Chapitre 47
Si vous voulez savoir si il y aura une suite à la série bad boy, lisez la note en fin de chapitre.
PDV Josh
Je suis en colère. Contre lui, contre moi, contre mes amis. Je n'ai pas réussi à dormir. Son putain de visage si blessé m'a hanté toute la nuit. Je me suis retenu d'enfoncer la porte de Marie pour aller le chercher et le ramener entre mes bras, dans ma chambre. Mais j'ai bien compris que ce n'est pas ce dont il avait besoin.
Il y a un autre sentiment, qui pulse en moi. Je n'arrive pas bien à dire ce que c'est. J'ai presque l'impression qu'il s'agit de tristesse. Comme si j'étais touché qu'il se tienne loin de moi, qu'il cherche à m'éviter. Il n'est pas descendu pour notre départ. Il a tout fait pour ne pas me croiser avant que je quitte cette maison. Et oui, ça me fait mal, sans que je ne trouve ça logique. Peut-être parce que je suis conscient de sa propre douleur, et que je me sens inutile face à elle. C'est moi qui l'ait causée, après tout.
Jamais dans ma vie je ne me suis senti aussi con, aussi troublé, aussi relié à une autre personne. Et ça fait fout les jetons, parce que j'ai l'impression de ne plus contrôler. Hors, le contrôle est la base même de ma vie. Sans ça, je serai mort et enterré depuis de nombreuses années.
- Tu vas réussir à te concentrer ?
Je relève la tête vers mon meilleur ami. Alors que nous sommes tous réparti autour du hangar à attaquer, il trouve tout de même le temps de me poser cette question.
- Ce n'est pas vraiment le moment.
- Au contraire. Je te demande si tu vas rester en vie.
- Évidemment.
Il secoue la tête, comme peu convaincu de mes dires. Pourtant, c'est le cas. Je suis bien capable de mettre toute cette merde dans un coin de ma tête. Et c'est ce que je fais. Je me fous sur mode pilote automatique, option gangster. Et l'assaut est lancé.
Marie fait exploser les grandes portes en taule et s'enfonce à l'intérieur, profitant de la fumée dégagée pour passer inaperçu. J'entends les occupants de lieu s'affairer à l'intérieur, tentant de repousser l'envahisseur. Sauf que celui-ci n'est pas seulement devant. Sur le côté gauche, Scott entre par une porte de service et tire dans le tas tandis que Jack s'occupe de l'arrière. Matthews et moi profitons du brouhaha général pour arriver et les balles pleuvent, comme les cris et le sang. Un joyeux bordel. Ma vie.
Je donne la mort sans forcément ressentir de la peine, ou du regret. Je sais que les personnes en face de moi ne méritent pas mieux. On pourrait se demander qui je suis pour en juger. Je répondrais seulement une personne avec du bon sens. Il y a des ordures qui ne méritent pas mieux. Et qui ne manqueront à personne. Dans cette vie, il faut parfois savoir mettre ses convictions de côté pour rendre le monde meilleur. Sans en arriver à des extrêmes.
Toutes mes balles atteignent leurs cibles. Les corps tombent, alors qu'aucun dégât de notre côté ne peut être constaté. Il faut réussir à s'y retrouver. Ils sont nombreux, bien plus que nous, mais nous sommes sûrement plus formés, plus stratégiques. Plus forts, tout simplement.
Je tire tout en passant mes yeux sur mes amis. Ils s'en sortent. Marie est entourée d'un groupe d'hommes, mais un sourire fleurit sur son visage, alors qu'elle les descend un à un, en se servant des propres balles qu'ils tirent pour éliminer ses assaillants. Elle est maligne, et incroyablement machiavélique, quand elle veut.
Scott gère un gros balaise, sur le côté. Il fait deux fois sa taille, en hauteur et en largeur, mais il ne semble pas déstabilisé pour autant. Il enchaîne les coups avec une précision qui lui est propre, ne sourcillant même pas quand son adversaire parvient à le toucher. Rien de plus qu'une piqûre d'insecte, qu'il va finir par écraser sous sa chaussure.
