Chapitre 1
Heyyyyyyy....alors alors? Comment allez vous? Le prologue vous à plus? Je l'espère car me voila avec le premier chapitre. Il est long aussi. Alors il va y avoir pas mal d'information dans se chapitre donc si quelque chose vous échappe n'hésiter pas à me demander.
Très bonne lecture!
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Hinata regardait avec tristesse le campement militaire, du haut de ses dix-sept ans il se trouvait bien jeune pour combattre des démons mais c'était le rôle des héros, son rôle, celui des chevalier après tout. Il ne regrettait pas sa décision d'être entrer dans les force militaire de Karasuno, non, il y avait beaucoup réfléchit et savait que la guerre l'attendait. C'était simplement compliquer d'accepter que maintenant, il irait combattre. Il enfilait ses bottes en cuire, malgré les années il ne se faisait pas aux tenus des humains, les manches étaient étroites et longues, le tissu épais, les bottes hautes sans lacets. Il enfilait ses gants en cuire, il ne portait pas d'armure en dehors d'un court plastron de cuire bruns, et ceux malgré les inquiétude des autres au sujet de sa sécurité. On oubliait parfois qu'il avait apprit à se battre dans les champs verdoyant, dans un monde ou les armures étaient légères comme de la soie. Il regardait les couleurs de ses vêtements, d'un vert foncer et d'un brun sans saveur, bien loin des étoffes claires de son enfance doré. Secouant la tête, il mit son épée dans son fourreau, prenant seulement sa lance, une belle pièce, fait de bronze céleste, un cadeau de son père pour son dixième anniversaire. À l'époque il était trop petit pour la manier, bien trop petit, elle était presque aussi grande que l'était Koshi, maintenant elle faisait sa taille, parfaitement adapter à ses muscles puissant et à sa silhouette.
Il sortait de la tente, le campement en était un regroupement assez grand avec quelques feux de camps par moment, les tentes étaient blanches, les drapeaux flottant au vent au sommet de certaines. Tout autour il n'y avait que de grandes pleines et des forets sombres, celles qui bordaient le royaume de Karasuno, celles qui le séparait de son enfance et de la cité de marbre blanc.
Il était arriver ici par hasard, après son arriver dans se royaume de l'ouest, prêt d'un lac immense, il y avait passer son adolescence avec Sugawara et Tsukishima après tout. Ses frères et lui avaient galoper durant des jours durants, ne s'arrêtant jamais, l'adrénaline les gardant éveiller avec la douleurs. Le souvenir de leurs fuites à travers les terres, galopant sur leurs chevaux épuiser, laissant derrière eux une cité en cendre, des corps encore fumants, des années plus tard il se rappelait encore de l'odeur de souffre et de décomposition, des craquements des os sur lesquels il marchait, les yeux ouvert des cadavres qu'il avait croiser, des flammes, flamboyantes et brulante d'un bleu singulier. Puis au milieu du tableau de cauchemar il se rappelait du corps embrocher de leur père, la tête pendante d'un côté, il se rappelait des hurlement de ses frères et surtout, il revoyait Oikawa épée sous la gorge leur hurler de fuir. Le sang avait giclé jusqu'a son visage quand le démon avait enfoncer la lame dans la poitrine de son frère. Il revoyait ses grands yeux chocolats briller de larmes amer, les yeux de Kozume d'un doré tendre, il revoyait parfois des bribes de souvenirs mais aucun n'était plus douloureux. Il c'était accrocher à Sugawara qui tirait Tsukishima avec lui, les montant sur un cheval, partant au grand galop en pleurant. Hinata se rappelait des larmes de son frère dans son coup, que sa robe sentait le sang. Il n'avait aucun réel souvenirs du massacre, simplement un réveil brutal en pleine nuit par sa mère accompagner de Kenma qui pleurait et tremblait de tout son long, quelque morceaux détacher, quelque moments qu'on lui avait raconter.
Shouyou fermait les yeux, s'interdisant cet instant de faiblesse, il ne devait pas y penser, pas maintenant, ses frères et sa soeur étaient mort, sa mère aussi, son peuple avait périt se jour là. Se jour là, il avait soudainement quitter l'enfance, se jour là, tout avait disparut dans une nuage de cendre, son monde c'était briser et rien ne pourrait le réparer. Il quittait sa tente, rien ne servait de s'en rappeler. Doucement il allait jusqu'au garçon brun assit un peu à l'écart, en équilibre sur une bûche de bois, se taillant une flèche. Il relevait la tête en l'entendant arriver et ses yeux bleu nuit se posèrent sur lui, un frisson le parcourut et il s'assit à ses côté sans un mot.
Kageyama regarda le drôle de petit homme assis près de lui, le roux était bien plus petit que lui, pourtant ils avaient le même âge, le plus petit avait aussi moins de muscles visibles, pourtant il avait une puissance digne des elfes réputer extraordinaire. Cependant ses compétences à l'arc laissaient à désirer pour quelqu'un de son espèces, remarque les siennes à l'épée était médiocre aussi. Il secouait la tête et le regardait dans sa tenue de combat, il était rayonnant comme personne, des cheveux flamboyant, des yeux dorés et brillant de vie, une peau de porcelaine. Pourtant son visage avait encore des trais de l'enfance, une mâchoire un peu ronde, un front un peu trop grand, tout cela entremêler à des pommettes saillantes et un nez droit et fin. Mais il restait rayonnant, pourtant alors qu'il avait prit l'habitude de voir le plus petit porter des vêtements claires voir déambuler en longues robes de chambres blanche pieds nues, il le trouvait vêtus de couleurs sombres et fades sur lui. Il avait l'habitude de ses tenus extravagante, de ses chasuble colorée, de ses pieds nues sur le carrelage glacer des couloirs, les pieds enfoncer dans l'herbe tendre des jardins. Car Shouyou était comme cela, un prince qui n'en avait pas l'air, un prince qui loin d'aimer les balls et les étoffes en fourrures, préférait mille fois les robes blanche des nuits d'été. Quelque chose qu'il aimait chez lui. Tobio s'avouait sans peine aimer son ami depuis maintenant de longues années, depuis qu'il l'avait vus dans la salle du trône, accrocher à la chasubles sanglante de son grand frère, pleurant toutes les larmes de son corps chétifs, depuis que leurs yeux c'étaient croiser et qu'Hinata avait miraculeusement arrêter de pleuré. Car ses yeux ne l'avait jamais autant marquer que quand il les avait vue pour la première fois, d'un doré brillant, presque comme le soleil. Mais ils étaient encore jeunes, ils avaient du temps, il avait du temps pour avouer ses sentiments au plus petit. Il se contentait de le regarder fixer silencieusement le ciel gris, il n'avait pas sa joie habituel, pas sa vitalité naturelle.
« Hinata, tout va bien? Sa question était sortit toute seule et le rouquin sursautait en le regardant, il lui semblait voir de la détresse dans ses pupilles dorés mais le plus petit ferma les yeux et souriait doucement. Un sourire que sonna étrangement faux aux oreilles du brun en le regardant, trop tendu, trop grand, pas naturel.
-Evidement Bakageyama! Le surnom ne trompait personne, en tout les cas pas lui, ils se connaissent trop bien pour qu'il y croit. Le plus petit lui mentait ou lui cachait quelque chose d'important. Dans tout les cas, il tiqua et le regarda avec une mine blesser. Ils se disaient presque toujours tout normalement ou en tout cas, ne se mentaient jamais, leur relation reposait sur la confiance. Le Roux ouvrit les yeux et sourit doucement en voyant son air crisper. Je...je pensais à mes frères à dire vrai...
Il y eu un léger silence, un silence alors que Tobio se tournait vers lui, il le regardait, jamais son ami ne lui en avait parler, par pudeur ou par peine. Il hésitait un instant, ils étaient proches, vraiment, mais était-ce assez pour oser lui poser des questions? Assez pour voir son visage torturer par les fantômes du passer? Il déglutissait avant de finalement souffler tendu.
-T'es frères? Kageyama n'entendait jamais parler de l'enfance de son ami, il était très secret dessus alors qu'il, normalement, parlait de tout. Alors il se rapprochait un peu et s'asseyait à même le sol pour être à la hauteur du plus petit qui secouait la tête tristement. Ses boucles rousses un peu longues tombaient sur ses joues blanches, frôlaient doucement sa nuque, ses oreilles à peine visibles, longue, blanche, aux anneaux dorés.
