Chapitre 2 - l'arrivée aux Etats de l'Union du Proche-Orient

L'avion supersonique, dont les performances impressionnantes en matière de vitesse et d'efficacité sont souvent admirées, commence à perdre de l'altitude progressivement alors qu'il se dirige vers l'aéroport international Ben Gourion.

Au fur et à mesure qu'il descend lentement, les pilotes s'assurent que toutes les procédures de sécurité sont respectées, et ils effectuent les contrôles nécessaires pour une approche en douceur.

Finalement, après un vol impressionnant, l'avion finit par atterrir en toute sécurité sur la piste de l'aéroport, accueilli par les regards émerveillés des personnes présentes, qui n'ont pu s'empêcher d'admirer cette merveille technologique.

L'avion supersonique de la compagnie des États-Unis du Proche-Orient, atterrit à l'aéroport international de Ben Gourion a Tel aviv....


Ensuite, Peter se dirige avec détermination vers l'entrée majestueuse où une voiture officielle flambant neuve de l'ambassade belge de l'Union européenne l'attend avec impatience.

Le chauffeur, un homme juif orthodoxe à la présentation soignée et aux manières irréprochables, parle couramment le français, ce qui met Peter à l'aise.

Il s'approche, un sourire amical illuminant son visage, et l'accueille avec une chaleur palpable :

- Soyez le bienvenu aux États-Unis du Proche-Orient, Monsieur Peter Wilson ! Je suis votre chauffeur, Abraham Lévy, et c'est un honneur de vous rencontrer.

- Merci infiniment de votre accueil chaleureux, répond Peter Wilson avec gratitude, conscient de l'importance de ce moment.

La voiture de fonction, luxueusement aménagée, quitte lentement les abords de l'aéroport Ben Gourion, et commence à emprunter l'autoroute moderne qui mène à Jérusalem, la capitale fédérale vibrante et dynamique des États-Unis du Proche-Orient.

Alors qu'ils roulent, Abraham commente les paysages qui défilent, partageant des histoires fascinantes et des anecdotes sur la région.

L'ambassade belge de l'Union européenne, un bâtiment impressionnant, se dresse fièrement dans la rue Yaffo, un quartier emblématique chargé d'histoire et de culture.

L'ambassade de l'Union européenne à Jérusalem aux États-Unis du Proche-Orient...


Peter Wilson, avec un sentiment d'anticipation et une certaine excitation, s'installe dans ses appartements nouvellement attribués, qui offrent une vue imprenable sur la fameuse rue Yaffo.

Cette rue emblématique est particulièrement animée, le tramway y circule régulièrement, apportant une touche dynamique à l'atmosphère de la ville.

Le doux bruit des rails résonne et se mêle aux voix des passants, créant une toile de fond vibrante pour les journées à venir.

Les présentations avec les membres du personnel de l'ambassade belge de l'Union européenne à Jérusalem, un lieu de rencontre idéal pour les figures politiques et diplomatiques, s'enchaînent avec cordialité et chaleur :

- Bonjour, je suis Aïcha, l'employée de l'ambassade chargée de la cuisine et du ménage de la maison.

Je suis palestinienne, originaire de la ville historique d'Hébron, qui appartient à l'État démocratique de Palestine, faisant également partie de l'Union des États-Unis du Proche-Orient.

Hébron est connue pour sa riche histoire et ses traditions gastronomiques, et Aïcha est ravie de pouvoir partager ses connaissances culinaires.

Le cuisinier se présente ensuite avec un sourire chaleureux :

- Je m'appelle Isaac Robechtaïn, et j'ai le privilège d'être le cuisinier à l'ambassade belge de l'Union européenne.

Je viens également de Jérusalem-Ouest, qui est souvent décrite comme la capitale des deux États d'Israël.

Jerusalem, avec sa longue histoire et ses multiples cultures, me fascine chaque jour davantage.

Peter écoute attentivement, prenant soin de se souvenir de chaque nom et de chaque histoire.