Le rire de Jack résonne. Dangereux mais joyeux. C'est sûrement ce qui le défini le mieux. Il se joue de ses adversaires, les rendant fous alors qu'il disparaît, réapparaît dans leur dos, et leur annonce un « Raté » rieur avant de leur taper dans la nuque. Et leurs corps ne se relèvent pas.
Un homme se place devant moi. Il est déjà bien amoché, le sang recouvrant une bonne partie de son visage. Il ne survivra pas, et il le sait. Il semble pourtant déterminé à au moins faire tomber l'un de nous. Quel joli rêve. Il pointe son flingue vers moi et je ne retiens pas un sourire moqueur en levant le mien. Il ne pourra pas être plus rapide que moi. Pas dans son état.
Mais il y a une chose que je n'avais pas prévu. Ce cri, un peu plus loin. Qui accapare toutes mes pensées. Mes yeux dérivent vers sa provenance, mais je ne vois rien.
- Jérémy !
Il ne peut pas être là. C'est absolument impossible. Pourtant, à ce simple nom, mon esprit oublie tout et se focalise sur lui. Où ? Je dois le trouver. C'est trop dangereux, il ne doit pas être ici. La balle part. Je l'entends à peine. Je sens la douleur percer dans mon épaule. C'est prêt du coeur. Mais je m'en fous. Je reste debout. J'élimine l'homme rapidement, et j'avance, en regardant partout autour de moi. Je ne le vois pas. Mais j'avance quand même. Si il est là... si il est là je dois le trouver.
J'entends Matthews crier mon nom. Je m'en fous. Ce n'est pas l'important, pour le moment. Jérémy. Je dois trouver Jérémy. Mon ami se rapproche de moi, à toute vitesse.
- Tu es touché putain !
Je ne l'écoute pas. J'avance encore. Sa main sur mon bras m'arrête, mais je m'en dégage.
- Lâche-moi ! Je dois le trouver !
- Qui bordel ?
- Jérémy ! J'ai entendu son nom, il ne doit pas être ici ! Je dois le sortir de là !
Ses yeux s'écarquillent alors qu'il semble comprendre. J'avance encore, mais une nouvelle fois, il m'arrête.
- Comment tu peux penser qu'il est là ! C'était juste un putain d'ennemi avec son prénom. Il n'est pas là, tu m'entends Josh !?
Pas là. Ses paroles tournent dans ma tête alors qu'il ne cesse de me les répéter. Et tout paraît plus clair. Évidemment, qu'il n'est pas là. Comment l'aurait-il pu ? C'est stupide. J'ai l'impression qu'un poids se retire de mon cœur. Il n'est pas en danger. Il est sain et sauf, loin d'ici. Putain, toutes les sensations se mélangent en moi. Le soulagement, en particulier. Mais il est vite remplacé. Par la douleur. Elle perce dans mon épaule et je sers les dents. Mon corps part en avant, alors que mes forces me quittent. Comment j'ai pu tenir debout aussi longtemps en perdant autant de sang ? Je voudrais dire que je n'en sais rien, mais au fond, c'est faux. Je le sais pertinemment. J'ai tenu pour lui, par peur pour lui. Maintenant que mon esprit a assimilé qu'il n'était pas là, mon corps reprend ses droits.
Matt me rattrape et m'allonge au sol. Quelques sons de balles résonnent encore, mais je suis persuadé qu'il ne reste pas grand monde à éliminer. Tant mieux, parce que même si j'ai du mal à le reconnaître, je crois que j'ai besoin de voir un putain de médecin, genre maintenant.
- Tu as compris cette fois ?
Je distingue une sorte de sourire, au milieu de son inquiétude. Je sais de quoi, ou plutôt de qui il parle. Est-ce que j'ai compris ce que je ressentais ? Je tente d'afficher un espèce de sourire qui ne doit pas vraiment ressembler à ça.
