His brother...


Je croise les bras contre mon torse, faisant mine de bouder. Il est beau garçon après-tout, c'est normal que je l'admire, non ? Il préférerait que je matte quelqu'un d'autre ?

-T'énerve pas, sa douce voix me parvient.

Gab caresse tendrement ma joue puis passe sa main dans mes cheveux. Je sais que parfois je pars au quart de tour pour rien... J'ose timidement rencontrer son regard.

-Au moins c'est sur toi que je pose les yeux, avouais-je bêtement.
-T'as bien intérêt. Tu ferais mieux de bien me shampouiner les cheveux vu toute la cire que t'y as fichu.

J'ai un rictus, me rappelant notre folle soirée de hier. Je me colle tendrement contre son corps, appréciant cette sensation même si je dois avouer que j'ai toujours un peu peur que mon corps réagisse trop quand nous sommes aussi proches l'un de l'autre... J'ai du mal à me contrôler face à lui pour être parfaitement honnête. Il me met dans tous mes états en permanence. Mon amant m'envoie un délicat sourire puis dépose du shampoing dans le creux de mes mains. Il dépose un baiser sur mon front. Je m'empresse de lui dérober un baiser et ayant peur que tout dérape trop rapidement, je murmure :

-Retourne toi...

Gab râle quelque peu, probablement frustré mais s'exécute. Je fais attention à être bien stable sur mes demi-pointes et passe mes mains pleines de shampoing dans ses cheveux mouillés. Il bascule un peu sa tête en arrière pour me faciliter l'accès à sa belle chevelure blonde. Je masse doucement son cuir chevelu et frictionne ses cheveux entre mes doigts. Je me sens sur un nuage. Je dépose un baiser sur son épaule, Gabriel en profite pour passer son bras en arrière et glisser sa main à l'arrière de ma nuque. Sa tête bascule un peu plus en arrière me dévoilant la peau de son cou.Cette dernière semble m'appeler. Je l'embrasse timidement à deux ou trois reprises.

-Arrête de m'embrasser dans le cou comme ça ou sinon tu pourraisêtre surpris de la tournure que les choses peuvent prendre.

Je décolle mes lèvres de lui, je ne cherchais pas à le chauffer !Je m'éclaircis la voix et fais comme si de rien était. Je finis de shampouiner ses cheveux dans le plus grand des calmes. Gabriel finit par se retourner face à moi, l'eau du jet fait couler le shampoing sur ses épaules et son visage. Alors que je suis sur le point de lui dire de ferme les yeux au lieu de me regarder il gémit péniblement.Il ferme les yeux qu'il se frotte en geignant. Quant à mon je ris tendrement et amène timidement ma main à son visage, au niveau de ses yeux que je rince attentivement.

-Bah oui faut fermer les yeux grand dadais... Ça va ?
-Ça pique...

Il est tellement adorable, on dirait un enfant. Je lui fais basculer la tête en arrière. Je soupire et m'occupe de lui.

-Évidemment que ça pique... Pourquoi tu pouvais pas fermer les yeux,hein ?

Je baisse le débit d'eau pour rincer le shampoing qu'il s'est mis dans l'œil.

-Heureusement que je suis là, pas doué !
-Oublie ce qu'il vient de se passer, ok ?

Alors ça, non. Gabriel semble quelque peu gêné, j'aime quand il est embarrassé comme ça. Je l'enlace d'un coup en riant un peu plus et fais non de la tête contre son torse. J'aime quand il me montre cette fixette innocente de lui, il paraît tellement accessible et tendre contre être humain.

-Pour une fois que c'est pas moi qui fait n'importe quoi, je vais graver ça dans ma mémoire t'inquiète même pas.
-Mais oui...
soupire-t-il.
-Tu pourrais dire merci dis donc, ingrat.

-Ouais ouais... Thanks.

Toujours aussi compliqué à lui décrocher comme mot. Je reste contre son corps et sens ses mains pleines de gel douche glisser le long de mon dos. Nous nous détaillons, Gab se penche pour pouvoir murmure près de mon oreille :

-Merci.

