Chapitre 2


Que dire? Je ne sais pas pourquoi j'écris cette histoire, en vrai, mais je l'aime un peu plus à chaque fois que je l'écris. Et vous alors? Votre couples préférer c'est qui? Pour moi ça dois être Kenma et Kuroo, j'adore se petit couple que je trouve particulière beau.

Si jamais vous voyez des fautes dites le moi, j'ai vraiment beaucoup de mal avec l'orthographe et la conjugaison ( hélas j'aime aussi écrire ), je corrigerais comme cela.






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Le paysage était verdoyant mais l'air était froids et le ciel d'un gris perle lui rappelait les pierres de la muraille de sa ville. Cela sentait un mélange d'herbe humide et un parfums plus frais, une odeur qu'il n'avait plus sentit depuis des années. Celle d'arbre en fleures et des montagnes. Il ouvrit les yeux, le convoie c'était soudainement arrêter, il regarda à travers la fenêtre, au loin les montagnes blanches et grises s'élevaient plus haut encore que le tapis de nuages. Son ventre se noua soudainement alors que les souvenirs revenaient encore plus fort, en vague sombres, essayant de le noyer dedans. Il souffla, aujourd'hui, il était ici en tant qu'époux d'un roi et cela était tellement étrange à dire.

Kozume portait une longue robe bordeaux, elle était souple et légère, Tetsuro savait qu'il n'aimait pas leurs vêtements trop épais et rugueux pour lui. Il avait dus enfiler des bottines de cuites souples, une sur-robe en sois du même rouge que sa robe à manches amples, sous son épais manteau de fourrure brune et sa capuches brune. Ses cheveux avaient été soigneusement coiffées vers l'arrière et ils portaient ses boucles d'oreilles en or. Coiffure digne d'un roi s'il on oubliait que certaines mèches c'étaient déjà échapper. Tellement loin de ses courte chasuble claire et de ses sandales, tellement loin de ses cheveux libres sur ses épaules, tellement loin du souvenir de son enfance. Maintenant il était dans une calèche de bois sombres et pourpre, Kuroo avait refuser qu'il monte sur un cheval ou un ours pour autant d'heure de voyage et leur princesse ne pouvait pas monter. Son époux marchait sur sa monture à côté de lui, Lev derrière et Yaku sur sa droite, évidement encore une fois, tout pour assurer sa protection. Tel un bijoux dans une cloche en verre. Il caressait les mèches brunes de sa petite fille avec tendresse, somnolente elle regardait dehors. Akiko était sa merveille, elle était son plus beau cadeau, son plus beau trésor, la chose qui lui était le plus précieux dans se monde. Parfois il se souvenait de sa petite sœur, de sa petite princesse et de tout ses sourires, de ses matins pluvieux où elle lui coiffait les cheveux. Parfois il revoyait son visage rond et ses boucles rousses, parfois en voyant sa fille grandir et devenir aussi belle il se demandait à quoi aurait ressembler sa sœur. Parfois il aurait aimer la voir grandir et d'autre donnerait tout pour qu'elle connaisse Akiko. Il tournait la tête, les tentes blanches s'élevaient dans le ciel, ils étaient arriver il y a déjà quelque instants mais le convoie ne c'était pas encore arrêté.

Kuroo lui avait demander d'attendre que leurs tentes sois monter avant de sortir, pas la peine de s'épuiser dehors pour rien. Son époux était dans le genre sur-protecteur avec lui et leur fille. Il souriait, décidément, on ne se refaisait pas. Soudain son époux revient et ouvrit la porte de la calèche pour le regarder, il s'autorisait une caresse sur sa joue blanche, douce, tendre, une caresse pour se rassurer soit même.

« Vous pouvez venir, notre tente est monter mais vous en conjure, restez près de moi d'accord. La petite fille regardait son père, sa robe rouge était chaude et son manteau bruns lui donnait des aires de poupée avec un visage en porcelaine. Il lui caressait doucement les cheveux. Tu resteras près de Lev et Yaku n'est ce pas mon trésor? La petite vient frotter son nez à celui du roi qui avait un petit rire.

-D'accord papa. Il lui prenait la taille et la soulevait pour la poser sur le sol avant de tendre la main à Kozume. Se dernier sentait que quelque chose n'allait pas, son époux semblait ailleurs et inquiet de leurs sécurités, il était vrai qu'ils sortaient rarement mais il savait se défendre.

Une fois à terre il avisait de son époux, il était effectivement tendue, sa mâchoire était serrer et ceux depuis quelques jours maintenants, le blond lui saisissait doucement le bras, pressant ses doigts contre le cuir de sa manchette. Tetsuro le regardait avec autant d'adoration que d'inquiétude, il le voyait s'abaisser et baiser son front avec plus d'amour qu'il n'en avait jamais eu dans se simple geste, c'était infiniment doux et pourtant bouillant de tristesse. Il le regardait définitivement inquiet, leur fille avait courut rejoindre Lev qui la soulevait dans ses bras alors que Yaku lance à la main surveillait autour d'eux, Yamamoto garde personnel de la princesse était un peu loin, accrocher à son épée. Kozume regardait son époux, le visage baisser vers lui, une main sur sa hanche et l'autre plonger dans ses mèches blondes. Kuroo avait eu un petit rire en enroulant l'une d'elles autours de son doigt.

-T'es cheveux sont impossible à dompter...Kenma souriait, c'était ainsi depuis son enfance, déjà petit ses frères et sa soeur avaient essayer de dompter sa chevelure sans succès, ils se défaisaient toujours alors qu'il n'y touchait pas. Un doux souvenir. Son époux s'en amusait parfois, il lui arrivait d'être d'humeur joueuse et souvent sa chevelure en faisait les frais.

-Que se passe t-il Tetsuro...tu es angoisser je le vois bien...le brun avait eu une grimace de douleur, comme si dans le fond il avait espérer que son époux ne voit jamais rien. Il soupirait et s'abaissait pour coller leurs fronts avec douceur, plongeant ses iris ambres dans les siennes doré, comme la première fois il eu un sursaut au coeur.

-Je...j'ai peur. Cela ne lui ressemblait pas, c'était même totalement l'inverse, son cher et tendre n'avait presque jamais peur. Kozume caressait son bras, l'encourageant à lui parler. Le roi fermait les yeux et sa main se fessait plus pressante sur sa hanche. J'ai peur que tu ne me quittes pour rejoindre ton frère, je ne pourrais pas te retenir Kozume...sa voix n'était qu'un murmure, un souffle douloureux. Mais je t'aime trop pour supporter ton départ...je...j'ai besoin de toi...le blond pressait sa main sur sa joue, il avait sentit son coeur se serrer à cet aveux, il n'avait pas vus le mal de son amour, il n'avait pas vue que sa joie à la découverte de la possible survie de son frère l'angoissait.

-Tetsuro...il lui caressait doucement la joue alors que le brun gardait les yeux clos. Jamais je te t'abandonnerais, je t'ai jurée un éternel amour et je comptes tenir cette promesse. Il n'avait jamais penser à l'abandonner, il ne survivrait pas sans son époux à ses côtés. Je...j'étais exalter à l'idée de pouvoir revoir un de mes frères et je n'ai pas vue ton mal...excuse moi mon amour...le brun ouvrait les yeux et secouait la tête en saisissant sa main pour l'embrasser doucement sur l'anneau dorée qui ornait son doigts.

-Non...c'est moi, je n'aurais pas du douter de toi. Il soufflait doucement. Je me suis simplement alarmée pour rien, mais je comprends ta joie mon aimé. Il le regardait. J'en suis heureux également, ainsi les relations entres nos royaumes seront paisible et ton bonheur complet. Kozume souriait doucement alors que Kuroo s'autorisait un baisé sur ses lèvres. Je veillerais à que tu puisse le voir je t'en fais la promesse...le plus petit avait eu un doux sourire.

-Je ne te demande rien mais j'en suis heureux...le bruns lui souriait doucement avant de se détacher de lui et de regarder leur fille qui parlait avec animation à Lev qui les yeux brillant l'écoutait avec attention, le jeune homme eu même un rire. Grâce à sa douceur et à sa gentillesse il était également un superbe partenaire de jeux pour la jeune princesse, elle l'adorait et cherchait fréquemment sa présence quand ils n'étaient pas libres. Elle est entre de bonnes mains je ne m'en fait pas...Kuroo le regardait.

