Chapitre 1 : Imagine

Je suis actuellement en train de rêver un si beau rêve qu'il me parait irréalisable. Mais tous les rêves se réalisent ? Quand on veut on peut. J'aimerais tellement pouvoir mais pour le moment je ne peux que vouloir. Ce parc est tellement beau ce soleil est réellement agréable faisant brillé ma peau doré et faisant ressortir mes yeux marrons presque noir. Mais ce n'est qu'un rêve et je le sais. La paix ? Je ne sais pas ce que c'est mais j'en ai un peu juste pour faire ce rêve. Ça me rend dingue. Je fut vite extirper de ce rêve si simple et si court. Peut être que pour certains d'entre vous ou plutôt beaucoup d'entre vous se dise que ce n'est pas un rêve c'est juste ce que je vie tout les jours quand je vais au parc avec mes amis quand il fait chaud. Non de mon côté ça ne se passe pas comme ça. Mon rêve à moi d'après ce que tout le monde dit c'est de rester la lumière de notre monde. Oui, oui je suis la lumière de Daniléa, c'est fou n'est ce pas ? Si je ne suis plus dans la ville, ben elle va s'éteindre petit à petit si je ne revient pas vite, le monde Daniléa va s'éteindre au bout d'un an d'absence.

C'est énorme vous pensez ? Ils ont le temps de me retrouver ? Et si je ne suis plus en vie ils ont le temps de voir le monde périr petit à petit. Il y a plusieurs étapes à ce que m'a expliqué ma mère. La première c'est que la température baisse, dans ce monde tout est parfait vous voyez ? Il ne pleut jamais, il n'y a jamais de malade, ou de nuage. Et nous avons toujours assez d'eau pour nous nourrir et boire. C'est la terre sainte disait ma grand-mère. Mais nous vieillissons, nous mourront et nous nous blessons mais très peu tombent malade. ça fait parti de la vie. Donc la première chose c'est qu'il va commencer a faire froids les premiers mois, ensuite le ciel vas ce recouvrirent d'un voile de plus en plus épais à n'en plus voir le soleil. Les fleurs et les champs vont pourrirent il sera impossible de cultiver les sols. Ainsi, mon peuple mourra de faim au fur est à mesure. Mais avant de mourir de faim la maladie vas emporter d'abord les plus jeune et les plus vieux atteignant ainsi petit à petit tout le peuple. Et en un an, tout sera noir et sûrement chaotique vu que la faim et la maladie dressera notre peuple en paix dans une violence qui détruira tout. C'est ce qu'il se passerait sur notre monde entier si je quitte Diarla, la ville de ma naissance. Je suis la princesse. Moi je ne vieillit pas. Tant que je n'ai pas mis au monde ma descendante, quand elle vivra je lui céderais mon fardeau. Mais je me blesse je suis très fragile.

Pourquoi est ce un fardeau ? Je suis constamment surveiller, certaines personnes ne veulent pas de bien à ce monde et souhaite le détruite et le meilleur moyen c'est de m'enlever ou plutôt me tuer. Nous avons vécu plus d'un attentat et j'ai subit plus d'une tentative de Kidnapping. Depuis la garde prend dix fois plus de mesure pour me surveiller. Ils sont aller mettre des balcons sur les fenêtres pour que personne ne passe par là, les vitres sont infranchissable par la magie. Ils ont peur de quelqu'un en particulier Edwin, c'est le pirate le plus connu de tout les temps et sûrement le plus dangereux. Il ne veut qu'une seul chose mon pouvoir. Il peut l'obtenir il veut le pouvoir de Galinéa et il ne s'arrêtera jamais. Je suis frêle et jeune du haut de mes dix huit ans. La vie d'un monde entier me repose sur les bras. Et sur tout que je dois apprendre à être reine, bien me tenir souriante, gentille, calme, réfléchies, patiente... et tout un patacaisse de ces annerie qu'on appelle la royauté. Il met devenue de plus en plus dur de méchapper pour aller retrouver ma meilleure amie que ma mère n'aime pas que je fréquente mais je m'en fiche.

Aénor prinsi :! Tu m'écoute ? Dit une voix d'homme autoritaire.