J'ouvre grand les yeux et reste figé. C'est tellement rare ! Il remet son visage face au mien et alors j'en profite pour plaquer mes lèvres contre les siennes. Il me donne un délicieux baiser. Je me sépare de lui et ai le plaisir de lui répondre :

-De rien.

Un énorme sourire prend place sur mon visage. Il me retourne. Je pose mes avants bras contre le mur face à mon visage et laisse tomber ma tête dessus. Je me sens bien avec lui, tout se passe parfaitement bien, je suis comblé. Il me lave le dos puis s'occupe de mes cheveux.

-Ferme les yeux ça serait bête que tu aies du shampoing dedans...
-Ah c'est sûr, faudrait être bête pour ne pas y penser.

Il me pince l'épaule me faisant gémir de désagrément. Il colle son bassin contre mes fesses tandis qu'il masse ma chevelure. Un léger chatouillement me parcourir le corps et stagner dans mon bas ventre,il me met dans tous mes états...

-Au fait, mes vêtements sont en bas.
-Et ?
-Tu pourras aller me les chercher s'il te plaît ?

-T'abuses, bouge tes petites fesses tout seul.
-Maieuh ! S'il te plaît.

Il ne répond plus et retire ses doigts de mes cheveux. Il va attraper une seule serviette et nous enroule tous les deux à l'intérieur. Je rougis violemment en sentant mon bassin se coller au sien.

-Passe moi une serviette pour moi tout seul, ça sera plus pratique...
-On est bien là, ça tient chaud...

Il tient fermement la serviette autour de nos bassins et me fait le regarder dans les yeux. Un léger sourire plutôt mignon orne son visage. Je l'enlace timidement ne pouvant m'en empêcher.

-T'as quelque chose à faire aujourd'hui ? demandais-je.
-Non, pourquoi ?
-Ça te dérangerait de me raccompagner ?

-Si je te raccompagnais pas qui te protégerait, hein ? Avec cette petite bouille n'importe qui peut se ruer sur toi et puis t'es tout le temps dans la lune alors pas question que tu rentres tout seul de toute façon.

La seule chose qui arrive à passer la barrière de mes lèvres est un rictus guilleret. Je commence à me sentir étrange, je réponds alors :

-On va jamais sécher comme ça...
-Pas faux.

Il se recule et garde la serviette autour de sa taille. Hey ! Et moi alors ?! Il sourit en coin et sort de la salle de bain, me laissant nu dans cette salle de bain humide et brûlante de désir.

-T'abuses, soupirais-je.

J'entends simplement un léger rire pour plus rien. J'attrape deux serviettes à la va vite : une pour mon corps et l'autre pour mes cheveux. Je me perds un peu dans mes pensées et me regarde dans le miroir. Je me mets devant le lavabo en nouant la serviette autour de mes hanches.Est-ce que je le mérite réellement ? Suis-je à sa hauteur ?Est-ce que mon physique le déçoit ? Mon visage est-il trop féminin ? Mon style trop banal ? Je baisse la tête et soupire, j'ai l'impression que je suis une tâche. Je ne suis pas un bon coup non plus en prime... Peut-être que sur le plan sexuel je le déçois, il va finir par le lasser... Je serre mon collier entre mes doigts et me perds dans un flot incessant de pensées quand on finit par m'enlacer. Je sursaute violemment et relève directement le visage vers le miroir.

-Gab ! Tu m'as fait peur, m'esclaffais-je.
-A quoi tu pensais pour être si distrait ?
-A rien...

-Tu pensais à moi ?
-Entre autre...
avouais-je d'une petite voix.
-Je peux savoir sur quel point ?

Je me retourne pour être face à lui. J'ose lui faire complètement face et attrape brusquement l'une de ses mains dans la mienne.J'inspire plus fort et me risque à lui poser cette question Enfin...Ces questions :

-Sois honnête : Est-ce que je te suffis ? Je suis assez bien ? Tu me trouves pas trop nul, si ? Je suis moins coincé ou peut-être pas assez ? mes questions s'enchaînent mais je suis rapidement interrompu.