-Je leur confirais ma vie sans hésiter. Il avait prit sa main et soufflait. Je me dois de rejoindre la tente du conseil pour saluer les autres chefs et parler de l'avancer de la situation mais tu peux aller te reposer si tu le souhaites, le voyage fus éreintant. Kozume hochait doucement la tête, effectivement il sentait ses muscles tirer. Akiko. La petite se tournait vers eux et accourut vers ses parents, sautant des bras de Lev. Kuroo s'abaissait à sa hauteur et la regardait. Toi et mama allez vous reposez d'accords? Je viendrais vous rejoindre tout à l'heure mais il faudra que tu sois sage durant mon absence. La petite souriait et saisissait d'une main celle de sa mère.

-D'accord papa. Il lui caressait les cheveux heureux et Kozume souriait, sa fille était d'une douceur et d'une intelligence rare pour son âge, elle était merveilleuse. Il regardait maintenant Kenma avant d'hocher la tête et de s'incliner doucement.

-Ma dame...Kenma souriait, son époux semblait moins inquiet mais il savait que se dernier pouvait tout cacher sous son sourire. Il se tournait vers Lev, Yaku et Yamamoto avec cet fois sérieux. Lev, Yamamoto prenez soins d'eux pendant mon absence, veiller à que personne ne tourne autour de la tente et donner une lance à notre reine. Il lui adressait un petit sourire. Je préfère la savoir avec une arme. Il regardait Yaku. Tu viens avec moi au conseil, il me faudra au moins ton soutient pour survivre à cette réunions.

-Je veillerais sur elle, majesté, vous pouvez partir tranquille. Lev le regardait très sérieux, son poste de garde royale et de protecteur de la princesse était sa priorité. Au prix de ma vie s'il le faut. Il posait une main sur son coeur, signe d'allégeance a la famille royale, à la princesse et Kuroo en était sincèrement toucher.

Yaku avait cependant tressaillit en entendant la dernière phrase, évidement que lui aussi donnerait sa vie pour protéger ses souverains mais savoir Lev capable de la même chose l'angoissait. Une boule dans son ventre qu'il avait toujours eu quand Lev était aussi sérieux, l'angoisse de le perdre un jour, de le perdre même au nom de Nekoma. Il regardait son compagnon, fier dans son armure rouge et noir, autant que lui sans doute mais il n'aimait pas le voir si ardemment prêt à combattre, surtout depuis quelques mois. Inconsciemment il s'en était rapprocher, posant une main sur son ventre nouer par l'angoisse de le voir périr dans cette guerre, et Kuroo le remarquait alors qu'il frappait l'épaule de Lev.

-Je te fais confiance mais s'il te plais, évite de mourir avant ton mariage. Lev rougissait doucement et regardait Yaku qui lui renvoyait un regard inquiet. C'est vrai, à leur retour ils seraient marier et le roi approuverait leur union, peu avait cet honneur, celui d'avoir la bénédiction du monarque et il contait en être digne.

Yaku le fixait inquiet, se tenant prêt de lui, une main sur le ventre, Lev s'approchait un peu et penchait la tête vers lui, frôlant de son nez ses mèches blondes cendrées. Le gris posait une main tranquillisante sur sa hanche, son pouce caressant son ventre avec tendresse.

-Fait attention à toi d'accord. Il savait son fiancer prêt à se jeter sans hésitation devant le roi et cela l'inquiétait aussi, bien que cela soit à tout deux leur travail, le perdre serait la pire des tragédies. Il s'abaissait en murmurant pour uniquement le plus petit, de sorte à que ses souverains n'entendent pas. Et à notre enfant aussi. Yaku hochait doucement la tête et Lev se décollait rassurer.

Kenma avait sursauté, Lev en tant que demi-elfe avait tendance à oublier qu'il entendait bien mieux que lui et que Kuroo, il avait donc pus entendre les mots du gris pour son ami. Il fixait le chef de la garde avec inquiétude, son ami ne leur en avait pas parler une seule seconde, ni même frôler le sujet. Evidement Yaku et Lev était en couple depuis un moment, un long moment même, mais ils avaient garder leur relation secrète durant de longs mois avant que Lev ne sois blesser en même temps que lui et que Yaku se jette sur lui mort d'inquiétude, alarmant Kuroo. Le plus petit avait eu tellement peur en le voyant blesser, en voyant cette tache sombre qui prenait son ventre. Depuis ils s'affichaient officiellement et avaient même annoncer leur fiançailles quelques mois plutôt, mais ils n'avaient jamais parler d'un futur enfant, cependant Kenma avait bien remarquer que le plus petit mangeait un peu plus et portait d'amples chasubles. Il touchait son propre ventre. Il le fixait maintenant inquiet, si Yaku était belle et bien dans l'attente d'un enfant, il ne pouvait pas le laisser aller à la guerre, il ne se pardonnerait de le voir mourir avec son enfant. Il ne pourrait pas vivre en le sachant mort avec la promesse d'un avenir, en entrainant son enfant avec lui, en abandonnant Lev sans eux. Il n'aurait cas rester avec lui, après tout il n'irait sans nul doute pas combattre dans son état et avec sa santé. Il s'était promit en allant dans sa tente richement meubler qu'il en parlerait à son époux le soir même.

Une conversation qui n'était jamais venu.








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Satori regardait le campement, c'était certes impressionnant mais il ne comprenait pas l'exaltation que cela engendrait chez les soldats, après tout, cela signifiait leurs départs imminent pour la guerre et le champs de bataille. Un campement n'était ni plus, ni moins qu'une dernière vision avant la bataille, ce n'était qu'un amas de soldats et d'armes cacher derrière les toiles de hautes constructions blanches. Il voyait la toile se refermer en même temps qu'un corps se glissait derrière lui, serrant sa taille d'un bras puissant, il posait une main tranquille sur celle qui était crisper sur son ventre. Il sentait avec délectation un baiser être poser sur sa nuque puis le creux de son épaule, des cheveux lui chatouillait le coups et il soupirait de bien être avant de se retourner, froissant les draps blancs.

Il fixait le visage grave de son amant avec tristesse, voila des mois que son roi semblait prit d'une profonde angoisse et ceux depuis que la guerre avait éclater, ravageant une partit de leur forêts. Depuis il s'épuisait à essayer de trouver des solutions et à organiser son armée pour le combat qui aurait lieu dans quelques lunes, voir moins si le temps était clément. Il portait une main sur la joue de son amant et la caressait du bout des doigts,  dessinant la mâchoire puissante de son souverains allonger à ses côtés. En se réveillant se matin là, il avait été surprit de trouver le lit vide et son odeur dissiper dans l'air, c'était rare qu'il ne s'éveille avant lui et quitte leur couche sans le prévenir. Ushijima soupirait doucement, être dans ses bras le détendait et il pouvait enfin penser calmement, il était confronter à un problème de taille et n'était pas en mesure de trouver une solution correcte. Se matin là, le roi Daichi chef des armées avait demander sa présence pour parler d'un problème de taille, les démons étaient particulièrement sensible à la magie et il pensait qu'ils auraient besoin de tout les mages blancs possibles pour déjouer l'armé démoniaque. Et évidement, la présence de Satori Tendou, mage et sorcier à la réputation plus que connue et à la magie dite surpuissante était requisse. Sauf que dans ses plans, jamais son amant n'était ainsi exposer au danger et encore moins mit sur le champs de bataille. Il le regardait, son corps fin étendue sous les draps, sa peau diaphane et finalement il avait fini par son tors. Son ventre arrondit et surtout les balafres rose qui barraient le haut de son tors, son dos en était zébrer et ses côtes aussi, mauvais souvenirs de quand il c'était fait fouetter quelques années plutôt lorsque l'on avait découvert sa nature demi-démon. Il caressait son ventre doucement, il aimait tellement le sentir sous ses doigts, s'arrondir avec les semaines, car c'était la preuve de leur amour.

