Après un ans, du plus grand bouleversement qui m'est arrivé. Je reconnais que je suis heureuse, mais il me manque deux choses. En fin, deux choses qui pourrais être là ou être de manière différente. Je m'ennuie d'une en particulier, car ce que je ressentais était indescriptible et unique. Et encore, je sens ce souffle dans mon cou qui me chatouille et me rappel de tout. Il est présent dans ma vie, mais j'aimerai que le courant change plus vite pour l'apercevoir encore à l'ombre de la journée, où le soleil s'était couché.

L'autre, tout est encore jeune, et fragile, mais j'y perçois mon hâtivement et la joie qui grandit en moi. Ça augmente d'ailleurs mon impatience, car il est si proche d'exister. Ce n'est une question de temps avant que je puisse y puiser la source. Je sens que la passion et le bonheur seront inouïs et intemporels. J'ai hâte d'aimer et d'être aimée à nouveau. La passion me guette à pas de lièvre. Son sens est unique et mielleux. Le mal est inexistant.

Serait-il plus fort que le dernier? Ou va t-il exiger encore plus pour combler le vide creuser par la passion passée qui me hante? Est-ce qu'un jour va t-elle revenir? Souhaiterais-je qu'elle revienne au fond? Oui, mais je sens que celui-là peut m'apporter plus. J'ai espoir. J'ai seulement besoin de donner mon affection pour y voir enfin si il est honorable comme le premier coup de coeur.