Il me fait taire d'un coup en m'embrassant. Je respire beaucoup plus calmement et me sens apaisé. Il bouge légèrement ses lèvres tandis qu'il glisse sa main dans ma nuque. Notre baiser s'estompe après quelques secondes.

-Arrête.
-Pardon ?
-De te poser toutes ces questions,
reprend-t-il. Tu es comme tu es et tu me plais comme ça.Je serais pas avec toi sinon. Si tu continues à douter, je te jette par la fenêtre de ma chambre, compris ?
-J'ai eu un moment de stress,
riais-je bêtement...
-J'ai vu ça.

Il sourit et dépose ses lèvres sur mon front. Il est devenu tellement tendre, j'ai limite du mal à y croire. J'ai l'impression d'être dans un rêvé éveillé. Peut-être qu'en fait je rêve tout simplement ou que quelqu'un écrit une histoire ? Non, ça n'est pas possible, c'est mon histoire et elle est bel est bien réelle. Il vient caresser mes cheveux tout en me regardant droit dans les yeux.Nos orbes se confrontent langoureusement.

-Arrête de douter, je suis sérieux. Reste comme tu es, ne cherche pas à changer, ok ? C'est le vrai toi qui me fait craquer.Bref, je t'ai ramené tes fringues. Habille toi et va falloir qu'on sèche tout ça aussi.

Il grimace légèrement et ébouriffe mes cheveux trempés. Je grimace à mon tour et passe ma main dans sa chevelure blonde qui me fascine.

-Toi aussi t'as les cheveux mouillés.
-Sauf que moi j'attrape pas froid.-Mais bien sûr...

-Bref, sors le temps que je m'habille.
-Même pas en rêve. Je t'ai vu nu je ne sais combien de fois et franchement, de bien, biiieeen plus près. Et cette vision est pas pour me déplaire.

Ça a beau être la vérité ça reste gênant. Je râle contre lui puis me dirige vers le meuble pour attraper mes vêtements. Je sais qu'il ne compte pas sortir alors je ferais mieux de m'habiller sans un mot.Quand j'y repense : il sait me calmer et comprend parfaitement comment je fonctionne. Il peut me faire pleurer, me faire rire, me calmer, me faire stresser, me gêner, m'exciter, me mettre dans tous mes états. Je suppose que c'est ça d'être amoureux de quelqu'un.

Je suis habillé, nous sortons alors de la salle de bain. Gabriel n'a fait aucune remarque pendant que je m'habillais mais je sentais parfaitement son regard sur ma personne. Je jette un bref coup d'œil dans sa direction : il a un magnifique sourire coquin sur le visage. On a même séché nos cheveux. Alors que nous sommes dans le couloir, j'admire autour de moi. Mon amant est immobile et il fixe une porte. Je me suis toujours demandé ce qu'il y avait derrière. Je m'approche de lui et lui demande, peu sûr de moi :

-Qu'est-ce qu'il y a derrière cette porte ?

Il paraît étonné par ma question. Il me fuit du regard et avance vers cette dernière, sans un bruit. Je n'ose pas insister.

-C'est la chambre de mon frère.

Il l'ouvre et s'appuie dans l'encadrement de la porte. Je m'avance mais ne franchis pas le pas de la porte. Je regarde timidement à l'intérieur de là où je suis.

-Tu peux entrer, m'intime-t-il.

J'entre timidement à l'intérieur. On dirait la chambre d'un adolescent parfaitement en vie : le lit est un peu défait, le bureau est légèrement en désordre, des fringues sont posés sur sa chaise. Ça me brise le cœur de voir ça. J'ai remarqué que Gab parle encore de son frère en employant le présent. La tristesse m'envahit. Mon cœurse comprime sèchement tandis que je m'approche de son bureau. Mon amant reste muet, il me laisse faire. J'attrape un cadre photo pour l'admirer.

