Épilogue
7 mois plus tard
Je ferme les yeux et m'oblige à inspirer et expirer profondément. Peu à peu, cela calme les battements effrénés de mon cœur. Mais impossible de me débarrasser de mon impatience et mon angoisse. J'ai l'impression qu'un essaim de papillons s'apprête à me déchirer l'estomac pour s'envoler dans le ciel.
Dans quelques minutes va se jouer le moment le plus crucial de toute mon existence. Ma vie va prendre un nouveau tournant, alors j'imagine que, malgré tout, c'est normal que je me sente si mal.
J'ouvre les yeux et mon regard se pose sur l'église en face de moi, faisant redémarrer mon cœur qui part à mille à l'heure.
Aujourd'hui, je me marie.
— Où sont les morveux ! Tout le monde en position ! Il reste 5 minutes avant le départ ! hurle Lexie.
Mon ventre se serre avec ce nouveau sujet d'angoisse. Et si je tombais ? Et si la cérémonie se passait mal ? Et si, à la fête ensuite, tout le monde s'ennuyait ?
Je gémis d'angoisse et saisis le bras de Lou qui passe à côté de moi en courant. Elle sursaute puis son regard s'adoucit et elle m'adresse un sourire rassurant.
— Tout va bien se passer.
J'esquisse un sourire forcé. C'est si flagrant que je vais mal ?
Soudain, Lexie surgit à nos côtés et son regard me balaie de la tête aux pieds avec un sourire satisfait, comme le ferait un artiste devant son œuvre d'art.
— Tout est parfait. Tu es magnifique.
Elle relève la tête et me sourit.
— Tellement parfait... Je revois encore ce jour où tu as débarqué dans la classe en retard, tirée à quatre épingles dans ta chemise blanche. Tu avais l'air si perdue et angoissée par la vie... Et aujourd'hui, tu as l'air si heureuse et épanouie. Tu rayonnes.
Mon regard s'embue et je les contemple à tour de rôle. Si je suis ici aujourd'hui et maintenant, si je suis si heureuse dans la vie, c'est parce que je les ai rencontrés et que je ne les ai jamais lâchés. On a vécu tant de bons moments ensemble.
— Merci. Merci pour tout. Sans vous, rien n'aurait été possible. Je vous aime tant.
Lou plaque une main sur sa bouche tandis que Lexie s'évente, les yeux rivés au ciel pour ne pas pleurer.
— Arrête ça ! Tu vas gâcher mon maquillage, idiote ! me rouspète Lexie, la voix cassée par l'émotion.
Mais c'est trop tard, je l'entends renifler et elle me jette un regard noir avant de se jeter dans mes bras, rapidement imitée par Lou.
— On t'aime aussi, Belle. Je grimace et lève à mon tour les yeux au ciel pour ne pas pleurer.
— Arrêtez ça, bande de quiches ! Je peux pas gâcher mon maquillage !
Lexie se recule précipitamment, consciente que toutes ses heures de travail sont sur le point de partir en fumée.
Elle me regarde, paniquée, puis son regard se pose sur Lou dans sa magnifique robe bleue et le pli sur son front disparaît. Quand elle se tourne vers moi, elle arbore soudain un sourire taquin et ses sourcils s'agitent malicieusement.
— Non mais, qui aurait cru que tu te marierais avant cette beauté !
Pour ponctuer ses paroles, elle se déhanche en se désignant gracieusement, tout ça sans arrêter d'agiter les sourcils.
Ça ne manque pas, mes larmes se sèchent et j'éclate de rire.
Dès lors, Lexie arrête son petit numéro et me prend une main qu'elle presse tendrement. Lou qui ne m'a pas lâchée depuis tout à l'heure repousse tendrement une mèche de cheveux derrière mon épaule.
— Plus sérieusement, on te doit tout, Belle. C'est grâce à toi qu'on est venues en Amérique. C'est grâce à toi qu'on a découvert ce qu'on voulait faire de notre vie ! Notre rêve !
