Chapitre 2 : Deux mois plus tard.

(y/n) prénom

(l/n) nom de famille

(e/c) couleur des yeux

(h/c) couleur des cheveux

(l/h) longueur des cheveux

PDV de Benjamin

Je n'avais pas ouvert la lettre de mon ancienne assistante. Par le passé, j'avais très bien pu me débrouiller sans elle. Cela ne me changerait pas. De toute façon, elle n'était rien pour moi. J'ai déposé la pauvre lettre sur mon bureau avant de me concentrer sur ma nouvelle affaire.

Deux mois passèrent et j'avais remporté plusieurs affaires depuis le départ de (y/n). Pourtant, j'étais pris d'un sentiment de fatigue et ceux de plus en plus fréquemment. En plus d'être lassé. Comme si j'avais un sentiment de vide au fond de moi.

J'étais devant mon ordinateur, une tasse de thé dans les mains quand quelqu'un rentra dans mon bureau. J'entendis un claquement de fouet et je reconnus ma petite sœur. Franziska s'approcha de moi et s'assit en face.

« Comment va mon grand frère préféré ? Fit ma sœur en souriant.
- Plutôt bien.
- Où est ta jolie assistante ? Me demanda la jeune femme aux cheveux gris.
- Ma jolie assistante ? (y/n) (l/n) ?
- Oui ?
- Elle n'est plus ici depuis deux mois, lui appris-je.
- Comment ça ? S'écria Franziska. C'est toi qui l'as viré ?
- Elle est partie d'elle-même. À... À.... Laisse tomber, soupirais-je.
-Non ! Tu te rends compte que tu t'es séparé d'une personne qui vit dans le droit depuis son enfance ! C'est l'héritière de l'empire juridique d'Europe !
- Arrête Franziska ! Je m'en fiche qu'elle soit ou pas l'héritière de ce foutu empire ! J'aurais dû ne pas écouter ses frères et la faire déclarer coupable, il y a trois ans, grognais-je.
- Tu es un imbécile Benjamin Hunter ! Si tu lui as parlé comme tu me parles, ça ne m'étonne pas qu'elle t'ai laissé seul ! »

Ma sœur se leva et partie vers la sortie. J'eus un flash où (y/n) faisait la même chose. Et ceux, il y a deux mois. J'ai grogné avant de la rattraper. Franziska se retourna et me regarda. Je lui ai présenté mes excuses et elle m'entraîna vers ma voiture.

J'ai sursauté avant de comprendre que j'étais à la place du conducteur. Ma sœur me demanda de rentrer l'adresse de mon ancienne assistante. Le silence s'installa dans le véhicule et au bout de trente minutes, nous sommes arrivés devant l'immeuble de la jeune femme.

Franziska me sourit et nous sommes tous les deux sortis de la voiture. Nous sommes montés au troisième étage avant d'être devant la porte de son appartement. J'ai hésité pendant quelques secondes à frapper et ma petite sœur me devança.

Une petite voix nous demanda d'attendre et deux minutes plus tard, nous entendîmes la clé se tourner. La porte s'ouvrit doucement et je vis la jeune femme, de légers cernes sous ses yeux (e/c) et ses (l/h) cheveux (h/c) étaient mouillés. J'eus un pincement de cœur en la voyant si faible et toutes les paroles que je lui avais adressées durant son contrat sous mes ordres me revinrent.

J'ai discrètement soupiré pendant que ma sœur me faisait connaissance avec (y/n). La jeune (h/c) nous invita à rentrer avant que la pluie ne tombe. Franziska me prit par la main et me fit rentrer de force. Mon ex-associée nous pria de nous installer dans le salon pendant qu'elle s'engouffrait dans ce qui me semblait être la cuisine.

Je me suis assis dans un canapé de cuir beige et je vis que son appartement, plutôt spacieux était du style japonais. (y/n) arriva avec un plateau où dessus, il y avait une théière et des tasses japonaises. Elle le posa sur la table basse avant de verser le liquide doré présent dans la théière. La grise remercia notre hôte avant de prendre l'une des tasses et je fis de même.

(y/n) s'assit en face de nous et la conversation des jeunes femmes reprit. Je les ai écoutées tout en sirotant le thé et je pue observer avec plus de minutie les traies de mon ancienne assistante. Malgré son air fatigué, elle avait toujours cet éclat dans ses yeux.

Soudain, j'aperçus ma sœur se lever et se diriger vers le couloir. (y/n) me regarda l'espace d'une seconde avant de baisser le thé. Ce fut trop pour moi et je me suis levé pour m'approcher d'elle. Je m'assis près d'elle. Je pouvais la voir frissonner de peur et je lui ai doucement pris la main qu'elle retira aussitôt.

« Si c'est pour s'apitoyer sur mon sort, ça ne servait à rien de venir ici, souffla-t-elle de rage.
- Je ne pensais pas le dire un jour. Mais... Je suis désolé (y/n). Je n'aurais jamais dû te dire ce que j'ai dit. Je regrette notre dispute d'il y a deux mois, m'excusais-je en reprenant sa main.
- Comment je peux être sûr que ce ne sont pas des excuses plates et bidons, s'écria la (h/c). »

Je ne m'attendais pas à cette question. Et Franziska profita de ce moment pour revenir vers nous. J'ai soupiré avant de me lever et je lui ai souri avant de sortir avec ma sœur. Nous avons dit au revoir à la jeune femme avant de revenir à mon bureau. La grise me donna une lettre et je l'ai regardé.

« Lis-là. Tu auras certaines réponses, m'assura-t-elle avant de me laisser seul. »  

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