✔chap 60 belle-famille


Pdv de Finn

attention petit passage à caractère sexuel.

Je me réveille avec ma douce endormie sur moi, son nez dans mon cou et sa respiration qui chatouille le bas de mon visage. J'adore ce genre de réveil, c'est comme si cela annoncé une superbe journée sauf aujourd'hui bien sûr... C'est le jour de la mort d'une partie de sa famille. Je lui caresse la joue pour la sortir de son sommeil en douceur, elle se met à bouger légèrement et c'est la que je me rappelle que je suis toujours ancré à l'intérieur de son mont de vénus. J'inspire très fort quand je la sens coulisser lentement le long de ma hampe qui est presque dure. Ainsi cette chipie est réveillée et décide de me torturer de la plus délicieuse des façons pour entamer la journée. Mon dieu ! Je ne vais certainement pas lui dire non, qui serais-je pour l'en empêcher. Il faudrait être idiot pour dire non à ce genre de réveil ! J'entend un petit rire coquin qui retentit dans le creux de mon oreille accompagné de quelques mots salaces ; je sens que si elle continue comme ça de me chauffer je ne resterais plus maître de moi même longtemps. Elle se frotte de plus en plus contre mon corps, se positionne assise sur moi pour me chevaucher et commence à monter et descendre en douceur le long de ma verge jusqu'à me rendre fou. N'en pouvant plus je décide d'inverser les positions et je la retourne d'un coup tout en continuant de m'enfoncer profondément en elle, je commence à accélérer le rythme sous ses halètement qui remplissent mes oreilles d'une délicieuse musique surtout quand elle me supplie en criant mon nom.

Fin du passage à caractère sexuel

Une fois l'orgasme atteint et sortis du post-coit, je lui propose une bonne douche coquine avant que tout le monde ne débarque chez nous, car oui, je me considère comme chez moi chez elle et vu qu'elle ne me dit rien quand j'utilise cette prononciation je ne m'en prive pas surtout que cela fait briller de joie ses magnifiques yeux. Nous sommes en train de déjeuner quand elle reçoit un message, son regard se voile alors de tristesse puis elle reprend pied et me lâche que sa famille sera là cet après-midi pour rendre hommage à son grand frère et sa femme sur leur tombe. Je recrache mon café en la regardant de travers.

_ Sérieusement tu aurais pu me l'annoncer plutôt ma douce.

_ Pourquoi? Tu n'as aucune raison d'avoir peur de les rencontrer, ils ne sont pas comme ta mère...

_ Oui mais même, il faut que je sois prêt psychologiquement et là ce n'est clairement pas le cas ! Moi je t'avais prévenu en avance pour la rencontre avec les miens.

_ Pas faux ! Excuses moi mais avec tout ce qui se passe en ce moment j'ai carrément oublié de te prévenir. Tu me pardonne? me dit-elle en venant se serrer contre moi et me faisant des petits bisous sur la bouche.

Je l'enlace et lui dit que oui je lui pardonne mais à condition qu'elle ne me laisse pas seul dans la cage au lion. Elle rigole en promettant qu'elle fera tout son possible pour ne pas me laisser me faire bouffer par son père, ses cousins et oncles. Rien que de savoir que je vais rencontrer tout ce joli petit monde j'ai une frousse de tous les diables. Ma douce me rassure en me disant que je rencontrerais ses parents à midi en premier et que ceux qui n'ont pu nous rejoindre avant l'enterrement nous retrouverons chez le général Fury. Au moment de lui répondre mon portable sonne et je vois que c'est mon père qui m'appelle. Je fronce les sourcils en me demandant ce qu'il peut bien me vouloir, je lui avais pourtant bien dit qu'on ne pouvait pas se voir.

_ Allô papa ca va? Pourquoi tu m'appelle ?

_.........

_ Euh oui bien sur je vais lui poser la question directement. Ma douce, mon père aimerait savoir si il peut lui aussi venir rendre hommage à ton frère.


_Oui bien sur cela ne me dérange pas mais dit lui bien qu'il y aura une bonne partie de ma famille et que l'on finit chez le général Fury après.

_ Tu as entendu papa ? Si ça te convient je ne vois pas d'objections attend deux seconde Éryne me dit quelque chose.