- Ouai. Une putain de balle ça remet les idées en place.
Je n'ai pas le temps d'entendre sa réponse, ou de voir si un rictus prend place sur ses lèvres, que déjà, mon esprit s'éteint, et le noir envahit tout.
PDV Jérémy
Touché. Ce mot tourne en boucle dans ma tête depuis que Lucy a reçu cet appel. Je crois que mon cœur n'a jamais battu aussi vite, que pendant toutes les heures que nous avons passé dans cette salle d'attente de l'hôpital. Et si il ne s'en sortais pas ? Cette idée me détruit mais ne parvient pas à quitter mes pensées. Pourtant, tout le monde a tenté de me rassurer.
Mais on parle d'une balle là, pas d'une simple égratignure. Peu importe à quel point il est fort... ce n'est pas une chose dont on se remet aussi facilement.
Et la culpabilité m'habite, autant qu'un profond sentiment d'amour. Je n'ai pas voulu le croire, quand Matthews m'a expliqué. Il a entendu mon nom. Et c'est pour ça qu'il s'est déconcentré. D'un côté, cela me gonfle le cœur, car c'est sûrement la meilleure preuve de ce que tout le monde a tenté de me faire comprendre. D'un autre, je me dis que sans moi, il n'aurait rien eu. Il irait bien. Et nous ne serions pas tous là à attendre désespérément qu'il se réveille. Si il se réveille.
Les médecins ont dit que l'opération c'était bien passée. Et pourtant, malgré l'attente, ses yeux restent désespérément fermés, et nous n'avons même pas le droit d'attendre à ses côtés.
La main de Lucy caresse mon dos, alors que Zoé pose sa tête sur mon épaule. Heureusement qu'elles sont là. Je crois que je me serais effondré. Je n'aurais même pas été capable de venir jusqu'à l'hôpital. C'est elles, qui m'ont attrapé la main pour me fourrer dans une voiture. Moi, j'étais juste un pantin désarticulé, trop occupé à imaginer son corps dans une marre de sang pour penser à bouger.
Et si il ne s'en sortait pas, hein ? Qu'est-ce que je ferrais ? Je ne suis pas sûr d'être capable de l'envisager. Et pourtant... pourtant cette option est là. Il est tout à fait possible qu'il n'ouvre pas les yeux. Mais pourquoi ? Pourquoi maintenant ?
Une larme silencieuse roule sur ma joue, et c'est ce moment que choisi un médecin pour passer par là. Il s'arrête, posant son regard sur moi, et semble hésiter quelques instants, avant de prendre la parole.
- Peut-être l'un de vous pourrait-il entrer. Parfois, la présence des proches permet d'aider au réveil.
Il ne dit rien de plus avant de s'expliquer, alors que des regards s'échangent dans le groupe. Matthews fini par poser le sien sur moi.
- Tu devrais y aller.
Est-ce que j'en ai envie ? Oui, évidemment. Mais est-ce que je suis le mieux placé pour le faire ? Sûrement pas. Ils sont amis depuis un paquet d'années. Ils sont tous bien plus à mène d'aller le voir. Pourtant, il ne me quitte pas des yeux, et je sens qu'il ne compte pas laisser quelqu'un d'autre franchir cette porte. Je soutiens ses yeux. Puis-je vraiment faire ça ?
Lucy me force à me lever et me pousse un peu en avant, avec un doux sourire.
- Vas-y.
Je déglutis avant de m'avancer doucement vers la porte. Une dernière fois, je me retourne vers eux, et leurs sourires et leurs regards encourageants m'aident à l'ouvrir. Je la referme derrière moi, alors que mes yeux se posent sur son corps endormi. Je ne veux pas le voir dans cet état, relié à cette machine qui sonne au rythme de son cœur. Mais au moins, il sonne.
