yaku le revoyait courir, dos à lui, fondre vers la tornade de flammes bleu qui avait inonder le ciel. Mais il n'avait plus de force. De plus il se devait de veiller sur Kenma, le jeune homme avait perdu connaissance pendant la bataille, son corps avait été saisit par une fièvre forte et il s'en remettait difficilement, surtout que ni Akiko, ni leur roi n'avait été retrouver pour le moment. Il revoyait le corps de Kozume se figer et tomber dans ses bras, les yeux inonder de larmes de fièvre. Il se cachait le visage dans ses mains. Kuroo avait disparut un peu avant l'apparition des flammes et son esprit lui disait que c'était mauvais signe, peut-être était-il mort, peut-être même que personne ne trouverait de corps à honorer. Il regardait Kenma, allonger sur le lit, ses cheveux lâcher, sa peau pale et ses joues creuser, si jamais le roi était mort alors il lui faudrait monter sur le trône et prendre le contrôle du royaume. Si jamais Tetsuro était mort, alors il faudrait que Kenma se remarie dans l'année pour leurs donner un héritier masculin. Il regardait son souverains. Au fond, Yaku le savait, Kozume ne survivrait pas à la perte de son époux et de sa fille. Et la princesse avait disparut soudainement dans la cavalcade, évidement Yamamoto avait plonger dedans pour la rattraper mais aucun des deux n'avaient réapparut. Il fermait les yeux et comme tout les jours priait pour un miracle, pour que son fiancé vienne le chercher, que quelqu'un vienne les chercher, que Kuroo soit encore là, qu'Akiko vienne rire dans ses oreilles. Il levait ses yeux vers les autres blessés et les fermait.
Un peu plus loin, Keiji pleurait, assis sur une chaise, il voyait ses épaules secouer de sanglots alors que le corps allonger sur le lit restait immobile, Koutaro Bokuto, roi de Fukurodani était allonger, le front bander, le visage paisible, il regardait son tors entièrement recouverte de bandage et de pansement, il glissait vers son bras gauche. Son avant bras avait été déchirer par les démons alors qu'il les avait affronter pour les sauver et maintenant, il était entre la vie et la mort, incapable de se réveiller et aucun mage ne pouvait l'aider. Enfin si, il y en aurait bien eu un qui aurait pus le sauver, Satori Tendou, il aurait certainement pus le sauver si lui même n'était pas alité dans le lit en face. Yaku le regardait, le garçon était maigre et élancer, des cheveux rouge flamboyant dansant sur son front, son ventre bander. Il avait été transpercer par une épée et les mages avaient dus le refermer, sauf que depuis comme Bokuto, il dormait, entre vie et mort. Comme des cadavres encore chauds. Il regardait l'homme qui assis sur la chaise à côté du lit, tenait la main du blesser, le roi Ushijima n'avait pas quitter son amant depuis qu'il avait été transporter ici. Le vert semblait insensible et fermer, au premier contacte on pouvait le trouver froid et renfermer, incapable d'aimer et pourtant en plus de cernes d'épuisement de ses joues creuse, le roi avait aussi les yeux rouges d'avoir trop pleurée.
Yaku l'avait vus se précipiter sur son amant, le prendre dans ses bras, l'appeler, le supplier de ne pas l'abandonner, de ne pas le laisser ici, il l'avait vue le tenir plus fort, caresser ses cheveux. Il l'avait entendue hurler, il l'avait entendue refuser de le lâcher, pleurant dans sa nuque. Le grand roi du Sud, le souverains dit impassible avait sans nul doute, plus pleurer et supplier que beaucoup, Yaku l'avait vue détruit quand les sages lui avait dit que Satori pouvait mourir à tout moments. Depuis il n'avait pas dormit et il priait. Le plus petit se sentait une envie de vomir puissante et posait sa main sur sa bouche avant que quelqu'un ne lui tendent un saut, il regardait la main blanche sur son épaule.
