Le Début...
Ma porte s'ouvert pour laisser passer mes 5 frères et sœurs, d'un rêverence mes bonnes s'échappent en me disant qu'elles reviendraient vite. Mes frères se laissent tomber sur mon sofa et mes sœurs sur des fauteuils crapauds. Mon premier frère Antonio me prend la main:
-Veux-tu vraiment faire la Sélection ?
Je baisse les yeux, émue.
-Non...
Une larme roule le long de ma joue. Mes sœurs se lèvent et m'entourent de leurs bras frêles. Arthur soupire et se passe une main dans les cheveux :
-Alors on peut pas te laisser participer à ça ! Je n'ai pas participé moi !
-Oui mais vous le peuple vous adore tandis que moi je suis maladroite, je ne répond pas au questions dignement. Si c'est pour Illéa alors je suis prête à rester avec un homme que je n'aimerais pas.
Lazie ma grand sœur sèche mes larmes et me sourit elle aussi à réussi à échapper à la Sélection, comme les 4 autres.
Cette fois c'est Pierre qui prend la parole en faisant les cents pas dans ma chambre :
-Je ne suis pas d'accord avec ça !
Je pousse un énorme soupir
-Je n'ai pas le choix, père est le roi alors je lui obéis.
-Dit toi que c'est toi qui aura le Royaume !
Je tourne mon regard vers lui :
- Qu'est ce que tu dit ?
-Et bien si la Sélection est pour toi alors c'est toi qui prendre le trône ? Donc tu aura le Royaume ! Et nous, nous aurons les autres, Lazie et Anastasia seront mariées à des princes aux royaumes énormes tandis que nous trois nous aurons les autres royaumes de papa. Tu as compris ?
Je lui fait signe de tête, il avait raison ! C'est moi qui gouvernerais Illéa ! Je relève mes épaules et me tapote les yeux, je me colle un sourire sur le visage. Je m'allonge sur mon lit rassurée, je sens du monde près de moi et en ouvrant les yeux je vois que mes frères et sœurs sont à côté de moi et se sont à peu tous endormis. Je jette un coup d'œil à à Antonio c'était mon frère préféré car je partage tout avec lui et il est le seul à pouvoir me consoler vraiment. Il m'attrape la main et me souris je sais qu'il sera toujours là pour moi quoi qu'il arrive...
-Vite levez vous !
J'émerge doucement de la couette
-Vos Altesses ! Levez vous dépêchez vous !
Antonio me tire vers lui et secoue les autres. Un coup de feu est tiré et mes larmes commence à monter, des Renégats du Sud sans doute sont dans le palais. Je me lève est enfile ma robe de chambre et cours pied nu chercher le passage en tirant Antonio. Mes frères et sœurs arrivent et Pierre referme le panneau roulant, les escaliers nous emmènent dans la grande salle grise des rois et reines, le passage le plus sécurisé. J'ouvre l'armoire à pharmacie et prend quelques couvertures que j'étend sur 6 lits, mes sœurs s'allongent dans 3 lits proches et se blottis dans les couvertures. J'avais peur, j'avais froid mais je voulais me montrer fière alors je m'assois est attends la fin de l'attaque. Par bonne heure, la sirène se déclenche rapidement et je me réveille dans le lit dur et froid du reperd, je m'étais assoupis. Au bout de quelques instants des gardes ont envahit notre cachette et m'emmènent dans ma chambre, à l'aide de mes bonnes je m'habille comme si de rien n'était et pars vers la salle à manger. Je me suis habituée aux attaques des Renégats et je n'ai presque plus peur. Près de ma porte je vois un garde qui boite et s'assoit sur un petit sofa, quand il m'aperçoit, il se lève et reprend sa marche avec une grimace mais sans boiter. Il a peur que je le renvoie:
-Votre Altesse, ne vous inquiétez pas.
-Monsieur n'ayez pas peur, mon père n'en saura rien, restez là j'arrive.
Je descend les escaliers quatre à quatre et m'approche de la salle à manger, je vérifie que mon père n'est pas là heureusement pour moi car sinon il m'aurait tuer:
-Maman ?
Je tiens dire que je l'appelle comme ça quand il n'y a que mes frères et sœurs.
-Oui Blanche ?
-Euh j'ai un soucis...
Elle se lève gracieusement et s'avance vers moi la mine inquiète. Je la rassure d'un sourire pour lui dire que je vais bien.
-Que ce passe t'il ?
Je lui prends la main et je l'emmène dans l'escalier :
-Un garde à était touché pendant l'attaque et je crois qu'il souffre.
-Pourquoi dis-tu cela ?
-Il boite et se tord de douleur à chaques pas.
Arriver à l'étage, j'entends une voix :
-Vous savez très bien que vous n'avez pas le droit d'être assis ! Vous êtes un soldat je crois !
-Votre Altesse je vous en pris.
-Père ! Arrêtez !
Mon père se tourne vers moi dans ses yeux je vois que la colère lui monte, ma mère s'approche de moi et me pose sa main sur mon épaule:
- Chérie, je t'en pris ce soldat à étais touché ! Il faut le soigner !
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