-Je...je repensais au jour ou ils sont morts. Il regardait le brun et souriait, pour une fois, oui, il avait envie d'en parler à quelqu'un, juste un peu, certainement car à ce garçon, il lui confirait sa vie sans hésitation. Il fermait les yeux et soufflait. Je viens d'un pays au nord, près des montagnes enneiger, tu aurais aimer je pense ma ville. Kageyama l'écoutait avec attention, son ami parlait avec une profonde affection de cette ville. Elle était construite dans du marbre blanc, l'hiver le feux se reflétait sur le marbre alors que l'été, le sol était froid et brillait sous les rayons du soleil. Il souriait, il revoyait le lac turquoise, le soleil et ses frères. Un à un, comme un tableau cauchemardesque. Kei et moi, nous aimions courir dans les couloirs, cela rendait Oikawa totalement fou! Un silence alors que le rouquin se rappelait encore des remontrances amuser de son ainé quand il les attrapaient. Ma cité était sublime, remplis d'arbres aux fleures éternels, des fleures embaumants les jardins, quand je ferme les yeux...il inspirait...je sens encore le parfums des cerisiers en fleures. Il souriait et son sourire se fissurait doucement. J'ai eu cinq frères, tous plus vieux que moi. Kageyama était fils unique, il n'imaginait même pas l'agitation que cela devait être d'avoir autant de frères dans une maison. On avait pas la même mère que Tooru et Koshi mais je crois bien que maman les aimait comme elle nous aimait. Il souriait. J'étais le plus petit avec Natsu, notre soeur, alors forcement on s'occupait tout le temps de moi. Ses yeux brillaient de larmes. Kozume jouait avec moi au ballon en été, quand il ne faisait pas trop chaud. Mon frère avait vite de la fièvre, Koshi aussi, ils avaient la santé fragile c'est pour ça qu'ils n'apprenaient pas à se battre. Il fixait le ciel, une larme dévalait sa joue. Kageyama imaginait sans peine le royaume féérique, le lac aux reflets turquoise, le palais de marbre banc, il souriait en entendant le roux parler de ses frères, de sa soeur, de sa mère, ils semblaient terriblement proches.
Il regardait l'elfe avec tristesse, son ami semblait avoir mal au coeur d'en parler, semblait avoir mal au coeur de repenser à son enfance doré avec sa fratrie dans une ville blanche. Quand il parlait de son pays, c'était avec dévotion, avec tendresse comme si les souvenirs lui réchauffait l'être, quand il lui parlait de sa ville, le brun avait presque l'impression d'entendre les musiques résonner, quand il lui disait qu'il aurait aimer le pays du roux, il le croyait aussi. Hinata avait toujours eu cette part sensible qu'il ne montrait pas souvent, mais là, elle vibrait presque en lui, le roux pleurait. Des perles nacrées qui dévalaient en courant ses joues porcelaines, qui roulaient sur le coin de ses lèvres, tombait sur sa nuque. Car les souvenirs étaient aussi beaux que douloureux. Car avec venait la vague de regrets habituel, ceux qui le détruisaient doucement depuis des années. Le brun hésitait et se rapprochait, leurs épaules se touchaient, leurs hanches aussi, leurs mains se frôlaient. Hinata tournait la tête vers lui, il eu un faible sourire, ses yeux voiler.
-Raconte moi, comment était-ce ton royaume? Le plus petit avait eu un faible rire qui faisait trembler ses épaules, il souriait et secouait la têtes, ses ondulations rousses illuminant son visage pale. L'humain avait eu un sourire tendre et sentait son ami soupirer doucement.
-Magnifique. Ce n'était qu'un faible murmure mais Tobio l'entendait clairement. Je n'ai rien vus d'aussi sublime dans ses terres. Parfois, au coucher du soleil, les coupoles de verres reflétaient la lumière rougeoyante de l'astre et cela illuminait toute la ville, c'était sans pareil. Il soufflait. Je me souviens, parfois j'accompagnais ma mère marcher au petit jour, Kei venait aussi, nous courions sur les galets près du lac, nos pieds étaient mouiller, je revois encore ma mère dans ses robes colorée. Il fermait les yeux. Elle était belle ma mère...
Kageyama savait que Shouyou ressemblait beaucoup à sa mère, bien plus que ses frère, Koshi l'avait dit une fois à Daichi alors qu'Hinata dormait. Il lui avait dit qu'il avait les cheveux roux de leur mère et de leur soeur avec les yeux doré de leurs père, qu'il avait eu le meilleur des deux. Koshi ne ressemblait pas à Hinata, vraiment pas, ses cheveux argenter rappelaient la lune et ses yeux noisette brillaient de douceur. L'ainé avait la douceur, la bienveillance des sages, il avait toujours été calme, peut-être grâce à ses années supplémentaire ou à sa sagesse. Il fixait alors le roux, s'il tenait de sa mère alors la femme devait être d'une rare beauté, on la disait d'ailleurs aussi belle et délicate qu'une rose, durant son enfance il avait entendue parler de cette cité de marbre et du roi, parfois on parlait également de ses fils tous plus beaux que les autres et de sa troisième épouse. Sa mère, femme de compagnie de la reine, lui contait parfois, la nuit, ses mythes de ses lointaines contrées. Le brun avait grandit avec ses images dans la tête, puis il avait rencontrer ses princes, d'une incomparable beauté.
-Je suis certains qu'elle l'était. Il soufflait alors que le roux hochait la tête. Parle moi de t'es frères, tu n'en parle jamais. Hinata fermait les yeux et une larme coulait encore, ses frères lui manquaient tellement.
-Je...Tooru était le plus vieux de nous six, il était beau comme un dieu d'après notre père, l'intelligence des sages mais moi, je me souviens du grand frère qui me portait sur ses épaules, qui riait tout le temps et jouait avec nous dans l'eau. Il souriait avec tristesse. Je me souviens de nos jeux dans les couloirs. Il riait doucement, ses épaules en tremblaient. Je me souviens qu'avec Koshi ils s'occupaient tout le temps de nous. Oui, ils avaient été ses modèles. Mon souvenir le plus présent c'était un jour enfant ou je l'avais vus dans la salle des arme, arc à la main, il était aussi agile qu'un chat, la vus d'un aigle et la rapidité d'une guépard, je revois sa peau couverte d'huile, sa flèche qui part droit, fatale vers la cible. Il posait ses yeux dans ceux écarquillés de Kageyama. C'était la première fois que j'avais cette impression de puissance, tu...sa voix se brisait et il regardait Tobio avec une sorte d'admiration et de désespoir. Tu me le rappel beaucoup; je crois que tu l'aurais trouver impressionnant aussi...le brun hochait la tête sourit doucement.
-Il semblait être incroyable, et Koshi, à qui ressemblait-il plus jeune? Tobio avait une profonde affection pour le plus vieux, ainsi qu'un respect rare venant de lui. Il n'avait jamais rien sue sur leurs enfances et maintenant qu'il pouvait en savoir plus, il bouillonnait de questions en tout genres. Pourtant alors que Shouyou fermait les yeux un instant, respirant doucement, ses oreilles basses, Kageyama se demandait si le coeur du roux n'allait pas lâcher.
-Je...je me souviens qu'il s'occupait de nous tous comme une mère, même de Tooru qui était plus vieux. Il souriait doucement. À dire vrai je me souviens surtout de sa voix quand il nous chantait des chanson dans notre langue traditionnel, je me souviens aussi de sa silhouette avec son voile sur le visage, je me souviens des couronnes de fleures qu'il nous tressait. Il avait eu un léger frisson. Koshi était le plus calme d'entre nous, le plus gentil aussi, il ne s'énervait presque jamais...il..s'arrêtant il se souvient de ses journées de fièvre...mon frère est très fragile depuis sa naissance, il faisait facilement de la fièvre ou même se sentait affaiblie. On avait toujours peur pour lui...il souriait. Je me souviens du thé que l'on buvait le matin, c'était les rares moments ou il ne portait pas son voile...un soupire. Je...je n'ai pas beaucoup de souvenirs à dire vrai, j'étais trop jeune quand nous sommes partit. Kei...sa voix craquait. Kei dois en avoir plus que moi...