Eita Semi; conseiller de Shiratorizawa lui tendait un saut en métal avec un sourire compatissant, Yaku le remerciait d'un regard avant de régurgitée de la bille, il n'avait pas manger depuis trois jours et son estomac le brulait. Il regardait le gris, son oeil était bander et dans sa chemise blanche tacher de sang il ne ressemblait pas vraiment à un haut dignitaire. Remarque il n'osait pas imaginer se que à quoi lui même ressemblait. Il y eu en pleure et il tourna vers le jeune homme blond foncé, Shirabu berçait un tout petit bébé dans ses bras, ses yeux pleurant, sa jambes bandée, Yaku se sentit soudain encore plus mal, cet enfant était tout se que Satori avait pus sauver avant d'explosion. Un bébé, un bébé rose, qui avait grandit par magie, qui c'était développer plus vite, en quelques minutes alors que le rouge combattait et qui finalement avait survécu avec la protection du sorcier. L'enfant était un garçon, Yoichi Ushijima, prince héritier, un bébé aux yeux verts, signe distinctifs des Ushijima, il n'avait qu'un fin duvet prune pour le moment. Et une peau blanche comme la neige. Son père ne l'avait pas encore prit dans ses bras incapable de le regarder et Yaku comprenait, c'était son fils, mais aussi celui de l'homme qui pouvait le quitter à tout moment. Il fixait le bébé, il pleurait, la douleur ne partait pas, il se sentait lourd et vide, tellement vide. Comme si son coeur avait été arracher de sa poitrine quand la poutre l'avait écraser. Puis soudainement une personne entrait en courant, ses cheveux étaient en batailles, son pantalon couleur terre était tombant sur se hanche et sa chemise débrayer, tacher de sang pourtant Yaku gémissait en le voyant.
Il se redressait et se levait doucement et alors il voyait les yeux verts de Lev s'agrandirent et briller alors qu'il s'avançait vers lui, Yaku tendait les bras le suppliant de le serrer contre son tors. Au moment même ou son amant le serrait contre lui, cachant son visage dans son tors, deux grands bras musclée entourants sa taille, ses épaules, une main perdu dans ses mèches blondes, une autre appuyant sur son dos, il fondait en larmes de douleurs et de soulagement alors que le gris embrassait son front. Il sentait ses lèvres chaudes contre sa peau, puis contre sa nuque, son épaules et finalement contre son nez. Il pleurait, non, jamais il pourrait s'en remettre, puis Lev le serrait contre lui plus fort.
-Je suis au courant...je l'ai sentis...on à perdu le bébé. Yaku explosait en sanglots amer alors qu'il voyait Keiji se tourner vers eux, il n'avait prévenue personne en dehors de Kenma de sa grossesse et encore moins de la perte de son enfant. Il n'y était pas arriver, en parler ranimait la brulure cuisante qui lui broyait le coeur. Lev le serrait plus fort encore et Yalu respirait son odeur, sucré et salé en même temps, une odeur qu'il avait toujours aimer, il sentait une larme rouler contre son crâne, son amant pleurait. Il l'entendait sangloter. Je suis tellement désoler mon amour, j'aurais dus être là...Yaku s'accrochait à lui, et lui il aurait dut pouvoir protéger son enfant. J'aurais dus te protéger...je suis désoler Moritsuke...il l'entendait craquer, lui aussi avait mal, tellement mal. Pardonne moi, je t'en supplie. Il secouait la tête, il n'en voulait pas à son amant pour la perte de l'enfant, seulement à lui.
-Je...j'ai rien pus faire...il sanglotait. Je l'ai perdu! J'ai perdu mon bébé...Lev caressait doucement son dos et Yaku hoquetait. Je...il relevait la tête, ses yeux rouge remplis de larmes plongeants dans ceux émeraudes de son fiancer, il les avait larmoyants aussi. J-je...je me sens vide...Lev ouvrait de grands yeux avant de s'abaisser et de venir l'embrasser, il s'accrochait à sa chemise, le plus fort possible, jamais il n'avait eu autant besoin de son fiancer que maintenant, jamais il ne l'avait aimer à se point, alors il l'embrassait. Pour se prouver qu'ils étaient toujours là, ensembles, qu'ils s'aimaient et qu'il avait encore quelqu'un. Lev se décollait et vient frotter leurs joues dans un élans de tendresse, une tendresse encore plus forte qu'avant, une tendresse qui le suppliait de ne pas abandonner.
-Je suis la...je suis avec toi. Il lui saisissait la hanche, la caressant doucement, il appuyait sa joue sur son crâne, doucement, caressant son dos. Je t'aime, je t'aime tellement Moritsuke...il hochait la tête, il était épuiser, mais il était avec lui alors à travers ses larmes il avait eu un sourire tremblant. On va y arriver...il l'entendait murmurer. On y arrivera je te le promets, on va surmonter ça...il caressait son ventre maintenant plat et le regardait. J'ai eu tellement peur de t'avoir perdu aussi...et il explosait en larmes de douleur et de soulagement.
