Hey! Voici la dernière partie d'Étrange disparitions ! J'espère sincèrement que cette fiction vous aura plu. /!\ ATTENTION /!\ cette partie contiend un lemon où le langage cru sera au rendez-vous ! Pour ceux qui voudrait ne pas le lire, je l'indiquerai avec des citrons 🍋🍋🍋🍋🍋🍋 ce qui sera parfait pour les circonstances! De plus le lemon ne joue pas un rôle clé dans cette histoire donc vous ne louperez rien si vous ne le lisez pas (enfin si mais c'est vous qui voyez ^_^). Voili voilou! Bonne lecture et n'hésitez pas à me donner vos impressions!
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-J'ai une idée. On a qu'à s'en servir comme appât. En plus il correspond au signalement. Un garçon aux cheveux bleu-gris. Il nous manque le jour et c'est tout vu que ça va sûrement se faire dans les ruelles et à dix-huit heures. Il faudra juste qu'on soit là au moment où l'autre se pointera. Et après on le suivra jusqu'à sa planque. Tu es partant ?

-Pourquoi pas. On a rien à perdre en faisant ça.

Après ses quelques mots échangés, l'estomac de Sebastian se serra encore plus.

-Alors il faudra venir tous les jours pour avoir la chance de l'attraper. Continua Sebastian.

-Oui.

Ils revinrent ensuite à la voiture et partirent déposer la plainte et faire le profil de la récente victime. Pendant les jours qui suivirent, ils allèrent surveiller discrètement la ruelle où habitait Ciel jusqu'au jour où leur travail porta ses fruits. C'était le mardi d'après le dernier enlèvement. William et Sebastian étaient comme chaque jour cachés, à attendre que quelque chose se produise. La peur de Sebastian avait grandi de jour en jour et bientôt il ne tiendrait plus. L'église fit retentir ses cloches qui annonçait dix-huit heures et là, un jeune homme blond apparut et se posta devant la cabane de Ciel. De là où ils étaient, les policiers pouvaient tout entendre.

-Encore vous ? Que me voulez-vous encore ? Dit Ciel.

-Je veux juste que tu me suives quelque part.

-Et si je refuse ?

-Je t'emmènerai avec moi de force.

On pouvait voir que le plus vieux tirait Ciel à lui mais celui-ci essayait tant bien que mal de se débattre. Le blond réussit néanmoins à neutraliser le plus jeune et c'est alors que Ciel cria d'un ton déchirant et suppliant : SEBASTIAN !!! Le susnommé ne tint plus devant cette scène et déboula sur eux pour aider son bien aimé. Il attaqua le blond qui dû lâcher Ciel pour pouvoir se défendre. Un combat au corps à corps commença entre les deux et personne ne pouvait dire qui avait le dessus sur l'autre. William vint aider son coéquipier et ils gagnèrent. Sebastian lui passa les menottes et dit à William de l'emmener au poste car il voulut finir tout de suite son service. Quand tout le monde fut parti, il se retourna vers Ciel.

-Tu vas bien ? Questionna Sebastian.

Il n'eut rien d'autre comme réponse qu'un Ciel qui se jeta sur lui pour l'embrasser sauvagement. Ses bras entouraient la nuque du plus vieux qui le serrait contre lui. Quand le baiser prit fin, Ciel plongea ses yeux dans ceux de Sebastian.

-Emmène-moi avec toi. Où tu veux mais ne me laisse plus. Je ne veux plus rester sans nouvelles de toi !

À ces mots Sebastian ne put que rendre un baiser à Ciel. Ils se séparèrent et avant que Sebastian ne fasse quoique ce soit, Ciel retourna dans son abri pour en ressortir avec un papier dans la main.

-Tiens c'est pour toi, s'exclama Ciel tout en rougissant. L'homme de tout à l'heure était déjà venu me voir il y a quelques jours pour me prendre en photo et je voulais te la donner. Sauf que ce connard m'a aussi fait ça.

Il montra un endroit de sa chemise qui était découpé aux ciseaux.

-C'est pas grave, répondit Sebastian, je t'en prendrais autant que tu veux.