Le plus petit avait un frisson, son frère et lui ne c'était pas revue depuis des mois, bientôt un an, quand son frère était partit du palais pour rejoindre un bataillon d'élite de l'armée, quand Tsukishima avait décider de mettre sa vie au service de celles des autres. Hinata contait le faire aussi dès qu'il aurait dix-huit ans, sois l'année prochaine, Kageyama contait également le rejoindre. Le rouquin savait que son frère n'était pas facile à aimer, plus jeune il était plus souriant, plus rieur aussi, ils s'amusaient beaucoup ensemble mais il y a des blessures que le temps n'efface pas, celle de perdre leur royaume et leur famille en faisait hélas partit, le blond était plus vieux que lui à cette époque, il avait vus leur père se faire tuer, il avait été blesser, il avait vus comme lui Oikawa mourir, il savait que Kei était avec Akaashi à se moment là. Son frère était arriver seul jusqu'a eux en pleurant toutes les larmes de son corps. Depuis il semblait vide, épuiser et détruit, Hinata l'était aussi, sans eux, la vie n'avait aucune saveurs mais il s'efforçait d'avancer encore et encore pour pas que ses frères sois tristes et s'inquiètent pour lui. Oui, Shouyou avait voler en éclat des années plutôt, il avait exploser quand le crie de Kozume avait résonner, quand sa mère lui avait donner sa lance et l'avait pousser loin. Sa mère lui avait toujours dis que personne ne partait jamais totalement, que tout le monde restait à jamais ensembles tant qu'il les garderait dans son coeur. Et jamais il n'avait même oublier ses frères, sa mère, sa soeur, son père et son pays natale, ça resterait à jamais les plus belles années de sa vie, quand il se sentait complet et comblé, quand il pouvait encore être innocent.
-Je...Akaashi était...sa voix se coupait et il soufflait. C'était le plus discret d'entre nous, pourtant il était très gentil et acceptait toujours de jouer avec nous ou de s'entrainer, je crois que...un sanglot...je crois que j'ai jamais manier la lance sans lui pour me conseiller avant sa mort. Il riait doucement, des centaines de souvenirs en tête, des centaines de merveilleux moments. Mon frère était hyper protecteur avec nous, surtout avec Koshi et Kozume! Kageyama pensait qu'Hinata avait hériter de cette manie de toujours vouloirs protéger les autres de son frère. Kozume...je...on était vraiment très proches tout les deux, on était aussi très différent, je ressemblais vraiment à Oikawa parfois...son sourire se fanait et ses yeux se remplirent de larmes. Mais on était une famille et...et ils me manquent toujours...sa voix se brisait et il fondait en larmes. J'aurais aimer les voir grandirent, j'aurais aimer les voir trouver l'amour, j'aurais...j-je...il manquait de souffle et sanglotait sous le regard impuissant de Kageyama. J-je...tout se que j'ai....je d-donnerais tout se que j'ai pour être encore avec eux...
Le plus grand l'attirait dans ses bras, il le serrait le plus fort possible contre lui, manquant de lui briser quelques côtes, le rouquin s'accrochant fermement à sa chasuble. Il lui caressait les cheveux, ses pleures lui brisaient le coeur mais il ne pouvait rien faire pour les apaiser, oh, s'il avait pus les faire revenir ses frères, s'il avait pus même les sauver, il l'aurait fait, sans aucun doute, il les aurait sauver qu'importe le prix. Même s'il avait dus perdre Shouyou pour cela. Mais maintenant que pouvait-il faire? Il ne pourrait jamais remplacer ses frères, il ne le veut même pas, il ne pourras jamais les ramener non plus, alors que ça, il le souhaiterait, il veux qu'Hinata sois heureux. Mais il n'est pas ses frères, il ne peut pas se battre contre ses fantômes, contre des souvenirs, contre un vivant il aurait soulever des armées. Il le serra plus fort et ferma les yeux, il repensa à sa mère, lui aussi avait perdu quelqu'un, à un moment, il avait eu mal. Il pressait le petit contre lui et se mordit la joue.
-Je...je pourrais jamais ramener t'es frères, je pourrais jamais les remplacer non plus. Sa voix se fis plus faible, plus calme aussi. Mais je voudrais te rendre heureux maintenant, dans cinq ans, dans dix ans ou dans cinquante. Il le serrait contre lui alors que le plus petit hoquetait contre sa nuque. Je...je voudrais que tu sois heureux...Hinata hochait la tête doucement en pleurant toujours, Kageyama fixait le ciel d'un gris perle, et eux alors, qu'est-ce qu'ils attendaient pour l'aider à rendre leur petit frère heureux?
-Je...j-je...je t'aime tu sais? Kageyama le serrait contre lui et Hinata lâchait doucement. Alors je t'interdis de mourir avant que l'on n'est été heureux ensembles...le brun sursautait d'un coup avant de le serrer doucement, plongeant son visage dans les ondulations rousses, incapable de le relâcher.
-Je t'aime aussi, je te le promet...il soufflait doucement, une larme coulant sur sa joue alors que le roux pleurait toujours en s'agrippant à lui encore plus fort. Je te promettrais tout se que tu voudras...
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Les trompettes sonnaient en coeur, ça faisait trembler les murs de la cité, les chevaux étaient déjà exciter, tous regrouper sur la grande place, prêts à rejoindre le royaume de Karasuno pour la guerre contre les démons, ils étaient tous vêtus de leurs tenus de combats, les hommes portants de sombres armures noirs, des capes noirs dansant sur leurs épaules, les capuches rabattue, un hiboux argenter sur le dos, leurs chaines blanche autours du coups, marquent des chevalier de Fukurôdani. Le royaume de l'Est avait tout de suite rassembler ses hommes quand le monarque de Karasuno avait demander leur aide pour combattre la menace démoniaque venant d'Aoba Josai.
Le royaume de l'Est avait peu de relations avec l'extérieur en dehors de leur forte amitié avec le royaume Nekoma au Nord du continent, le pays ne tenait pas vraiment à se mêler aux affaires des autres, il était secrets, riches et n'avait pas besoin de faire du commerce pour prospérer. Même son alliance avec Nekoma restait purement amicale et les deux royaumes n'avaient plus de contacte depuis la destructions d'Aoba Josai, six ans plutôt. Le massacre qui avait en trois lune dévaster le pays, avait également diviser les nations, les royaumes se préparant à la guerre et soupçonnant leurs voisins d'êtres responsables. Mais Fukurôdani, était de ceux qui ne tournait pas le dos aux malheureux, encore moins quand la menace touche le monde entier. Malgré cela, le pays n'avait pas chercher à nouer contacte avec les autres, le peuple était mieux que bien portant, les villes riches, les campagnes abondantes de nourriture, la pèche grâce à la mer qui bordait la côte Est, permettait un marcher fleurissant. Pourtant se petit royaume avait accepter de les aider sans même réfléchir, leur déesse protectrice Adoméra était celle de la nature et des animaux, bienfaitrice et protectrice des humains. Ils avaient accepter. Puis le nouveau roi, un jeune prince de tout juste vingt ans avait décider que libérer le royaume de la menace était tout naturelle vus le nombres de mages blanc qu'ils avaient. Le peuple enthousiaste avait prit les armes, lances, épée, dagues, flèches et arcs, celer les chevaux sans attendre et les voila, quelques jours après, sur leurs montures près à partir en guerre.
Le bruit des sabots qui frappaient les paver raisonnaient, celui des armes qui frappaient les besaces, celui de la respiration des centaines de soldats réunis, la fumée qui s'échappait des naseaux de chevaux. Il faisait encore nuit mais le ciel était recouvert de nuage gris, épais, cachant un ciel bleus presque noirs, le froid saisissant leurs corps pourtant sous leurs épaisses chasubles et côtes de mailles. Les lumières des maisons illuminait la ville, dedans, femmes, hommes et enfants voyaient leurs vaillants soldats partirent sans promesse de revenir, les enfants pleuraient, mouchoirs à la main. Des fleures avaient été jeter sur le sol de pierres pour leurs souhaiter bonne chance le soir même, pourtant l'ambiance n'était pas aux rires, pas à la fêtes, il n'y avait presque aucune paroles.