— Eh oui, Belle ! poursuit Lexie, tout sourire. Merci car c'est grâce à toi qu'on a ouvert notre agence de mariage, s'exclame Lexie. Et c'est aussi grâce à toi que j'ai rencontré cette sale folle ! ajoute-t-elle en rigolant, couvrant sa future femme d'un regard emprunt d'amour.
Et c'est reparti, j'ai de nouveau envie de pleurer. Je m'apprête à les prendre de nouveau dans mes bras quand soudain Lexie s'en va en courant.
— Revenez là, bande de morveux !
Je la regarde partir à la poursuite des jumeaux avec tendresse, Lou sur les talons pour l'empêcher de les étriper quand elle les aura attrapés.
Grâce à elles, j'oublie momentanément mon inquiétude. Puis Delilah surgit devant moi dans sa jolie robe verte et j'écarquille les yeux, paniquée. Il doit y avoir un problème, elle devrait être en train d'attendre dans l'église ! Son regard est si grave que je m'attends au pire.
Je l'interroge du regard mais elle ne répond rien et je comprends enfin quand j'entends sa voix à elle :
— Belle... ?
Tous mes muscles se contractent et je foudroie Delilah du regard. Elle me sourit, penaude, puis incline la tête dans sa direction pour m'inciter à aller la voir et lui parler.
Je secoue la tête, paniquée, mais elle s'en va, me laissant seule avec.
Comment peut-t-elle me faire ça ? Et le jour de mon mariage ?! Elle n'avait pas le droit de l'inviter aujourd'hui sans me demander mon avis.
Les dents serrées, je me tourne vers l'une des personnes qui m'a fait le plus de mal. Ma mère !
De ce fait, je regarde trois fois les environs avant de me résigner à voir que la femme en face de moi est bien Rose Legrand.
Je la fixe, ébahie et bouleversée.
Elle a totalement changé. Ses longs cheveux normalement attachés en un chignon strict sont coupés au carré et volent librement au vent, aucune couche de maquillage ne cache son visage usé par l'âge et elle a troqué son éternel tailleur contre une petite robe à fleurs décontractée.
Mais ce qui me perturbe le plus, c'est qu'elle me sourit, les yeux inondés de larmes.
Je ne l'ai pas vue depuis environ trois ans. Et je me rends compte maintenant qu'elle m'a manquée malgré tout.
— Oh... Belle, sanglote-t-elle.
Je souris, gênée de la voir dans cet état. Je n'y suis pas habituée.
Et malgré moi, je ne peux m'empêcher sur la raison de son état. Est-ce que c'est de me voir dans cette tenue, ou de me revoir tout simplement ?
Elle plaque une main sur sa bouche pour retenir un nouveau sanglot.
— Mon bébé...
Je me frotte le bras et détourne le regard, de plus en plus mal à l'aise. Je ne sais pas quoi faire, quoi dire, comment me comporter. J'ai l'impression de me tenir face à une inconnue. Ma mère ne m'a jamais habituée à une telle profusion d'amour. Surtout que je n'ai pas oublié ce qu'elle m'a fait. Enfin, elle se calme et s'approche de moi. Je sens ses longs doigts me caresser la joue et je sursaute, avant de tourner vivement la tête vers elle.
Elle me sourit. Ses yeux brillent d'émerveillement et... d'amour ?
— Tu m'as tant manquée, chuchote-t-elle.
Je déglutis et recule d'un pas. J'ai peur de ne pas savoir me contrôler, de fondre en larmes, de me jeter dans ses bras, de tomber à nouveau dans son piège.
—Belle... !
Je tressaille à l'entente de mon surnom. Même si elle m'a déjà appelée comme ça au téléphone, ça me fait toujours bizarre d'entendre mon surnom de sa bouche. Elle qui refusait de m'appeler autrement que Isa... Est-ce un signe de changement ?
Je pose mes yeux sur elle et pince les lèvres pour ne pas pleurer.
Un pli apparaît soudain sur son front et son visage se tord de douleur.
— Je suis vraiment désolée. Pour tout.
Je cligne des yeux, stupéfaite, avant de pencher la tête sur le côté pour la dévisager. Elle paraît sincère, mais je ne sais pas si ça peut suffire...