Satori était attendrit, son amant avait toujours eu cette douceur avec lui, cette tendresse en le traitant comme quelques chose de fragile et de précieux, lui réchauffant le coeur. Lui qui c'était crue si longtemps promis à la douleur éternel. Lui qui avait fini par se pensée aussi monstrueux que le lui criait son bureau en le couvrant de coups, il avait fini après des années à le croire. Mais Wakatoshi avait se regard tendre et protecteur qu'il aimait tant, se regard qui le reparait un peu plus à chaque fois, il aimait savoir qu'il était aimer et protéger surtout maintenant qu'il se savait portant la vie.

-Qu'il y a t'il mon amour? Il sentait son roi tendue et voyait les muscles de ses épaules se contracter sous sa chemise blanche, il caressait son bras doucement alors que le vert se mordait la lèvre. Il ne voulait pas le forcer et encore moins l'inquiéter avec se problèmes.

-Ne lis-tu pas dans les pensées sorcier? Satori avait eu un petit ricanement, c'était vrai, il savait lire les pensées des gens dont il était en contacte en se concentrant mais il ne l'utilisait jamais et encore moins sur le père de son futur enfant. Ushijima souriait doucement.

-Jamais sur toi mon roi. Il s'approchait et se blottisssait contre son tors, inspirant son odeur musqué, profitant de sa chaleur, depuis sa grossesse il était beaucoup plus sensible aux odeurs et celle de son compagnon l'apaisait beaucoup, il sentait une main caresser doucement son dos, s'attardant sur ses cicatrices, il les retraçait du bout des doigts. Cela à un rapport avec la bataille? Il sentait un sursaut, tellement petit qu'il n'en était au début par certain mais il connaissait assez son amant pour savoir qu'il refuserait de parler de ça avec lui.

Wakatoshi Ushijima soupirait, depuis qu'il était devenu chef de famille et roi de son pays sa vie était beaucoup plus compliquer, évidement il avait été élever dans l'idée de le devenir un jour. Toute son enfance avait été dicter par ses cours, des heures dans les salles d'études, il avait passer sa vie à étudier, à apprendre par coeur, devenir un combattant chevronné, un roi et un chevalier digne de son rang. De son sang. Mais il ne pensait pas le devenir à tout juste dix-huit ans, en fait il l'était devenu à la mort de son père et à l'emprisonnement de sa propre mère, elle faisait torturer toutes personnes soupçonner d'avoir un lien avec la magie noir sans l'accord du conseil. Le peuple c'était révolter et l'avait mit sur le trône, il avait perdu sa famille, gagner un royaume trop grand pour lui, gagner le droit de gouverner. On n'imaginait pas sa peur, sa terreur de faire un erreur, de se tromper, sa peur d'échouer, de ne pas réussir à être juste et bon pour le peuple. Car il ne pouvait pas être l'enfant parfait que ses parents attendaient. Il caressait le dos de son amant, mais d'un autre côté, il faisait de son mieux chaque jour, il essayait d'être juste pour tous, de veiller sur son peuple et il y avait gagner l'amour de quelqu'un. Il soufflait doucement, cela ne servait à rien de le cacher à son amant, Satori pouvait lire dans ses pensées et le connaissait assez pour deviner seul se qu'il le perturbait.

-Sawamura veux que tu viennes avec nous...Satori n'avait pus retenir un sursaut, il ne s'y attendait pas. La main sur son dos c'était faite plus lourde. Il pense que nous aurons besoin de t'es pouvoirs pour combattre les démons. Il soupirait et le rouge restait immobile, fixant un point dans le vide, une main sur le tors de son amant, l'autre replier vers son ventre.

-Qu'est-ce que tu lui as dis? Wakatoshi tournait la tête vers lui et le rouge caressait doucement sa nuque en y portant sa main, il le sentait effrayer et tendu, il comprenait. Le vert fronçait les sourcils, ses yeux brillants du même éclats guerrier que quand il l'avait détacher de cette croix ou on le fouettait des années plutôt.

-Je refuse de te mettre en danger. Satori souriait doucement, attendrit, il était toucher que son amour refuse de le mettre en danger mais il savait aussi qu'inconsciemment, Ushijima savait que c'était le mieux pour tout le monde qu'il vienne, il refusait simplement de l'admettre.

-Je sais mon coeur mais tu sais aussi que je pourrais vous aidez, les démons sont sensibles à la magie et je suis plus puissants que beaucoup grâce à ma nature. Le plus grand le serra un peu plus fort, il détestait quand son amant disait quelques chose d'aussi vrai et mature alors qu'il n'arrivait même pas à l'imaginer, ça le faisait se sentir capricieux et il ne l'était pas. Il soupirait.

-Je sais. Il soufflait et caressait la joue pale de Tendou, le regardant sourire doucement. Mais je pense à vous Satori, je ne supporterais pas qu'il vous arrive malheur. Le rouge souriait amusée et le regardait un sourcil hausser.

-Me penses-tu donc incapable de nous défendre moi et notre enfant? Et il le voyait froncer les sourcils en posant une main protectrice sur son ventre, secouant doucement la tête, Satori réalisait, il avait dit « notre enfant », c'était peut-être même la première fois qu'il le disait. Ils n'en avaient jamais réellement parler, après tout se n'était pas prévue, un accident qui avait déboucher sur un petit être en lui. Il touchait son ventre, dans quelques mois il aurait un enfant, de lui et de son amant, de son roi. Il ouvrait de grands yeux. Il portait l'enfant du roi.

-J'ai confiance en toi, mais je préférais ne pas mettre vos vies en jeux. Il regardait Satori sérieusement. Tu n'as pas pratiquer la magie à un aussi haut niveau depuis que tu attends le bébé, on ne sait pas si tu en es capable sans risque. Sa main caressait doucement le ventre déjà arrondit de son amant, Satori devinait sa pensée avec un petit sourire.

-J'en suis à six mois. Le plus grand relevait la tête vers lui, le rouge eu un gloussement, son visage était aussi inexpressif que d'habitude mais ses yeux brillaient et il le trouvait adorable ainsi. Ne sois pas si étonner, tu étais la quand nous l'avons crées. Le très léger rouge qui apparut sur les pommettes de son roi le fessait encore plus sourire, il trouvait ça assez amusant. Il n'était pas si facile de réussir à faire changer d'expression son amant et à chaque fois il trouvait cela aussi attendrissant qu'amusant. Pourtant il se rembrunit. D'ailleurs, je voulais t'en parler, je...il hésitait un cour instant...enfin à propos de cet enfant à naitre...il déglutissait et le regardait, plongeant ses iris rouge dans celle vertes qui le fixaient. Je peux me débrouiller pour l'éducation, je me demandais simplement si tu voulais le reconnaître comme le tiens ou non?

Ushijima fronçait les sourcils pas certain d'avoir bien comprit, comment cela Satori devait l'éduquer seul? Et lui alors? Puis il avait comprit, lui et Satori n'en avait jamais parler, ni d'eux, ni de l'enfant et encore moins de leurs vies à deux. Evidement au palais et dans leur pays tout le monde était au courant, ils savaient tous qu'il partageait son lit avec le sorcier et qu'ils avaient une relation depuis plusieurs d'années maintenant mais jamais ils n'avaient officialisée les choses. Certainement car ils n'en avaient jamais ressentit le besoin, certainement aussi car pour eux cela ne changeait plus rien, ils étaient ensemble peu importait le nom donner à leur relation. Il se redressait sur un bras, le regardant, comme ça Satori se retrouvait allonger sous lui, il caressait son ventre doucement, parfois il avait peur de le briser tant il était mince dans ses bras. Il le regardait, il le trouvait beau, surtout quand son visage était détendue ou qu'il souriait sincèrement, il se penchait et l'embrassait avec toute la douceur dont il était capable. Evidement qu'il l'aimait, évidement qu'il tenait à lui, évidement que pour lui cette relation était concrète et sérieuse. Il oubliait parfois qu'il n'était pas très loquace et pourtant avec le rouge il se lâchait plus qu'avec n'importe qui d'autre, il sentit la main de son amant se perdre dans ses cheveux. Il n'avait jamais penser aimer quelqu'un à se point, au point d'en avoir la gorge nouer, les jambes cotonneuses et le coeur qui s'emballe, Satori le faisait frissonner, lui donnait des papillons, le faisait rougir et personne ne le faisait jamais rougir. Il l'aimait tellement, au point d'en voir mal et de s'inquiéter tout le temps pour sa sécurité. Il se détachait et embrassait son front, ses joues puis finalement son nez avant de coller leurs fronts.

