Chapitre 5 : Amitié
Point de vue Calicia
~~Retour juste après la fuite de Calicia après l'apparition de Edwin~~
Je cours comme ce que Aénor m'avais dis de faire. C'était sûrement la pire chose à faire... pourquoi j'ai fais ça. Je m'arrête et me retourne pour voir si elle arrive elle était juste derrière moi. Elle ne l'est plus. Je prend mon visage dans mes mains. Je l'attend plusieurs minutes je m'inquiète trop et je décide de retourner dans ma maison... je regarde un peux peureuse dans l'entrebâillement de la porte... je l'ouvre il n'y a plus personne.
- Aénor ? dis-je la voix tremblante.
Je n'entend rien. Je rentre et je vois ma maison n'est plus aussi propre que tout à l'heure tout ce qu'il avait sur la table de la cuisine est par terre. Je découvrit des traces de sang sur la table et par terre. J'espérais réellement que au fond de moi ce n'est pas le sang de Aenor... Mais si elle à était enlever.... Je me concentre un instant j'essaie d'utiliser mon don... Un don que je n'utilise jamais ne sachant pas l'utilisé. Je peux voir ce qu'il c'est passé quelques minutes dans le passé et je peux voir aussi quelques minutes dans le futur. Je respire fort, je ferme les yeux joint mes mains et attend en me concentrant sur l'événement perturbateur. J'arrive à retracer le mieux possible ce qu'il c'est passé après ma fuite. tout a été si rapide je vois Edwin tomber au sol suite au coup de Aenor. Il disparait puis réapparait devant Aénor dans la cuisine.. Elle n'utilise pas son pouvoir pourquoi n'utilise t elle pas son pouvoir. Je la vois se faire plaquer contre la table tirer par les cheveux. Elle manque de se faire étrangler. Elle lui crache dessus. Il lui enfonce une aiguille dans le cou. Elle est à terre là ou je suis debout. La vision s'efface. J'ai mal à la tête. Je me tiens contre le mur j'ai pas l'habitude de faire ça. J'essaie dans faire abstraction je dois aller prévenir la reine même si elle me déteste. Soudain je me souvient que je ne suis pas habillé je peux pas me présenter comme ça j'enfile rapidement un tee shirt qui me vient sous la main et un jean troué que je fini de boutonné dehors. Je cours à toute vitesse vers le palais. Avant même d'arriver au porte je crie comme une furie.
- AENOR C'EST FAIT ENLEVER PAR EDWIN ! criais-je à bout de souffle.
Je suis loin d'avoir de l'endurance... Je suis pas grosse mais la course à pieds j'aime pas ça. Les Gardes commence à crier.
- OUVREZ LES PORTES !
Je m'engouffre à l'interieur. Des gardes me regardent et m'arrêtent.
- que ce passe-t-il ?
- A...Aenor.... Edwin.... ! J'essaie de reprendre mon souffle. Elle... est en... danger.
Les entendirent et commencèrent à s'agiter et j'entendis une sonnerie d'alerte. Je commençais peut à peut à y voir clair et je vois tout le monde qui s'agite. Un garde en chef donne les ordres.
- A TOUTES LES UNITÉS LA PRINCESSE A ÉTÉ ENLEVER RATISSER LA VILLE EN PREMIER LIEUX.
Quelqu'un m'attrape part le bras surement un garde et m'emmène à l'intérieur. Je me débat.
- JE peux marcher toute seule.
Je regarde l'homme et c'est un garde qui m'emmène vers l'étage des quartier de la reine. je rentre dans la suite royale en baissant la tête je suis extrêmement gênée de rentrer dans cette pièce. Le garde prend la parole
- La princesse a été enlever madame voici avec qui elle était.
Je garde la tête baissé et je fais une révérence maladroite... Dans qu'elles draps je me suis mise ? Aenor quand je t'aurais retrouver je me ferais un plaisir de te torturer.
- Majesté...
- Qu'est ce que ma fille faisait avec toi...?
Je déglutis... D'un seul mot elle peut me couper la tête...
- Elle.... a escalader le mur du deuxième étages parce qu'il n'y avait personne pour la surveiller...
- Bon sang ! Cette enfant ! dit elle exaspéré
La reine semble plus désespéré par le comportement de sa fille que inquiète pour sa disparition.
- Majesté... Si je puis me permettre... Edwin a été assez violent avec elle. Elle n'est plus consciente. Elle ne pouvait pas utiliser ses pouvoirs.. quelques choses devait la neutraliser.
Elle me regarde avec de grands yeux je baisse les miens, cette femme est trop intimidante. Elle murmure doucement un incompréhensible "impossible". Elle semblait pensive.