— Alors pourquoi tu as fait ça ? Je l'accuse, la voix brisée. J'avais confiance en toi !
Comme le reflet de ma propre expression, des larmes à ne plus pouvoir les compter se mettent à glisser sur ses joues.
Mon cœur se gonfle de rancune et j'éructe :
— J'avais besoin de toi ! D'amour ! De soutien !
Son regard s'assombrit et elle baisse les yeux.
— Je... j'ai été idiote. Je pensais vraiment que c'était ce qu'il y avait de mieux pour toi... Ton père, Nils, Jayden... Je... c'était une erreur. Elle relève les yeux et me fixe intensément.
— Je n'aurais jamais dû tout décider pour toi. Ni te priver d'un père. J'aurais dû te laisser tracer toi-même ton propre chemin, quitte à ce que tu fasses des erreurs.
Elle esquisse un sourire tremblant malgré les larmes qui ne cessent de poindre.
— Et c'est ce que tu as fini par faire une fois que tu m'as rayée de ta vie. Non mais regarde ce que tu es devenue ! C'est mieux que tout ce dont j'aurais jamais pu rêver. Tu es épanouie et heureuse, mais tu es aussi une célèbre journaliste d'investigation qui travaille pour plusieurs gros journaux du monde ! Tu as même eu le prix Pulitzer et... et tu vas te marier.
Elle me prend la main et la presse, me couvant du regard.
— Je t'aime, Belle, chuchote t-elle. Et je suis fière de toi. Je l'ai toujours été.
Je sens mon cœur se serrer et je dois lutter pour ne pas pleurer. C'est tout ce que j'ai toujours voulu entendre. Tout ce que j'ai toujours eu besoin qu'elle me dise.
Je sens mon cœur se relâcher, plus léger que jamais. Enfin libre.
Je souris.
C'est tout ce qui me manquait pour être pleinement heureuse.
Face à mon manque de réaction, son visage se tend et elle s'empresse d'ajouter :
— Bien sûr, je ne m'attends pas à ce que tu me pardonnes ! Je sais que je ne le mérite pas et encore moins ton attention ou ton amour. Mais je ne peux pas vivre sans toi plus longtemps. Tout-tout ce que je veux c'est... recommencer à faire partie de ta vie peu à peu. Qu'on passe du temps ensemble... que-qu'on apprenne à se connaître et à se faire confiance de nouveau. Je sais que ce sera dur mais...
Je lui presse la main à mon tour, lui intimant de se taire. Elle me sourit tendrement.
— Mais on en est capable, non ? Aussi handicapés que soit notre cœur et nos sentiments.
Je rigole et me jette dans ses bras, la serrant de toutes mes forces. D'abord surprise, elle met un moment avant de me rendre mon étreinte, sa main me tapotant maladroitement le dos.
Enfin, je m'écarte et elle me caresse tendrement la joue.
— Et si pour commencer, je t'accompagnais jusqu'à l'hôtel ?
Malgré moi, tout mon corps se tend et je souffle du bout des lèvres, anxieuse :
— Tu es au courant que ce n'est pas Nils qui m'attend dans l'église, n'est-ce pas ?
Elle esquisse un léger sourire.
— Oui. Mais si tu l'as choisi, c'est qu'il te rend heureuse, alors je l'accepte. Surtout que c'est en partie lui qui m'a ouvert les yeux il y a deux ans. Je souris de plus belle, comblée, avant de l'entraîner devant l'entrée de l'église.
Je n'arrive pas à croire que j'ai enfin retrouvé ma mère.
Elle passe un bras autour du mien et me souffle avec un regard réprobateur :
— Tiens-toi droite !
J'obtempère, l'ombre d'un sourire au coin des lèvres. Je suppose qu'il y a des choses qui ne changeront jamais.
Mon père qui arrive au même moment jette un drôle de regard à ma mère avant de prendre place à mes côtés pour me prendre à son tour le bras. Je suis contente qu'il ne fasse pas d'esclandre. Je crois que rien ne me rendrait plus malheureuse que voir mes deux parents s'entredéchirer devant moi, et pour moi.