Je soupire il m'a fait sortir de mon rêve mon rêve éveillait. Cet homme c'est un grand homme à la barbe blanche. qui est mon professeur et en ce moment j'étudie on étudie l'histoire de Galinéa, j'aime l'histoire mais j'avoue que là je n'ai rien suivi de ce qu'il me racontait. Tout ce que je veux c'est sortir de ses quatre murs de pierres, de marbre, d'ambre, d'or et de diamant et sortir faire la fête avec mes amis, mais j'ai plus le droit de sortir du palais. Je le regarde dans les yeux enlevant mon regard de cette splendide ville dont j'ai envie de parcourir les rues

Oui professeur pardon....Je dis cela d'un ton lasse et démoraliser.

Mon professeur n'est pas un imbécile et évidemment qu'il sait quand je vais mal il me fais des cours de toute sorte de chose, histoire, philosophie, littérature, magie, arithmétique, astronomie depuis que je suis toute petite. C'est un peu comme mon deuxième papa, puisque celui-ci est toujours aussi occupé avec ses affaires il y a toujours un problème et ne peut même pas faire de l'équitation avec moi. Bon maintenant je ne peux vraiment plus sortir c'est impossible trop dangereux.

 - Arrête je te connaît depuis toujours je sais quand ça ne va pas. Réplique mon professeur d'un air inquiet.

 - Je rêvasser juste. Je dis cela d'un ton vaseux et regarde par la fenêtre voyant la ville s'instiller de milles feux au soleil. C'est juste que Calicia me manque beaucoup vous savez.

 - Calicia ? Il fronce les sourcils et ne semble pas content du tout de ce que je dis. Il ne supporte pas bien quand je rêvasse ou quand je veux sortir il me connaît tellement bien il sait que je vais tout tenter pour la rejoindre à mes risques et périls. Ta meilleure amie voleuse?

Je proteste aussi tôt !

 - Ce n'est pas une voleuse, c'est difficile pour elle de voir autant de luxe sans prendre quelque chose elle ne pensait pas que vous vous en rendriez compte tous.

La première fois que maman la rencontrer Calicia ne l'a déranger pas je n'avais que dix ans. Mais elle à pris un jour un reliques importante mais ne savais pas que c'était aussi important et l'a rendu, heureusement quelle était monamie elle aurait pu ce faire banir, enfin elle n'est plus conviait au château et quand je n'étais pas sûr protéger j'arriver aà aller la voire queluqes apres midi. C'est ma seule amie.

 - Si tu le dis....

Tant dis qu'il allait reprendre son cours quelqu'un rentre sans toquait et dés que je regarde à qui nous avons affaire je roule immédiatement des yeux et ne la regarde pas. C'est une grande blonde, yeux bleu, cheveux ondulé, corps parfait, jambes interminable. Ouais, c'est ma sœur Neige. Mais je suis loin de la considérer comme tel c'est une petite peste qui n'a que pour sujet sa petite personne et elle a beaucoup de mal à ne pas prononcer les mot "moi" ou "je" dans chacune de ses phrases. Surtout qu'elle a été adopté donc elle est très jalouse de mon pouvoir.

 - Bonjour professeur, elle fait un grand sourire au professeur, avec une voix adorable et mielleuse prend bien soin de ne même pas faire attention à moi. C'est mon tour, elle à finit. Dit-elle d'un ton qui me rend rouge.

Je sert mon sac et sort de la salle en lançant un brief aurevoir au mon professeur et je la foudroie du regard la personne qui me sert de sœur. Quand j'arrive dans le couloir exceptionnellement il n'y a pas un garde personne dans le couloir. Je fais le tour de l'étage lumineux mais personne pas un garde. Je suis tellement heureuse à ce moment là. Je met mon sac sur le dos et je commence à ouvrir une fenêtre je suis à plus de 20 mètres de haut. Je souffle un coup. Je l'ai déjà fais pleins de fois et je suis super doué en escalade. Je passe ma jambe à travers la fenêtre avant que quelqu'un arrive. J'ai réussi à caler mes pieds sur des gargouilles "je vous aimes merci" dis je dans ma têtes à ses deux horrible statut. J'entreprend une descente rapide que je connais par cœur avec fluidité, mais dangereuse donc je reste sur mes gardes. J'ai peut être certains pouvoir que je ne maitrise pas mais je ne suis pas immortelle. Une fois arriver au sol je regarde en haut personne ne ma vu ça va. Je sort un sweet à capuche de mon sac le met et mes la capuche sur ma tête. Je suis tellement fière d'avoir réussi à m'enfuir. Mais c'est étrange qu'il n'y est personne qui était là en train de me surveiller. Je commence à marcher dans la ville au grand immeuble et j'essaie de faire en sorte que les gens ne me reconnaissent pas. Ma peau dorée passe difficilement inaperçu même c'est très jolie. Je regarde les différents magasins mais je reste sur mon première objectif faire une surprise à Calicia. J'arrive devant sa maison et je viens sonner à la porte. Il doit être 15h30 de l'après-midi mais j'entends une voix ronchonner.