Soudain un jeune homme aux cheveux bruns mécher d'argenter et de blanc traversait la troupes, son étalons noir onyx frappait le sol de ses sabots, une mélodie battant la mesure. Sa tenue était semblable à celle des autres en dehors de sa chaines, au bout, le symbole royale brillait d'un argent lumineux, une chouette à l'intérieur d'une demi-lune autour d'un soleil. Ses yeux jaunes parcouraient la foule, un mouvement de tête, il saluait ses soldat, sa silhouette haute sur sa monture, son dos droit, son regard plein de determination; On voyait dans son allure un être majestueux, beau, indisciplinée, une auréole de puissance semblait tout bruler autour de lui. Il rayonnait, de haut de ses vingt printemps il rayonnait, puissant, il semblait aux soldats que leur roi avait des ailes dans le dos, noir, grandes, capable de voler au-dessus même du ciel. Il était l'héritier du trône, il était leur roi, il était le soldat aux milles épées, l'homme qui à lui seule combattu l'armée des milles loups. Son jeune âge ne changeait rien, c'était un soldat, un combattant, c'était un homme qui n'avait pas hésiter à tout juste quatorze ans à aller seul avec deux épées affronter l'armée qui arrivait à leurs portes. La début du drame. Ils l'avaient vus sauter par dessus les murailles, dans un crie, ils l'avaient vus abattre un à un les combattants sans jamais s'arrêter, même quand il se prenait un coup, quand la dague déchira sa cuisse, quand la flèches traversa son dos. Il pensait mourir, les habitants hurlaient derrières les murailles, les archers ne savaient qui viser dans la marre humaine. Il frappait encore et encore, une aura de puissance pure autour de lui, une aura de ténèbres, engloutissant tout sur son passage, ne cillant pas devant le sang, devant les hurlement des hommes. Le monde aurait pus s'écrouler. La douleur ne l'arrêtait pas, l'horreur des cadavres. Quand il s'arrêtait, un monticule de cadavres trônait en dessous de lui, épées ensanglanter à la main, il ne tremblait pas d'épuisement, non, mais d'horreur, il venait d'assassiner ses hommes sans efforts, sans même être dégoutter, ça lui avait même plus un instant. Et le mirage de ses grandes ailes blanches dans son dos, de ses flammes jaunes autours de ses mains c'est dissipée. Se jour là, il devient roi, ses parents étaient morts des années plutôt dans un accident de calèche.
Un tragique accident, une simple nuit de pleine lune et sa mère, sublime femme, aux longs cheveux blancs comme la neige et aux yeux gris, à la peau blanche, son père, grand homme aux cheveux bruns comme la nuit, aux yeux noir, de vagues souvenirs. La calèche avait basculer, une pleuvait, de nuit, les chevaux se sont emballés et elle à basculer. Bêtement. Il se souvenait des hurlements alors que leurs corps étaient écraser contre les portes. À son réveil, il était blesser, allongé dans la boue, ruisselant de l'eau grises, son père c'était fait écraser, à moitié sous la calèches, sa mère, un morceau du toit lui traversait le ventre, le cocher avait était emporter par les chevaux. Il était seul. Il ne s'en souvenait plus vraiment, il ne savait même pas comment il avait survécu.
L'homme saluait un de ses lieutenant avec un petit sourire. Ils allaient en guerre, ils allaient combattre l'ennemie, ils le chasseraient de leurs terres peu en importait le crie. La guerre était une chose horrible, il le savait, le sang coulerait, même le sien, aucun ne revenait indemne de se genre de croisade de la mort, personne. On y laissait une pare d'eux même. Alors du haut de sa monture il resplendissait de puissance, tornade immortel, il donnerait sa vie pour chacun de ses hommes qui venaient avec lui. Les trompètes sonnèrent, il agrippa ses raines avec force, sa monture se cabra alors et il s'élança au galop sans se retourner. Il ne voulait pas voir la château de pierre grises, il ne voulait pas voir la villes illuminer par les lumières des maisons, les arbres couvert de feuilles et d'épines derrière eux, les montagnes enneiger derrière lui, il tournait le dos à sa cité, à sa vie de roi. Il serrait les dents, le bruit de la courses des chevaux résonnait en lui, le hennissement des bêtes dévalant la route de pierres, le bruit des capes fouetter par le vent, le frisson du danger.
Dans les terres, les hommes et les femmes hurlaient, rappelant les enfants dans les maison, fermant les portes dans granges, des églises et des temples, l'armée n'était pas revenue dans les terres depuis presque vingt ans, ses soldats vêtus de noir n'avaient pas franchit les portes de la cité depuis vingt ans. C'était un symbole de désolation, une armée qui laissait sur leur chemin une odeur de souffre et de mort, celle de la guerre, car quand elle galopait ainsi, forme mouvante et sombre, ça ne voulait dire qu'une chose, la guerre était la. Et il ne pouvait s'empêcher de les trouver sublimes, ses hommes qui galopaient comme un seul homme vers la bataille, il les trouvaient beaux.
Keiji Akaashi n'avait que tout juste quinze années quand la guerre était venu ravager son monde, il avait grandit dans un monde remplis de merveilles, diriger par des dieux, des êtres et des forces surnaturels, remplis de magie. Pourtant quand comme un tourbillons noir, la salle du trône était partit en cendre, quand une femme d'une beauté incroyable avait émerger du tourbillons, quand il avait vus ses cornes sombres et sa peau diaphane, sa robes faites de plumes onyx et ses mains aux longues griffes rouges, il avait été certains que cette force là, elle était démoniaque. Il avait vus ses yeux rubis croiser les siens, il avait vus les soldats foncer, lances tourner vers elle, il les avaient vus se faire exploser les organes d'un seul geste. Puis des centaines de créatures sombres, à la peau craqueler, bruler, aux yeux d'un carmin sombre, aux dents comme des couteaux avaient émerger de la tornades. Des flammes bleus et alors on n'image pas l'horreur qui l'avait saisit quand il avait vus le marbre blanc bruler. Il n'avait que quinze ans et pourtant il y a des blessures que le temps n'efface pas, il se souvient d'avoir courut le plus vite possible, que ses pieds lui brulaient quand il était arriver à l'étage supérieur, son souffle cours. Et il l'avait vus, replier sur lui même, sanglotant, son petit frère, Kei se tenait là, cacher sous une statue de marbre du dieu soleil. Il l'avait prit par la main et avait couru, il devait le protéger, son petit frère, son tout petit frère, celui qu'il avait tenue bébé dans ses bras. Keiji se souvenait de l'odeur de cendre, des cadavres qu'il croisait, il se souvenait des hurlements de douleurs des habitants de la ville et des reflets ambrer sur la neige. Il se souvient de la petite main de son frère dans la sienne, il la serrait si fort comme si d'un coup, il allait disparaitre soudainement, alors il le tenait comme on tenait une bouée dans un naufrage. Avec désespoir. Le jeune homme se souvient que les flammes étaient devenue bleus, comme l'eau turquoise de leur lac, comme le ciel. Il se souvient qu'il pleurait de peur alors que Kei était en larmes derrière lui, s'agrippant à sa main aussi. Puis ses démons face à eux, l'escalier à moitié ravager, il se souvient avoir pousser son frère vers les escaliers, lui avait hurler de s'enfuir, de sauver sa vie, de partir le plus vite possible, il se souvient aussi du regard doré de son petit frère poser sur lui. Puis de sa silhouette blanche avec son auréole blonde qui s'éloigne. La guerre n'est jamais propre, jamais sans pertes, il y avait toujours de gens qui mourait, qui disparaissait, qui ne reviendrait pas, se jour là, alors que le démons le projetait par une fenêtre, il choisit que cette fois ce serait lui qui ne reviendrait pas.
Il se souvenait de son corps qui roule contre le toit de verre bouillant, il se souvient du choc, il pensait à ses frères, il pensait à eux. Il n'était pas un combattant née comme Tooru ou Hinata, il n'avait pas leur force physique, pas leur dextérité, leur aisance avec une arme, lui devait s'entrainer plus dur qu'eux. Pourtant la violence le répugnait, il détestait se battre même pour de faux, pourquoi apprendre à se battre s'il on se dit pacifique? Il pensait à ses frères, il se demandait s'ils allaient tous mourir, et si non, lesquels arriveraient à s'enfuir. Inconsciemment il espérait que les plus jeunes y arrive, puis il se sentait lâche, Shouyou et Kei n'avait pas été élever pour régner, se serait fou de poser sur le trône des enfants sans aucune expériences. Il roula puis s'envola, un instant, il planait dans les aires avant de chuter vers le lac, il voyait l'eau se rapprocher. Il allait mourir. Il allait mourir. Il chutait et quand son corps rencontra l'eau glacer, il hurla, de douleur, d'horreur, il essaya de nager vers la surface mais des mains l'attiraient vers le fond, il lui semblait être attacher à des enclumes. Il s'endormait en se disant qu'il ne reverrait jamais sa famille.
