Chapitre 10 : La retrouver
PDV Aenor
Je suis toujours allongé le corps qui brûle les poignets, les bras, les jambes engourdies. Je ne pouvais pas bouger. Alors je commence à forcer sur les menottes. Je savais que ça n'allait pas marcher. Mais je forcer malgré ma maigreur je commencer à forcer. Encore je sentis qu'elles se tordaient petit à petit donc je forçais toujours plus encore et encore. Jusqu'à ce qu'elles se cassent je réussie à me libérer. Enfin pas du bateau je ne pouvais pas partir de toute manière. J'alla bloquer la porte juste pour me laisser un peu de temps pour faire ce que j'ai à faire. J'ouvris la fenêtre qui mène directement à l'eau. On allait tellement vite sur ce paquebot. Je me souvins de quelque chose que j'avais lu dans un livre. Enfin, c'est Cali qui m'avait lu ça et appris. Elle est tellement fan de ce genre de bouquin. Elle lit toujours. Je commence donc à chanter ce poème dans une langue que moi-même je ne connais pas et je ne sais pas comment ça s'écrit. Donc je chante et un être sauta telle un dauphin hors de l'eau. Mais cet être était faite de cheveux très long blond, je bras et d'un torse humain. Ces jambes étaient en fait des écailles qui reflété du violet et du bleu. Pas besoin de vous dire que c'est une sirène. Elle vient vers moi.
- AENOR ! Princesse ! on vous recherche partout même nous les sirènes nous vous cherchons.
- Oui... Mais doucement chuchotai-je. Tu sais où je suis maintenant va les prévenir !
- Oui Princesse.
Elle ne bouge pas elle me regarde. Mais est ce qu'elle est stupide. Je la regarde en attendant.
- Alors ? Qu'est-ce que tu fais ?
- Ah oui... Elle s'en va
Je sers l'arrête de mon nez en secouant la tête. On ne peut pas dire qu'elles soient très intelligentes les sirènes. Je regarde la porte et je sors en levant les mains pour être sûre qu'on ne va pas m'attaquer. Je vois Edwin de dos avec un gros costaud un peu noir de peau et chauve. Je monte les rejoindre alors qu'ils sont de dos. Je m'assois sur une rembarde de bois.
- Je pense que tu devrais rendurcir ces menottes. Dis-je en regardant son dos.
Il se retourna en sursaut et son visage fut très étonné de voir le miens. Je souris il s'avance vers moi l'air menaçant. Je mets mes mains devant moi. En le calmant.
- He ho calme toi je ne vais pas t'attaquer. D'un parce que tes plus fort que moi. De deux que tu as ça. Je pointe la bague. De trois nous sommes sur un bateau. De quatre vous êtes 50 ! ALORS CALME !
Il passe sa main dans ses cheveux. Il avait un bleu sur la gorge ça doit être pour ça qu'il ne parle pas. Son surement ami le tiens par le bras.
- Aller calme toi elle a raison.
Je le remercie du regard.
- Plus tu m'attache et me frappe moins je te respecterais. Si tu fais en sorte que je sois pleinement matelot je te respecterais.
Il hocha la tête et apprécias le soleil sur ma peau dorée. Elle brillait telles des paillettes d'or. J'avance vers l'avant du bateau.
PDV Edwin
Tandis qu'elle s'éloigne je frappe Maxime.
- Putain mais faudrait pas qu'elle se suicide... Murmurai je avec difficulté.
- Elle ne va pas se suicider. Tout le monde compte sur elle et vie grâce à elle.
Je soupire et je regarde l'horizon un vent léger parcourrait mon visage. Je sentis une odeur étrange d'un coup qui n'était pas spécialement agréable. On est encore loin une semaine de trajet mais on dit que l'île dégage un odeur tellement forte de décomposition qu'elle se sent à plus de 1000 km de l'île. L'odeur était très légère mais je pense bien que se sera pire sur l'île.
PDV Cali
OH NOM DE DIEU ! pensais-je. JE sais ce qu'il va faire. J'avais passer des heures à lire ses bouquins. La seule île qui soit capable de faire un truc pareil !
- Je dois sortir et vite. Je dois sortir ! je commence à crier. LAISSER MOI SORTIR !!!!
Je tape sur les barreaux. tellement fort qu'il eut un choc, un choc qui me propulsa en arrière et me tapa contre le mur du fond de la cellule. Mes yeux se ferme dû au coup mais je suis consciente. Mes oreilles bourdonne tellement fort j'essais de ramper je vois trouble.
- Je dois... Sor...tir. Aïe...
Je commence petit à petit à aller mieux mais très lentement assez pour me faire sortir de la cellule. Il y avait un troue énorme. Le choc à dû faire du bruit. Je descend les escaliers en colimaçon. Je ne vois aucun garde j'ai toujours la tête qui tourne. Je trouve difficilement la porte de Erwan. J'ai la main sur la poignée. J'ai peut que se ne soit pas la bonne peut être a t elle changer depuis trois ans ? Je rentre quand même. Je vois le visage de mon amour. Je suis tellement heureuse ! Je souris même si je marche bizarre et je vois trouble. Il vient vers moi peut être a t il dit quelque chose je ne l'entend pas je l'embrasse.
- Je... Sais où elle est... Dépêche toi ! Je le prend par la main et le tire. Il ne bouge pas. Dépêche toi Erwan ! Ils ne vont pas la retrouver assez vite.
- Ils savent où elle est. c'est fini. Dit il peut être la seul chose que j'ai entendu.
Je m'arrête net.
- Non ils ne vont pas s'en sortir ! Ils vont tous mourir s'ils y vont. Moi je sais comment on fait. J'ai compris pourquoi ces livres sont interdit. Il faut les arrêté ils n'y arriveront jamais seul jamais.
- Mais comment tu le sais ?
- LES LIVRES ! Je sais ce qu'il s'y passe là bas et ses livres sont imprégnaient de sa magie.
Je continue de le tirer. Il finit pas arrêter de riposter et nous parton vers le port.
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