la nuit ne porte pas conseil. s cali /
Une fois en haut je décide d'aller dans ma chambre, d'accord avec moi même je mit rend avec la démarche variant entre l'escargot sous morphine et speeds la souris mexicaine, oxcilent entre peur et doute .
《 je suis persuadé que cette porte était fermée 》
C'est trouble dans ma tête, es ce que Maëlys et bomb l'aurait oublier en partant, je doute. Mais la bate... peut-être qu'elle en avait besoin et qu'elle a oublier de me le dire, qu'elle la remettra demain en s'excusant m'expliquant qu'elle avait un compte a régler avec quelqu'un ou avec un bikers,ou non avec son chère et tendre, je rigole toute seule nerveusement a cette idée, visualisant la scène hilarante de Maëlys bâte en main en train de menacé un bikers en le coursant dans tout le QG. Ils me verrait rire tout seul alors que j'avance lentement le dos vouter t'elle une vieille,ils me traiterai de folle allié, sa c'est sur . ooh je sais je rigole, c'est peut-être pour blade, il lui a s'en doute prit la tête a mon sujet, va savoir. non non je delure la, non sérieux ca va plus dans ma tête, si ça se trouve il s'en fou royalement de moi ,je pouffe .
《 il y a assez de brebis pour me satisfaire 》
Je represente rien pour lui je suis certaine, juste une distraction de plus a sa liste déja sûrement bien grande. C'est simplement qu'il n'aime pas qu'on lui disent non,c'est pour sa qu'ils nous a enfermer dans cette pièce pour pouvoir assouvir ses pulsions perverse .
《 mais qu'es qui tourne pas rond chez moi, il aurait déjà tenté quelque chose, si c'était le cas grosse nouilles 》.
Je secoue la tête en me traitant de taré, blade est peut-être un bikers au manière de rustre, mais c'est pas un violeur.
《 sa c'est sur qu'il aurait déjà tenté si c'était le cas》
Tête baissé dans mes pensées j'arrive a la porte que je pousse distraitement, toujours dans mes élucubrations, j'amorce un pas en avant pour pouvoir refermer la porte toujours les yeux fixer sur le sol .quand une voix me fige d'effroi, envoyant un courant glacer fulgurant qui me grignote la peau, me faisant tréssahir, la peur me contamine immédiatement comme un poison, brulant tout sur son passage, mettant mon cerveau sur off, impossible de réfléchir, la souffrance du souvenir lié a ce timbre rauque me mets en mode survie comme un animal au aboie.
Trop tard la porte et fermer
Mais pas a clé
__ bonjour mon trésor enfin ont se retrouve dit une voix que je connais bien , trop bien même
《 non pas possible est la seul chose que j'arrive a penser 》
Mais je suis inca de parlé, ma trachée bien de s'assecher, les parois devenus aussi râpeux que du papier de verre
Je lève les yeux doucement a fin que mon cerveau assimile se qui se tient devant moi. Maintenant que j'ai le courage de lever les yeux ,je reste fixé dessus comme un mauvais mirage , dont je ne voie que les contours a cause de la lampe relever dans ma direction, je sais qu'il me regarde , ma vu s'acclimate rapidement a la semi obscurité et je voie que son corps est tendue au aguets, je ne voie pas nettement son visage. je ne sais pas combien de temps ont reste comme ca ,a se dévisager en silence, ma remarque m'effleurant l'esprit que déjà il fonce sur moi, toute rage dehors, que mon corps ne m'obeïs pas tétanisé, alors il en profite et m'attirent un peu plus dans la piece, d'un geste d'une violence incroyable, tirant sur mon bras manquant de me déboîter l'épaule et m'arracher le bras . Paniqué du coin de l'œil je voie dans son autre main qu'il tient la fameuse bate, la Sueur abonde me faisant transpiré comme une malade, me rendant poisseuse sous sa main, qui me maintient fermement tentant de me faire plié a son bon vouloir
《 je suis cuite》.
Mais un regain d'énergie me booste, refusant de me rabaissé face cette homme, que je ne reconnais plus .Je sais pas si ca,mais le courage ou l'envie de survivre prône, je tente de me débattre comme je peu ,car nos forces personnelles diffère, Jacques est plus fort que moi sans l'ombre d'un doute .