Il prit sa main et l'entraîna avec lui à travers la ville pour arriver au poste et récupérer sa voiture. Ils montèrent tous les deux à l'intérieur et le brun emmena donc Ciel chez lui. Arrivé à destination, Sebastian entra les clefs dans la serrure et dès qu'ils posèrent les pieds dans son appartement, Ciel ressauta au cou de Sebastian pour l'embrasser encore une fois. L'autre ferma tant bien que mal la porte d'entrée avant de reprendre Ciel dans ses bras. Ils restèrent là dans le vestibule pendant quelques minutes à s'embrasser à pleine bouche après avoir posé leurs chaussures.

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Ils se rapprochèrent de plus en plus jusqu'à être complètement collé l'un à l'autre. Chacun pouvait déjà sentir l'érection naissante de l'autre sur leur jambe. Sebastian fit glisser l'une de ses mains sous la chemise de Ciel qui frémit au touché. Celui-ci perdaient les siennes dans la chevelure brune de l'autre. Sebastian descendit sa tête dans la nuque du plus jeune pour y faire quelques baisers avant de laisser plus franchement sa marque en signe d'appartenance.

Tout en faisant ça, Ciel commençait à lâcher de petits gémissements. Sebastian, qui était content que ça plaise à l'élu de son cœur, remonta un peu sur le côté pour expirer sur la petite oreille avant de la mettre entre ses dents et de serrer un peu sa mâchoire dessus. Un long frisson parcourut tout le corps de Ciel qui soupira d'extase. Sans se contrôler, son bassin débuta un léger déhanchement sur la jambe de Sebastian qui était entre les siennes ce qui le fit gémir plus fort encore. Sebastian plaqua alors sa main sur ses fesses pour le stopper.

-Du calme petit chat, soit un peu patient.

-Je te veux en moi Sebastian. Je veux sentir ta grosse bite au plus profond de moi.

-Ne t'en fais pas je vais t'accorder ce petit caprice mais avant je souhaiterai jouer encore un peu.

-Ne tarde pas trop non plus.

Sebastian posa une énième fois ses lèvres sur celles de Ciel avant de retirer sa chemise. Sa peau laiteuse était si tentante. Il y fit passer sa langue de la clavicule jusqu'aux bouts de chairs devenu durs sous ses caresses. Il les lécha, les mordit gentiment, y passa ses pouces pendant que Ciel se cambrait un peu en même temps qu'il haletait doucement. Sebastian releva la tête et trouva la vision qu'il avait plus qu'exquise.

Il souleva Ciel qui mit instinctivement ses jambes de part et d'autre de ses hanches et alla dans sa chambre où il coucha celui-ci sur son lit. Ciel sortit enfin ses mains des cheveux de Sebastian pour lui enlever son haut. Les muscles fins de Sebastian lui procura un autre frisson et il se mit en face pour les tracer avec le bout de sa langue. La respiration de Sebastian devint de plus en plus haché. Il remonta le visage de Ciel à hauteur du sien et l'embrassa passionnément. Le plus jeune qui en voulait plus, posa ses mains sur les fesses de son dominant.

-Ton cul est si ferme, rétorqua-t-il après le baiser.

-Laisse-moi toucher le tien.

Il souleva donc le bas de son dos grâce à ses pieds pour que Sebastian puisse y glisser les siennes. Il le palpa tout en souriant.

-Tes fesses sont si rebondi.

-Tu ne veux pas les faire passer sur ton sexe ?

-Bien sûr que oui mais attend encore un peu petit chat.

-J'en ai marre d'attendre.

Il dit cela tout en essayant de passer sa main dans le pantalon de Sebastian qui l'arrêta.

-Mais pourquoi tu m'en empêches ? Regarde !

Il prit celle de Sebastian et la posa sur son érection.

-Tu sens comme je suis dur ? Et toi !

Il plaqua la sienne sur la bosse de son vis-à-vis qui laissa un petit son sortir de sa bouche.

-Donc s'il te plaît prends moi maintenant !

-Petit chat encore un peu juste un petit peu et après je ferai tout ce que tu me diras.

-Tout ?

-Absolument tout.

-Pas longtemps alors.

Pour remercier Ciel, Sebastian lui déposa un baiser chaste sur les lèvres avant de les poser sur son ventre. Il fit le tour du nombril de Ciel avant d'entrer sa langue à l'intérieur en mimant l'acte que Ciel quémandait tant depuis qu'ils était chez lui. Il baissa en même temps le pantalon de son chat qui le fit voler quand celui-ci était arrivé à ses chevilles. Mais ne voulant pas être le seul en sous vêtement, il se débarrassa aussi de celui de Sebastian. Le brun le plaqua ensuite contre le lit. Cependant, ne voulant pas totalement être dominé, il donna un coup de bassin bien visé qui fit s'entrechoquer leur virilité, ce qui valut un beau gémissement de la part des deux hommes. Il renversa ensuite Sebastian pour se retrouver sur lui. Il se mit face au boxer de celui-ci et lui retira.