-Je t'aime. Tendou sursautait et déglutissait avant de sourire tendrement. « Moi aussi je t'aime». Wakatoshi souriait, un petit sourire. Et cet enfant, c'est le notre, évidement que je compte le reconnaitre et l'aimer, comme j'aimerais ses frères et soeurs, on à tout notre temps. Satori avait eu un petit rire nerveux.

-Parce-que tu en veux d'autres? Un ne te suffie pas? Le roi secouait doucement la tête et le regardait avec tendresse, ses yeux brillants d'affection sans limite. Avec ses mots il laissait entendre qu'il voulait rester avec lui, fonder une famille avec lui, le chérir pendant les siècles à venir. Et c'était exactement son plan de vie, l'aimait encore un peu plus à chaque fois que le soleil se lèverait dans le ciel.

-Je suis fils unique et je me souviens avoir été très seul durant mon enfance. Il contemplait Satori. Être prince n'est pas facile et je pense sincèrement que ça aurait été plus simple si je n'avais pas été seul dans se grand château. Satori avait été attendrit et peiné en même temps, la fragilité dans cet aveux lui serrait le ventre. Doucement il s'appuyait sur son bras pour venir embrasser son amant, caressant sa nuque.

-Très bien, alors nous n'avons cas avoir des dizaines d'enfants. Il l'embrassait encore avec un petit sourire. Des centaines même si tu le veux, on en aura autant que tu le souhaites. Il le fit tomber sur le dos contre le matelas, le regardant un instant, son amant était beau, vraiment très beau. Il ne penchait et l'embrassait. On peu même commencer maintenant...








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Akaashi rentrait sous la tente, c'était une haute construction de voiles blancs, une tables avait été étendue au milieu entourer d'une dizaine de chaises au haut dossier, il observait brièvement le reste des meubles qui ornaient la pièce. Passant rapidement les cartes, les chandelier, passant rapidement les tapis qui étaient étendus au sol, passant les coffres sombres dans le fond de la tente. Il sentait Bokuto arriver à ses côté, il le regardait, dans son armure noir il faisait presque peur avec se visage si fermer et sérieux, lui ses yeux lui piquaient. Il regardait Kei arriver à ses côtés, il le contemplait, son petit frère, celui qu'il avait pensée mort durant six ans, celui qu'il avait quitter trop tôt, son précieux petit frère. Il n'y croyait toujours pas, le retrouver semblait être un miracle, un merveilleux mirage qui allait disparaitre à tout moment. Pourtant, il pouvait le toucher, lui parler, il avait tellement grandit, il était un homme maintenant et non l'enfant angélique qu'il avait quitter. Il lui semblait qu'un siècle c'était dérouler depuis qu'il l'avait pousser dans ses escalier, il lui semblait que rien n'était aussi proches que Kei alors que son frère ne lui avait jamais sembler aussi loin.

Il regardait les hommes et les femmes présents autour de la table. Il parcourait l'assembler du regard, un homme aux cheveux noir en bataille, des yeux ambres le fixait étrangement dans ses vêtements rouge et noir, il frissonnait, il faisait presque plus intimident que son propre roi qui d'ailleurs sourit en le voyant. Un sourire sincère, complice, un peu en coin, un sourire similaire à celui qui apparut sur le visage du bruns qui se levait d'ailleurs de sa chaise pour s'approcher, un garde blond derrière lui.

-Tetsuro Kuroo! Bokuto s'approchait alors que le brun se levait pour venir joyeusement le saluer, ils s'étreignirent avec joie et le méché regardait son ami, voila presque cinq ans qu'il ne l'avait plus vue, ils avaient écrits oui mais rien ne remplaçait le contacte directe. Rien ne remplaçait le réconfort de voir son frère là, face à lui, bien portant et de savoir qu'ils se battaient ensembles.

Enfants eux deux avaient été aussi inséparable que différents, leurs parents étaient de très bon amis et ils étaient les seuls enfants de deux couples, alors leurs enfances ils l'avaient passer avec l'autre tel des frères. Bokuto se souvenait de leurs courses dans les couloirs, de leurs armes en boit avec lesquels ils s'inventaient des batailles épiques. Puis les parents de Kuroo étaient mort de maladie un hiver particulièrement rude, alors ils c'étaient éloigner doucement et lorsque les parents de Bokuto avaient également disparut tout deux avaient dus devenir les rois que l'on attendaient d'eux. Ils ne c'étaient plus revue avant un ball, dans un pays sublime, cacher au creux des montagnes sur les rives d'un lac.

-Bokuto! As-tu fais bon voyage mon frère? Le gris avait eu un sourire, leurs complicités et leurs liens n'avaient heureusement pas changer, toujours aussi fort, aussi puissant. Kuroo était toujours son meilleur ami comme durant leurs enfances. Leurs parents avaient été d'excellent amis à une lointaine époque et souvent ils c'étaient vus et avait même croiser le fer ensemble. Il y a vraiment bien longtemps de cela, quand ils avaient encore le droit d'être des enfants...

-Ne t'inquiète pas pour moi, et toi alors? J'ai vus vos ourses en arrivant. Ils eurent un rires complices en pensant à toutes leurs idioties faites avec ces animaux durant leurs enfances, ses pauvres bêtes avaient souffert le martyr avec eux comme maitres.

-Que veux-tu? Ils sont puissant et bien dresser, mon époux à plus confiance en eux quand nos montures classiques. Bokuto souriait, lui aussi aurait plus confiance en une bête de cette taille et de cette puissance qu'en de simples chevaux. Pourtant il avait plutôt tendance à ne pas aimer monter autre chose que son précieux étalon. Dernier cadeaux de sa mère.

-Je le comprends. D'ailleurs il n'est pas avec toi? Le gris avait pourtant espérer croiser le fameux prince qui avait pus prendre le coeur de son frère de coeur, il aurait aimer le voir de ses yeux, lui et ses yeux or. Kuroo n'en parlait pas beaucoup dans leurs rares missives mais il le contait toujours comme quelqu'un de sage et d'une douceur sans pareille, un époux divin d'après son ami. Il avait du mal à croire que quelqu'un puisse battre son propre amant mais bon.

-Non, il est aller se reposer, tu sais bien qu'il est de nature fragile, notre fille avait besoin de repos. Bokuto hochait doucement la tête, oui, son ami lui en avait vaguement toucher un mot. Il souriait en entendant parler de la fille de son ami, la petite était le centre de leurs conversations depuis trois ans, le jeune père en était totalement fou et aimait en parler au gris qui était étrangement alaise avec les enfants. Il se tournait soudainement vers Keiji qui baissait timidement la tête en signe de respect. Qui est-ce donc? Te voila marié?

Bokuto se tournait vers lui et avait eu un petit sourire, fiancé serait plus juste, leur union n'avait pas encore eu lieu et le roi en avait hâte. Il tendait la main vers le bruns qui l'attrapait tel un reflex, rassurer en sentant sa paume chaude et douce dans la siennes, tout se monde l'angoissait et il n'était plus à l'aise avec autant de personnes. Pourtant tous parlaient avec animations ne se souciant pas d'eux et de cette conversation, personne ne semblait même les remarquer, comme si tout était normal. Il se tournait un instant vers son frère qui lui adressait un petit sourire rassurant, son coeur se serra, son petit frère ne disparaitrait pas s'il tournait la tête de lui. Il se concentrait maintenant vers Bokuto qui le regardait avec tendresse, son amant avait la capacité fascinante de souffrir quand lui même allait mal et de se réjouir de tout.

-Approche. Keiji le faisait sans demander son reste, venant près de son aimer avec un timide sourire que Kuroo lui renvoyait plus détendue. Bokuto serrait sa main dans la sienne. Kuroo, voici Keiji Akaashi mon fiancé et amant. Le gris avait eu un éblouissant sourire alors que Kuroo c'était figer une expression de stupéfactions sur le visage, fixant Keiji avec étonnement avant de saisir son visage dans ses mains et de regarder ses yeux doré. Kuroo s'écartait en voyant ses oreilles, longues, pointues, tourner vers le ciel.