Finalement peut-être aurait-il dus mourir dans se lac. Car on le retrouvait dans les décombres du temple, son corps frigorifier, ensanglanter, la chasuble déchirer, la cité réduite en cendre. C'était une vision d'apocalypse, les grandes coupoles de verres c'étaient effondrer, les bâtisses fumantes et détruite, les arbres étaient bruler, les fleures réduit en cendre et partout, des morts, des centaines de morts. Et des cadavres bruler. C'était un jeune homme qui le retrouva, il était sous une épaisse cape brune, seules quelques mèches argenter dépassaient, une plus claire, presque blanche sur le front et deux orbes jaunes au milieu. Keiji ne souvient de rien, seulement d'une effroyable douleur alors que l'on le portait, il se souvient de deux bras puissant autour de lui, il se souvient de voix qui résonnaient en lui, il se souvient du gout de sang dans la bouche. Puis le vide...
Il secouait la tête, il ne devait pas y repenser, les souvenirs étaient trop douloureux, bien trop douloureux. Il lui avait fallut six ans, six ans pour arriver à se remettre de leurs pertes, presque sept bientôt, six ans à rester dans un autre pays, à éviter toutes ses réunions d'état sans intérêt, de toute manière, Bokuto n'y allait jamais. Six ans à s'entraîner d'arrache pieds, à apprendre à manier les armes, à monter un cheval mieux que personne, à exploiter l'intégralité de ses capacités d'elfe. Six ans à pleuré le soir, à sangloter la nuit et pensant à sa famille morte dans la bataille, aucun corps n'avait jamais été retrouver et malgré ses maigres espoirs de retrouver un jour un survivant, il n'avait jamais aussi mal qu'en y pensant. Son cheval partait au triple galop et il s'accrochait à ses raines, sa respiration créait un nuage de fumée blanche et opaque vers le ciel gris. Il fermait les yeux, la sensation de la vitesse lui rappelait celle de son enfance quand il montait derrière Koshi durant leurs balades à cheval, le vent qui frappait son petit corps, ses bras solidement attacher à la taille de son frère.
-Keiji! Il tournait la tête vers la source du bruit, son roi se tenait à quelque centimètres de lui, il lui adressait un lumineux sourire qu'il lui rendait plus timide. Il avait perdu l'habitude de sourire durant longtemps. Bokuto se rapprocha doucement et leva le bras, serrant le poing, ils galoperaient de jour comme de nuit, sous la neige, la grêle, les flammes alors il leur accordait quelque minute au petit trot.
Keiji l'admirait, pourquoi le cacher, il le trouvait beau, terriblement beau même, sa peau de porcelaine, ses cheveux méchées de blanc et d'argent, ses yeux d'un jaune brillants, son sourire qui semblait refléter les rayons du soleil, capable de réchauffer même un coeur de glace. Bokuto pourtant ne se rendait pas compte de son incroyable beauté, il ne se rendait pas compte que plusieurs filles et même certains hommes lui souriaient charmeurs pour espérer obtenir une nuit dans son lit. Enfin ça, c'était avant. Maintenant pensait-il en mettant son cheval au même rythme que celui du roi, toutes ses nuits seraient à lui seul.
-Koutaro...tout va bien? Il s'inquiétait depuis leurs départ à dire vrai, son roi était le genre de personne à foncer tête basse et à ne pas mesurer suffisamment le danger et les risques qu'il courait. Akaashi l'avait vus blesser tellement de fois, bêtement parfois même. Tellement de moment ou sa gentillesse le poussait naïvement à agir sans réellement réfléchir. Il se souvient d'une fois, dans les jardin, un chat blesser était bloquer sur une haute branche, son amant avait grimper sans craindre la chute, souriant comme un bien heureux. Et alors que le chat, d'un pelage roux flamboyant lui rappelant les boucles de sa soeur, menaçait de le mordre, son amant avait chuter de plusieurs mètres. La chute avait effrayer, son corps allonger sur l'herbe, le sourire aux lèvres et le chat sur la poitrine, le résultat était là, double fracture de la jambe droit. Il avait eu un petit sourire et le plus grand posait sa main sur la sienne, la serrant doucement.
-A dire vrai, je m'inquiètes pour toi Keiji. Il lui souriait doucement. Tu me semble fatiguer en se moment et...et avec tout ça je me demande si tu as bien fait de venir avec nous...son ton était sincèrement inquiet et Keiji souriait tendrement, son amant était également le genre de personne à trop se préoccuper des autre surtout de lui à dire vrai, il faisait grand enfant pourtant il était un roi bon, attentionné et protecteur. Un roi, qui avait doucement réussit à effacer les souvenirs du monarque qu'était son père, un roi comme aurait pus l'être son frère.
-Tu ne voulais pas que je vous accompagne Koutaro? Son amant relevait précipitamment la tête et le brun entendait quelque rires raisonner dans leur rang, depuis le temps, les soldats savaient que leur chef était aussi talentueux et puissant qu'incroyablement naïf par moment surtout quand Keiji Akaashi était dans l'équation.
-Quoi?! Evidement que si! Il paniquait doucement et secouait la tête avant de soudainement redevenir incroyablement sérieux, se qui relevait du miracle avec lui. Je...je m'inquiète pour toi, je sais que...que tu souffres toujours de se qui est arriver à ta famille et retourner la-bas ne dois pas être simple voila tout....Keiji souriait tendrement et embrassait la main de son amant, il le comprenait toujours et c'était une des choses qui faisait qu'il guérissait doucement de ses blessures, l'amour que Koutaro pouvait lui porter.
Le temps n'avait pas tout changer, certaines choses ne changerait jamais et la douceur de leurs visages aimants restait malgré lui encrer dans sa mémoire comme un ancien tableau aux visage enfumer. Quelque chose de lointain que l'on oublie un peu, que le changement adoucie, que Bokuto adoucissait, mais ça restait, un poids dans sa poitrine qui ne partirait sans doute jamais. Il vivait avec simplement. En contemplant son visage, en voyant cet affection débordante dans les yeux de Koutaro, il ne pouvait retenir un tendre sourire.
-Ne t'inquiète pas pour moi. Il lui souriait sans relâcher sa main. Tant que tu es avec moi je serais capable de tout, même de retrouver mon pays natale. Koutaro lui souriait doucement.
-Et je serais toujours avec toi...Il fermait les yeux et allait poser sa main sur la joue du brun, le geste était tendre mais Keiji connaissait trop bien son amant pour ne pas comprendre la vrai signification de se petit geste. « Promet moi juste de rester en vie et de ne pas faire de folies». Il hochait doucement la tête et Koutaro rattrapait ses raines avant de lui adresser un sourire rayonnant.
Oui, tant qu'il serait avec lui, tant que Koutaro Bokuto était avec lui, pour l'aider, l'aimer et le protéger il pourrait gravir des montagnes, traverser des océans, il pourrait tout faire tant qu'ils seraient ensembles. C'était pour cela qu'ils s'aimaient, car ils étaient une équipe, la meilleur du monde, la leur et qu'ensembles ils pouvaient tout affronter même les pires démons. Tant qu'ils seraient ensembles...
Car peut-être bien que sans il s'effondrerait.
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La chambre était sombre, éclairer seulement par les rayons fourbe du soleil qui passait à travers les longs rideaux de velours rouge. Le plancher d'un bois sombre était éclairer par la faible lumière, le lit cependant restait dans la pénombre. C'était une grande pièce, les hauts plafond et les murs de pierres recouverts de tapisseries aux motifs diverses, cela allait des biches aux cornes en cristal, aux lions aux crinières rouge du sud. La pierre grises, aux couleurs des montagnes qui longeaient le villages. Une pièce richement meubler, cacher dans la pénombre.Et aux centres le lit, en bois sombre. C'était un grand lit, à baldaquin aux rideaux rouge aussi, la couverture blanche cachait les occupants, paisiblement endormit. L'homme allonger avait des cheveux bruns en batailles, un visage calme à la mâchoire carrer et aux nez droit, aux cils noirs créant de l'ombre sur le haut de ses pommettes saillantes, une peau pêche, une plastique impressionnante en plus d'une grande taille. Il dormait pourtant, sa magnificence n'en était en rien changer, son aura paisible qui pourtant était écrasante. Il ressemblait aux peintures qui ornait les couloirs et la salle de ball de son palais.