_ Dit à ton père que si il amène la vieille peau de vache avec lui, qu'elle aura intérêt à se tenir car cela ne passera pas avec ma famille avec ses remarques et son attitude hautaine et snobinarde

Je n'ai même pas besoin de répéter, mon père a très bien entendu la remarque de ma douce et s'esclaffe de rire à l'autre bout du téléphone pendant que j'entends les cris outrés de ma mère. Il devait être sur haut parleur, à mon avis il l'a fait exprès. J'ai remarqué un changement chez lui depuis l'accident qui à failli me coûter la vie : mon père est plus détendu et affectueux et surtout il rit, bon plus à l'humour de ma douce qu'au mien mais il y a un réel changement chez lui. Je me demande si l'attitude de n'avoir peur de presque rien de ma douce et son franc parler n'aide pas un peu. Je sais qu'ils s'apprécient tous les deux et j'en suis ravi, l'avantage c'est que ma mère ne pourra plus trop faire ses coups en douce pour nous séparer.

Sur ces bonnes paroles mon père raccroche et me dit qu'ils seront à l'heure et qu'on se trouvera bien sur les lieux du rendez vous. Aujourd'hui cela fait 1 an jour pour jour que la catastrophe a eu lieue. La ville a décidé de rendre hommage à toutes les personnes décédées qu'il s'agisse des habitants, secouristes, policiers, militaires... Tous seront à l'honneur cet après-midi sur le lieu où tout a commencé. Le maire de la ville a décidé de construire un lieu de sépulture et de recueillement pour tous ainsi qu'un mur avec les noms de ceux qui ont perdus ou donnés leur vie ce jour là

J'aide ma douce à préparer la maison et nous mettons la table dehors. Je n'ai pas vraiment le choix elle m'a viré de la cuisine avec perte et fracas car je l'empêche de cuisiner correctement avec mes mains baladeuses. Vers 11H00 la sonnette se fait entendre et ma douce me crie d'aller ouvrir. A peine j'ai fait quelque pas que celle-ci s'ouvre en grand sur les filles qui déboulent en mode boulet de canon et me sautent dessus. Me voilà donc le cul par terre avec deux chipies collées à moi. Aiden et Christof entrent et font comme chez eux, ils ont à peine le temps de me saluer que déjà les filles me bombardent de questions à savoir si la soirée s'est bien passée hier, si elles nous ont manqué ce que je m'empresse d'affirmer. Elles me demandent où est leur tante et j'ai à peine répondu « dans la cuisine » qu'elles sont parties en hurlant. Je me lève pour aller saluer notre vieux couple quand je les entends se chamailler comme des gamins à propos des filles.

_ De vrai tornades mes princesses

_ Non d'abord ce sont les miennes de princesse !

_ Et pourquoi ce serait les tiennes plus que les miennes ma biche?

_ Bah c'est évident ma poule car je suis celui qui passe le plus de temps avec elles d'entre nous deux. Et toc !

Dit Christof avec son air suffisant. Cela a le mérite de couper la chique à Aiden qui ne trouve rien à rétorquer et fait la moue comme un gamin. D'ailleurs, quand il fait ça on dirait sa soeur version homme. C'est vrai que pour des faux jumeaux ils se ressemblent énormément et s'ils étaient du même sexe, on ne pourrait pas les différencier j'en suis sùr. J'ai du penser tout haut car Aiden déboule devant moi et me demande :

_ Je viens d'entendre quoi sorti de ta bouche...?

_ Exactement ce que tu as entendu pourquoi?

_ Tu es en train de me dire que tu aurais des tendances bisexuelles inassouvies..?

Hein ???? Mais de quoi il parle ! Je n'ai même pas le temps de contre argumenter que déjà

Christof réplique.

_ Non ma poule il insinue juste que tu as l'air un peu efféminé c'est tout. Tu vas t'en remettre un jour, promis. Mais attend j'y pense vu qu'il se tape notre sœur, il a peut être des vues sur toi qui sais .....

Il va falloir que je les stoppe dans ce débats sans queue ni tête ils commencent à raconter n'importe. Avant que j'ai pu les arrêter ma douce arrive et les frappe tous les deux derrière la tête et leur dit qu'il faut qu'ils se calment sur les divagations, que leur cerveau fabrique de toute pièces et qu'au grand jamais elle ne partagera son homme même pas avec eux ni avec qui que ce soit, homme et femme. La discussion continue, je préfère m'en éloigner tellement je suis dépité je me demande sur quelle planète je vis ils sont tous pareils ma parole je me demande bien dans quel moule ils ont été fabriqués, le père ou la mère...

