02/12/19
Ouff un petit délai pour me rendre compte que mes nuits on été trop longues mais bien remplis. J'ai même eu le temps de respirer entre mes rêves et ma réalité.
Je peux enfin respirer, prendre le temps de regarder le paysage et dire que c'est beau parfois. La vie est une vrai merde parfois, une salope de coquine, car elle vous joue des tours en vous privant des petites joies. Je me suis enfermée dans l'ombre avec un livre en plein visage, et les bras remplis de pression. J'ai failli en échapper un pot au sol. Quel dégât que j'aurai fait.
Les études s'acharnent sur moi, et le seul réconfort que j'y vois c'est que noël s'en viens. La neige est là, mais pas assez pour ce sentir en plein hiver rude et violent.
Je me sens bien, la tête contre l'oreiller mouelleux, mais il me manque encore de quoi. Je ne ressens plus la pression car elle m'a quitté il y a peu. (Une bonne chance, car sinon j'aurai fait un meurtre)
Vous ne savez pas comment le stress et les pressions sociales sont mon fardeaux si précieusement miséricordieux. Je le jetterai au septième étage pour ne plus jamais le voir, enfin qu'il soit bien mort cette fois. Vous savez, pas comme dans les films d'horreur à la bonne (conne) idée d'en faire une trilogie, car il y a une stupide qui a pas bien fait son coup. Être hanté? J'en ai pas envie non.
Enfin, ce qui me manque c'est un peu d'amour ce soir. Juste me couvrir et me caresser, me serrer dans ses bras, un câlin chaud quoi. Les câlins c'est mon réconfort et ma source d'attention préférée. Elle sent pratiquement toujours bon et s'imprègne contre ton toi. C'est une petite maison de mémé enfin.
Ce que je peux me libérer pour compléter mon manque d'attention, car oui je suis ça. Je suis une grande dépendante extrêmement folle, sarcastique, fumeuse, alcoolique anonyme, semi-vierge (posez pas encore la question), comédienne quand elle se sens drôle et cancer. Pas que j'ai cette malédiction familiale du cancer du sein, mais cancer, signe du crabe astrologique.
J'aimerai avoir ses bras, rohh comme il me manque. Ah et puis merde, faut que je tourne la page. Voilà, c'est partagé. Je me sens mieux! Je suis libre de dire qu'il me manque, et que je me défait pas facilement de mes émotions. Quel faible! Quel conne! Quel sentimentalisme! Quel moi...
Pouah. Pouah.
Aller une pouffé, et je respirerez peut-être.
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