Yaku se souvenait de se que l'homme lui avait demander, s'il voulait se marié et fonder une famille, s'il avait des envie de foyer, à l'époque, douze ans plutôt il avait répondu non sans aucune hésitations. Sans aucun doute. Il ne regrettait pas ses paroles mais en sentant Lev l'embrasser désespérément il pensait que maintenant c'était bien différent, maintenant il avait des envies de vies tranquilles, d'une maison à eux, de se marié et de fonder une famille, d'avoir des enfants. Il avait envie de pouvoir voir le soleil se lever sans avoir peur de le perdre, il avait envie de quelque chose qui l'étouffait. Il voulait une vie paisible. Il sentait Haiba hoqueter contre ses lèvres et le serrait plus fort. Il relâchait ses lèvres et le regardait très sérieusement, il avait peur, il avait mal alors il le fixait, se disant combien il le trouvait terriblement beau avec ses grands yeux brillants comme une forets infinie, comme les pleines aux pieds des montagnes, avec ses cheveux gris comme des perles, sa peau blanche et son visage fin, combien il pouvait aimer se corps, grand, fin, agile et élancer. Combien malgré le fait que se soit sans nul doute encore un jeune homme maladroit et en trop sensibles il ne pouvait que l'aimer un peu plus à chaque secondes qui passait. Combien il l'avait toujours aimer, depuis le premier jours. Et surtout combien il l'aimerait encore un peu plus demain et après demain.
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Keiji était sortit quelques instants, juste le temps de respirer pendant qu'une infirmière refaisait les bandages de son amour. Il ne pouvait pas regarder toutes ses blessures, tout se sang, ça lui donnait la nausée. Le ciel était parsemer d'étoile, il ferma les yeux, il avait froid, un froid qui n'avait rien à voir avec la température extérieur pourtant fraiche. Il avait froid de la chaleur de son amant, de ses bras, de son souffle, froid de Koutaro et c'était aussi inimaginable que logique, jamais en six ans, ils n'avaient été longtemps séparer et cela faisait vraiment étrange de le vivre. Il lui manquait tellement, le son de sa voix lui manquait, la douceur de ses caresse, sa rassurante énergie, son éblouissante rage de vivre aurait fait tellement de bien maintenant. Il y à six ans quand il l'avait connue, vraiment connue, quand ils c'étaient embrasser le première fois, quand Koutaro l'avait aimer, il avait découvert que son amant était aussi chaud qu'un feux d'hiver. Une chaleur surprenante, une chaleur qui l'enveloppait, il serrait ses bras. Et maintenant il avait seulement froid dans la nuit noir et glacer.
Lords de l'attaque il avait eu tellement peur, peur de perdre ses frères tout juste retrouver, ses amis, Bokuto, puis lorsqu'il l'avait vue se transformer il l'avait trouver beau, un instant il lui avait rappelé avec ses ailes blanches les peintures qui ornaient les murs des tombeaux de sa ville natale. Il avait eu peur de lui aussi, il avait crue que ses yeux jaunes de les reconnaissaient plus mais il l'avait fixer, avait toucher sa joue, sa peau toujours aussi brulante. Il se rappelait de ses formes ailées dans le ciel noir, de ses gerbes de flammes, de la puissance de son amant alors que comme un éclaire il perçait le ciel d'un jaune si vif. Il l'avait vue si haut, si puissant et avait alors reconnue celui qui avait abattue l'armée à quinze devant les portes de sa citée.
Puis tout avait exploser et il se rappelait du crie de Shouyou alors que le nuage se reposait, de ses yeux qui se posent sur les formes inertes au sol et finalement d'une chute dans les ténèbres, incapable de se rattraper, tombant simplement sans rien contrôler, ignorant la douleur qui lui mangeait la côté droite et son effroi. Son coeur avait arrêter de battre, puis avait redémarrer brusquement et l'avait pousser à courir le plus vite possible, touchant à peine le sol. Seul le corps meurtrit de son amant dans ses bras lui importait. Il avait eu tellement peur, il l'avait appeler, supplier d'ouvrir les yeux, de lui dire quelques choses même une de ses idioties sur les oiseaux ou une question bête. Il avait hurler d'horreur, de douleur en sentant à peine son coeur. Il voulait seulement voir ses yeux jaune et entre sa voix lui parler et non cette flaque de sang qui s'étendait à ses pieds, il était à genoux contre la terre, tenant le corps glacer de son amant contre son coeur. Il avait fallut toute la tendresse Koshi pour le faire lacher sa prise sur son amant et ses sanglots n'avaient pas prit fin pour autant. Il rouvrait les yeux et contemplait le ciel, il regardait les étoiles petites taches de lumières dans des ténèbres opaques. Il avait eu un gémissement, il avait tellement peur de le perdre, il donnerait tout pour ne pouvoir que lui parler encore une fois, il voulait qu'il se réveille, qu'ils puissent de nouveau être ensembles, s'aimer, être tout les deux. Il regardait le ciel.