-Putain t'es drôlement bien gaulé.

Et ni une ni deux il le prit en bouche et commença des vas et viens assez soutenus. Sebastian ne se retint plus et gémit de plus en plus fort.

-Ciel... Han... Attentiaaa... Je vais...

Trop tard. Sebastian se lâcha à l'intérieur de l'antre chaud de Ciel qui avala tout.

-Tu sais que tu es bon ? J'adore les choses sucrés et toi tu l'es.

Sebastian s'accapara les lèvres de Ciel avant de reprendre sa position initiale. Il remit son visage vers son nombril pour passer sa bouche sur la petite traînée de poils qui dépassaient du caleçon de Ciel. Un de ses doigts vint taquiner le bord de l'élastique du vêtement mais il se retira pendant que Sebastian soufflait sur la bosse qui le déformait avant de poser ses lèvres dessus.

-Sebastian... Dé...humm...barrasse-mmoi de ça !

Le susnommé prit donc l'élastique avec ses dents et fit descendre le tissu jusqu'aux genoux de Ciel. Il laissa quelques marques sur les cuisses de celui-ci puis posa le bout de sa langue sur le bout de son gland. Il la passa sur tout le bout du sexe gorgé de sang de Ciel ce qui lui permis d'entendre le doux son de sa voix.

-Bordel aaah... Sebaaastiaaan... Suce moi !

Sans ce faire prier, il goba la virilité de Ciel qui cria son bien-être. Il creusa ses joues pour que la fellation soit encore plus intense. Il fit de lents mouvements pour mener à bout Ciel qui replaça ses mains dans les cheveux de Sebastian avant de bouger ses hanches, de sorte que tout aille plus vite. Sebastian augmenta considérablement la cadence et cela se fit sentir car Ciel finit par jouir dans sa cavité buccale. Quelle délicieuse substance !

Il regarda Ciel qui s'était écroulé sur le lit et lui tendit trois doigts pour qu'il les lubrifient. En voyant ces doigts ainsi tendu vers lui, Ciel les prit en les salivant avidement. Quand ils furent assez prêt, Sebastian les fit descendre jusqu'à l'entrée de Ciel. Il l'embrassa encore une fois pendant qu'il insérait le premier. Ciel trouvait ça un peu inconfortable mais ne sentait encore rien de trop désagréable. Puis Sebastian en entra un deuxième, se qui provoqua de légers tiraillements à Ciel. Cependant, ça restait supportable. Pour quand même lui faire oublier ce petit moment, le brun jouait avec les testicules de Ciel qui ne disait rien.

Il pénétra alors un dernier doigt sous un hoquet de douleur du dernier. Il le reprit en bouche tout en continuant de le préparer. Il faisait des mouvements de ciseaux à l'intérieur pour une meilleure pénétration pendant qu'il s'activait à astiquer son sexe. L'inconfort fut vite remplacé par du plaisir, Sebastian retirai pour enfoncer une nouvelle fois ses doigts dans l'antre de Ciel et parfois il rencontrait sa prostate. Il se libéra donc pour la seconde fois dans la bouche de Sebastian.

-C'est la deuxième fois que tu jouis petit chat.

-Et ce n'est pas la dernière. Assez joué ! Prends moi sur le champs !

Il enleva donc ses doigts pour placer quelque chose de plus imposant à l'entrée de Ciel. Il se fondit à l'intérieur et attendit que Ciel se fasse à son intrusion.

-Tu es si étroit !

Ciel se détendit assez vite grâce à la bonne préparation de Sebastian et bougea le bassin pour lui dire qu'il était prêt. Alors il donna des coups de butoirs de plus en plus rapide et brutaux. Tous deux gémirent plus ou moins fort en fonction des gestes que faisait Sebastian. Ciel stoppa celui-ci pour le faire asseoir. Il se leva puis s'empala d'un coup, ce qui fit heurter sa prostate de plein fouet. Il hurla le nom du brun tout en recommençant, aidé par celui-ci qui le maintenait sous les fesses. En ayant assez de cette position, Sebastian mit à quatre-pattes Ciel sur le lit et le martelait en touchant toujours un peu plus la prostate du jeune homme.