Une image terrible dans tête, vient de s'immiscer et refuse de partir se greffent a l'intérieur de mon crâne.
Je me voie étaler par terre la gueule défoncé, peut-être même violer sait-on jamais. Cet homme a l'evidence est devenu complètement fou et je ne sais pas ce qu'il compte me faire c'est ça qui me fait le plus peur qu'est-ce qu'il veut de moi exactement me tuer ou...
Pendant la lutte de nos force inégale, je le dévisage enfin et remarque que tout a changé chez lui , les traits durcie, la peau buriner par le soleil et par les années passé dans la rue, entre le froid et la chaleur parfois écrasante, des cicatrices qui le défigurent sûrement du au guerres de territoire entre sdf et celle que je lui ai laissé avant qu'il ne s'enfuit dans la nuit en me laissant sur le pavé à moitié inconsciente.
C'est grâce à charlie, qui était un inconnu a se moment la ,passait par là, c'est grâce a son aide, si je suis encore de ce monde, mais là nous sommes que tous les deux.
Un douleur intense me fait ployer en me ramenant a la réalité, me fait cligner des yeux et tanguer mon corps, les genoux légèrement plié, prêt a rencontrer le parquet de ma chambre.
__ ah ah toujours aussi faible a se que je voie, tu n'a pas changé toujours la même petite fille fragile, ton mari n'est pas la pour te protéger ou non excuse il est mort dit-il sur ton moqueur, a moins que se soit tes bikers qui ont prit la relève, prêt de ma tête d'un ton dedeigneux.
Un regain de colère monte en moi, face a son ton moqueur et au vomi dont il m'abreuve, je n'attend pas est plante mes canine n'importe ou dans sa chaire en serrant très fort, au poing de sentir sa peau craquer alors qu'il résiste et un liquide au goût ferreux envahis ma bouche et glisser sur ma langue. De douleur il me pousse violemment au sol pour s'extraire de la prise en hurlant, m'envoyant valdinguer.
__ salope, sale chienne , sale pute tu va le payé.
Mon culs rencontres douloureusement le parquet ,envoyant une décharge électrique ,dans tout la colonne jusqu'au coxis ,paralysant momentanée mes jambes, mais ma volonté est plus forte malgré la stupeur, je ne perds pas de temps pour tenter de me relever et fuir, même a quatre pâtes si il le faut,mais se con est plus rapide et me retient par les cheveux en tirant tres fort sur ma long tignasse pour m'obliger a ne plus bouger,même si c'est douloureux je continue de me défendre et tente un coup derrière moi a l'aveugle en tapant de toute mes forces et sa marche en frappant l'intérieur de sa cuisse toujours musclé malgré les années, me relâche sous la douleur du coup en jurant des tas d'injures,profitant de se moment de relâche, mes jambes retrouve leur fonction première, je me lève puis court le dos voûter par la fatigue vers la porte quand une balle travers le bois juste a côté de mon oreille droite, je m'en fou et actionne la poignée pour ouvrir vers la liberté ,qu'une autre détonation rettantie cette fois la balle ricoche et vient de frôler ma joue en me faisant une estaphilade sanglante ,poussé par l'adrénaline j'accélère et sort enfin en courant, j'entends déjà des pas lourd et précipiter me suivre.
La respiration difficile je long le couloir a vive allure ,la gorge en feu, portant mon regard par dessus mon épaule,derrière moi, je le voie courir du mieux qu'il pouvait, entravé par sa corpulence massive et son poids.
Jacques a toujours était un gros mangeur, même étant dans la rue il a toujours réussi à trouver assez de nourriture pour deux . son corps était en train de le trahir, m'avantageant clairement et décide d'accélérer le pas pour gagner du temps et mettre de la distance entre nous, pour aller au rez-de-chaussée je devais passer par le salon en faisant en sorte d'évoluer dans le noir, qui était clairement a mon avantage, la vu de Jacques a toujours été mauvaise dans le noir, se qui lui a souvent porté préjudice, je faisais en sorte que les lourds meubles du salon entrave ses mouvements, a mon grand soulagement je l'entendait grondé et juré a cause de la douleur.