-Un elfe...Keiji se tendait, certaines personne pensaient cette race éteinte depuis des années, pourtant le plus grand avait dans ses yeux ambre autant d'horreur que d'émerveillement. C'est impossible...sa voix n'était qu'un murmure. Tu es mort il ya des années...il...tu es mort il y a six ans. Keiji le regardait sans vraiment comprendre, comment pouvait-il le savoir? Puis pourquoi tant de surprise? Comment l'avait-il deviner? Il le fixait interdit, se pourrait-il...aurait-il eu autant de chance dans sa vie. Il s'approchait rapidement du roi et sans attendre dégageait ses oreilles dévoilant sa nature aux yeux écarquillés de Kuroo. Kei derrière lui c'était également approcher et Keiji sentait également son frère bouillonner.

-Je ne suis pas mort, je ne suis pas mort. Il le regardait, remplis d'espoir, remplis d'une crainte qui lui nouait l'estomac, il se pouvait qu'un de ses frères autres que Kei sois en vie, peut-être. L'espoir lui gonflait la poitrine et compressait son coeur alors que Bokuto plonger dans l'incompréhension les regardait.

Kuroo semblait souffrir var il grimaçait avant de fermer les yeux, le brun savait qu'il allait le perdre, son époux le quitterait pour ses frères sans hésitations, trop heureux de les revoir. Il avait toujours sue que son amant était souffrant du manque de sa famille arracher trop tôt, trop soudainement, il le voyait dans ses cauchemars, dans ses regards vers les montagnes.Comme il savait qu'il le perdrait pour de bon, la crainte n'avait fait que se taire un instant avant de l'engloutir. Et hélas, il l'aimait trop pour lui retirer se bonheur...

-Mon époux, majesté du royaume de Nekoma...il soufflait doucement, pensant au bonheur de son âme-soeur. Kozume Kenma. Il fermait les yeux alors que Keiji ouvrait les siens avant de regarder Kei qui les yeux brillants le fixaient, ils avaient le même espoir dévorant, le même sentiments de plénitude qui revenait doucement dans ses veines.

Soudain un pan de la tente se souleva et il voyait un homme, plutôt petit contrairement à eux, vêtu d'un robe longue et blanche, des manches bouffantes et une sur-robe grise perle, une ceinture en or coulait sur sa taille fine. Ses cheveux gris flottaient autour de son visage d'ange et il venait d'attraper un petit garçon, trois ans peut-être, des cheveux bruns et une peau bronzer avec de grands yeux noisettes. Le petit portait les mêmes chasubles claire que lui durant son enfance. Il les fixait incapable de dire un mot, sa gorge nouer, son sang avait quitter son visage livide et ses yeux étaient larmoyants. C'était impossible, Kei le lui avait dit mais il n'y avait pas crue, son esprit se refusait à croire à un tel miracle, refusait de laisser son coeur se gonfler de joie qu'il savait parfois éphémère. Pourtant la sensation de son coeur battants plus vite, cette odeur de cerise au printemps, cette lumière était la même qu'enfant, la même auréole qui entourait son frère ainé. Il faisait un pas, manquant de s'écrouler alors que Kei fermait les yeux, il ouvrait la bouche, un gémissement de douleur en sortant tel un couinement. Il voyait Bokuto s'approcher inquiet alors qu'il fixait le gris qui venait de remarquer leurs regards sur lui, se tournant vers eux, ses yeux noisettes rencontrant les doré de Keiji. Il lâchait presque son enfant tant le choc fus puissant. Il posait ensuite l'enfant qui le regardait sans comprendre, sa peau devient encore plus pale. Il regardait Kei qui se mordait la lèvre, il ne comprenait pas, le blond hocha la tête et le gris recula d'un pas comme bruler soudainement. Keiji vit un homme de la table, un brun ressemblant étrangement à l'enfant se redresser sur sa chaise, prêt à venir le soutenir. Finalement il lâchait dans un sanglot, s'approchant encore un peu, un tout-petit peu plus.

-Koshi...Le gris fermait les yeux, explosant en larmes alors que Keiji le regardait incapable d'encaisser le dose de bonheur et de soulagement qu'il le secouait. D'encaisser le choc, la remonter de centaines de souvenirs, de sentiments qui lui broyait le ventre. Le gris souriait à travers ses larmes, c'était trop pour lui, ses jambes tremblaient, bientôt il tomberait.

-K-Keiji...il ouvrait les yeux, essuyant ses larmes avec sa manches. Kei c'était approcher doucement de son frère ainé, inquiet de le voir faire un malaise. Koshi s'appuyait sur son épaule, regardant toujours Keiji tel un mirage qui disparaitrait dés qu'il détournerait le regard.

Soudain la toile se soulevait encore et une vois joyeuse et fluette résonnait dans chaque fibre de son corps. Une voix qu'il avait entendue des années plutôt, plus juvénile, plus jeune, plus fluette mais il en reconnaissait chaque son, chaque fibres de son corps se tendit car c'était la même voix qui l'avait tant appeler. Qui avait rie, parler, raconter, c'était exclamer, c'était enjoué et avait hurler de rire dans les couloirs d'un palais en marbre.

-Koshi, j'ai vus la compagnie arriver, tu aurais vus...il s'arrêtait fixant l'étrange attroupement dans la tente. Kei! Il reconnaissait son frère qui le regardait aussi avant de voir le brun se tourner lentement vers lui, croisant leurs yeux dorés. Le roux penchait la tête lentement, son regard devenant soucieux devant se visage familier avant de froncer les sourcils et de le regarder sans y croire. Kei sentait son coeur rater un battement.

-Shouyou Hinata...le petit rouquin sursautait, ses cheveux en pagailles soudain il fixait le brun et ses yeux se remplirent de larmes, voila six ans qu'il n'avait pas croiser pareilles iris, qu'il n'avait pas contempler des pupilles aussi dorés que les siennes en dehors de Kei. Ses oreilles frémir alors que Keiji doucement réalisait, Kei avait donc dit vrai, ils étaient en vie. Ils n'étaient pas un mirage, pas son imagination, pas cette fois, cette fois tout était vrai. Le plus jeune ouvrait la bouche, gémissait, le refermait puis finalement murmurait tellement bah que seul les elfes pouvaient l'entendre.

-Keiji...grand frère Keiji...








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Kuroo poussait un soupire à s'en fendre l'âme, une fumé blanche s'échappait de sa bouche, montant vers le ciel, rejoignant les nuages gris perles. Ses yeux lui brûlaient à force d'avoir trop pleurés mais il n'y pouvait rien, il avait tellement mal, son coeur se serrait tellement fort dans sa poitrine qu'il ne pouvait même plus sentir autre chose que ses battements effrénés dans sa cage thoracique. Il avait passer de longues heures à pleurer incapable de s'arrêter, ça avait commencer dés que Kozume avait courut rejoindre ses frères sans se retourner. Le bruns l'aimait, il l'aimait plus que tout au monde, absolument tout au monde, il pourrait tuer et être tuer pour lui, pour son bonheur, pour Kenma rien n'était trop beau. Après tout ils étaient des âmes-soeurs, il en était plus que certains, ils étaient destiner à être ensembles, tout les deux contre le monde, ils c'étaient aimer déjà enfant sans même le savoir. Kuroo se rappelait encore la première fois qu'il l'avait vue, si jeune, si innocent, courant après ses frères dans les jardins, déjà son coeur avait battue plus vite, déjà il l'avait trouver plus lumineux que les autres, déjà il c'était sentit attirer par lui sans le contrôler. Il se rappelait de la lueur dans ses iris dorés, il se rappelait de son rire claire et fluet. Il n'en avait jamais oublier aucun détailles de cette journée, simplement car en partant il l'avait saluer comme on saluait une reine, par une révérence, simplement car en montant dans le traîneaux il avait annoncer glorieusement que plus grand c'était lui qu'il voulait pour époux. Et son père avait simplement éclater d'un rire fort en lui ébouriffant les cheveux.