-Oh Sebastiaaannn rempli moi... Haaaan... Comme il faut... Haaaan...

Il se vida pour la troisième fois de la soirée sur les draps du lit et Sebastian le suivit quelques secondes plus tard en sentant l'anus de Ciel se contracter un peu sur son sexe. Tous deux s'étalèrent de tout leur long et finirent par s'endormir dans les bras l'un de l'autre sans avoir mangé.

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Quand le réveil sonna le lendemain matin, Sebastian s'empressa de l'éteindre pour ne pas réveiller son amant. Il alla se laver, s'habiller, se préparer, faire à manger pour lui et son protégé, ramasser la chemise bleue et la poser sur le canapé, mettre ses chaussures et laisser un petit mot pour Ciel avant de partir. Arrivé à son travail, il vit que William était déjà en salle d'interrogatoire pour interroger le suspect. Il entra à son tour et s'installa aux côtés de son coéquipier.

-Je le répète encore une fois, dit William, où avez-vous caché les enfants ?

-Vous croyez sincèrement que je vais vous le dire ? Oh un nouvel arrivant ! Alors, ma surprise vous a plu ? Au départ je n'avais pas prévu de prendre un garçon mais une fille encore une fois. Mais quand j'ai vu que vous n'alliez pas rester de marbre si je m'attaquais à ce jeune homme, j'ai changé mes plans mais apparemment je n'aurais pas dû.

-Silence ! Répliqua Sebastian. Nom, prénom ?

-Il refuse de dire son prénom. Par contre son nom est Druitt.

-Je vois. Si vous ne nous dites pas où vous séquestrez les enfants, je vous jure que je vous fais tomber à perpétuité et avant je vous laisserai aux mains experte de mon collègue qui vous fera subir les plus terribles tortures qu'il connaisse.

-Oh non ! N'abîmez pas mon beau visage !

-Ce sera ici tout particulièrement que nous allons frapper en premier.

-Alors je me rends. Mes petits oiseaux sont tous dans des cages dans la cave du magasin de bonbons. Le vendeur ne sait pas que j'exploite sa cave pour faire ça mais s'il vous plaît ne touchez pas à mon visage !

-On verra. Encore quelques questions, pourquoi avez vous fait ça, quelles ont été vos motivations et que vouliez vous faire ensuite?

-Regardez autour de vous. Le monde est corrompu et souillé de toute part. Cependant, la seule beauté que regorge ce monde aussi laid est l'innocence et la pureté qu'un enfant dégage. Je voulais que cette beauté soit immortalisé. Ces enfants que j'ai cueilli un peu partout devaient faire parti de l'oeuvre d'art que je comptais créer afin de montrer aux yeux de tous ce que le monde entier aurait dû respirer.

-Vous me dégoûter, lança William. Je n'aurait aucun regrets à vous jeter derrière les barreaux.

Après avoir menotté le coupable, les deux policiers sortirent de la salle et allèrent directement au magasin de confiseries libérer les pauvres enfants et les redonner à leur famille. Son rapport rempli et rendu, Sebastian rejoignit ensuite Ciel à son appartement.

-Ciel ? Je suis rentré !

Sans crier gare, l'interpellé vint à la rencontre de Sebastian et lui déposa un baiser sur les lèvres.

-Tu as passé une bonne journée ?

-Oui. J'ai réussi à libérer tous les enfants qui avaient été kidnappé.

-Tu veux que je te récompense ?

-Ça dépend comment.

Ils se sourirent et s'embrassèrent une nouvelle fois. Ciel approcha ensuite sa bouche vers l'oreille de Sebastian pendant qu'une de ses mains prit la paire de menottes qui pendait au pantalon de celui-ci.

-Tu sais, chuchota-t-il, toute la journée j'ai pensé à te le dire et maintenant je te l'avoue. Je t'aime.

Au même moment, il menotta son amant qui était entré dans un état second après sa déclaration. Quand celui-ci revint à lui, il se rendit compte dans quelle position il était. Il sourit et mit son nez dans les cheveux de Ciel avant de lui glisser un « moi aussi je t'aime petit chat » et d'accepter le sort qu'il allait subir dans quelques instants.