Jérusalem elle-même est une ville pleine de contradictions, étant à la fois la capitale reconnue d'Israël et le hub de la nouvelle Palestine, qui occupe le côté Est de la ville.

En tant que membre essentiel de l'Union des États-Unis du Proche-Orient, elle représente l'espoir de nombreux habitants de la région.

Avec un enthousiasme palpable, Peter s'exclame :

- Enchanté de faire votre connaissance ! Je suis impatient de collaborer avec vous tous et d'apporter ma contribution à cette belle ville et à cette région si riche en diversité culturelle.

Ensuite, un homme vêtu d'un uniforme de domestique se présente à son tour, ajoutant à l'ambiance conviviale de l'accueil :

- Je m'appelle Brahim, je viens de la ville vibrante de Bagdad en Irak, qui fait également partie des États-Unis du Proche-Orient.

Mes responsabilités en tant que domestique de l'ambassade m'offrent l'opportunité d'assurer que tout fonctionne parfaitement ici.

Avec courtoisie, Peter suit Brahim jusqu'à ses quartiers d'habitation, admirant chaque recoin de l'ambassade.

Après cela, il se dirige vers la salle de conférence, endroit où les décisions cruciales pour l'avenir des deux pays sont souvent prises.

Là, il est accueilli par des officiels éminents membres des États-Unis du Proche-Orient, dont le Premier ministre israélien et le président de la Palestine démocratique, qui viennent saluer Peter à l'occasion de sa nomination tant attendue en tant qu'ambassadeur belge de l'Union européenne à Jérusalem.

Cette ville à la fois chargée d'histoire et porteuse d'avenir, capitale des deux États et des États-Unis du Proche-Orient.

Les hommes échangent des salutations chaleureuses et se présentent les uns aux autres, conscients que chaque interaction peut avoir un impact significatif sur la voie diplomatique qui s'ouvre devant eux.

La famille Wilson sont invités au palais présidentiel du Liban a Beyrouth aux États-Unis du Proche-Orient....

Pendant ce temps, l'ambassadeur Belge de l'Union européenne, Peter Wilson, se trouvait au palais présidentiel libanais, où il dînait en compagnie de sa femme, Bénédicte, et de leurs deux enfants, Lucas et Emma.

Ce moment privilégié permettait de renforcer les liens diplomatiques entre l'Union européenne et le Liban, tout en offrant à la famille Wilson l'occasion de découvrir la culture et l'hospitalité libanaise.

Le président de la République du Liban, qui se tenait à table avec eux, échangeait des anecdotes sur son pays, et l'ambiance était empreinte de convivialité et de respect mutuel.

Le lendemain, après une nuit reposante au sein du palais, Bénédicte Wilson décida de profiter de la richesse culturelle de Beyrouth en partant faire du shopping dans les beaux quartiers modernes de la ville. Elle était impatiente de découvrir les boutiques haut de gamme, les designers locaux, et de déguster des spécialités culinaires dans les cafés raffinés qui bordent les rues.

Accompagnée d'un guide local, elle s'engage dans une excursion à travers les artères animées, admirant l'architecture contemporaine tout en s'imprégnant des couleurs et des sons vibrants de la capitale libanaise.

Bénédicte Wilson la femme de Peter, partit faire du shopping dans les beaux quartiers modernes de Beyrouth...

Quant à Jean Wilson, il a décidé de partir en excursion pendant une semaine avec sa sœur, ce qui représente une belle occasion de partager des moments privilégiés ensemble.

Ils étaient accompagnés de scouts libanais, une expérience enrichissante, leur permettant de découvrir la culture locale et de nouer de nouvelles amitiés.

De plus, cette aventure incluait également d'autres enfants de plusieurs nationalités, rendant le groupe encore plus diversifié et dynamique.

Cet échange interculturel favorisait non seulement l'apprentissage des différentes langues, mais aussi une compréhension mutuelle, permettant à Jean et à ses camarades de découvrir diverses traditions et modes de vie.

Cette excursion promettait d'être un moment inoubliable, plein de découvertes et de joie.