-Remets tout ce que tu touches à sa place s'il te plaît.

Je fais oui de la tête. Il tient à tout laisser en place comme si son frère était encore de ce monde. Ça me donne clairement envie de pleurer. Il y a trois personnes sur la photo : Gab, son frère je suppose et un troisième garçon qui sourit en tenant son frère par l'épaule. Ils ont l'air si proche. Le sourire de Gabriel est brillant, il paraît heureux. Il n'a pas de teinture et semble avoir mon âge, il est très mignon.

-Sa chambre est restée telle quelle, pas vrai ?
-Oui.

Sa voix était mélancolique. Je repose le cadre à sa place et admire la chambre d'un rapide coup d'œil. Il m'a laissé entrer ce qui signifie que je compte de plus en plus pour lui et qu'il me fait confiance.

-Il te ressemblait beaucoup.

Je regarde les nombreux cadres photo qui sont accrochés au mur. Je sens un flot de tristesse parcourir mon corps. On dirait que le temps s'est figé dans cette pièce. Je me retourne et détaille mon copain qui a les bras croisés et qui me regarde.

-Il s'appelait... s'appelle, je m'embrouille.
-
Il m'interrompt : Parle au passé si ça te gêne.

J'ai l'impression que mon cœur est tellement comprimé dans ma poitrine qu'il va s'arrêter.

-Il s'appelle Romain.

Gabriel ne s'est jamais fait à la mort de son frère... En ce qui concerne mon père, on a tout retiré de la maison et on l'a mis dans le garage parce que c'était trop douloureux. Ma mère n'arrivait plus à rentrer dans sa chambre et moi, dès que je passais le palier de la maison j'avais l'impression que j'allais mourir tellement je me sentais mal.

-C'est un joli prénom... Il avait l'air plutôt souriant et toi aussi d'ailleurs.

Pas de réponse. Ça paraissait évident. Je me demande réellement qui est ce jeune garçon qui paraît si proche du frère de Gabriel, je ne crois pas l'avoir déjà rencontré ou vu dans le lycée. Je lève les yeux vers une étagère un peu plus haute et me fige. Les larmes me viennent aux yeux et ma vue se brouille. Ça semble être un livre des souvenirs. Ces petits cahiers qu'on donne aux invités lors des enterrements... Il y a également une fleur fléchée et une boite à bijoux à côté. Le temps est réellement figé. Cette ambiance me fait si mal au cœur.

-Pleure pas...
-Je pleure pas,
mentais-je.
-Viens par là.

Il me fait signe d'approcher. Il ne veut pas rentrer dans cette pièce ?Je me dirige vers lui sans réfléchir et me laisse tomber dans ses bras ayant besoin de ressentir de l'amour et de la tendresse.

-Ça sert à rien de pleurer.
-Je suis désolé...
-Pourquoi ?

-Je sais ce que c'est que de vivre ça...

Il caresse mon dos. Je le serre si fort que je pourrais presque lui faire mal..

-Tu veux rester ou t'en as assez vu ?
-Ça ira...

Il me fait sortir et ferme la porte derrière lui. Il me bloque contre le mur et me laisse glisser mon visage dans mon cou. Il doit être triste... Il fait le dur mais il est sensible dans le fond.

-Mais pourquoi tu pleures ? soupire-t-il.
-Je me sens triste.
-C'est à moi de l'être pas à toi.

-Je pleure parce que toi tu le fais pas. Mais tu devrais extérioriser.
Pleurer ça aide à aller mieux, accentuais-je.
-J'ai assez versé de larmes comme ça...
sa confession me surprend.
-Il est mort quand ?

Il s'éclaircit la voix et me serre très fort dans ses bras, tellement fort que j'ai l'impression d'étouffer. Je me sens moins triste même si cette boule de chagrin persiste au fond de moi.

-Mi-janvier.

C'est bientôt la date d'anniversaire de sa mort alors... Il se recule de moi, un sourire forcé sur le visage.