La pièce richement meubler soulignait la richesse justement des occupant du château, le mobilier en bois sombre était orner de différentes dorures et les tapisseries étaient broder d'or, les armoirie, un griffon, ornait la porte de l'armoire majestueuse en face de la couche royale. Doucement l'homme s'éveillait et de tournait, cherchant dans les draps la personne qui partageait son lit, finalement il trouvait une forme molle endormit un peu plus loin. Il la saisit par la taille pour l'attirer à lui, se blottissant contre son dos, plongeant son visage dans les mèches blondes, froissant les draps, enveloppant le ventre de son bras, respirant son odeur sucrée.
-Kuroo, il faut se lever...la petit voix provenait de trop loin pour qu'il ne l'écoute et ça, le jeune homme le savait parfaitement. Alors il se tournait, se trouvant face au tors dénuder de son compagnon, frottant son front contre sa joue à défaut d'être passer grand pour aller l'embrasser sans se tordre le coup. Et égoïstement il ne souhaitait pas se tordre le coups.
Kozume Kenma connaissait trop bien son époux pour ignorer qu'il n'était pas du matin, le song des cloches du temple avait pourtant déjà résonner plusieurs fois, comme un ding habituel que l'on n'entend plus vraiment. Pourtant le brun restait plonger dans un sommeil de plomb, le plus petit caressait du bout des doigts sa joue, la peau était chaude et douce, il souriait doucement. Parfois il ne pouvait pas s'empêcher de le trouver beau, avec sa mâchoire puissante, son nez droit, ses cilles longs et noir, ses mèches brunes en batailles. Il lui rappelait un peu les fresques sur les murs du temple, là ou avait lieu les prières. Il fermait les yeux, il ne devait pas y penser, et s'extirpait des draps chauds, il se relevait vivement, souhaitant tout de suite chasser ses souvenirs avant d'être prit d'une effroyable douleurs au niveau du ventre et des côtes, il gémissait avant de manquer de s'écrouler au sol si son époux ne l'avait pas rattraper de justesse. Kurro soufflait de soulagement en le serrant doucement contre lui, caressant d'une main ses longues mèches blondes, il inspirait avant de se redresser portant son époux coller contre lui. Kozume grimaçait quand il était mit sur ses pieds, il avait tendance à oublier qu'il avait été blesser dans la précédente attaque quelques mois plutôt et qu'étant de santé fragile, la blessures avait du mal à parfaitement cicatriser, se n'était qu'une plais blanche et rose sur son ventre plat. Pourtant Kuroo la caressait doucement comme par peur de la réouvrir en appuyant trop fort.
Après tout, il avait eu tellement peur de perdre son époux cette nuit là, quand certains soldats avaient réussit à pénétrer le palais, quand il était arriver avec des hommes, quand il l'avait vue, se tenant devant le berceaux, une lance à la main. L'attaque était hélas banale, des mercenaires du sud, une tribu guerrière qui avait prit son royaume pour cible des années plutôt, souhaitant les ressource des mines. Normalement les attaquants étaient arrêter par la murailles ou alors par les gardes mais cette fois là, ils avaient attaquer de nuits, en petits groupes par le fleuve. Ses gardes avaient été surpasser par le nombres et alors, un groupes de quelques hommes avait réussit à s'introduire dans le palais. Cela avait été hélas, au prix de dizaines de morts, des soldats, des serviteurs et même un des cuisinier qui avait été surprit dans un couloirs. Seul les tableaux encadrer d'or de ses ancêtres en avaient été témoins. Et alors qu'il quittait enfin la cours pour s'assurer que son époux allait bien, il découvrait la couche vide avant qu'un hurlement ne lui glace le sang. Jamais, il n'avait aussi vite courue, les couloirs aux sol tapisser lui semblait interminable alors que Yaku à ses côtés accourait vers les appartements de sa filles. Et alors, son coeur c'était arrêter, son époux les cheveux en bataille, lance à la main, défendait de son corps le berceau. Souvent Kuroo oubliait, à tord, qu'il avait été élever au loin, dans le royaume d'Aoba Jōsai, pays des elfes connue pour leurs beautés sans pareilles et leurs aptitudes naturelles au combat. Cette race qu'il avait peu côtoyer formait depuis des centaines d'années des soldats d'élites à la puissance légendaire que l'on disait capable de tuer une armée entière seul. Et son époux bien que fragile avait vécu entourer de ses combattants de la garde royale. Pourtant Kozume n'était pas un combattant, il se souvenait de son enfance entourer de ses frères, de ses longues promenades dans les jardins, il se souvenait de ses journées avec les sages dans le temples, de ses soirées à lire. De toutes ses années sans même toucher une arme en combat. Il n'était pas un soldat mais il avait quand même apprit à se servir d'une arme, la tradition oblige, les princes et princesse devaient savoir manier les rudiments de la guerre, et les armes en faisait partie, la lance était d'ailleurs celle qu'il maniait le mieux. Kuroo se souvient encore quand l'ennemi sournois c'était glisser derrière pour atteindre le berceaux, Kozume l'avait embrocher sans préavis, le sang avait gicler tout autour alors que l'épée du premier s'enfonçait dans sa hanche. Et il n'avait pas hurler, il avait simplement dans un élan de protection enfoncer sa lance dans le crâne du second, l'épée enfoncer dans la hanche, le sang coulant sur le sol. Le brun n'avait jamais eu aussi peur de perdre son âme soeur cas cet instant, quand il l'avait vus s'effondrer au sol dans un gémissement sourd. Le blond savait que son époux avait craint pour sa vie, il l'avait fait alitée et les meilleures soigneurs du pays était venu à son chevet pour le soignée, Kozume aimait la tendresse de son époux et ce depuis le premier jour. Ça avait été quelque chose de tellement different des autres, lui qui avait la sensibilité des plus fragile avait rencontrer un visage amicale et naturellement bienveillant.
Ils c'étaient connue il y à des années en réalité, Kozume n'avait que six printemps quand il avait rencontrer Tetsuro Kuroo âgé de deux ans de plus. La différence n'avait pas jouer dans leurs histoires, car dans le fond, seul les années passer ensembles contaient. Il jouait dans les jardins avec ses frère, courant après Akaashi, c'était il y bien longtemps, bien avant qu'il ne sois promit au mariage, bien avant que l'enfance ne parte en emportant son innocence. Bien avant que leur père ne le regarde plus que comme un morceaux de viande à marchander, bien avant que l'on le dise inférieur aux autres, semblable aux princesses des mythes anciens. Se jour là, il faisait chaud, ils portaient de courte chasubles claires avec des ceintures tresser autour de la tailles, leurs sandales avaient été jeter plus loin, leurs pieds nues courant dans les allées de marbre blanc. Leur père recevait un roi venu d'un pays voisin, Oikawa avait dut rester avec lui tout comme le fils de l'autre monarque, en bons héritées. Alors il courait après ses frères en riant, il se souvenait que le vent balayait ses cheveux encore bruns, que sa peau en était chauffer. Et alors qu'il attrapait le petit Kei, âgé de tout juste quatre ans sous le rire délicat de Koshi, assis dans l'herbe à faire des couronnes de fleures avec Hinata âgé de trois ans et leur mère. Les portes c'étaient ouvertes dévoilants de lointaines silhouettes. Puis Oikawa était arriver, vêtu comme eux d'une courte chasuble verte, d'un vert menthe, un garçon brun à ses côté, il ne leur ressemblait pas du tout, il avait les cheveux bruns et la peau pêche, cependant ses yeux était couleur de l'ambre claire, il portait un pantalon sombre et des bottes très haute, plus que le genoux, cependant son haut était une sorte de courte veste rouge vif, orner de boutons et de broches en or, le dos était bien plus long avec de la fourrure sur les épaules. Kozume avait penser qu'il devait mourir de chaud dessous, puis il paraissait amuser de les voir ainsi courir, c'était un de premier enfant qu'il voyait d'aussi proche en dehors de ses frères et même enfant, il l'avait trouver beau. Très différent mais bien plus beau que n'importe quel hommes qu'il avait vue jusque là. Puis il était tomber au sol, rattraper de justesse par le jeune homme aux cheveux de jais. Il l'avait redresser et Kozume avait rougit en le voyant aussi proche, il était rester avec eux tout le reste de l'après-midi, à courir avec eux, la veste jeter en boule, les manches de sa chemise retrousser, ses bottes avaient disparut et alors, il lui avait parut terriblement humain. Et son unique pensée quand le jeune homme avait dus partir, alors qu'il était blottit contre Oikawa, fixant les ourses bruns qui tirait un immense traineaux, c'était qu'il aurait bien voulu que l'homme qu'il épouse un jour sois celui-ci.
