souvenirs du passé

A minuit

Je rentre enfin chez moi éreinté de cette journée haut en couleur qu'a été mon travail.

Je lâche d'un geste las mes clefs sur le meuble de l'entré et ma veste sur un porte manteau, me dirige dans le salon d'un pas lourd, dans ma petite maison et j'échoue lamentablement sur mon petit canapé en tissu couleur bronze les membres en croix ;

《j'en peu plus je souffle tout c'est gens vont finir par me tuer 》.

Ayant déjà manger au restaurant, je n'ai pas besoin de faire quoi que se soit et quelque part sa m'arrange. non juste a me remémorer cette journée épuisant et intense.

J'ai tout entendu, tout vu et je vous jure que malgré ma fatigue il y a eu des situations cocasse, surtout avec les enfants ( de toute âge).

Par exemple un gamin de 16 ans accompagnant sa mère de repos se jour la et sa petite sœur, le père étant au boulot. ils avaient décider de faire plaisir a la petite pour qu'elle s'éclate dans nos jeux et mange quelque chose qu'elle aime,jusque là tout va bien .
Cette maman n'a pas le permis et ils habite a deux pas, donc elle est venu car sa fille commencé a péter les plomb a se faire chier a la baraque et de plus elle aurait fait connaissance avec d'autres enfants de son âge. En gros la mère et son fils faisait d'une pierre deux coups a ne plus l'entendre chouiner ,c'était tout bénéf pour leurs tympan et leur nerfs .

Le gamin qui se prénomme Daniel est vraiment un ange croyez moi et la mère marianne éreinté. Pourquoi, parce-qu'il s'avère que la petite en question est une vraie teigne, elle a réussi à viré tout les momes qui était entrain de joué sous prétexte que c'est sa mère qui ne voulait pas qu'ils s'approchent d'elle pour éviter qu'ils salissent son horrible robe a froufrou( si j'ai une fille un jour j'espère que jamais elle me fera acheter sa ) ou qu'un garçon aurait l'idée de regarder en dessous...sérieux. elle s'appelle Clémence. Cette dernière sait mise a pleurer a grosse larme de crocodile bien sur,quand ils ont refusé de partir.

A force de brailler comme si ont l'egorgeait a finit par tous les faire fuir; prenant peur .ils ne voulaient pas se faire grondé, cédant a son caprices mais le karma c'est retourner contre elle et sa méchanceté. Oui elle est resté coincé, dans son agitation sa robes c'est coincé dans une fente et menaçait de craquer si elle tirait trop dessus et bing dans ta tronche.

Après sa son frère qui heureusement pour elle était mince et souple lui a sauvé les fèsses puis la cajoler pour la rassurer. Mais sa mère Ayant découvert se qu'elle a fait en entendant une dés gamine se plaindre ,elle a vu rouge, vous connaissez la suite .

《 elle la obligé a s'excusez de son mauvais comportement 》 pouffais-je .

Pourtant j'adore les gosses croyais moi, mais elle j'aurais prit des vacances

《 oups》

Hors mis sa et un gamin enfermé dans les wc par son petit frère, qui braille à qui veut l'entendre qu'il avait peur . Le pauvre il avait 15 ans et il était claustrophobe . mise à part ça les clients nous ont solliciter de partout, mes pieds, mon dos et ma tête n'en pouvent plus.

Et puis il y a eu ces deux bikers et se problème d'allergie, que j'ai vite réglé en restant pro, avec eux jusqu'à se que j'apprene qu'ils nous invitent a l'ouverture de leurs boutique pour un tatouages, pour le geste commercial que j'ai fait,Maëlys ma expliquer qu'ils voulaient me rendre la pareil,

《 mais je n'ai pas très envie 》 me dis-je

Mon coeur se broie quand mon regard se porte sur les photos qui traîne sur le rebord de ma vieille cheminée, un sourire ému au lèvre en voyant les personnes cher mon cœur, qui sont sur ces portraits.

Tout les soirs je pleure leurs pertes

Je souffle en me levant m'avance doucement jusqu'au cadre photos de mon beau mari grand blond athlétique souriant a l'objectif , je me souviens parfaitement de cette journée, ont venait d'apprendre une bonne nouvelle ( ma grossesse), se qui me rend encore plus nostalgique et la carrèsses du bout de mes doigts s'arrêtant tremblant plus fort, quand ma main se fige deux minutes de plus, puis je l'oblige à reprendre sa course sur jarelle et jacob eux aussi souriant a la vie, ( je venait de réussir mes examens). une larme amer me coule sur la joue jusqu'au menton en deviant sur mes lèvres que je coince entre mes dents, pour ne pas hurler mon chagrin .

J'ai perdue se que j'avais de plus cher au monde.

je me morigene pour ne pas m'effondrer, le coeur malmener partant de perte , je me secoue en reculant de deux, trois pas en reniflant, essuie ma larme de la paume de ma main en tirant sur la peau de ma paumette ,en évitant par la même de m'effondrer, je fonce a l'étage prendre ma douche .

Peiner la tête baissé au dessus du lavabo ,devant un miroir ,tournant le dos au plus grand derrière moi, je me déshabille lentement, mes bras son lourd de fatigue, envahis par le chagrin les larmes coule silencieuse quand je decide de me regarder dans le miroir, mon regard se pose sur mon dos nu que je voie en reflet et mon buste par la même occasion, me rappelant un autre souvenir du passé plus sombre, s'ajoutant a l'amertume que je ressentais en voyant les photos des personnes que j'aime.

