Avide.

Je sais pas qu'elle date qu'on ai et je m'en fiche.

J'ai le coeur vide et ce n'est pas moi. Je vis isolée de l'affection qui pourrait m'attendrir, qui pourrait me nourrir, qui pourrait juste me faire sentir que je suis aimé...HUMAIN QUOI.

À l'intérieur tout fond, tout se brise et tout se contracte sous le vacant qui m'éprend. La sécheresse règne sous mes yeux, mais mon coeur pleure sous la lourdeur de l'indigence d'amour qui m'habite. À l'extérieur, il n'y a que la fumée de ma cigarette, entre mon index et mon majeur, et qui s'extirpe comme une entremetteuse de mes lèvres. Les poumons pleins d'eau la vapeur semble réduire les ravages. Il n'y a rien de plus dur que la perte d'un amour, et d'un manque ardue d'en recevoir. Encore une fois, le palliatif n'est pas ce qui fera oublier, mais il allège le pire en moi. Je ne supporte pas de me plaindre devant les autres, seulement à moi-même. Le meilleur auditeur et la meilleure critique, ce rôle ne revient qu'à moi, car ma réponse ne me décevra jamais puisque je ne peux pas me juger. Écrivain de mes états d'âmes nocturnes, ce chapitre est celui dont je me sens le plus toutes nues à vous, mais aussi le plus sauvages où mes émotions me percute avec le plus de risques.

J'ai mal, très mal, mais il n'y a rien à faire quand nous ne sommes pas aimé. Nous pouvons chercher longtemps; Mais en vain nous serons déçue, car c'est lorsque nous cherchons le plus que rien ne s'abandonnent à nous.

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