Kuroo s'adossait contre l'entrée de sa tente, ça faisait trop mal, il aurait presque préférer que l'on lui arrache le coeur, il avait mal, vraiment mal, il était même incapable de ressentir autre chose que de la douleur.  Il sentait les larmes revenir, il voyait trouble, il se sentait seul, seul et abandonner, il n'avait plus Kozume à ses côtés et cela le minait sans le savoir. Lui et son époux avait été ensembles à la seconde ou il avait passer les portes de sa ville, à cette seconde là il l'avait aimer plus que tout au monde, il l'avait veiller, il l'avait couvert d'affections, l'avait protéger, l'avait attendue, il l'aurait attendue toute une vie s'il le fallait. Et maintenant il voyait son bonheur lui échapper, car au fond il l'avait toujours vue, toujours sue que son époux pensait à ses frères, y avait toujours pensé, qu'il ne croyait pas vraiment en leurs morts, incapables de s'y faire totalement. Kuroo n'avait jamais rien dit, jamais il ne l'avait couper dans ses récits de son enfance, dans ses monologues sur sa famille et sa cité, émerveiller par se qu'il lui contait avec des yeux brillants. Le bruns l'avait toujours aimer en sachant qu'il y avait une infime possibilité qu'un de ses frères ou plus sois en vie quelque part sur terre.

Il avait eu raison, ils étaient en vies, quatre d'entre eux étaient en vie; ils étaient ici, ils étaient revenue d'entres les morts. Tel des fantômes du passer. Et la peur sourde qu'il avait eu en apprenant la survie d'un des ainé de Kozume n'était rien en comparaison de la douleur sourde qu'il avait ressentit en découvrant les trois autres. Il l'avait toujours sue, incapable de l'admettre, mais dans le coeur de son époux il occupait une place aussi importante qu'insignifiante face à celle de ses frères, il ne pouvait pas se battre contre eux, pas lutter contre eux. Il entrait dans la tente et son coeur se brisait un peu plus alors qu'il constatait le vide de la pièce, son époux avait même déserter sa couche, certainement c'était il réfugier dans celle d'un de ses frères pour parler. Il serrait les dents et fermait la toile, se retrouvant seul, effrayer, dans une pièce silencieuse. Il s'approchait du lit de sa fille et le trouvait vide, il serrait le poing sur le bois du petit lit, ainsi donc son époux avait emporter sa fille également. Il s'écroulait à genoux, incapable de retenir ses sanglots, il allait les perdre, il le savait, il allait les perdre. Il sentait les larmes lui bruler les joues, il détestait être faible, encore plus en se moment mais il se sentait si seul, tellement abandonner. Il se détestait de pas se réjouir pour son amant, de ne pas pouvoir être simplement heureux pour lui, de ne pas pouvoir sourire de le savoir enfin combler. Mais il n'y arrivait simplement pas.

Il fermait les yeux, il l'aimait tellement, il les aimait tellement. En voyant Keiji il avait eu le choix, un cour instant il avait pus choisir entre lui dire le nom de son époux et le perdre ou alors mentir et leurs cacher la vérité voir renvoyer Kozume au palais. Il avait choisit de lui rendre sa famille qu'il avait injustement perdu. Il avait choisit de le combler, de le rendre heureux peu importait le prix de se bonheur. Sauf qu'il se sacrifiait lui même. Son amant allait partir, il le sentait, il allait le quitter pour rejoindre Karasuno et Keiji irait certainement aussi pour retrouver sa famille, et il emporterait leur fille avec lui. Il serait de nouveau seul dans se grand château, comme petit quand ses parents étaient morts, comme quand on lui avait arracher sa famille. Il serrait à nouveau abandonner des siens, il arpentait de nouveau les couloirs désert d'un palais de pierres, il redeviendrait le roi solitaire du nord.

Kuroo avait onze ans quand un hiver ses parents l'avaient quitter tout deux emporter par la maladie, il se souvenait des pleines de neiges, il se souvenait que la neige avait recouvert le monde, de la maigreur de sa mère. Il se souvenait qu'il avait dus trop jeune reprendre les reines d'un royaume endeuiller, il c'était alors replier du monde, ordonnant que l'on ferme les immenses portes de la citée qui depuis cent ans n'avaient jamais plus été fermer, il avait ordonner que personne ne vienne plus ici. Et alors sa réputation de roi des glaces, de roi solitaire était arriver, il savait se que l'on pensait de lui loin de la cité, on le disait froid, atone, partisan de magie noir, on lui donnait le mauvais rôle. Mais il avait accepter se rôle durant des années jusqu'a se jour là, quand Kozume était arriver, frigorifier, épuiser, alors il avait ouvert les portes de la ville en même temps que celles de son coeur qu'il avait longtemps couper du monde. Et alors il avait aimer sans contée, Kozume, Yaku, Lev, il avait nouer des liens, avait remis son coeur en jeux et avait pus aimer un petit être avant même de le connaitre. Mais le voila seul.

Soudain il sentait une présence, il se redressait et sortit son épée accrocher à sa taille, la pointant vers la forme floue et sombre qu'il voyait debout face à lui. Comment avait-il pus la rater alors qu'elle était juste derrière lui? Il y avait eu un petit rire et il sentait un froid le saisir, un vent glacer entrer dans la tente et remplir la pièce, la forme prenait soudain une apparence humaine, une femme, de long cheveux brun et de grands yeux rougeoyant dans l'ombre. Il la regardait, elle avait des cornes sur la tête comme celles d'un bélier, noir, elle avait de grandes ailes sombres dans le dos, sa robe était faite de plumes noir tombant jusqu'a ses pieds. Un démon? Il avait raffermit sa prise sur son épée, la serrant plus fort, elle avait alors eu un rire cristallin et elle souriait.

-Tetsuro Kuroo...elle s'approchait et il fus paralyser, incapable de bouger comme saisit par des centaines de mains. Elle caressait son bas, remontant lentement sa mains vers sa gorge. J'ai sentis ton désespoir depuis mon palais le crois-tu? Elle faisait la moue alors que lui, son sang se glaçait. Un si grand coeur briser se fait entendre à des lieux d'ici...elle avait eu un rire sadique et appuyant sur sa joue pour y entrer ses griffes. Tu seras tellement beau une fois transformer. Elle caressait sa peau d'ou goutait du sang, il avait eu mal, au coeur, à la joue. Elle se glissait derrière lui et murmurait. Ton époux t'as abandonner, t'es parents sont morts...dis moi...Kozume Kenma t'as t-il un jour réellement aimer?

-Evidement que oui! Nous sommes mariés! Sa voix n'était pas aussi convaincue qu'il le voulait, elle tremblait et il arrivait à peine à parler. Son esprit était embrumer par la tristesse, il commençait à la croire, il l'écoutait, il savait qu'il ne devait pas le faire mais il était incapable de détourner le regard ou même d'appeler de l'aide. Il était...totalement bloquer. Il secouait vivement la tête, Kozume l'aimait, ils s'aimaient, ils étaient des âmes-soeurs. Elle avait eu un petit sourire en coin en l'entendant, si briser, si torturer, si abandonner. Tellement beau dans son désespoir.

-Mais tu l'as bien épouser lorsqu'il pensait ses frères morts? Penses-tu qu'ils les auraient quitter pour toi? Kuroo avait les larmes aux yeux car dans son esprit tout lui criait que non, il ne l'aurait pas fait. Un esprit embrumer, remplis de sombres pensées. Il ne t'aime pas, il ne t'a jamais aimer, tu lui à servis de gite et de couvert en l'absence de ses frères adorer. Il secouait la tête, elle avait tors, ils s'aimaient forcement, sinon il n'avait rien, rien du tout. Sinon il se retrouverais à nouveau tout seul! Elle lui relevait le visage, enfonçant un peu plus ses griffes dans sa mâchoire. Il ne t'aime pas...il t'abandonnera pour eux tu le sais? Il te laissera seul, tout seul...elle lui pressait l'épaule et il n'avait pas mal, rien ne pouvait être pire que son coeur briser, pire que cette effroyable douleur qui lui laminait l'âme. Tu l'as bien vue, quand ils sont là, tu n'existes plus pour lui...il restera avec eux...il se perdait dans sa voix si lente, si attirante, elle lui relevait la tête et s'approchait. Mais moi je te rendrais fort, je t'enlèverais ta douleur...je te rendrais ton époux indigne et ta fille...elle s'approchait.

