02/02/20

Ce soir, j'était seule. Genre vraiment seule. La maison vide, où il n'y a que vous dans une pièce parmi d'autre dans le coeur de cet endroit chaud. Je pouvais entendre ma respiration, et puis le bruit de l'horloge grand-père, et puis, si je pouvais me concentrer avec attention, j'entendais presque mes pensées. J'entendais ma voix dans ma tête comme celle qui ressort quand vous lisez un roman ou un magazine. Je pensai à rien de bien concret, mais je l'attendais comme vous pourriez me faire la discussion à ce moment bien précis. C'est fou, mais je me rendais visiblement et concrètement que j'étai seule avec moi-même. Ma voix et mes droits étaient libre et que j'étai mon propre maître. Aucune limite et aucune discorde pour controverser mon être et  sur comment du pourquoi agir. Un être libre, mais à quel prix?

Mon prix était que je n'avais personne pour parler ou partager ce petit bonheur d'avoir la grande paix en soi. Et puis, j'ai essayé de tourner cette petite pensé dramatique vers sont réel potentiel. J'en ai profité pour manger ce que je voulais, pour écouter les émissions que personne ne comprennent le réel plaisir à s'y retarder, et même de mettre au plafond la musique que mes goûts et mes émotions se tournaient vers. Je vivais mon petit bonheur et je brillait aux travers de ma solitude. J'aime et j'aimais ma solitude, mais je voulais qu'on m'appelle, qu'on m'écrit un petit : "hey, qu'est-ce que tu fais?" "Hey, ca va ce soir?". Je voulais qu'on s'intéresse à moi. Je voulais qu'on pense à moi sans être avec moi. Je voulais être seule, mais je voulais parlé a quelqu'un. Je voulais que cette fois, ce ne soit pas moi qui fasse les premier pas.

On croit toujours que ce sont les personnes qui nous côtoient le plus qui nous écrivent en premier, mais c'est faux. Ce sont celles qui nous parlent le moins qui peuvent nous surprendre, et ce sont celles qui ce soir sont venu me parler et me demander : « Heyy, j'ai envie de te parler, ca va? »

Le pire, c'est qu'il y en a un qui m'a appelé, et je me suis jamais aussi sentis proche sans qu'il soit assis à côté de moi, dans ce salon blanc. On s'est marrer si fort que j'en ai eu mal au ventre, les joues rose comme si j'avais des engelures et le coeur battant à la chamade. Ma noradrenaline et ma sérotonine explosait en flèche dans mon cerveau. J'étais heureuse, et je me sentais écouter, aimer. C'est incroyable, comment une personne que vous connaissez depuis peu vous connait mieux que certains, et comment elles savent que vous avez seulement besoin de délirer un peu pour vous sentir mieux. Ceci est le meilleur sentiment qu'elles peuvent vous apportez. J'ai compris, grâce à cet ange, que l'amour qu'on porte aux autres peut vous êtes redonné, car vous le méritez et compter aussi pour eux. Il m'a apprit aussi, que peut importe les choses qui arrivent dans la vie, vous êtes la même personne qu'hier et que malgré vos défauts, vous êtes parfait et parfaites à votre manière.

Oui, vous êtes belle/beau, mais vous êtes aussi aimé et entendue. Je le remercie tellement d'être là. Je crois fermement que cette personne est spéciale dans ma vie, et ce, pour encore très longtemps. Tandis que l'autre, on ne sais pas encore, même moi, mais je sais que je peux me fier sur sa présence, car il fut là ce soir.

La nuit de mes rires et mes joies, l'hiver a prit fin dans cette pièce en plein février.

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