Chapitre 7 : Supplie moi
Point de vue Aénor
Je me réveille étourdi mais en forme dans un lit ou tous mes muscles sont détendu. depuis combien de temps je dors ? je me relève légèrement pour voire ou je suis. C'est une grande chambre de yacht. Je sentie une pression à mon poignet qui avait été soigné par des bandages mais l'autre con il m'a attaché. Ce que je ressent est une menotte autour de mon poignet je me cale contre le bord du lit pour être assise et je vois Edwin dormir paisiblement. Je vois ses sourcils se froncer et sa tête légèrement agité. Il doit faire un cauchemar. Je rigole intérieurement il mérite pas mieux celui là. Il a toujours sa bague autour de son annuaire droit. Je dois lui prendre mais il ne me laissera jamais l'approcher. Quand il n'a pas cette amulette sur lui je retrouve toute ma puissance et quand je la retrouverais.... Il va avoir mal comme il ma fait mal. Je m'agite sur mon lit je n'aime pas rester à rien faire. Je vois une bouteille d'eau à côté de moi. Je prend la bouteille et en boit une gorger car j'ai très soif et d'une gorgé c'est comme ci j'avais bu pour un repas complet et je me retrouve très en forme. Je sens qu'il se réveil un peu suite à son cauchemar. Je le regarde attentivement. C'est un beau garçon certes mais il cache quelque chose qu'elle quel soit je trouverais... Je pense que si je le sauve de lui même je serais sauvé moi aussi. Mais même la mort ne peut être un frein à une passion. Et comme sa passion c'est le chaos ça va être dur. Je soupire et le frotte les yeux avec mon pour et mon indexe. Je pince l'arète de mon nez entre mes yeux. J'ai envie de pleurer et rentrer chez moi. Edwin se reveil et je relève la tête pour le regarder son visage ne m'inspire que du dégoût et ç doit se ressentir sur ma tête.
- Quoi tu n'as jamais vu un beau gosse ? Il fit un sourire de charmeur.
Je détourne les yeux totalement indifférente à son sois disant charme. et je soupire. Sans répondre.
- Eh bien quoi on a perdu sa langue petit chat.
Il s'avança petit à petit vers moi. En se mordant la lèvre et me détaillant de toute part. Les cheveux gras, des poches noir sous les yeux des vetements qui se sont abîmé déchiré sali de sang. Je me demande ce qu'y peut bien l'attirait vers moi en ce moment. Il s'approche de moi et vient déposer un délicat baiser dans mon cou et le lécher même pas deux secondes après qu'il est commencé à entreprendre cette manoeuvre de ma main lire je lui fou un coup de poings dans la gorge. Il tomba par terre en se cognant contre la table de nuit. Je rigole en le regardant suffoquer suite à ce coups relativement très fort. Si j'ai bien visé il risque d'avoir du mal à parler pendant un moment. Je le regarde avec un sourire malin. Il risque d'être riddicule quand il va me menacer.
PDV Edwin
Je me tenais la gorge, ça faisait mal, très mal, j'avais du mal à parler et j'étais sûr que mes cordes vocal étaient touché. Je me relève difficilement je ne parle pas. Je suis juste en colère. Je l'attrape par le poignet je n'ai qu'une envie c'est qu'elle soit miennes qu'elle arrête de résister. Elle se débat essaye de me donner des coups de pieds que je lui bloque. Je la vois elle regarde mon doigt, elle regarde ma bague. Je lui attache avec une deuxième menottes l'autre poignet. Elle ne parle pas elle se débat juste. On le voit dans ses yeux qu'elle n'a pas peur. Je vais lui faire changer d'avis, elle doit savoir qui je suis.
- Fais moi ce que tu veux je m'en fou !
Elle dit ça en me regardant dans les yeux. Je ne lui répond pas et me relève pour aller chercher un ciseaux. Le même ciseaux que j'avais utilisé pour lui couper ses magnifique cheveux. Je sourit. Je la regarde elle à une lueur de défis dans le regard. J'enlève ma ceinture et la pose près de son corps. Je joue avec le ciseau. Elle est un peu trop habillé à mon goût. Je commence à avancer et quand j'arrive trop prêt elle tente de me donner des coups de pieds au visage. Je dépose mon index sur mes lèvres pour lui dire de ce calmer. Je m'installe en califourchon sur ses jambes et je commence à découper son tee shirt tranquillement. Du bas de son ventre jusqu'à son cou. Ainsi que les manches maintenant elle porte juste un soutiens gorge et un short. Je me mord la lèvre et dépose délicatement mes mains sur son corps chaud. Ses yeux bouillonne de colère. Je commence à découper les bretelles de son soutien gorge et la partit du milieux. Je prend son tee shirt et son soutien gorge découper et les jette dans la poubelle en métal. Je rigole et regarde son corps. Ce corps de déesse que je caresse avec envie. Mon sexe commençant à monter en la regardant torse nue. Je vais ensuite découper calmement son short et sa culotte. Que je jette également dans la poubelle. Elle est nue en face de moi. Je me relève et prend ma ceinture. que j'ai laisser à côté d'elle. Et pour la première fois je vois une lueur d'effrois dans son regard qu'elle essais de dissimuler. Elle a bien trop de fierté pour supplier. Je viens donc chuchoter à son oreille
- Supplie moi, je ne te ferais rien.
Elle me regarde et me crache au visage, en plein sur ma joue.
- Vas crever !
J'attrape un de ses seins et pose ma bouche contre la sienne tout en lui malaxant violemment sa belle poitrine telle de belle pomme mûr. Je me relève et fait claquer la ceinture dans les airs. Elle me regarde toujours avec haine. Je claque la ceinture contre son ventre dorée sui rougis légèrement suite au coup de ceinture. Elle sert les poings et se pinces les lèvres. Elle doit essayer de se retenir de hurler. Je lui donne un deuxième coup à une jambes puis à l'autre, je m'amuse à la regard geindre faire tout ce qu'elle peut pour se retenir de hurler. je lui en donne encore partout sur son corps. Pendant vingts bonnes minutes. Ses gémissements de douleurs se font de plus en plus fort malgré son non vouloir de montrer sa douleur.
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