Chapitre 6 : Dépendance

Point de vue d'Aénor


J'avais mon regard fixé sur lui d'une haine sans nom. Mais je décider de faire comme je m'en fichais je repose ma tête sur les barreaux. Je ne montre pas que je souffre pas un geste pas un mot pas une déformation de visage. Je restais là à attendre. Il n'arrêtait pas de me fixer je faisait comme si il n'existait pas. Je ne le regardais plus je ne bougeais plus. Mes muscles, mes yeux trahissait ma fatigue à constamment lutté contre ses liens si sérré que je saignais. Il m'était impossible de dormir. Je sais que j'aurais pu oublié la douleur en faisant cela. Mais j'étais décidé à ne pas bouger. J'étais frêle et je suppliais mon fort intérieur pour que mon corps entier me lâche, je ne pouvais pas faire ça ma conscience me disais de ne pas lâcher tout dépendais de moi. Je ne suis pas cruelle. Comment pourrais-je faire ça à toute les personnes que j'aime...? Maman, Papa, Erwann, Cali... Et même cette peste de Neige.

 - Je te trouve bien palote et triste. Me dit Edwin en mettant un mêche de cheveux rebelle derrière mon oreille.

 - J'avoue que... Je le regarde tristement sans finir.

 - oui ...??? Intrigué.

 - Ca fait vingt quatre heure que mon nez me gratte et je suis incapable de le gratter. Je souris en me foutant royalement de sa gueule.

Il me regarde surpris au début puis m'attrape par les cheveux.

 - Tu veux que je le regarde pour toi ?

Avec un sourire sans joie. Il sort un couteau et me le met proche du visage. Je le regarde sans peur et sans émotion, c'était la meilleure chose à faire.

 - oooh ! oui S'il te plais c'est horrible.

Je ne supplierais plus jamais se type et je ne montrerais jamais qu'il me fait peur... Surtout qu'il ne me fais pas peur. Il commence à découper mes liens qui me raccroche aux barreaux mais pas aux mains. Je tombe immédiatement à terre mes muscles se détendent enfin je ne peut pas les en empêcher mon esprit aussi étant fatigué arrive à se détendre par je ne sais qu'elle miracle. Atteignant le sol mon regard devint flou mes yeux se fermèrent je sentit un bras derrière ma tête avant que j'atteigne le sol. Et je m'endormis dans un sommeil profond sans rêve.

Point de vue Edwin

Je la rattrape avant qu'elle ne se cogne au sol et s'endort instantanément dans mes bras. je ma regarde alors qu'elle à toujours les poignets qui saignent ainsi que ses chevilles. Je la secoue un peu mais elle ne se réveille pas, elle respire déjà. Je la détache totalement laissant ses bras et ses jambes se denouer. Je pose ma main derrière son dos et l'autre en dessous de ses genoux et je la porte en mettant sa tête contre mon épaule. Elle est surement inconsciente, elle en dors pas.je l'emmène en eau du pont. Je vois Max.

   - Apporte moi de l'eau, des serviettes propres, des bandages, du désinfectant et des compresses. Ne pose pas de question. Dis-je sèchement à Max voyant qu'il allait me demander ce qu'elle a.

Les autre matelots nous regardent intrigué mais ne disent rien. Je rentre ma cabine et l'allonge sur mon lit délicatement. Ses poignets continue de saigner et ses yeux sont cernés. Max arrive peu de temps après avec tout ce qu'il faut. Cinq serviette de bouteille d'eau et des bandages.

Je prend tout ce qu'il me faut, sous le regard étonné de Max.. J'humidifie un peu ses lèvres et j'humidifie également un peu une serviette sur son front je la sens légèrement fiévreuse. J'applique un peu de désinfectant sur ses plaies. D'abord son poignet droit et applique le bandages tout autour. Je ne préfère pas prendre de risque et je met son poignet bandé sous menottes accrocher au lit ça me fait mal de faire ça et elle ne tentera sûrement rien puisque il y a beaucoup de monde. Peut être tentera t elle de voler ma bague. Je commence à panser ses plais à son poignet, puis ses chevilles. Et je m'assoie sur mon siège derrière mon bureau.

 - Je crois tu t'attache trop mec... Me dis Max en me regardant moi et Aénor l'un après l'autre...

 Je regarde Aénor et baisse la tête... Cette fille est une forte tête...

 - Je dois la garder en vie et peut être avoir sa confiance...

Il rigole comme si c'était une blague...

 - Tu prend tes rêve pour des réalité. Tu viens de détruire son monde. Tu n'aura jamais sa confiance...

 - C'est bon je sais.

Je sors la carte... Avec ça je peux je ne perdrais pas mon objectif des yeux.

 - tu peux sortir...

Il s'exécute. Je regarde Aénor évanouie d'épuisement. Elle va devoir me faire confiance un jour. Mais elle est tellement coriace. JE regarde sa poitrine monter et descendre au fur et à mesure de sa respiration lente. Elle semble apaisait. Je regarde ses menottes. Ne va t elle pas me sauter dessus et réussir a m'enlever la bague sans qu'elle ne s'en rende compte. J'observe celle ci qui met bien utile. C'est une pierre qui à un mélange de couleur rose rouges et bleu vert. Elle me permet d'emplifier mes pouvoirs en donnant l'impossibilité à mon adversaire de les utiliser. J'avoue c'est de la triche mas ces bien pratique je dois dire. Je regarde la carte étaler devant moi. Moi aussi je commence à fatigué. Je m'endors donc sur le siège tout à fait confiant.

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