On échange un sourire complice puis, soudain, son regard s'adoucit et il me couve d'amour de la tête aux pieds. À son expression mélancolique, j'imagine très bien qu'il doit songer au bon vieux temps, quand il me changeait encore les couches ou qu'il m'apprenait à faire du vélo.
Délicatement, il replace correctement mon voile dans mon dos, une étincelle malicieuse dans le regard. Cette fois, il semble me taquiner pour toutes les fois où je lui assurais que je me marierais jamais.
Je lui donne un petit coup de coude et il arrête de ricaner, se redressant un peu.
— Tous en position ! hurle Lou.
Des pas martèlent les graviers dans mon dos et je souris en imaginant mon demi-frère et ma demi-sœur se placer derrière moi avec des paniers remplis de roses rouges. Je me retourne et on se tire la langue, comme si c'était un signe d'encouragement. Enfin, Lexie et Lou se mettent de chaque côté de la lourde et grande porte de bois, un grand sourire aux lèvres.
— 1... 2... 3 !
On échange un sourire complice et plein d'amour et de vœux de bonheur, puis elles ouvrent les immenses portes en bois. Tout sourire, je passe le seuil du bâtiment, mes parents à chaque bras.
La cinquantaine d'invités se lèvent, les yeux rivés sur moi.
Je sens mon cœur palpiter comme mille papillons excités. Et je m'avance dans l'allée, Perfect de Ed Sheeran accompagne mes pas.
J'embrasse du regard l'immense église d'un blanc immaculé garnie de fleur à foison, puis toutes les personnes que j'aime.
Je croise le regard de Lei qui me fait un clin d'œil taquin, tenant dans ses bras Kiko.
À la rangée devant eux, Giorgio réunit son index et son pouce et les porte à sa bouche, et je l'entends dans ma tête s'exclamer de sa voix si joviale : « perfetto ! ». Je souris en voyant qu'il est venu accompagné d'un jeune homme. À son côté, Tatiana et Peter se tiennent la main, me couvant du regard, et à leur droite, Gabriel et Morgan se bousculent gentiment pour pouvoir me voir de plus près. Elle lui donne une tape sur la tête et je souris de plus belle. Ils ont énormément grandi et pourtant ils sont toujours aussi mignons.
De l'autre côté de l'allée, Grace me détaille, les bras croisés, l'ombre d'un sourire au coin des lèvres. Elle a fait l'effort d'enlever sa tenue du PSG pour un costard bleu nuit. À côté d'elle, ma Grandma s'essuie les yeux, émue.
Initialement, c'était elle qui devait m'emmener à l'hôtel à la place de ma mère. C'est que je l'aime comme une mère, un membre de ma famille à part entière. Et bientôt ça sera vraiment le cas.
À la rangée derrière elles, Delilah me prend en photo, tout sourire. Quand elle croise mon regard, elle m'envoie un baiser taquin. Je lui renvoie, la remerciant du fond du cœur pour tout ce qu'elle a fait pour moi. Je la remercie de m'aimer comme sa propre fille, d'avoir été ma mère quand la première était incapable de l'être.
Enfin, mon regard se pose devant moi et je souris en voyant Flore dans un coin de l'estrade qui se dandine comme un enfant qui a envie d'aller aux toilettes. Elle tient dans sa main les alliances mais c'est aussi la témoin de mon futur mari. Après tout, c'est sa meilleure amie.
Pour ce qui est de mes témoins à moi, elles sont déjà à leur place à ses côtés. Eh oui, elles sont deux. Parce que je peux pas faire de choix entre Lou et Lexie, et parce qu'elles ne forment qu'un.
Lou forme un cœur avec ses mains tout en me tirant gentiment la langue, Lexie, toujours avec son élégance divine se contente de m'envoyer un baiser, agrémenté d'un clin d'œil.
Pour finir, mon regard se pose sur la personne la plus importante qui soit dans l'église, dans ma vie et dans mon cœur. Jayden.
Il est magnifique dans son costume blanc, une rose rouge à la boutonnière.
