25/11/19

Mes peurs.

J'ai tellement de peur. Mes peurs sont irréaliste, mais tellement plausible d'exister.

J'ai peur de la perte. J'ai peur de perdre ceux que j'aime, car j'ai peur qu'ils m'abandonnent. J'ai peur de trop les aimer. Plus que je les aimes, plus ils disparaissent. Je ne veux pas perdre ceux qui crée mon univers, là personne qu'ils ont forger. Cette personne qui est moi. Ils forgent ce que j'aime, et s'ils ne sont plus là, j'ai peur de pourrir. De pourrir comme les arbres d'une forêt qui brûle dans le noir. On y voit cette fumée au ciel, cette lumière rouge intense et chaude, mais qui devient un brie. Un brie de poussière, un tas de cendre parmi la vie.

J'ai peur de n'être jamais aimé comme l'amour que je peut porter à l'inverse. J'ai peur d'aimer, car je sens que je peux être déçu de pas être aimer en retour avec justice. C'est considérable, car il y a toujours quelqu'un qui aime plus que l'autre. Cependant, j'aimerai être, pour une fois dans ma maudite vie, être celle qui aime moins pour ne pas être cette fois celle qui aime de tout sont être. Être celle qui ne se préoccupe pas l'esprit d'être déçue, d'être seule dans une passion déchirante.

Je n'ai pas peur du noir, mais j'ai peur d'être seule. Les seules fois que j'ai peur que cela arrive c'est quand je suis seule, seule au monde face a ma réalité. La solitude n'est pas un probleme, j'ai toujours été indépendante. Par contre, lorsque la douleur parvint à toi, tu ne souhaite pas être cette personne qui la brise à mains nues. Tu veux être celle, qui est accompagné de son arme. Tu veux cet atout, ce poignard dans la poche de ton manteau, cet instrument de confiance qui va réduire à néant ton trouble. C'est cet allié qui te motive à avancer, si elle n'a pas encore disparu, malgré que la douleur persiste.

Un jour, je sais que ces peurs disparaîtront...pas complément, mais elles vont t'envahir moins et c'est à ce moment que l'on sens enfin qu'elles sont irréelles, éphémères.

Ces craintes sont créer par le jugement, l'attention que l'ont leur porte. On leur donne le pouvoir, et ensuite on se convainc et se noient dans sa routine journalière.

J'aimerai qu'elles cessent à présent.

Je persiste de me délivrer, mais s'il vous plait quelqu'un ; donner moi un somnifère pour que je n'y pense plus.

Éteignons ces lumières, ce feu de forêt et laissons voir la nature me recouvrir pour que je puisse ressentir la pluie contre mon visage et non ces torrents de larmes couler de mes yeux flétries.

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