Jean et sa soeur ensemble dans le groupe de scouts israélien de Palestinien et libanais dans la forêt de cèdre au Nord du Liban....

Dans ce groupe de scouts, il y avait une belle diversité d'enfants venus de différentes origines et cultures, notamment des enfants juifs israéliens, palestiniens, libanais, iraniens et égyptiens.

Chaque enfant apportait avec lui non seulement ses expériences personnelles, mais aussi la richesse de son héritage culturel.

Ils campèrent ensemble dans des tentes colorées au cœur de la magnifique forêt de cèdres du Liban, un lieu emblématique qui abrite des arbres majestueux, certains âgés de plusieurs fois millénaires.

Cet endroit exceptionnel, situé à Tannourine, dans le nord du pays, offrait un cadre naturel apaisant et inspirant. Les rires et les chants des enfants résonnaient à travers les cèdres, créant une atmosphère de camaraderie et d'harmonie, où chacun apprenait à connaître les autres tout en célébrant leurs différences.

Les journées étaient remplies d'activités variées, allant de la randonnée à des jeux d'équipe, renforçant ainsi les liens d'amitié entre ces jeunes venus de horizons si différents.

Le campement du groupe de scouts d'Israéliens, de palestinien et de libanais dans la forêt de Cèdre au Nord du Liban .....

Jean observait avec une attention soutenue et une grande curiosité les oiseaux colorés et la végétation luxuriante qui peuplait la forêt environnante.

Les chants mélodieux des oiseaux formaient une symphonie naturelle qui l'envoûtait, tandis que les feuilles des arbres dansaient doucement au gré du vent.

Ensemble, dans un esprit de camaraderie, les enfants coopèrent avec enthousiasme pour ériger le campement, apprenant à s'adapter à cette nature majestueuse qui les entourait et à apprécier chaque aspect de cette expérience en plein air.

Avec le soutien précieux de quelques adultes scouts qui les épaulent de leurs conseils avisés, les enfants faisaient preuve d'une débrouillardise remarquable et d'un sens de l'initiative incroyable.

Ils s'attellent à allumer un feu de camp, faisant crépiter les brindilles et rassembler des bûches tout en partageant des rires et des histoires.

Pendant ce temps, ils préparaient le repas avec soin, utilisant les méthodes traditionnelles de cuisson en pleine nature, ce qui ajoutait une touche d'aventure à leur expérience.

C'était un moment inoubliable, où chaque geste prenait un sens nouveau, et où le lien avec la nature se renforçait de minute en minute.

Les enfants du groupe de scouts étaient très débrouillards, faisant un feu de camp ...

Jean fait la connaissance de nouveaux enfants très intelligents, avec un QI exceptionnellement élevé de 150.

Dans ce groupe fascinant, le premier enfant est un Palestinien de 9 ans nommé Saïd, qui s'avère être particulièrement calé en botanique.

Son intérêt pour les plantes et leur classification est si profond qu'il peut reconnaître différentes espèces juste en les observant de près. Kader passe souvent des heures à explorer la nature, à réaliser des expériences et à récolter des échantillons qui l'aident à approfondir ses connaissances.

Le second enfant que Jean rencontre est un Israélien de 10 ans prénommé Or, qui excelle non seulement en biologie, mais également en algèbre. Or est connu pour sa manière unique d'approcher les problèmes mathématiques, trouvant des solutions avec une créativité remarquable.

Il est souvent plongé dans des livres de science, passant des journées à résoudre des équations complexes ou à faire des expériences.

Ensemble, ces deux enfants talentueux font la connaissance de Jean Wilson, un enfant surdoué d'origine belge, tout comme eux. Jean a une curiosité insatiable et un esprit vif qui lui permettent de s'intégrer facilement dans ce groupe. Il est également un passionné des sciences, et leur rencontre promet d'être riche en échanges intellectuels.

- "Moi, j'habite à Naplouse avec mes parents," dit Saïd à Jean Wilson, tout en affichant un sourire chaleureux.