Une fois leur discussion finit ils me rejoignent sous la véranda, nous papotons de tout et de rien en attendant la venue de leurs parents D'ailleurs Aiden et Christof ne peuvent pas s'empêcher de m'envoyer des piques sur cette fameuse première fois jusqu'à ce que ma douce en ai marre et les stoppe en leur disant qu'il rigoleront moins quand cela sera leur tours.

Vers midi la sonnette de la porte d'entrée retentit et me voilà comme statufié en plein milieu du salon avec la bouteille d'eau et les verres en mains. J'entends les deux abrutis me lancer des piques du genre : " tu compte rester planter la comme un piquet longtemps? Tu vas finir par t'enraciner à force de ne pas bouger. Mes parents vont perdre patience à attendre dehors, je sais qu'il faut chaud mais quand même ils vont se déshydrater et devenir des flaques si tu continue à pas bouger" J'en passe et des meilleures. Eryne étant en haut, je dois aller ouvrir mais bizarrement tout mon courage m'a quitter en un clin d'œil. Aiden vient m'enlever les verres et la bouteille des mains et me dit :

_ Cela ne te gênais pas quand c'était à moi de jouer au maître des lieux alors vas y je t'en prie ne te prive pas pour moi.

Il me dit ceci avec un sourire, ravi de me mettre dans cette corvée. Je me dirige donc vers la porte d'entrée où la sonnette retentit pour la deuxième fois. Juste avant d'ouvrir je souffle un bon coup puis plaque un sourire avenant sur mes lèvres, j'ouvre la porte pour me retrouver face à un géant aux cheveux bruns et au yeux marrons foncés. Je vois ses sourcils se froncer quand y découvre que ce n'est ni sa fille ni ses fils qui lui ont ouvert la porte.

_ Bonjour, je vous en prie rentrée. Eryne est en haut avec les filles, elles ne devraient pas tarder à descendre. Aiden et Christof sont dans la véranda.

Leur père me regarde d'un oeil soupçonneux quand à sa femme elle me salue en tendant sa main. Je les accompagne au salon là où les deux pitres sont déjà installés, ils se lèvent pour dire bonjour à leurs parents puis leur indiquent l'un des canapés inoccupé. Une fois assis je les observe et je me rend compte que Eryne et Aiden ont surtout pris de leur mère, que se soit la taille, couleur de cheveux et les yeux, par contre pour ce qui est de l'intensité du regard cela vient de leur père qui là me fusille du regard. Une fois ma douce et les filles présente avec nous elle vient s'asseoir sur mes genoux et me présente à ses parents, son père a dû déjà me tuer je ne sais combien de fois vu le regard de tueur qu'il me lance.

_ Alors comme cela vous êtes le petit ami de ma fille ? Depuis combien de temps cela dure je n'ai jamais entendu parler de vous jusqu'à maintenant.

_ Si papa je t'ai déjà parlé de lui alors arrête ton petit cirque, merci !

Le reste de l'apéro se passe bien dans l'ensemble, Aiden tient plus du caractère enjoué de leur mère et ma douce de celui de son père qui va droit au but, j'ai eu le droit à un vrai interrogatoire du style : " ce que je fais dans la vie, mon âge, quels sont mes projets d'avenir avec sa fille, est ce que cela me dérange le métier qu'elle exerce" bref j'en passe plusieurs autres dans le même style. Quand ma douce part en cuisine avec sa mère elle dit à son père d'être sage avec moi et de ne pas me faire peur sinon elle sera très très fâchée, vu la tête et les grommellement que son père a fait je pense qu'elle vient de me sauver la mise en partie. Le reste du repas se passe sans encombres et vient le moment de rejoindre la cérémonie en l'honneur de nos disparus.

La cérémonie se passe sans encombre j'ai ma douce dans mes bras pour la réconforter, elle ne pleure pas mais je sais que ce soir elle laissera tout tomber, je serais là pour la rattraper et câliner, réconforter. Mes parents nous on rejoint mais sont restés en retrait, ma douce me dit d'aller les chercher pour les présenter à ses parents je rejoins mes parents qui sont restés un peu plus loin et quand ma mère voit qui accompagne ma douce elle me demande avec un regard calculateur.

_ Fils tu ne m'avais pas dit que tu connaissais la grande famille Fabre.

