Chapitre 3 : Le Large

Je sens quelque chose me tenir par le poignet je sens une odeur etrange d'eau salée... j'ai un peu peur. Mon corps glisse tirée part des mains sur un parquet qui n'a pas l'air en très bonne état. Je suis incappable d'ouvrir les yeux j'essais de relevr la tête mais je suis trop fatigué.au bout de une minute ou je fut trainée comme un vulgaire sac à patate. je pense que je suis trainée depuis plus longtemps mais j'étais sûrement encore inconsciente. On met contre un mur assise et j'ai du mal à tenir sans retomber par terre. J'ouvre les yeux à moitié.

 - Ah tu te réveille. Dit une voix d'homme qui ne ressemble pas à celle de Edwin.

je lève la tête pour essayer de distinguer son visage mais j'y vois tout flou et je suis prise de vertige quand j'essaie de bouger. Je reste donc fixée sur un point du parquet tout cabossé sans osé bouger. L'homme me prend les poignet, les attaches solidement à queluqe chose qui semble être des barreaux mais je n'y voit rien. Il relie ensuite mes jambes a mes mains pour que je me retrouve sans pouvoir faire de mouvement en position foeutal contre des barreaux. j'ai essayer d me defendre mais mes force m'ont abandonnée. Je repose ma tête contre des barreaux froid. les liens m'irrite la peau des poignet tellement ils sont serraient. Je ne dis rien je ne bouge pas. J'ai froid j'en tremble.

L'homme qui est avec moi sort et j'entends une porte en fer se fermer avec un cliquetis. je suis enfermé. Qu'est ce que j'ai fais ? pourquoi suis je sortis ? ça ne pouvais que faire des emmerdes. J'aimerais poser mon dos contre quelque mais il n'y a rien qui me permet j'essaie de détendre mes muscles crispés car mon dos me fait mal. Mais si je me détend les lianes me feront encore plus mal. Je suis dans une position très peu confortable et c'est voulu. Je grimace tout en essayant de m'échapper de ce flou et cette fatigue. J'entends quelqu'un marché et venir se poser près de moi derrière les barreaux. Je tourne la tête doucement mais abandonne quand je sens que tout tourne. Un souffle dans mon cou se fit sentir près de mon oreille.

 - Qu'est ce que vous allez faire de moi ? dis je doucement avec difficulté.

 - je peux faire ce que je veux de toi maintenant... Mais ne t'inquiète pas je ne vais pas te tuer.

C'était Edwin... Je reconnu sa voix tellement proche de mon oreille tel un murmure. Ses paroles ne me rassurèrent pas. Je préfère mourir que d'être à la merci de cet homme.

 - Je... Je préfère mou...rire qu'être à votre merci. Dis-je difficilement.

Edwin rigole d'un rire froid et me caresse la joue.

 - ne dis pas ça. si tu meurs tu ne pourra pas sauver ton peuple... dit il d'une voix douce.

 - Vous allez me torturez de cette manière...? en regardant mon peuple se déchirer.

J'essais de bouger mais les liens sont trop serrer. Je lâche un "Aïe" non contrôlé. je dois pas montrer que j'ai mal. mais trop tard il m'a entendu.

- OOOh, chérie tu as mal au poignet ? tu veux que je te retire les liens. Il dit cela avec un ton sarcastique et faussement gentil.

Il passe sa main entre les barreaux me prend par le menton et m'oblige à le regarder. Je reprend peut à peut mes esprits et j'arrive à le distinguer correctement. j'ouvre un peu plus les yeux et je le vois. De la lumière passe à travers une fenêtre et éclair son visage qui brille avec sa peau blanche. Je ne distingue pas plus que son visage. Il continu à me tenir par le menton.  Je ne le lâche pas du regard. un regard de défi.

 - Vas y ! aller ! fais moi du mal ! Se c'est ce que tu veux. Tu es loin de me faire peur.

Il rigole et caresse doucement mes cheveux très long que sont sur le sol il en prend une mèche et la fait tourner dans ses doigts... Il semble réfléchir.

 - Mmmmh... Des cheveux qui arrive jusqu'aux genoux se n'est pas bien pratique...

Il se lève laissant tomber ma mèche au sol... Je commence à me faire un film dans ma tête... "Non pas mes cheveux pitié..." Quelques minutes après j'entends le verrou de la cage s'ouvrir. je tourne la tête pour regarder qui est ce... C'est Edwin il est debout devant moi et tenant dans sa main un petit objet metalique. et je commence a faire non de la tête.

 - Non pitié pas ça... Pitié... J'essaie de retenir mes larmes. Mes cheveux qui sont tellement beau.

Mais il s'en fou il s'approche de moi. Je commence à me débattre et à dire "Non, Non. Pas mes cheveux". Il s'accroupit près e moi et me caresse le visage.

 - Chuuuut... Si tu bouge ca ne sera pas droit...

 - JE DOUTE QUE TU SOIS COIFFEUR ! Criais-je en gigotant. Ne touche pas à mes cheveux.

 - t'inquiète juste les pointes. Il rigole.

Il approche les ciseaux proches de ma nuque. et commence à couper je gigote pour qu'il arrête mais rien à faire je sens mes cheveux tomber sur mes épaules et mes mains. il termine et j'ai desormais les cheveux taillés au carré. il m'attrape le reste de cheveux qu'il me reste.

 - Juste assez pour les tirer.

Je le regarde avec tout la haine du monde dans mon regard et ne verse pas une larmes. Juste de la haine. Il se relève et commence à partir vers la porte. il la referme avec un cliquetis et sort de la pièce. JE commence à regarder autour de moi. je vois une très grand salle autour de moi. Je suis effectivement dans une cage qui doit faire trois mètres carrée. Elle contient de la paille à l'intérieur. Dans la grande pièce on peut y voire beaucoup de tonneau, de caisse... Et je sens qu'on commence à être en mouvement. Les fenêtres que j'avais vu tout à l'heure sont en fait des hublots. Je suis sûr un bateau et on s'en va au large.

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