CHAPITRE 1


      Je me réveillai par un coup de fil de mon patron. J'avais du mal à ouvrir les yeux à cause des fibres de lumière qui entrèrent à travers le rideau. Je fermai la fenêtre et je répondis :

- Allo ! Bonjour ! Dis-je avec une voix sourde.
- Bonjour. Vous êtes où monsieur Taylor ? Monsieur William a dit que vous devez venir tout de suite.
C'était la secrétaire de mon boss.
- Ah ! Mais quel heure est elle ? Et pourquoi je dois venir ? J'ai des choses à faire chez moi. Eh ... En plus, aujourd'hui, c'est ... Mardi. Et comme vous le savez bien, je ne travaille pas.
- Oui c'est tout à fait vrai, mais aujourd'hui est unique. Nous avons reçu un message privé de monsieur Carl Jones, l'acteur américain dont on vous as parlé. Il arrive dans cinque heure au grand aéroport.
- Oh! Mon dieu ! J'ai oublier le rendez-vous ! On est le mardi 30 décembre. Je viens tout de suite !
- On se revoit au bureau. Au revoir.
- Au revoir.
Je mis mes nouveaux vêtements, brossai mes dents et me précipitai vers la porte. Mes parents étaient dans la cuisine. Ils prenaient leur petit déjeuner. Je les appelai :
- Père, mère ! C'est aujourd'hui le jour du rendez-vous dont je vous ai déjà parlé. Dis-je.
- Ah ! Bon chance fils. Répondit mon père.
- Tu peux prendre la bagnole de ton père. Les clés sont dans la poche de son manteau. Dit ma mère.
- D'accord ! A bientôt.
Je pris les clés et je sortis.

      Dès mon arrivée au boulot, je remarquai que le directeur m'attendait dans mon bureau. Il était très inquiet.

- Bonjour Monsieur. Dis-je d'une voix basse.
- Allez ! Allez ! Nous n'avons pas du temps à perdre. C'est 8h30. Nous serons dernière chaîne qui arrive à l'aéroport. Monsieur Carl Jones sera là après deux heure.
- D'accord monsieur. Je m'excuse pour ...... . M'interrompit-il.
- Regarde ! Je veux plus de trente photos et vidéos. Et jeu avoir une très bonne interview pour le magazine prochain. Débrouilles-toi ! Vite !
- Tout de suite monsieur.

       Et je sortis pour ma première interview. Cela devait être très sympa. Je nageait dans l'acmé du bonheur. Je mentai dans la voiture et me dirigeai vers l'aérodrome .

       Quand je m'approchai de l'entrée de l'altiport, des milliers de corps se jetèrent sur ma caisse. Il refusèrent de me céder le passage. J'étais donc obligé de faire un demi tour et garé la voiture au parking d'un magasin de fringues et de continuer à pieds. La troupe et le paysage me rappelai les jours de grève. Les photographes essayaient d'avoir un bon emplacement pour prendre les meilleurs clichés, et les spectateurs jetaient les uns sur les autres en criant avec une voix éclatante. C'était vraiment sordide. Je devais passer d'une façon ou d'une autre. Finalement, je réussis à affronter la foule hideuse. Et voilà, je me trouvai à l'entrée de l'altiport, où se trouvaient les personnes sages, calmes, et pondérées. Et j'attendais avec impatience.
Une demi heure plus tard, nous entendîmes le moteur de l'aéronef. Dans ce moment là, toute la foule et les violentes personnes s'avancèrent vers la sortie. Les photographes commençaient la préparation des micros et des caméras-vidéo. Je me sentais pas bien. J'avais mal à la tête, et je sentais le vertige. J'avais envie de vomir. Je devins pâle. Tout le monde me regardait bizarrement. Je sortis mon micro et ma caméra de mon sac à dos.
En fin, monsieur Carl Jones sortit du portail. Les gardes corps l'entouraient. Tout le monde se jeta sur eux. Les flashs ne s'arrêtèrent point. Je commençai à prendre mes premières photos dont la moitié était floue. Quand je finis, je m'avançai pour l'interview. Une dizaine de photographes partagèrent la même idée.

       Après l'interview, notre acteur devait aller se reposer dans un hôtel. La troupe se disparut brusquement. Mais le tintamarre me causa du mal à la tête. Je ne pouvais plus résister. Je voulais regagner ma caisse, mais je m'évanouis... .

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