_ Que me racontes-tu maman, tu les connais?

_ Bien sûr ! Qui ne les connais pas de réputation, ils sont l'une des plus grande famille militaire riches. Je me demande s'ils sont venus avec leurs enfants? Peux tu me présenter à eux?

_ Mais enfin maman as-tu vue ou nous sommes ? Arrête ceci tout de suite, si tu veux tout savoir ce sont les parents d'Éryne. Tu sais la femme que tu ne veux pas que je fréquente.

Je m'en vais la laissant là sur place avec son visage qui devient livide au fur et à mesure qu'elle réalise ses actes, paroles ainsi que les conséquences que sa conduite envers ma douce vont avoir sur elle. Une fois que mes parents se joint à nous ma douce lui sourit diaboliquement, j'entend mon père chuchoter à ma mère de bien se tenir.

_ Papa, Maman voici le père de Finn, il travail en temps qu'avocat pour mettre nos méchant criminelle derrière les barreaux le plus longtemps possible. Voici sa femme ainsi que la mère de Finn bien sur. Vous savez je vous en ai déjà parlé...

_ Bonjour, monsieur ma fille nous a dit beaucoup de bien de vous, par contre de votre femme nous ne pouvons en dire autant. Alors comme cela c'est vous qui fait tout pour empêcher ma fille de vivre sa relation avec votre fils en paix, dans le bonheur ?


Ma mère ne bronche pas un mot allant même jusqu'à pâlir d'effrois face au propos de ma belle-mère. Elle l'a quand même bien cherché à juger sans raison les personnes qu'elle rencontre, je suis sur que maintenant elle se mord les doigts de son comportement.

Je vois le sourire de ma douce qui jubile de sa déconvenue, mon père lui ne dit rien et la laisse bafouiller des excuses à Éryne et sa famille. Sa famille décide de les accepter pour l'instant puis de passer à autres choses.

Nous nous dirigeons vers nos voiture après être allés nous recueillir sur la tombe de son frère et la famille de sa femme. Une fois arrivés chez le général Fury ma douce fini de me présenter aux membres de sa famille, et quand ma mère disait que c'était une famille de militaire elle n'exagère pas le moins du monde il y en a dans toutes les branches et aussi dans services de l'état style police, F.B.I, C.I.A. J'arrive assez bien à m'intégrer et parler de tout et de rien avec eux, mes parents sont rentrés chez eux surtout dû à la remise en place de ma mère cela risquait de surement envenimer les choses. Je m'éloigne un peu de ma douce pour parler avec ses frères et son père de tout et de rien.

Quand d'un coup je vois Aiden se tendre comme un arc son père remarque aussi son attitude et demande quelque explications, il lui montre les militaires qui viennent juste d'arriver son père hausse un sourcil en silence et attend la suite. Je scrute toujours les arrivants quand un mauvais pressentiment me saisit et je cherche des yeux ma douce. Quand je la trouve du regard, je peux constater une certaine envie de meurtre se peindre sur les traits de son visage. Une fois que j'ai repéré la personne qui la met dans un telle états je me dépêche de la rejoindre avant lui mais il y a peu de chance que j'y arrive, je suis trop loin, je sens que cela risque de dégénérer quand je la vois se crisper quand il pose ses mains sur elle pour l'entraîner plus loin des regards. Je dirais même que je pense que c'est moi qu'on va devoir arrêter pour éviter de commettre le meurtre en question, je me sens suivi de près par ses frères et son père.


J

e les perds de vue quelques minutes puis quand je tourne la tête je vois ma douce plus si douce que cela, elle est dans une de ses fureurs que même de loin c'est tellement palpable que j'en frissonne d'appréhension pour la suite. Je me demande ce qu'il a dit ou fait pour que Éryne soit à la limite de perdre le contrôle d'elle même.

Coucou à vous, comment ça va? La rentrée bien passer? Je suis désolée de ne pas avoir pu poster la semaine dernière mais c'était la rentrée de ma fille et forcément semaine course, puis reprise du travail bref la rentrée quoi.

J'espère que vous aimerais ce chapitre, on profite du calme avant la tempête. N'hésiter pas à commenter et donner votre avis et/ou voter, comme cela vous convient. Merci au lecteur fantôme aussi. Bon vendredi à vous et bon week end à tous.

Gros bisous lilylana8 💋❤

21/09/2018

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