Mes jambes tremblent. Je ne me sens pas forcément capable d'avancer, pourtant, mon corps le fait de lui-même. Je m'arrête devant lui. Il paraît presque paisible. La main tremblante, j'avance mes doigts vers la sienne. Je sursaute presque en sentant sa peau sous la mienne. Elle est chaude. Et quelque part, ça me rassure.
Je devrais parler. Tenter qu'il m'entende, afin qu'il ouvre les yeux, mais je ne parviens pas à dire quoi que ce soit. Alors à la place, en silence, je glisse ma main dans ma poche, pour en ressortir un petit bracelet. Le sien. Celui qu'il a brisé, et que j'ai fini par reconstruire. Je regarde les perles noires et l'arme en médaillon qui l'orne. Il a choisi de l'enlever. Et je choisi de lui redonner.
Doucement, sans que je sache si je crains plus de casser le bijou ou l'homme, je lui glisse autour du poignet, et malgré moi, un sourire orne mes lèvres. Oui, c'est exactement sa place.
Je laisse ma paume contre la sienne, les yeux fixés sur cette main. Qui se met à serrer la mienne.
Si j'étais branché au moniteur, il se serait sûrement emballé. Je relève la tête à toute vitesse vers son visage, pour rencontrer deux pupilles presque noires. Deux pupilles bien réveillées. Il ne dit rien. Il me regarde seulement, la main solidement accrochée à la mienne.
Le silence est pesant, mais je mets quelques minutes avant d'arriver à le briser.
Des sanglots pleins la voix, des larmes roulant sur mes joues, mais les yeux fermement accrochés aux siens.
- Comment tu n'as pas pu éviter une balle, idiot.
Il ne sourit pas. Il ne dit rien, il me regarde seulement, alors que je laisse ma peine dévaler sur mes joues.
- Désolé.
- C'est facile ça !
Il se relève de son lit en vitesse, me faisant presque sursauter, et colle son corps au mien. Il m'entoure de ses bras et pose sa tête dans mon cou.
- Désolé, My'.
- Tu es un idiot !
Je lui mets une petite tape dans le dos.
- Je sais.
- Tu es un connard !
- Je sais.
- Tu m'as fait peur !
- Je sais.
- Je t'aime !
Je suis presque surpris de le dire. Et il met quelques secondes à me répondre, contrairement au reste.
- Je sais.
Je me recule un peu de son étreinte. Sa main vient caresser ma joue, effaçant quelques larmes, et son front se dépose contre le mien.
- Et si on recommençait du début ? Je m'appelle Josh. Et je crois bien que tu me plais.
Un petit sourire s'affiche sur mon visage.
- Tu m'a fait mal. Je devrais te pardonner aussi facilement ?
J'ai beau le dire, je sais que je l'ai déjà pardonné. Il faut dire que les dernières heures m'ont largement permises de tout remettre en perspective.
- Je me suis pris une balle comme punition.
- Bon, d'accord.
Il affiche un sourire, avant de descendre son regard sur mes lèvres. Un regard qui se met à pétiller, et me retourne l'estomac.
- Dis, My', je peux t'embrasser ?
- Ça dépend. Tu vas assumer, bad boy ?
Il replante son regard dans le mien, et je sais avant qu'il parle qu'il va me faire chavirer.
- Je t'aime.
Je plaque mes lèvres aux siennes aussi vite que possible, et soupire d'aise quand elles se mettent à danser ensemble. Il m'aime. Il m'aime putain. C'est presque inespéré. Pourtant, je pensais m'être fait à l'idée.
Les sensations sont trop nombreuses pour être décrites. Le moniteur s'affole, et cela me donne envie de sourire, mais je suis trop concentré sur lui. Ça ne se fait pas, de déshabiller un patient ? Dommage.
Je sursaute soudain, laissant ses lèvres de côté, et tourne le visage vers l'entrée quand la porte s'ouvre avec fracas. Elle laisse apparaître un homme en blouse blanche, et nos amis. Ils se figent tous, en particulier le médecin, qui se met à rougir.