-Bon mon petit idiot ! Arrête de pleurer et allons-y, ok ?Tu sais, vous vous seriez bien entendu.
-Pourquoi ?
-Il était plutôt calme et puis je sais pas, quelque chose me le dit.

-Dis je me posais une question : sur beaucoup de photos il y a toi, lui et un autre gars. Qui c'est ?
-Va savoir ~

Je comprends qu'il ne veut pas plus parler de son frère je ne me permets pas d'insister plus que cela. Il en parle petit à petit c'est déjà ça. Je prends mon amant dans mes bras, l'odeur de son parfum parvient jusqu'à mes narines.

-T'as pas fait ton deuil.
-Non, c'est vrai, je ne l'ai toujours pas fait après tout ce temps.Mais j'ai mes raisons et tu comprendras quand tu sauras pourquoi il n'est plus de ce monde.

Je n'ose rien dire, de peur de le rendre tristesse ou de faire une gaffe Je me connais, parfois je dis des choses que je ne devrais pas et je m'en rends compte qu'après, sauf qu'évidemment, c'est trop tard.

-Bon on y va ? Et si je vois encore une larme sur ta petite bouille, attention à tes fesses, c'est compris ?
-
Ok ok... J'espère juste que ça ne t'a pas dérange que j'aille dans sa chambre.
-Je ne t'aurais pas laissé entrer sinon. Disons que ça fait bizarre,plus personne est venu depuis un bon bout de temps.

-Est-ce qu'on pourra aller voir son étoile ?
-Je te l'ai déjà dit : on ira... Un jour,
reprend-t-il.

Je tente un léger sourire qu'il me renvoie. Je viens l'embrasse sur la joue tout doucement, j'aimerais lui redonner un vrai sourire franc.Je sens qu'il est légèrement triste... Je n'aime pas le voir comme cela. Gab me tire par la main, il est temps d'y aller.

-Évite de pleurer, d'accord ? Ça ne te va pas et puis j'aime te voir joyeux. Si tu as une bonne raison d'être triste, viens pleurer dans mes bras mais sinon ne pleure pas pour des choses futiles.

Pleurer dans ses bras ? Ce qu'il vient de me dire m'a réellement touché, c'est très émouvant. Savoir qu'il est prêt à être à mes contents dans mes moments de joies et de peines ça me fait énormément de bien.

-Je t'aime.
-Pas moi, je te déteste,
metaquine-t-il.
-Mais oui, quel menteur.

Il rit un peu et pose sa main sur ma hanche pour me maintenir proche de lui. On descend les escaliers en s'embêtant quelque peu. L'ambiance est moins triste même si je sens qu'une pointe de chagrin persiste tout de même.

-Gab, n'oublie pas que je suis ton copain, quand tu as besoin d'une épaule sur laquelle te reposer, je suis là.


****************


Coucou !! Je suis désolée, j'aurais voulu publier plus tôt mais j'avais oublié mon ordi sur lequel j'ai mes chapitres de ESJCP chez mes parents.... J'ai enfin pu le récupérer et donc je peux vous publier la suite ! :3 On commence à percer petit à petit les secrets de Gabriel, j'espère que cette histoire vous plait toujours !

Pour les personnes intéressées j'ai crée un compte insta (pour l'instant vierge) pour publier mes dessins NSFW et SFW. Ca ne sera que du BL et je publierai majoritairement des illustrations sur mes persos d'histoires WP (notamment Gab et Yoon). Mon pseudo est le même qu'ici aka : inspfunny.

Voici un exemple d'illustration que vous pourrez y retrouver, je suis curieuse d'avoir votre avis sur cette production :3 J'en suis honnêtement très fière ! Je commence à vraiment m'améliorer avec les couleurs, je suis contente ! N'hésitez pas à vous abonner à mon nouveau compte et à la partager pour m'aider à me faire connaitre un peu ~

(Si jamais vous voyez que je publie et dépublie des dessins en pleine nuit c'est probablement parce que je fais des tests de cadrage xD N'y prêtez pas attention).





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