Chapitre 17
«Hello Julie le spaghetti.»
Lorsque Julie entendit ces mots, elle poussa un début de cri, mais se rattrapa vite en mettant sa main devant sa bouche, évitant ainsi de se faire repérer.
«Idiot ! Tu m'as fait peur ! Et c'est quoi cette phrase ?» s'exclama-t-elle.
-Ben écoute, ça change de "bonsoir très chère", non ? Dit Harry amusé.
Julie ricana narquoisement puis demanda :
«Mais qu'est ce que tu fais là ? C'est pas trop ton dada de venir ici j'ai l'impression et puis si on se fait prendre, tu imagines ?
-Du calme, c'est bon. Melanie et Marion surveillent. Et Ronald s'occupe de gérer Rusard.»
PDV Julie
«Encore une fois je voyais que ce groupe constitué de Harry, Hermione, Ron, Melanie et une certaine Marion donc était très soudé, et dans un certain sens, cela me blessait. Je me sentais rejetée. C'est comme ci je déjeunais à leur table et qu'ils parlaient de matchs de quidditch des classes au dessus, et de Harry, le plus jeune attrapeur, ne m'incluant pas dans la conversation étant donné que je suis un potentiel adversaire, du moins pour l'année prochaine.
Je connaissais un peu Hermione et Ron, mais je ne voyais pas qui était Marion. Ça pouvait être la fille blonde bizarre avec qui traînait de temps en temps Melanie, ou alors une brune avec qui elle parlait. Je n'en savais fichtrement rien et cela commençait à me soûler, d'autant que je savais que Melanie prenait un malin plaisir à se foutre de ma gueule.
«Car Madame était avec tous ses amis, dans une maison sympa et moi la pauvre petite Julie était dans les cachots froids et insensibles, la mauvaise maison où tous les sorciers qui y étaient ont mal tourné. Évidemment, j'avais quelques amies, deux dont j'étais particulièrement proches, mais même. J'étais loin de Melanie et sa maison l'éloignait de moi. Cela était très rassurant. C'était rageant. C'était affreux, douloureux. Saperlipopettement désagréable.
«Genre Mel... Melanie a contribué à cette visite improvisée ? Demandais-je, abasourdie. Ce n'était pas vraiment son genre, du moins je ne la connaissais pas comme telle. Apparemment selon ses amies du primaire, elle était très donneuse. Il l'était arrive de discuter une ou deux fois avec celles ci et j'avais écouté et des facettes cachées de Melanie. Par exemple, elle avait "un don" qui était d'origine moldu, si je puis dire, qui lui faisait sentir des mauvaises personnes. D'après mes sources, Meianie en aurait trouvé une mais les autres ne l'ont pas cru, et après un an, se sont rendues à l'évidence. (Histoire vraie, d'ailleurs.)
«Tu sais, depuis l'épisode Malefoy, elle a eu plusieurs phases. Déjà elle ignorait tout le monde, puis elle s'acharnait sur le travail. Ensuite elle a été super triste et déprimée puis a été furieuse contre tout le monde et elle-même. Et il a cinq voire six jours, elle a commencé à donner beaucoup plus, parler plus aux autres, et à donner ce qu'elle pouvait aux gens qui avaient besoin de son aide dans une reteint matière, et eux l'aidaient également.
En une semaine elle a dû se faire une vingtaine de connaissance.
Mais comme elle me l'a dit, elle peut avoir autant d'amis adorables et géniaux, en ce moment c'est toi qu'elle veut. »
Il s'arrêta quelques instants, sûrement pour me laisser réfléchir et absorber ce discours.
J'étais très étonné du fait que Melanie ait beaucoup souffert de ce lapin. Et apparemment cela se voyait mentalement et physiquement d'après les sites de Harry. Je ne reconnaissais pas ma petite Mel et cela me faisait mer. Était-est elle qui changeait ? Ou bien moi ?
«Il faut que je lui parle. Demain même heure à côté de la classe de Macgonagall, derrière la statue du chevalier errant. (#donquijote) Merci de m'avoir prévenu si on peut dire ça Harry.
Il me répondit un léger "je t'en prie" et pour me dire au revoir, me prit dans ses bras brièvement. Cette courte étreinte m'avait fait rougir jusqu'aux oreilles et mes joues me brûlaient. Je croyais que c'était que dans les livres que ça arrivait ces symptômes.
Harry se retira, puis rajouta :
«Tu lui manques, tu sais. Elle a besoin de toi, en ce moment plus que jamais. À plus !» dit-il en secouant la main.
«À plus» murmura Julie, en souriant. «Si tu savais à quel point c'était pareil pour moi, et pourtant je ne peux pas m'empêcher de penser méchamment.» rajouta-t-elle pour elle-même.
_
C'est un chapitre dont je ne suis pas fière c'est vrai. Mais je suis assez contente du contenu. Je me mets d'ores et déjà à l'écriture du 18ème chapitre en espérant que élu ici vous ait plu.
Je souhaite une bonne fin de vacances à la zone B, une bonne rentrée à la zone A et deux grosses bonnes semaines de vacances à la zone C.
D'où venez vous ?
A la prochaine.
Mel. 🤘🏻💘
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