- Je comprends mieux l'augmentation du rythme cardiaque.
Je me sens rougir, alors que Matt ricane, tirant le professionnel.
- Je crois que le patient est déjà en train d'être examiné.
Il referme la porte alors que je reste rouge, encore plus quand Josh vient coller sa bouche contre mon oreille.
- Docteur, je crois que je suis malade. Malade d'amour.
Un franc sourire orne mes lèvres.
- Désolé, mais je ne compte pas vous soigner.
Il rit, et reprend avec avidité mes lèvres. Et alors qu'il m'embrasse, je me demande sérieusement, si il est possible de mourir d'un trop plein d'amour.
Parce que putain, je l'aime. Et maintenant, je peux affirmer qu'il m'aime aussi. Et ça, c'est sûrement la plus belle des maladies.
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Et voilà, l'histoire de Jérémy et Josh touche à sa fin... Je sais que vous auriez voulu plus de chapitres, mais il faut bien s'arrêter à un moment x) Il n'y a pas d'épilogue, simplement car ils me servent en général à annoncer un autre tome, et je n'ai rien à annoncer pour l'instant. A l'avenir, peut-être.
La grande question, va-t-il y avoir une autre histoire dans cette série "bad boy" ? Au départ, je comptais m'arrêter là. Et puis j'ai remarqué que vous êtes nombreux à avoir envie que Marie et Jack est aussi leur fin heureuse. J'ai quelques idées sur leurs histoires, pour l'instant rien de concret. Alors vont-ils avoir un tome pour eux ? Je pense que oui. Je ne l'affirme pas, mais je pense que ça arrivera, car j'ai quelques idées et j'ai bien envie de remettre Mégane. Par contre, il s'agira d'un seul et même tome, je pense (ça reste à déterminer, mais j'imagine une histoire avec quatre persos principaux, plutôt que deux histoires différentes).
Ne vous attendez en revanche pas à l'avoir de suite. Ceux qui me suivent sur insta le savent, j'ai pas mal d'histoires à venir, et donc pas le temps de caler un nouveau tome de bad boy au milieu de mon programme (déjà que je tiens jamais mes délais x)). Il faudra donc compter plusieurs mois. Evidemment, je vous préviendrais sur cette histoire, ainsi que sur le tome 1 et 2, donc gardez au moins une de celles-ci dans votre bibliothèque ou vos archives pour recevoir la notification.
J'envisage de poster quelques bonus sur les trois couples existants, au cours de l'année, sorte de teasing quand j'aurai décidé de me lancer dans le nouveau tome. Il faut aussi que je me mette à réécrire le tome 1, qui a bien besoin d'une mise à jour. Tout ça, je le ferais, mais je suis incapable de donner de date précise pour l'instant. Trop de projet à venir, sans compter les cours et le boulot x)
Bon, et maintenant, il est temps de vous remercier. Autant les lecteurs qui sont là depuis le tout début, que ceux qui viennent d'arriver et ont tout lu d'un coup. Vous avez suivi ces trois histoires, et c'est déjà énorme (alors que dire de celles et ceux que je retrouve sur toutes mes histoires). C'est grâce à vous que ces personnages vivent et continuent de m'inspirer. C'est d'ailleurs grâce à vous que j'envisage de poursuivre la série pour une dernière histoire. Cette série, c'est autant la mienne que le votre, je vous le dis depuis le début. Alors merci à vous, d'être là, que vous commentiez tout le temps ou soyez des lecteurs fantômes, vous comptez tous autant. Je ne sais même plus quoi dire, je crois que je répète toujours la même chose à chaque partie de remerciement x) Mais il faut dire que le sentiment reste toujours le même : de la gratitude pour votre soutient et votre engouement pour mes histoires.
MERCI.
Je vous embrasse, et espère vous retrouvez pour d'autres aventures en attendant de suivre la suite de celles-ci,
Kiss :*
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