Et quand elle l'embrassait il ne fus ni dégouter, ni repousser, non, il acceptait la noirceur qu'il l'enveloppait, il acceptait la douleur lancinante dans son corps, il acceptait son évidente faiblesse. Il ressentait la douleur, la solitude, il ressentait la tristesse, l'abandon, il ressentait tout plus fort au point d'en trembler et de ressentir tout le désespoir qui lui broyait l'être. Il avait mal, il voulait mourir, il voulait voir son amant, il voulait lui dire qu'il l'aimait mais rien ne vient alors qu'il se noyait lui même. Il voyait des flammes bleus l'entourer et alors, alors seulement il avait tellement mal qu'il hurlait, transperçant la nuit d'un hurlement, une supplication envers les dieux. Tuer moi....





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Satori se réveillait en sursaut, il sentait la magie dans chaque fibre de son corps, il en tremblait devant tant de puissances soudaines. Il se relevait sur les coudes, haletant, ça lui coupait le souffle, cette magie était plus qu'oppressante pour lui, il avait toujours eu des affinées avec cette discipline, étant lui même à moitié-démon, moitié elfe, il la ressentait plus que la normale. Il gémissait, c'était bien trop fort pour être quelqu'un du campement, cela ne voulait dire qu'une seule chose, une personne ayant sa puissance magique c'était infiltrer dans le campement. Et c'était normalement totalement impossible.

Satori était un demi-démons, il l'avait toujours sue et c'était depuis sa nouvelle liberté beaucoup renseigner sur le sujet, il avait lus des centaines de livres et essayer de mieux comprendre comment fonctionnait sa magie. Et pour que quelqu'un est sa puissance il fallait que se soit un demi comme lui et cela ne courrait pas les rues ou bien un vrai démons, comme ceux qu'abritait l'ancien royaume d'Aoba Josai. Mais le problème restait le même, comment est-ce qu'un démon avait pus s'infiltrer ici avec tout les mages, comment avait-il pus concentrer autant d'énergie?

Il se levait et attrapait une chasuble qu'il enfilait avec un dessous avant de pieds nus se précipiter à l'extérieur, la fraicheur de la nuit le saisit mais la magie l'oppressait toujours. Elle était brulante, puissante et démoniaque, il fermait les yeux, respirant, cherchant à trouver la source de cette énergie. Finalement il se mit à courir vers l'endroit désigner, ses sens en éveilles, ses pieds le brulaient presque, il transpirait et pourtant tout son être lui hurlait de courir vers la magie présente. Si c'était vrai, si il avait vus juste alors toutes les personnes présentes ici étaient en danger de mort imminente ou alors au moins de destruction. Il manquait de bousculer un garde dans sa course mais n'y faisait pas attention, une tornade de flammes bleus venait de transpercer le ciel, ses doigts lui piquèrent, sont être reconnaissait la magie qui ressemblait à la sienne. Il manquait de déraper, regardant avec horreur ses flammes si chaudes dans le ciel.

Il entendait les cries, les hurlements résonnaient dans tout le campement alors que hommes et femmes sortaient en courants de tentes qui prenaient feux, il voyait les flammes prendre peu à peu de plus en plus de place, le campement se transformait en brasier géant. Il sentait son ventre se serrer, son instinct de survie lui hurlait de s'enfuir, de protéger son enfant mais celui de sorcier et démon lui hurlait de trouver la créature qui avait osée s'aventurer ici. Il entendait les cornes de brunes sonner et il voyait soudainement les hommes arriver, les gardes étaient en armures alors que les autres étaient comme lui, en chemise de nuit, tors nue, pieds nue, un pantalons parfois, en dessous d'autres, des chasubles courtes. Armée d'épée, d'arc, de lances ou mêmes de sabres. Il s'approchait, les flammes étaient plus que brulante. Soudain un crie et il vit une silhouette sortir des flammes, un garde de Nekoma, il portait une femme dans ses bras, elle s'en échappa et courut alors qu'il tombait au sol, ses vêtements étaient bruler et fumants, sa peau rougit et ses doigts à la peau presque bruler, ses cheveux avait bruler sur les pointes. Il vit trois hommes le trainer et l'éloigner des flammes. Satori voyait soudainement un homme à ses côtés, ses yeux jaunes brillaient des reflets de flammes bleus, il portait une chemise noir et un pantalon de la même couleurs, pieds nue également.

Satori le vit dans un état similaire au sien, en sueur, tremblant également. Un autre demi? Ici? Puis il le reconnue, le roi Bokuto de Fukurodani, héritier du trône. Il fronçait les sourcils, ils ne se connaissaient pas mais apparement ils avaient quelques points communs comme leurs héritage démoniaque mais si, le plus musclée ne semblait pas savoir son ascendance démoniaque. Il regardait les flammes puis les hommes derrière eux, ils ne pourraient rien contre la créature qui avait lancer cet incendie, il fixait son ventre, il lui fallait prendre se risque.

-Reculez!!! Satori les regardait avec son regard le plus terrifiant. Un de ses soldat tirait les autres vers l'arrière, un de son royaume qui l'avait reconue . Reculez ou vous allez mourir bruler!! Il fixait maintenant son voisin qui le regardait. Majesté, Satori Tendou, sorcier et demi-démon au service du roi Ushijima. Bokuto ouvrait la bouche de surprise mais le rouge ne s'en formalisait pas, trop habituer sans doute et continuait toujours aussi sérieux. Dites à tout le monde de quitter le campement, aider les blesser et emmener le dans la plaine! Je vais arrêter la créature mais il faut que vous soyez partit! Il le fixait. Dites au mages de monter une barrière magique autour de vous, ne laissez personne s'approcher!

Bokuto le regardait très sérieusement, Satori se sentait transpercer de toute part mais ne bougeait pas, il ne céderait pas. Le gris regardait un instant les flammes et finalement hochait la tête, attrapait un des hommes et le jetait vers la sortie avant d'hurler le replis générale vers les terres, vers les plaines. Le sorcier voyait les hommes et les femmes courir vers se lieux sans se retourner, les blessés étaient trainer ou porter, il voyait les gardes aider au replis des hommes.

Il fermait les yeux, se concentrant, la magie était comme le sang pour lui, ça s'écoulait en lui, naturellement, fluide, ça parcourait chaque minuscules fibres de son être, il pouvait la ressentir vibrer à chaque battements de coeur. Il la sentait l'envelopper, le protéger, il pouvait lui donner forme, la laisser libre, la sortir de lui, l'emmagasiner, un peu comme s'il la contrôlait parfaitement. La magie était partout, dans l'air, l'eau, le feux, la terre, elle était dans chaque minuscules formes de vie, il suffisait de la sentir. Par sa nature il avait des sens plus développer que les autres, la ressentait mieux, pouvait mieux la contrôler mais surtout il en avait beaucoup plus que n'importe quel mage de se continent. Il la sentait, comme un liquide doré qui coulait en lui, sa magie était violette, presque bleu, il la voyait, la sentait. Il encrait ses pieds dans le sol, aucun humains à la ronde sur plusieurs mètre, il ressentait une forte concentration magique vers l'Est, la ou les gens devaient c'être rassembler et que les mages devaient monter la barrière magique.

Il les rouvrait et libérait sa nature démoniaque, il devait être au maximum de ses capacités. Sa peau devient noire, deux ailes lui sortirent du dos, noir, osseuse, couvertes de plumes noir, des cornes lui poussèrent sur le crâne, s'enroulant sur elles mêmes, il sentait ses sens devenirs beaucoup plus puissants, ses muscles le tirait, il regardait son ventre, toujours arrondit. Il fermait les yeux, il se concentra, devant ses yeux c'était comme s'il voyait son corps de l'intérieur, il regardait la bulle dans laquelle une forme encore en formation flottait. Il souriait. Il vit une sur-bulle doré se construire autour, protégeant son bébé s'il devait lui arriver malheur, hors de question de mètre sa vie en jeux. Hors de question de risquer de le perdre.