 - Qu'est ce que c'est ?

Malgré l'heure tardive de l'après midi Calicia ouvre la porte alors quelle est en pyjama et les cheveux en bataille. C'est une jeune fille à forme avec des cheveux courts des mèches blonde sur le dessus d'une couleur naturel châtain foncé, les yeux marron simple, des tâches de rousseurs légères des mains délicates et fines avec par moment des ongles rongés mais pas affreux. Elle me regarde avec son éternelle sourcil en accent circonflexe qui prouve son étonnement  à me voir au bas de sa porte. Alors je la regarde, elle reste un peu bloqué. ce que l'ont peut dire sur Calicia c'est que la réceptivité n'est pas son fort.

 - Ben alors ? ça dors encore ? faut ce coucher plus tôt le soir. plaisantais je.

Elle rit de bon coeur à ma blague. Et elle vient me prendre dans ses bras.

 - Je suis contente de te revoir Aenor !

Elle se détache de moi me donne une tape sur le nez. et me réplique

 - Sept heures du matin c'est tôt tu trouve pas ?

Je sourit et elle me laisse rentrer. malgré le fait que Cali se couche tard elle n'est pas du genre à laisser trainer ses affaires et dans le salon. Mais je me dis que ce doit pas être glorieux dans sa chambre. Je préfère pas vérifié. Elle vas nous chercher deux verres de jus d'orange et ouvrir les volet laissant la lumière rentrer dans sa maison toute propre. Elle s'installe à côté de moi et me regarde. Elle semble heureuse mais à la fois dépité.

- Qu'est ce que tu fais là Aénor ? Sincérement je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose... Elle baisse la tête.

 - J'en peux plus du palais, on me met la pression tout le temps sur le dos. Et puis Neige qui est de plus en plus désagréable, heureusement que le palais est grand elle serait déjà morte sinon. Il ne m'arrivera rien je prend mes préconcions.

 - Edwin veut toujours ta peau ton pouvoirs.

Je réfléchie un instant à ce quelle me dit elle espère que je vais me faire une raison de ne pas quitter le palais. Mais c'est tout autre.

- Je ne pense pas que ce pirate veuille ma mort, j'ai plus l'impression que je l'obsède. je pense que  si un jour il arrive à m'attraper il va plus profiter de moi qu'autre chose....

Cali reste bouche baie. En grand "O". Elle doit se dire "Mais qu'est ce qu'elle est tarré" je l'attend dans ma tête sa voix ce "qu'est ce qu'elle est tarré" ça ne m'arrive pas souvent mais quand ça m'arrive ça me fait rire. Cali ouvre la bouffe et la referme. puis décide enfin de dire quelque chose. elle me prend par les épaules.

- MAIS RAISON DE PLUS POUR NE PAS QUITTER LE PALAIS !

Elle était en train de me secouer les épaules. Et je commence à rigoler. Je bois mon jus d'orange.

 - Je n'ai pas peur de cet homme. Je la regarde complice. on dit qu'il est canon comme garçon. je rigole.

 - AENOR PUTIN ! Elle me secoue encore plus les épaules.

 - Tu veux vérifier par toi même ? Ce n'était pas moi ce n'était pas non plus Cali c'était bien quelqu'un derrière moi.

Mon sang ne fit qu'un tour et mon coeur manqua presque de s'arrêter.


//!// C'était mon premier chapitre d'une première vrai histoire que je publie je ne connais pas encore la longueur que ça va être n'hésitez pas à me dire si ça va ou pas je suis ouverture à tout commentaire CONSTRUCTIF//!//


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