Kozume sentait son souffle dans ses cheveux, il caressait la main crisper sur son ventre, son époux avait eu une tendance surproductrice avec lui, le couvant plus que nécessaire surtout après la naissance d'Akiko. Et depuis l'incident il le sentait en apnée de le perdre. Kozume été arriver ici seul, il avait six ans de cela, affaiblit, malade, couvert de blessures, pleurant la mort de ses parents, rien ne retirerait la douleur de la perte de sa famille, de ses frères, de Natsu. Tout de suite il avait été emporter aux palais ou il avait retrouver un rescaper du massacre, Yaku Morisuke, un elfe de la garde d'élite de son père, il avait l'âge d'Oikawa et était arriver ici en fuyant les flammes avec quelques rescaper, Kozume n'avait jamais été aussi heureux de voir quelqu'un de sa vie. Peu après sa relation avec Kuroo avait suivit son court, le jeune homme était déjà chef de famille comme son très bon ami Bokuto, prince de Fukurôdani, ils c'étaient presque naturellement raccrocher et leurs unions avait suivit lorsque Kozume eu atteint son seizième anniversaire, il était jeune certes mais il avait tenu à conserver cette tradition. Kuroo était un vestige de son passer mais surtout la première personne qui avait sue voir ses blessures, la première qu'il voulait dans son futur. On ne peu imaginer son émotion lorsqu'il avait revêtit sa tenue, sans sa mère et sa soeur, quand il était aller rejoindre l'hôtel sans son père, sans ses frères, quand il avait jurer amour éternelle sans le soutient de sa famille. Sa robe blanche, si lourde lui rappelait que ce n'était pas chez lui, la robe si belle n'avait pas l'éclat espérer et le manque le tuait. C'était comme vivre un rêve sans saveur, Kuroo avait été compréhensif, il avait attendue qu'il soit prêts, l'avait consoler, écouter lui raconter la cite, leurs chansons, leurs jeux dans les couloirs, l'avait écouter raconter avec détaille les caractères de ses frères. Puis finalement il avait voulu avancer, malgré se poids dans sa poitrine, il avait voulue avancer avec Tetsuro et crée un nouveau future. Sans lui, Kozume serait encore tremblant, hanter par ses démons passer, enfermer dans une spirale de larmes et de désespoir, il serait peut-être mort, il avait arrêter de manger, de dormir et de boire. Pourtant le brun avait été la, à chaque nuits blanches, à chaque haut le coeur, à chaque crises de larmes. Et le plus jeune en était tomber amoureux, comme si son coeur était attirer par l'autre, comme si, dans se cauchemar, Tetsuro avait été son soleil à illuminer son monde sans saveur. Puis Akiko était arriver, ils ne s'y attendaient pas, vraiment pas, Kuroo disait ne pas être presser d'avoir un enfant, attendant le temps ou il serait prêt mais leur fille était arriver et il l'avait aimer plus que tout au monde en un instant. À la seconde même ou il avait sue qu'elle était là. Sa fille avait combler chacune de ses blessures, l'avait rendu enfin complet alors il l'avait appeler Akiko, enfant de l'automne, sa mère s'appelait Aki, sa soeur Natsu, il avait voulu leur rendre un dernier hommage en l'appelant ainsi. Une toute petite fille née par une nuit ou les arbres avaient les feuilles rouge et orange. Une princesse, fille de roi, fille de prince, elle avait de longue oreilles pointue et des yeux aussi doré que les siens. Kuroo étant un demi-elfe par sa mère, morte quelque années plus tard de maladie, il avait hériter de certaine caractéristiques physique comme sa grande taille ou ses oreilles pointues. Et leur fille avait le meilleur des deux. Il quittait les bras de son amant, posant ses lèvres sur les siennes réclament un baiser qui lui fut accorder sans un mot, c'était toujours aussi doux, aussi tendre que le premier, les papillons volaient toujours dans son ventre, ses jambes se tendaient toujours et son visage rougissait intégralement. Même si cette fois, il n'était pas plonger dans le coucher de soleil, même si les reflets de l'eau colorée ne parsemait pas aussi sa robe. Et il sourit doucement avant d'entendre des bruits de courses et une porte qui s'ouvre d'un coup sur un Lev et une petit fille brune, courant vers Kuroo qui s'abaissa avant de la soulever dans ses bras.
Kozume regardait Lev, le jeune demi-elfe avait un an de moins que lui, le jeune homme faisait néanmoins trois têtes de plus que lui, son père venait de la même cité que lui mais était partit épouser sa mère des années avant la drame, des années avant même la naissance de son frère le plus vieux. Le garçons avait des cheveux argenter et des yeux semblable à des émeraudes, il était particulièrement énergique et remplis de joie, il n'était pas vraiment intelligent, loin d'être bête néanmoins, ni très douer avec les relations social mais il fait un réel talent avec les enfants et la princesse l'adorait. Il acceptait d'ailleurs de s'en occuper avec plaisir quand ses parents ne pouvaient pas et pour l'avoir vus protéger sa fille, Kozume pouvait dire ne pas hésiter à confié la vie d'Akiko entre ses mains. Lev était le genre de personne dit étrange mais il le trouvait simplement encore plus beau, une si grande âme dans un corps trop petit, elle devait être à l'étroit. Son époux parlait à leur fille avant qu'elle ne lui adresse un sublime sourie qu'elle tenait certainement autant de son père que de sa grand mère.
-Majesté, Dame Kozume. Lev s'inclinait doucement, comme si, ils ne lui avait jamais dit de ne plus le faire. Une missive urgente vient d'arriver de la part du roi Bokuto et du roi de Karasuno, il me semble que l'ordre est le même. Il leur tendait les papier que Kozume récupérait délicatement, il s'occupait de la plus part des courrier en tant que "reine", il ouvrit la première missive qu'il tendiat à son époux, il ne lisait jamais les messages de Bokuto pour son époux, il ouvrit cependant celle de Karasuno, dans ses souvenirs c'était un immense royaume à l'ouest, il fallait plusieurs semaines de voyages pour si rendre et le coups-d'état qu'il y avait eu trente ans plutôt avait couper presque toutes relations avec se pays.
Il l'ouvrait, l'objet était une guerre contre le démons, il tressaillait en la lisant, son royaume serait en proie à ses créatures démoniaques et ils auraient récemment franchit les frontières menacent les royaumes environnant. Il y avait déjà plusieurs morts à déplorer et des campagnes gagner par la maladie, les flammes et même des villages. Leurs terres étaient très éloigner de son pays natale, il lui avait fallut des semaines à cheval et à pieds pour arriver ici. Il la lut jusqu'au bout avant que son sang se glace d'horreur, la missive officiel était toujours signer par les deux souverains, la reine et le roi dans les royaumes à couples, plus du conseiller et du chef des armée. Chez eux, cela donnait, Tetsuro, lui, Yaku et Kai. Mais dans se royaume cela donnait...
Le roi, Daichi Sawamura, le conseiller Ukai, le chef des armée Ryunosuke Tanake et l'époux du roi...Koshi Sugawara.
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Kei Tsukishima contemplait le campement, lui et son escadron était arriver quelques jours plutôt et ils avaient enfin terminer d'installer les tentantes, les grandes construction de bois et de toiles aux drapeaux bleus azures. Il fermait les yeux, le soleil caressait sa peau, chauffant son visage, ça lui rappelait son enfance dans la cité de marbres blancs, quand il allait s'assoir sur son muret de pierre. À l'époque ses cheveux étaient plus long, maintenant ils étaient cours, à l'époque il portait des chasubles claires, maintenant le voila dans son uniforme noir et orange, ses hautes bottes de cuire noir, sa veste aux manches fendus. Il toucha naturellement ses boucles d'oreilles, elles lui rappelaient sa famille, elles étaient les derniers vestiges de son enfance doré et heureuse. Ses yeux lui brulèrent, il les fermait et serrait les dents, il n'avait plus pleuré depuis se jours là, depuis qu'il avait contempler sa vie partir en fumée, depuis qu'Akaashi l'avait pousser vers ses marches, depuis qu'il avait aperçus son frère être jeter par une fenêtre, qu'Oikawa était mort, que leur père c'était fais embrocher. Depuis qu'il avait fuis en pleurant, accrocher à la crinière de son cheval, n'emportant que ses larmes et sa douleurs comme bagages.