Il ouvrait les yeux, ses iris rouge brillaient et sa pupilles était blanche comme la neige. Il fixait les flammes, ainsi il voyait les formes noir des démons au milieu du cercle de flammes. Il s'éleva dans le ciel et ouvrit les mains, des flammes violettes en sortirent, il avait oublier combien il aimait cette sensation de puissance, de liberté totale par moments. Il s'enfonça dans les flammes, ne ressentant plus les brulures, il arrivait au centre sans encombre, sous sa forme de sorcier peut-être le démon avait eu une chance de le battre, maintenant qu'il était sous sa forme démon, il n'en avait plus aucune. Il souriait presque. C'était une jeune démon, ses ailes étaient encore plumeuses et ses membres tremblaient d'utiliser autant de magie d'un coup, ses cheveux brun volaient autour de sa tête. Elle tournait les yeux vers lui avant de sourire, il remarqua les deux autres formes et soudain son sang se glaça.

Tetsuro Kuroo le regardait, sa peau devenu diaphane, ses yeux rouges, de longues ailes de corbeaux dans le dos, des cornes sortaient de son front et des cantines étaient sorties, il semblait dévaster par une souffrance inimaginable et à ses côtés, une femme, un démon, ses cheveux étaient soigneusement tresser et ses yeux était écarlate, son sang devient bouillant. Shini, démon majeur du royaume d'Onyx, dieu de la mort se tenait devant lui. Soudain l'issue de se combat devient beaucoup plus incertain et il la fixa sortit une longue épée fumante de sa robe, peut-être bien que oui, il allait mourir.









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Hinata hurlait, de peur, d'horreur, il voyait depuis la barrière magique, des gerbes de flammes violettes affronter celles bleu, il voyait les ciels de la nuit prendre les couleurs de la batailles devant ses yeux. Il n'y avait pas de mots, pas assez pour d'écrire son effrois, c'était impossible, leurs ennemis ne pouvaient pas être aussi puissants, ils ne pourraient pas les battre, pas sans magie.Il revoyait ses flammes prendre sa maison, emporter sa famille, c'était celles de ses cauchemars. Il sentait la vague de magie les balayer, heurtant le mur, pourtant c'était comme un coup de chaleur, mortel, s'ils avaient été encore la-bas, ils seraient partit en fumé exactement comme les toiles blanches qui brulaient devant eux.

Puis soudain deux formes noir se sont envoler dans le ciel, les gerbes de flammes les suivaient, traçants des sillons de couleurs brulants dans le ciel noir sans étoiles. Puis une explosion, deux autres et finalement une forme qui fonce vers l'autre, les couleurs se mélanges. On dirait des étoiles filantes, très proches, assez pour sentir la chaleur d'ici, mais c'est rapide, puissant et pourtant brillants. Comme si, elles allaient se heurter et que tout allait exploser. Il hurlait en voyant celle violette s'arrêter, la forme noir qui tombe dans le ciel et finalement à la dernière minutes une explosion bien plus puissante que tout se qu'il avait un jour contempler remplis de ciel. Il fermait les yeux sous le flash lumineux, sa lui brulait presque les poiles. Il entendait une exclamation, Tobio à ses côtés fixait le ciel, incapable de détacher ses yeux du spectacle face à eux. Il agrippait sa main alors que la foule hurlait, il la serrait plus fort, il ne pouvait pas le lâcher, il ne pouvait le perdre, une des créature venait vers eux, des flammes écarlates dans son sillages, une femme, très pale, il reculait en la voyant tendre la mains. La chaleur était moins forte, les flammes moins lumineuse mais la peur lui dévorait littéralement les entrailles.

Il reculait d'un pas alors que la forme se rapprochait de plus en plus vite, puis soudain une forme s'interposait, celle qui dégageait des flammes violettes et brulante, il voyait tout juste des ailes osseuses et des mèches rouges avant que l'autre forme était renvoyer par une explosion puissante. Il entendait des hurlements et qui même entendre un « Tendou-sama!!! » résonner plus fort alors que la forme violette repartait à toute vitesse vers le campement. Tobio se rapprochait encore plus, broyant sa main comme par peur qu'il ne disparaisse consumer dans les flammes. Puis des flammes noir et soudain un froid polaire, la chaleur qui quittait son corps et il frissonnait. Elles étaient très différentes, lente et froides, il voyait un homme en sortir, de longues ailes de corbeaux dans le dos, il le voyait prendre de la hauteur et soudain la forme aux flammes rouges vient et lui saisit la nuque, les flammes noirs disparurent et la forme tombait au sol. Il hurlait encore plus, de peur, c'était forcement un cauchemar.

Il la voyait disparaitre dans une fumée noir et la forme bleu devient plus forte, la violette planait pas très loin d'eux et il voyait du coin de l'oeil les gardes de Shiratorizawa se tendres alors que la rouge revenait encore plus vite, les menaçant avant de la violette ne lui fonce dessus. C'est à se moment là qu'il comprit que la créature les protégeait des autres, il vit les sorcier faiblir et regarda Kei qui serrait les dents en tenant son sabre à la main, prêt à éventrer la première créature passant par là. La magie ils la sentaient aussi, plus que les humains car ils étaient des elfes mais contrairement à la forme violette, ils ne savaient pas la manier, ils étaient bien trop jeune à l'époque. Puis finalement il vit la forme violette embrocher la rouge qui tombait au sol avant de disparaitre. Et soudainement une forme doré et une autre orange apparurent près de la bleu, elles crépitaient et ils les voyaient si rapide.

Il sentait soudain une vague de magie derrière lui et se retournait, Bokuto dégageait une auréole jaune qui crépitait autour de lui, des ailes blanches sortaient de son dos et des cornes avaient parce son crânes alors que sa peau était devenu noirs et ses yeux entièrement jaunes. Il reculait effrayer alors que Keiji pale comme la mort regardait son amant qui tendait la main vers lui, Hinata se tendait alors que Kei serrait la poigne de son sabre. Puis Bokuto caressait la joue de leur frère avant de donner un coup de pied sur le sol et de s'élever dans le ciel perçant la barrière magique avec tant de facilitée que s'en était effrayant. Il voyait tout juste la jaune foncer vers la doré et la orange, leurs puissances étaient effrayantes mais bien moins que les deux autres qui tourbillonnaient toujours plus haut dans le ciel. Puis soudainement une explosion violette remplissait le ciel, encore plus forte que la précédente et le calme retombait, il voyait un éclair doré puis plus rien. La fumée arrivait vers eux et il fermait les yeux en entendant les hurlement des autres.

En rouvrant les yeux il voyait la barrière se détruire d'elle même, les sorciers fixants leurs mains, l'explosion venait de détruire leurs barrières en deux secondes. Il se tournait vers le ciel, plus rien, il était redevenu noir, il voyait au loin, le soleil qui apparaissait de derrière les montagnes, il voyait les rayons orange éclairer le nuage de poussières et de terre qui leurs brulaient les yeux, puis finalement il se dissipait après de longues minutes, une étendue de terre bruler était à la place du campement, il voyait des vestiges de tentes et de poutres en bois au sol, bruler et déchirer. Il n'osait pas s'avancer pourtant soudainement Keiji lui passait devant, courant, il l'entendait hurler, sa voix était briser, il l'entendait se briser les cordes vocales, plus fort, il l'entendait appeler le roi, son amant, le gris avec désespoir.

Puis il voyait le roi de Shiratorizawa hurler aussi, courant vers le campement, ses pieds nues soulevait de la terre, vite suivit par les deux armées, il voyait un jeune bruns pleurer en hurlant des «Tendou-sama!! » de plus en plus fort. Il voyait des gens fondre en larmes et soudain ses jambes fonctionnèrent. Il s'approchait et vit des formes allonger au sol, plus loins comme si elles avaient été propulser par la force de l'explosion. Il en voyait une bouger, remuer il voyait une des forme se redresser faiblement et plissa des yeux avant d'hurler d'effrois.

Devant lui, Koutaro Bokuto, un bras arracher se tenait, assis, ses yeux vitreux, fixant le vide, du sang recouvrant son crâne et son tors, il hurlait encore plus fort en le voyant s'écrouler au sol dans un bruit sourds, à ses côté, Satori Tendou était étaler, une plais béante en plein milieu du ventre et à coté de lui, cacher sous une de ses ailes bruler, un bébé, rose et petit hurlait.

Un crie qui disait « Sauvez moi ».

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