Il continue en expliquant comment son quartier est entouré de jardins luxuriants où il a appris à aimer les différentes espèces de plantes. Puis, c'est au tour de l'enfant israélien, Or, de se présenter avec enthousiasme.

Il partage avec eux des anecdotes sur sa vie à Tel-Aviv et parle des défis et des joies d'être un jeune prodige dans un monde qui attend beaucoup des enfants comme eux. Leur conversation passionnante ne fait que commencer, remplie de découvertes et de réflexion.

Vue de la ville francophone de Netanya au bord de la Méditerranée aux États-Unis du Proche-Orient...

« Moi, j'habite avec mes parents dans la belle ville de Netanya, une charmante station balnéaire francophone qui s'étend le long des rives dorées de la Méditerranée, où les vagues s'écrasent doucement sur le sable chaud.

» Jean se présente à son tour avec une certaine fierté en disant :

« Moi, j'ai la chance d'habiter à Bruxelles capitale de la Belgique, avec mon père, qui a l'honneur d'occuper le poste d'ambassadeur de l'Union européenne. J'ai des racines fascinantes, étant à moitié anglaise et belge, ce qui nourrit ma curiosité culturelle et mon amour pour les voyages.

À Bruxelles, j'étais inscrit dans un collège réputé pour accueillir des élèves surdoués, un cadre intellectuel qui m'a permis de m'épanouir.

Cependant, notre vie a connu un bouleversement et nous avons déménagé à Jérusalem, ce qui a marqué le début d'une nouvelle aventure.

À présent, je suis élève dans le célèbre collège des surdoués de Tel Aviv, une institution reconnue pour ses programmes d'enrichissement académique. »

« Nous aussi ! » réponirent Or et Kader avec un enthousiasme palpable. Kader ajoute avec conviction : « Je suis actuellement au collège pour surdoués de Palestine, situé à Ramallah, où je fais partie d'une communauté dynamique d'apprenants. » Or, avec un sourire complice, précisa :

« Moi, je suis inscrit dans le même collège que toi, Peter Wilson, un établissement pour surdoués à Tel-Aviv, où nous avons la chance d'avoir accès à des ressources incroyables et de rencontrer des esprits brillants. »

Les enfants surdoués discutent de philosophie et de politique internationale...

Les deux nouveaux amis, excités par leur rencontre inattendue, s'adonnèrent à des discussions fascinantes sur des sujets aussi complexes que les mathématiques et la philosophie. Pour des enfants si jeunes, il est plutôt étonnant d'observer qu'ils abordaient des thèmes habituellement réservés aux adultes, notamment des réflexions profondes sur la philosophie et les subtilités de la politique internationale. Leur curiosité insatiable les poussait à explorer des concepts qui, pour d'autres, pourraient sembler inaccessibles à leur âge.

Dans le cadre de leurs échanges intellectuels, ils jonglaient avec une aisance admirable entre plusieurs langues : l'anglais, l'hébreu, l'arabe, le français, et au-delà, l'anglais qui semblait être le fil conducteur de leurs conversations. Cet exercice linguistique non seulement enrichissait leur vocabulaire mais renforçait aussi leur capacité à penser de manière critique et à articuler des idées innovantes dans divers contextes culturels.

La sœur de Jean, Julia Wilson, s'est révélée être un atout dans cette dynamique. Elle décida d'échanger les adresses e-mails des enfants présents au campement, facilitant ainsi la mise en place d'un réseau de communication amical. Grâce à ses efforts, les jeunes se retrouvèrent rapidement sur des plateformes telles que WhatsApp et Facebook, où ils purent poursuivre leurs discussions intellectuelles tout en partageant des moments de vie quotidienne. Cet échange virtuel leur offrait non seulement une opportunité de maintenir le contact et de tisser des liens d'amitié, mais aussi de continuer à explorer ensemble les idées qui les passionnaient.

Peter l'ambassadeur belge de l'union européenne rencontre le président Palestinien et le premier ministre israélien membres des États-Unis du Proche-Orient ...