Néanmoins il secouait la tête et sourit doucement en avançant vers le campement de Karasuno, ses pas se firent plus léger, il avait décidé depuis longtemps de passer sa vie à sauver celle des autres mais lui aussi avait des gens à aimer, ses précieux frères. La seule famille qu'il avait maintenant dans se monde sombre. Il repérait les corbeaux noir flottant au vent et s'en approchait avec un petit tendre sourire, presque un an qu'il ne les avait pas vue et malgré les lettres, leurs absences lui pesaient horriblement, il avait été élever avec eux et n'était pas habituer à être seul. Il ne regrettait pas, lion de la, mais l'inquiétude de ne pas les retrouvait restait toujours. L'herbe était vertes sous ses bottes, le soleil illuminait les toiles blanches, il croisait certains soldats qui le saluaient avec joie et il leur répondait d'un hochement de tête, ses commissures le brûlaient, il ne souriait plus, plus depuis très longtemps sauf avec Koshi et Shouyou, les autres n'avaient le droit cas un geste de la main ou de la tête, les autres n'avaient le droit cas sa méfiance, la peur lui rongeait le ventre. Une peur permanente de perdre ceux qu'il aimait, les rares qu'il lui restait, il n'arrivait pas à s'attacher, enfant il aimait sans conter malgré ses airs froids et renfermer, il arrivait à aimer n'importe qui. Maintenant il avait bâtit une muraille entre lui et le monde, personne ne devait voir le petit garçon terrifier qu'il était encore derrière cette muraille de confiance et de sarcasme. Il s'avança avant de sentir une odeur de lavande, il tournait la tête, un jeune homme le fixait incrédule, debout, les bras ballant le regardant sans réellement y croire. Kei fronçait les sourcils, il savait lire dans les autres pourtant son expression était indéfinissable et cette personne ne lui disait rien.
C'était un garçon, il lui donnait environs son âge, quelques années de plus peut-être, il portait une chemise noir, un pantalon tout aussi sombre, des bottes cuissarde sombre et une veste tout aussi sombre, une cape tisser du symbole de Fukurôdani. L'homme était plus petit que lui de quelques centimètres et avait des cheveux bruns, boucler en bataille qui encadrait un visage sérieux, une peau particulièrement pale et des yeux...aussi doré que les siens. Kei le regardait sans bouger, il avait une impression de déjà vue saisissante pourtant il ne bougeait pas. L'inconnue avait les larmes aux yeux, il semblait emprise avec un profond tourment, triste ou trop heureux aller savoir mais ses jambes tremblaient alors qu'il était toujours figer la bouche ouverte. Puis soudain il la refermait et articulait, les sourcils froncer dans une expression de douleur pure, la voix légèrement rauque et le ton replis d'espoir déchirant. « Kei? ». Le blond se figeait sur la place, incapable de faire un geste, la bouche ouverte, ses yeux devaient briller de larmes mais il n'en avait plus rien à faire car voila, il venait de réussir le miracle de faire revenir quelqu'un à la vie. C'était impossible, totalement impossible, il l'avait vue, son cerveau lui jouait des tours, un simple hasard. Il fermait les yeux et posait une main à son coeur, il battait à tout rompre dans sa poitrine, il lui faisait presque mal alors qu'un sanglot montait dans sa gorge. C'était impossible, totalement impossible, il était mort, mort il y a des années de cela, il l'avait vus se faire jeter par une fenêtre. Pourtant...il le regardait immobile, les mains sur sa bouche comme pour réprimer un sanglots.
-K-Keiji....Aka-Akaashi....sa voix tremblait tant qu'il fus surprit qu'elle ne lâche pas. Il déglutissait alors que le brun le regardait toujours comme on regarderait un mirage, un ensemble d'espoir et de résignation. Kei avait déjà eu des vision, des centaines même, le soir, dans l'obscurité, il entendait leurs voix, voyait leurs visages, imaginait les retrouver mais à chaque fois il y avait quelques chose d'irréaliste. Pourtant là, il ne trouvait rien, rien d'autre que deux orbes doré qui le fixait avec des goutes de cristal qui dévalaient ses joues.
Puis finalement le brun tendait timidement la main comme par peur de le toucher et de le voir partir en fumée, Kei avait eu un hoquet de douleurs, il avait réellement mal, son esprit était embrumer mais il tendit la main vers lui, il regardait leurs mains, tellement proches, elles se frôlaient presque. Ses yeux se mirent à pleurer alors qu'un gémissement de douleur lui échappait incontrôlable. La paume dans la sienne était froide et douce, la main avait un toucher lisse et souple, c'était une vrai main, réelle, appartement à une vrai personne. Il relevait le visage et vit Keiji s'approcher et lever sa main pour toucher sa joue, un eu un couinement de bonheur, Keiji enveloppa son visage de ses mains, elles étaient grandes et froides, glacer même contre sa peau. Il sourait à travers ses larmes, il n'avait plus pleuré depuis se jour la, ses yeux étaient pourtant secs, mais là, elles coulaient inlassablement comme une cascades inaltérable et il n'avait pas envie de les arrêter. Il appuyait son visage contre la paume de son frère qui gémissait avant de l'attirer dans ses bras, tombant à genoux, le serrant contre lui plus fort, beaucoup plus fort, encore plus fort, comme pour l'attirer en lui. Il était incapable de tenir debout, ses jambes tremblaient et son cerveaux était en panique, les questions tournaient en boucle et le plus dur était d'essayer de se convaincre que c'était la réalité que son frère n'allait pas disparaitre. Il l'entourait hésitant de ses bras, puis il cachait son visage contre le tors du plus vieux et explosait en sanglots incapable de s'arrêter. Cela était tellement douloureux, il se sentait étouffé d'un surplus de sentiments alors qu'autour de lui, le monde avait disparut, seul son frère, seul lui restait. Il sentait Keiji plonger ses mains dans ses boules blondes, les caresser, le serrant toujours contre lui, la joue appuyer contre le haut de son crâne.
-Oh...mon Kei...sa voix se craque sous l'émotion. Mon t-tout petit frère...il lui frottait le dos, caressant doucement son dos, comme enfant lorsqu'il avait du chagrins. M-on coeur, mon petit frère adorer. Il lui relevait le visage, regardant chaque minuscules détailles, fixant sa peau plus pale encore, sa mâchoire plus marquer, regardant les minuscules différences avec avant. Tu es tellement grand maintenant, tellement grand...il lui caressait la joue doucement et souriait en embrassant son front tendrement. Tu ma tellement manquer, t-tu...je suis désoler...j-je...sa voix flanchait et il fondait en larmes alors que Kei le serrait enfin contre lui.
-Keiji, keiji...je suis la, je suis vraiment la...avec toi. Il le serrait un peu plus fort et il souriait en sentant encore l'odeur de lavande envelopper l'autre, une odeur de son enfance, un savent mélange entre la lavande sauvage qui poussait dans les champs autour du palais et une nouvelle odeur plus sucrée qu'il avait dus prendre en grandissant. Ça lui rappelait la cannelle, mais peut-être plus la vanille en fait. Dans tout les cas, son grand frère était dans ses bras, dans ses bras mon dieu, ça avais quelques chose d'irréaliste et de parfaitement fou pourtant il ne dirait rien, il y avait trop de choses à dire pour s'encombrer de détailles, maintenant ils étaient ensembles. Tu es là, tu es là....il lui saisissait les épaules. On est ensembles, on est ensembles Keiji! Ils eurent un petit rire et alors que le brun hochait frénétiquement la tête.
-On est ensembles. Il secouait la tête, regardant encore Kei. Mais dis moi que fais-tu ici? Comment as-tu survécu? Et le palais?! Et...Kei le coupait en riant doucement, lui aussi il avait huit millions que questions la minutes dans sa tête, ça lui tournait presque tant l'hystérie et l'espoir lui broyait la poitrine, tant ça faisait mal, une douce douleur mais il avait envie d'éclater en sanglot et de rire en même temps.
-Tout se que tu voudras, je te dirais tout se que tu voudras, vraiment tout. Kei secouait la tête, les mots s'emmêlaient dans sa tête, ça n'avait plus aucun sens mais il s'en moquait, on parlait de son grand frère, de celui qu'il avait penser mort durant six ans, il était prêt à lui raconter sa vie dans chaque détails s'il le voulait.
Car c'était un miracle n'est-ce pas? Son frère, celui qu'il avait crue mort et avait pleurer durant des années se tenait dans ses bras, alors qu'ils allaient en guerre, alors qu'il allait peut-être mourir en première ligne, alors que Natsu et Koshi n'en savaient certainement rien. Et son cerveaux qui n'y croyait pas encore explosait tellement c'était simplement trop...
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