-Rendez le moi je vous en supplies...il fixait le royaume des dieux avec dévotion. Rendez moi Bokuto...il pleurait. Je serrais là, je le promets je serrais avec lui, pour son bras, pour tout...il caressait ses bras nues en repensant au sourire éblouissant de son amant. Rendez le moi...par pitié...ne me laissez pas ici sans lui...il pleurait maintenant.
Car un monde sans son amant n'a aucune saveur, aucune lumière, rien. Il ne pourrait pas relever ses frères, aider et combattre contre sa terre natale sans lui, il ne pouvait pas survivre sans lui. Avec Bokuto il pouvait tout faire, soulever des montagnes, combattre n'importe quel ennemie, il pouvait tout faire tant que son aimé était avec lui, terrasser des monstres des mers, terrasser des démons. Il pourrait tout faire. Il serrait les dents, il lui avait promit d'être toujours avec lui, pour l'aider, l'aimer, le protéger et le soutenir alors il fallait qu'il revienne, il fallait qu'il soit encore son monde pour toujours. Ils étaient une équipe, un duo et ensembles ils étaient plus fort que le monde, mais sans lui, sans son ange, sans sa lumière dans la brume qu'était sa vie, il n'était plus rien. Sans lui, il s'effondrerait comme six ans plutôt et cette fois personne ne le redresserait jamais...car personne ne pourrait jamais combler le vide que Koutaro Bokuto laisserait dans son coeur et sa vie si jamais il venait à disparaitre.
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Le ciel était gris, froid, les nuages sombres et menaçants d'un terrible orage, un de ceux qui secouait les murs du palais. Un de ses orages qui lui faisait si peur petit, un de ceux qui l'avait enlever à eux des années plutôt. Son coeur se serra douloureusement alors qu'une fine pluie tombait du ciel comme si même les dieux pleuraient aujourd'hui.
Hinata fermait les yeux, des larmes silencieuses coulaient le long de ses joues, le vent le frappait mais il ne bougeait pas, la pleine était silencieuse, seul les sanglots occupait l'espace. Il serrait sa cape noir contre son corps, il avait froid, un froid morbide vus devant ou il se trouvait, devant lui, des pierres blanches étaient aligner, des monuments pour leurs morts, il regardait son voisin et fus anéantit en constatant l'état déplorable de son frère. Kozume sanglotait dans les bras de Koshi qui essayait de calmer ses pleures, essayait d'arrêter ses sanglots qui brisait le silence, le jeune homme avait pourtant revêtue un somptueuse tenue noir, une longue robe noir, les épaules en fourrure et une longue cape l'enveloppait, ses cheveux avaient été soigneusement coiffées vers le haut, des perles y était glisser et il portait des gants en cuire argentées, une sur-robe presque transparente surplombait une tunique en sois bordeaux. Il se tenait droit mais son visage était dévaster par les larmes et sa bouche tordue dans des sanglots. Hinata se rapprochait de lui doucement, il avait tellement de peine pour lui, tellement de douleurs qu'il pouvait à peine imaginer. À ses côté, Yamamoto tenait dans ses bras la jeune princesse, la petite avait les cheveux de son père d'un noir onyx, ils étaient regrouper en épais chignons tresser et également orner de perles et de goute d'argent dans une tiare délicate, ses longues oreilles étaient bien visible et sa robe en dentelles noir et broderie fine étaient presque trop longue, sa peau blanche ressortait et ses yeux doré en étaient que plus visibles. Elle pleurait, agripper au coup de son garde du corps qui en armure rouge et argent, tenue officiel des soldats de Nekoma serrait les dents. Le plus petit regardait Daichi, debout sur l'estrade, rendant une dernière hommage muet aux morts, Shouyou pensait qu'il n'aurait pas aimer devoir le faire, il regardait Kageyama à sa droite, ses cheveux bruns était soigneusement coiffée et il était dans la tenue officiel des archers, une longues cape noir en plus. Il aurait aimer le trouver beau, lui trouver de l'allure dans cette tenue mais cela le dégoutait presque de le revoir dedans, pourtant il lui attrapait la main, il avait tellement besoin de lui. Le bruns lui jetait un doux regard et pressait sa paume dans la sienne tendrement, oui lui, il était toujours là et Shouyou en fus dévaster.