Tôt ou tard il fallait que sa s'arrête car sa commence a être fatiguant tout sa ,je veux courir mais mon corps est lourds percluspar la fatigue, j'espère que mon corps ne va pas pas me lâcher a un moment ou un autre . Pendant qu'il se prenait tous les meubles du salon je me faufiler par la porte menant au restaurant, il était assez grand avec énormément d'angle mort pour pouvoir me cacher. Je savais que je ne faisais pas le poids contre lui malgré toutes ces séances de sport pour apprendre l'autodéfense, grace a mes cours je pourrais le toucher quelquefois et lui faire mal aussi mais pas au point de le mettre KO, ou peut-être qu'à force de frapper j'y arriverai mais j'avais peu d'espoir mais j'allais tout de même essayer mais d'abord je devais me barrer d'ici et c'est ce que je fais sans attendre passant la porte qui me sépare de la liberté.
Essoufflé et la gorge toujours en feu , j'atterris dans la cuisine je me précipite rapidement vers le robinet et ouvre l'eau froide à fond pour ma sperger le visage et boire le plus vite possible ensuite je me retourne à vers mes couteaux de cuisine qui se trouve juste a côté de l'évier,attrapa le plus gros que j'ai dans ma collection, plus mon rouleau de pâtisserie en bois qui traînait, juste à côté de mes broche, je rafle tout ça et couru vers le lobby et me cache derrière les jeux d'enfants me recroquevillant derrière le tunnel qui servait de toboggan pour les petits et attendais en essayant de réguler ma respiration en essuyant de ma main libre, l'eau qui coulait sous mon front et qui commençait lentement à descendre sur mes yeux. pour être sûr qu'il ne m'entende pas je devais me calmer car si jamais il débarque il pourrait m'entendre.
Les minutes angoissantes s'écouler lentement et aucun bruit autour de moi, ne m'aurais indiqué sa présence mais ce con était bien là.
Et je poussai un cri de stupeur quand une main puissante attrape d'un geste violent mon biceps et me tire violemment vers lui, à tel point qu'il
m'acueille contre son torse rebondissant dessus Jacques pousse un rire démoniaque, fier de m'avoir trouvé et une lutte sans merci sans suivi, essayant de me débattre en desserant son emprise sur mon bras douloureux en réussissant a lui planter profondement les pointe d'une broche sur le haut de la cuisse en l'enfoncant plus profondément. Sous l'emprise de la douleur il poussa un hurlement et relâche à sa prise, je coure en jouant au chat et à la souris pour ma survie , car je savais que s'il me rattrapait je ne vais sans doute pas survivre à sa folie meurtriere.
le visage défiguré par la rage, fit redoubler ma peur,il me suivie dans tout l'espace qu'offrent la pièce .
Mon corps était bardé d'adrénaline et sans doute lui aussi car il ne boîte pas, notre jeux dura des heures, entre les esquive et les coups bas, les objets du quotidien d'un restaurant volant a travers la pièce, qui parfois atteignait son bute, comme cette boite en fer contenant le sucre ou bien les sauces ketchup et moutarde qui frôle ma tête dans ma course folle pour lui échapper âpres un lancer de couteau qui était a un cheveu de le planter droit au coeur ,mais je le loupa de pas grand chose,quand d'un mouvement vif il dévis sa course avec la bâte qu'il garde dans sa main, atterrissant au sol.
J'étais épuisé, essoufflé, mais je tenais bon je n'avais pas l'intention de baisser les bras alors que la vie commence à tout juste a ouvrir ses bras pour moi. dans un énième effort je couru jusqu'à la porte vitrée dans l'inttention de la faire exploser pour pouvoir m'enfuir mais je ne suis pas assez rapide.
Et surtout là était ma plus terrible erreur pour l'esquiver car j'ai à peine fait un pas qu'une chaise atterrit sur ma tête me faisant basculer en avant mais heureusement la vitre ne se brise pas sous mon poids et j'atterris à la renverse sur le dos sonné, Jacques était déjà là à mes pieds me surplombant de toute sa hauteur me regardant avec un air vindicatif et la fois de vainqueur, prêt en découdre. cette vision ne laisse aucun doute à ses inttentions . je n'ai pas le temps d'esquiver quoi se soit ,ni a quoi que se soit d'ailleurs, qu'un coup s'abattit une dernière fois sur ma tête me laissant dans le noir,ne me laissant qu'un sentiment de douleur atroce souvenir et son visage ravagé ,ignoble .
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