Hypnotiser mes doigts ne peuvent s'empêcher de frôler la petite cicatrice juste au-dessus de mon sein gauche, mon autre main frôle la cicatrice vers le bas de mon dos dont la peau est devenue légèrement rugueuse et au fait qu'elle n'était plus lisse comme avant. Je me rappelle de ce jour fatidique qui m'a valu ses cicatrices, les deux personnes qui m'ont recueilli était là et on vu l'horreur que j'ai subi, ce qui m'a valu trois semaines d'hospitalisation. C'était à l'époque où j'étais encore dans les rues, ne connaissant pas encore les personnes qui m'ont recueilli par la suite et  fréquentais pas mal de monde dehors à ce moment-là et surtout une personne celle qui m'a pris sous son aile ,dès qu'il m'a vu errer comme une âme en peine, c'était un homme bon a cette époque, il m'a sauvé les miches. C'était un homme grand fort, très chaleureux et gentil avec moi, il faisait toujours en sorte que mon estomac soit plein , que je ne m'endorme pas l'estomac vide , il trouvait toujours un moyen de nous substanter, de nous protéger du froids. mais moi étant jeune je n'ai rien vu venir de ce qu'il ressentait pour moi et au fur et à mesure du temps j'étais trop aveuglé par ma jeunesse et mon insouciance d'avoir quelqu'un qui me protégeait de tous les SDF qui tournaient autour de nous et qui n'attendait qu'une occasion que jacque me laisse seule pour me sauter dessus et aller savoir ce qu'ils m'aurait fait. heureusement grâce à Jack il ne m'est jamais rien arrivé mais si j'avais su je me serais aussi éloignée de lui aussi.

Ce que j'ai découvert le jour où j'ai quitté la rue m'a laissé sans voix. jack avait développé une certaine obsession pour moi,j'etait aveugle. le jour où j'ai quitté cet endroit infâme, lui il l'a pas du tout digéré comme si je l'avais trahi. alors qu'il me répétait sans cesse que mon intelligence me ferait quitter cette endroit, qu'un jour je sortirai de la, la tête haute ,je pensais pas du tout qu'il me mentais et qu'il le prendrais aussi mal alors que c'est lui qui m'a poussé à sortir...il m'avait même dit

__ le jour où ça arrivera ne te retourne pas et ne te préoccupe pas de moi, je m'en sortirai toujours.

《 c'était ses propres mots》 me dis-je désarçonner.

Le jour où j'avais enfin eu mon diplôme , travaillant à plein temps avec jarelle et jacobs, je sortie les poubelles les soulageant de cette corvée, ils étaient épuisé ce soir là , les pauvres alors pour les aider je me dirige vers le local poubelle qui se trouve au fond de la cour après le patio. au moment où je jetais les sacs dans la benne je ne sentis pas une présence derrière mon dos c'est l'ombre qui s'etalait sur la bene qui ma fait sursauter de peur en me retournant d'une seule traite et ce que je vis m'avait collé un frisson d'enfer . Jacques se tenait devant moi camper sur ces deux jambes un poignard de chasse à la main et une arme de l'autre. Son visage c'était métamorphoser et ne reflété que la haine et le dégoût qu'il ressentait pour moi,ce qui me choqua. tout d'abord il glissa sa lame derrière son dos coincé entre son pantalon pour avoir plus de liberté de mouvement et la corde qui lui servait de ceinture et leva rapidement larmes en la pointant sur moi. J'avais tellement peur que j'étais dans  l'incapacité de faire un mouvement. au moment où la pluie tomba sur nous, sans hésiter il appuya sur la détente je me mis à hurler effrayé, la balle ma pas tué mais brûle mes chaires d'une horrible douleur traversant mon épaule. Voyant qu'il m'avait loupé ,jack se rua sur moi pour me tacler en me faisant tomber lourdement au sole emporter par son poids m'ecrasant le dos sur le goudron abîmé par lusure, se laissant lourdement tomber de tout son poids sur moi,pour m'immobliser d'une poigne de fer me maintient par la gorge en serrant juste assez pour m'obliger a resté tranquille en me dévisageant d'un regard fou , tout en dégainant son couteau.

Il devait sûrement pas penser s'en servir il devait croire que son arme suffirait. mais par miracle j'ai réussi à le repousser en frappant de toute mes forces dans son plexus ,lui bloquant l'air de ses poumons,mais jacques pèse  toujours sur moi ,alors ma main farfouille le bitume et je ne sais comment à choper un objet lourd qui traînait prêt des poubelles et à le frapper très fort à la tête,il s'ecarte de moi alors je réussis à ramper incapable de me lever tant mes jambes sont devenus lourds et inertes de peur, vibrant sans arrêt, je saignai énormément. Quand j essaye de voir ou il ait, je voie ses yeux mit m'observe en sonner, sa folie,il avait quand même réussit à me balafré le bas du dos avec son couteau de chasse à lame crantée d'où ma vilaine cicatrice en s'aggrippant a moi.

Je n'aurais pas pu me battre avec lui,il était beaucoup trop fort pour moi il fallait pas oublier sa stature imposante. et cette stature qui a une époque m'avait protégé tout le temps que je vivais dehors dans la rue et puis même j'en étais incapable tellement mes membres étaient tétanisé par la peur ce qui m'a sauvé ces cette inconnue qui m'a entendu crier en appelant les flics et à alerter les gens à l'intérieur du restaurant pour me tirer de la.

Il y avait du sang partout c'était un vrai cauchemar et ça c'était avant de rencontrer Charlie l'homme qui devint mon mari.

Avec lui nous voulions former une famille mais faut croire que c'était pas mon heure et pas avec la bonne personne. parfois la vie réserve pas toujours de bonnes surprises et ça elle me l'a bien appris.

Charly était stérile et moi je voulais tellement porter son enfant que j'ai fait un grossesse nerveuse, qui nous a détruit le moral.

Mais faut croire que l'amour que nous nous portions était plus fort que notre mauvais karma

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