- Ma reine... continuai-je. Je ne voudrais pas vous alarmer mais il faudrait faire quelque chose non ?
Le reine ne m'écouta pas.
- GARDE ! Deux autres gardes entrèrent même pas dix secondes après. Allez me chercher Ezra où qu'il soit je m'en fiche. Et.... Elle me regarde... Emmener la au cachot c'est de sa faute si Aénor n'est plus là. Et puis c'est ce que j'aurais dû faire depuis bien longtemps.
Un garde partit et deux autres me prirent par un bras chacun. mon visage se décomposa.
- NON ! Majesté ! pitié ! Avec ou sans moi elle serait sortit sans moi vous auriez su bien trop tard qu'elle n'était plus là... La reine ne me regarde même pas et fait un signe qu'ils m'emmènent. NON ! Pitié lâchez moi c'est mon amie. Ils m'emmènent hors de la pièce. JE SUIS PRÊTE A AIDER A LA RETROUVER. PITIÉ ! Je cris mais les portes se refermes.
Je suis dépité et je laisse les gardes m'emmener vers le donjon. Je me débat mais laisse vite tomber et monter en haut du donjon en me laissant limite trainée. JE suis violemment jetée dans un cachot en forme ronde faites d'un simple lit et d'une meurtrière pour laisser passer la lumière... Pourquoi ? Je me recroqueville au sol... Comment la reine peut m'en vouloir pour quelque chose que j'ai fais alors que j'avais que douze ans... Je pense à Aénor me vient une image d'elle sur un bateau ligoté de manière à être recroqueviller sur elle même, dans une cage.
- Aenor... pardonne moi... Je commence à pleurer.
Une heure se passe sans que je n'entende rien recroqueviller sur mon sol de pierre plein de terre qui est désormais ma nouvelle demeure. J'entends bruit de pas accélérer montant jusqu'ici, une respiration saccader non loin mais très vite contrôler.
- Cali ?
Je connais cette voix je la connais mieux que qui conque en se bas monde. Je me relève et essuie mes larmes et me retourne sur Erwan, mon ex petit ami. Je m'avance vers lui surprise mais heureuse de le voire...
- Erwan ? Mais qu'est ce que tu fais là ?
- J'ai appris pour ton arrestation je trouve ça dégueulasse... ne t'inquiète pas... Je vais te sortir de là.
Erwan me tend la main entre les barreaux et je la lui prends nous collons nos deux front l'un contre l'autre. Nous nous sommes toujours aimé avec Erwan mais nous avons du nous quitté à cause du problème avec sa mère. La reine. Il m'a tant manqué. Il pose sa main sur mon menton et m'embrasse avec délicatesse. Le problème c'est que Erwan venait souvent chez moi presque tout le temps. Un jour sa mère l'a découvert et j'ai faillit me faire couper la tête si il n'avait pas été là je serais sûrement morte. Il lui à promis qu'il ne me reverrais jamais et c'est ce qu'il a fait.
- Tu me manque tellement... Mon amour je t'aime.
- moi aussi je t'aime... Une larme coule sur ma joue qu'il essuie entre les barreaux.
J'ai réellement pas de chance avec la famille royal sérieusement. J'ai rencontré Aénor parce qu'elle aimé bien sortir en cachette et que moi j'étais toute seule dans mon coin. Elle m'a prise sous son elle. Je n'avais que 11 ans. J'ai rencontré Erwan qui n'avait que un an de plus. Quand je fus bannis nous voyons tous les trois régulièrement des fois que Erwan et des fois que Aenor. Un lien c'est tisser et à nos quinze ans on c'est mis ensemble. Erwan est réellement ma moitié. Rien n'est plus important que lui... Je regarde ses doux yeux vert ses cheveux chatains clair ses trois petits grins de beauté qui parsèment son jolie visage, sa machoire carré... Mise à part les cheveux et la couleur de ses yeux il ressemble à Aenor même nez même forme des yeux et même leurs cous sont similaire. Je lui caresse les cheveux...
- J'ai tellement envie de toi mon amour. dis-je
Je lui sers la main et je l'embrasse à nouveau entre les barreaux qui nous séparent. Il passe sonn bras entre les barreaux et me caresse la cuisse. Je frissonne. Il remonte dans mon dos.
- Pas maintenant mais ne t'en fais pas j'arriverais à te sortir de là.
Il se détache de moi...
- Je reviens t'inquiète pas.
Je le regarde partir descendre ses interminable escaliers et je fond en larmes. Pourquoi je suis une poisseuse comme ça ? J'ai rien demandé à personne moi...
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