Il regardait derrière lui et vit les gens pleurer, des femmes appelaient leurs époux morts, il voyait des jeunes hommes et femmes pleurer leurs pères et mères morts au combats, une petite fille était accrocher à son père, pleurant. Il croisait le regarde de Tanaka, debout dans son armure noir, sa cape sur les épaules, l'homme était imposant et il se disait qu'il n'aurait pas aimer être à sa place non plus. Le soldat avait l'air si intouchable, si sur de lui, si fort pourtant Shouyou savait que à l'intérieur il n'y avait rien d'autre que de la souffrance surtout aujourd'hui, car ses tombes ressemblaient aux leurs. Il fixait le brun, son roi debout sur l'estrade dans une tenue de cérémonie, en armure richement décorer, sa couronne en or sur la tête, une chaine doré pendant à son coups, à ses côté Kai, générale de Nekoma se tenait, un coussin écarlate dans les mains, dessus une couronne argenter reposait sous forme de diadème délicat, elle avait été confectionner dans le plus secret par des artisans pour Kozume.
Son frère allait devenir roi, roi de Nekoma, son époux avait été déclarer mort depuis deux semaines. Tetsuro Kuroo avait été tuer par les démons avant même le début de l'attaque, des gardes confirmait l'avoir vue rentrée dans sa tente se soir là et personne ne l'avait vue en sortir après. Aucun corps n'avait été retrouver et pourtant on l'avait chercher se corps mais il fallait se rendre à l'évidence, Kuroo avait certainement été détruit dans l'explosion, personne ne savait réellement se qu'il c'était passer et même en imaginant que les démons l'avaient capturer rien ne dit qu'ils aient eux même survécu et qu'ils le garderont en vie assez longtemps. Le conseil avait donc décider de placer son frère sur trône, Kenma avait refuser net, tant qu'il n'aurait pas un corps devant les yeux alors jamais il n'accepterait que son époux est pus mourir ainsi.Il c'était débattue, avait hurler, crier, alertant les gardes de Nekoma. Shouyou avait eu mal, son frère était plus sur de lui, tellement plus confiant qu'avant, il avait trouver sa place et elle volait en éclats devant eux. Koshi et Keiji avaient dus faire pression pour qu'il accepte, contraint et forcer de monter de diriger le trône de Nekoma mais finalement se fus Yaku qui le convint. Il revoyait le garde en armure rouge et noir, se tenir devant lui, pleurant presque, lui hurlant que lui aussi Kuroo lui manquait, que lui aussi avait mal, que lui aussi il avait peur mais que c'était son rôle. Il devait également trouver un époux dans l'année à venir pour pouvoir donner un héritier masculin à trône, Kenma avait refuser en fondant en larmes. C'était trop. Comment pouvait-on demander à son frère, si fragile, qui venait de perdre son époux et seul amour de reprendre un époux dans l'année et de donner un enfant? Shouyou trouvait cela inimaginable, lui il venait de commencer quelque chose avec Kageyama et pourtant il savait que personne ne pourrait jamais le remplacer et qu'il en resterait toujours amoureux alors comment voulait-on que son frère qui avait passer presque sept ans à l'aimer change comme cela? Il regarda Daichi s'avancer et lever la main, lui serrait celle de son amant plus fort.
-Aujourd'hui est un jour noir dans l'histoire de cette terre mais nous nous relèverons encore plus fort. Il s'arrêtait. Cette peine ne doit pas nous arrêtez, nous devons nous relever pour eux et gagner pour les venger. Une pluie d'acclamations retentissait et le roi redemandait le calme, serrant les dents. Fort heureusement rien n'est encore perdu, nous avons aussi d'heureux événements à célébrer. Il essayait de sourire encourageant. Le roi de Shiratorizawa à eu un héritier. Et... Il tendait la main vers Kozume qui tremblant l'attrapait, se mordant la lèvre. Aujourd'hui, le prince Kozume, fils du roi All'Rus, époux du roi Kuroo, souverains de Nekoma prendra la place de son défunt époux comme seul et unique roi de Nekoma.