Pendant ce temps, l'ambassadeur belge Peter rend visite au premier ministre israélien et Palestinien membres des États-Unis du Proche-Orient.

Peter sert la main du président palestinien et le premier ministre israélien...

« Enchanté ! » lui répond Peter Wilson, en serrant fermement les mains des deux hommes, à savoir celle du président palestinien et celle du Premier ministre israélien. Leur échange est empreint de cordialité, symbolisant un moment de paix et de coopération internationale.

S'ensuit le tour du président iranien et du roi d'Arabie Saoudite, qui s'approchent également pour échanger une poignée de main chaleureuse avec Peter Wilson. Ce geste est chargé de signification, illustrant la complexité des relations diplomatiques dans cette région souvent tourmentée.

Après cette série de salutations, une collation raffinée et soigneusement préparée sous forme de buffet froid est servie aux invités. Ce buffet, à la fois casher et halal, témoigne d'un effort sincère pour respecter les traditions culinaires de chacun tout en favorisant un esprit d'unité.

Deux heures plus tard, une réunion de travail très attendue est prévue dans la salle de conférence de l'ambassade de l'Union européenne. Cette réunion s'annonce cruciale et promet d'ouvrir la voie à des discussions productives entre les différentes parties.

Deux jours plus tard, un moment joyeux se profile à l'horizon lorsque la femme de Peter et leurs deux enfants, qui sont une fille et un garçon de 10 et 13 ans respectivement, arrivent enfin à l'ambassade. La femme de Peter, Elizabeth Wilson, rayonne de bonheur en retrouvant son mari après une période d'absence. La petite fille, prénommée Julia, est pleine de vie et de curiosité à l'âge de 10 ans, tandis que le jeune garçon, qui se nomme Jean Junior Wilson, impressionne son entourage avec ses 13 ans et son intelligence supérieure.

Jean est un enfant très surdoué, faisant preuve d'une maturité et d'un esprit aiguisé qui lui ont permis d'atteindre un QI remarquable de 143.

Actuellement, il fréquente une école pour surdouer à Bruxelles. où son potentiel est reconnu et cultivé avec soin.

À seulement 12 ans, Jean parle couramment au moins quatre langues étrangères, dont le français, le flamand, l'anglais, l'hébreu et l'arabe, et il s'initie même au chinois, témoignage de sa fascination pour les langues et les cultures diverses.

De son côté, Julia est inscrite dans une classe normale pour son âge, où elle s'épanouit grâce à un enseignement adapté à ses besoins.

Malgré cela, elle admire son frère et aspire parfois à la même excellence académique. Il existe en Israël une école spécialisée pour surdoués située à Tel Aviv.

La ligne de train rapide israélienne entre Jérusalem, l'aéroport de Ben Gourion et de Tel aviv Salvidor et Tel Aviv Université aux États-Unis du Proche-Orient ...

Jean se rend tous les matins au collège des surdoués, un établissement prestigieux, en prenant le train à grande vitesse, qui relie les deux grandes métropoles du pays, Jérusalem et Tel Aviv. Jean descend à la gare moderne de Tel Aviv Salvidor.

Ce trajet rapide dure seulement trente minutes et permet de couvrir ainsi les 70 kilomètres qui séparent ces deux villes emblématiques, chacune chargée d'histoire et de culture.

Dans le train, Jean admire le paysage qui défile à toute allure, avec ses collines verdoyantes et ses bâtisses anciennes, un véritable mélange de modernité et de tradition, qu'il trouve inspirant.

Bien qu'il ne soit pas de confession juive, Jean nourrit une passion profonde pour la culture juive, ses traditions et ses fêtes, qu'il a découvertes au fil des ans à travers ses lectures et ses rencontres.

Il s'intéresse également à la culture arabe de la région, cherchant à comprendre et à apprécier la richesse et la diversité des coutumes qui coexistent dans cet espace géographique.

Ce double intérêt pour ces deux cultures le pousse à explorer les points communs et les différences qui les caractérisent, ce qui enrichit sa perspective sur le monde qui l'entoure.

La suite au chapitre suivant....

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