Nos regards s'accrochent et je sens mon cœur se calmer et toutes mes inquiétudes disparaître. Je lis dans son regard émerveillé tout l'amour qu'il a pour moi. Inépuisable.
Du bout des lèvres, il me murmure « Je t'aime », et mon cœur se serre. Non d'angoisse, mais de plénitude. Il est enfin comblé. Je suis plus heureuse que jamais je ne l'ai été.
Plus je le regarde et plus je sais que c'est le bon.
Je peux lire dans son regard tout le bonheur et l'amour qui nous attend tous les deux. Des étincelles qui y brillent me font mille promesses. J'imagine déjà tous les voyages incroyables à travers le monde qu'on va faire, toutes les enquêtes pour les journaux qu'on va résoudre, les moments tranquilles qu'on va passer ensemble, pelotonnés dans le canapé devant des Disney. Jusqu'à nos dernières années, nos vies seront remplies d'amour.
Je peux lire dans son regard qu'on célèbrera à chaque instant cet amour, que chaque jour sera unique, et que même s'il y aura des bas, on se relèvera toujours plus soudés. Ensemble on rira et on pleurera, beaucoup, on s'amusera et se disputera, énormément. On vibrera l'un pour l'autre jusqu'à notre mort.
C'est en contemplant ses yeux verts que je me remémore ce jour où je l'ai vu pour la première fois. Il m'a tout de suite inspiré le mépris. Je me souviens aussi que j'avais eu un mauvais pressentiment. Pendant longtemps, j'ai cru que c'était le pire jour de ma vie car, à cause de lui, j'ai fini par perdre la mémoire.
Mais au final, j'ai juste tout perdu pour retrouver mille fois mieux.
Ce jour était finalement le meilleur de ma vie... grâce à lui j'ai vécu toutes ces aventures, je les ai rencontrés eux tous, je l'ai rencontré, lui !
Je le fixe dans les yeux et souris.
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FIN.
Oui, moi aussi ça me fait mal. JE LES AIME BEAUCOUP TROP !!!
Mais au moins, ça vous a plu, non?
Et même si je suis l'auteur la plus sadique du monde, vous avez eu le droit à une fin heureuse ! Je dirais même une fin de conte de fée !
Jayden et Belle vont être heureux ensemble, risquer leur vie pour des enquêtes, voyager beaucoup.
George et Delilah sont mariés et heureux.
Lou et Lexie vont continuez de débarquer à l'improviste chez Belle et Jayden, tout en gérant leur entreprise d'organisation de mariage.
Les jumeaux vont grandir et leurs bêtises rivaliseront sûrement avec celles de leur sœur ainés.
Et lei continuera de rendre visite à Belle juste pour se goinfrer de gâteaux et utiliser sa tablette pour aller sur le Dark Web. Ah et bien-sûr il continuera de sortir avec Kiko et Belle sera éternellement gêné en sa présence.
Ah et bien-sûr Rose est revenu dans la vie de Belle et elle a vraiment l'air d'avoir changé et de vouloir se faire une place dans sa vie. Vous en pensez quoi? Ça va tourner au vinaigre ou juste donner des rencontres super gênantes et drôle entre elle et Jayden, George et Delilah ?
Bref. Je m'étale mais je crois que j'avais pas trop envie que ça se termine. J'ai toujours pas envie. Et pourtant, je peux déjà vous dire que je ne vous ferais pas de chapitres Bonus. Ça servirait juste à gâcher la fin ou briser la représentation que vous vous faites de leur avenir.
Question du jour :
Le passage que vous avez préféré sur les deux tomes ? Ou alors celui qui vous a le plus marqué ? Celui qui vous a fait ressentir un truc spécial. Genre rire, pleuré ou je ne sais quoi.
——-Essayez de tous répondre en vous creusant bien la tête , ça serait le plus beau des cadeaux————
Sur ce, je vous embrase et j'espère que vous irais lire la partir suivante où je vous remercie ( bien évidement, je suis pas une ingrate) et ou je vous parle de mes prochains projets.
BISOUS PAILLETÉS !!
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