Kozume debout à côté de Daichi voyait Kai s'approcher, il avait envie d'hurler, de refuser, de dire qu'il ne voulait pas être roi, pas même être en vie si Kuroo n'y était pas. Il voulait courir loin, emportant son coeur loin, son enfant fus poser près de lui, elle lui attrapait sa jupe. Sa fille à ses côté il sentait la couronne argenter être poser sur sa tête alors qu'il fermait les yeux, quelque chose venait de se briser en lui alors qu'il sentait le métaux froid et léger sur lui, son époux savait qu'il n'aimait les bijoux et encore moins les grosses pièces encombrantes et lourdes. Il se retint de pleuré de nouveau alors que Yaku approchait, dans son armure rouge et argent, Kozume ouvrit des yeux horrifier en reconnaissant l'arme qu'il avait dans les mains. Il voulait mourir, il voulait que quelqu'un le sauve, il reculait maintenant, terroriser.
Shouyou regardait la lance avec admiration, c'était une pièce sublime, à double pointes, en argent, le manche était au centre recouvert d'un morceaux de cuire pour une meilleur prise en main, il voyait un travail d'orfèvre, son frère la saisit tremblant et Hinata devina que cette arme avait une saveur particulière. Elle avait l'air si précieuse pour lui. Son frère caressait le manche doucement, avant de soudainement exploser en larmes. Il manquait se s'écrouler, sa fille pleurant aussi, sans comprendre se qu'il se passait il voyait sa nièce terrifier alors que son père gémissait silencieusement en serrant la lance contre lui. Sur le manche, Kozume venait de reconnaître l'écriture fine et penchée de son époux, dans des runes ancienne, une simple phrases. Une qui lui brisait le coeur tant il avait mal.
« Qu'elle puisse protéger les vies qui te sont cher et servir ton coeur avec force »
Sauf que la vie qu'il voulait protéger lui avait été arracher, sauf que cette lance appartenait à un autre, à celui qu'il avait chérie tant de temps, à celui dont il entendait la voix. Hinata entendait alors Yaku frapper son épée au sol et le regarder, c'était un homme plutôt petit assez mince aux cours cheveux blond et aux yeux noisettes qui brillaient de sagesse, il était un elfe, garde son père, il se souvenait de lui dans on armure bleu et or. Il se souvenait de la rage de vaincre dans ses yeux, de sa posture, de son charisme. Si loin de l'homme fragile et maigre qui avait les yeux briser face à lui. Petit il avait souvent vus ses gardes les accompagner et parfois jouer avec eux, ils étaient les rares amis qu'il n'est jamais eu avant d'arriver à Karasuno, il n'avait pas eu se luxe. Yaku levait le bras et il entendait un bruit sourd, Shouyou se retournait et fus impressionné. Derrière lui, tout l'armée de Nekoma avait poser un genoux au sol, tête tourner vers leur nouveau roi, épée devant eux, mains sur le coeur en signe d'allégeance éternel. C'était la posture d'une armée en deuil, celle de centaines de soldats qui feraient n'importe quoi pour les deux personnes sur l'estrade.
-Nous sommes le sang qui s'écoule sans encombre dans les vennes pour que le cerveaux puisse bien fonctionner! Les hommes venaient de citer la devise de Nekoma comme un seul, hurlant presque, Hinata fermait les yeux en entendant la suite. Nous jurons sur nos vies et celles de nos enfants de protéger éternellement notre roi et notre pays! Yaku fermait le point et ensembles il hurlèrent. Pour le roi! Pour la princesse! Pour Nekoma!!!
Et alors que les cries s'enchainaient, alors que les mots résonnaient en lui comme une vague et qu'il était frapper par cette impression de puissance que dégageaient ses hommes, Kozume debout sur l'estrade posait une main tremblante sur son ventre avant d'ouvrir ses yeux doré et alors il la remarquait. Cette lueur briser au fond de ses yeux, semblable à celle qu'avait un jour aborder un autre de ses frère, oui, debout sur l'estrades, en tenue de cérémonie, une lance à la main, jamais Kozume ne lui avait autant rappelé Oikawa.
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