la nuit ne porte pas conseil b/..
Blade ( colton chambers)
00h
Quand ils partent je me retrouve seul sous le patio assie sur une table,avec une
Clope au bec et une bière a la main a regarder le ciel étoilé.
Un sentiment égre dans la george au moment ou je porte le goulot de ma bière a la bouche ,pour avalé le liquide brune , un sentiment broie mon coeur quand je repense a se qu'ils ont dit avant qu'ils partent en me laissant seul avec mes réflexions douteuse je reste la comme un con en déprime en plein désarroi, avec un broyage de cerveau assuré et je me sens mal cette sensation me bouffe les entrailles et c'est un putain de sentiment affreusement agaçant qui me saoule ,qui fait monter une telle haine en moi et je ne sais pas pourquoi, je m'en veux autant....suis-je bête a se point.
Mais une chose est sur je veux la voir et je suis sur qu'ils savent ou elle ait, alors sans réfléchir j'avale d'une traite ma bière, la fait claquer contre la table, rentre a l'interieur, heureusement plus personne n'ai present et c'est tant mieux car je n'ai pas le temps de discuter avec qui que se soit, je monte quatre a quatre court presque vers la chambre voulant pas perdre une seconde de ce foutu temps, je sais que la paperasse mets du temps j'ai peut-être une chance de les coincer,je sais pas combien de temps je suis resté dehors a rêvasser alors je me magne le culs.
Je saute sur mon casque et mes clefs de moto ayant déjà mes papiers sur moi et court vers la sortie, je ne ferme jamais la porte de ma chambre, de toute façon je ne risque rien ,dans la chambre je n'ai rien de valeur.
Je fonce dare-dare vers ma moto, l'enfourche et demarre aussitôt faisant un dérapage vers la sortie pour rejoindre le restaurant de calysta, je roule tellement vite que je met meme pas 19 minutes pour y arriver, je me gare loin pour pas que le couple de cachotier ma repaire ou elle on sait jamais . Je descend de ma moto, marche vers la ruelle tranquillement dans une démarche relaxe pour que personne ne face attention et je voie une vieille voiture toute cabossé ,que je n'avait pas repéré tout de suite me barre la route en faisant un violant marche arrière en manquant de m'écraser au passage, j'ai juste le temps de m'écarter en faisant un bond en arrière et gueule après le chauffard en l'insultant de tout les noms en martelant du poings sur le capot en me penchant pour voir a qui j'ai affaire, sait-on jamais . Sous le choc ou la surprise le chauffeur frêne brusquement sans doute surpris par les coups que je porte a sa carrosserie pourrie, qui mériterait juste d'aller a la casse. et tout se que je voie est un silhouette imposant. pourquoi je sais pas mais mon instinct sans doutes mais mon regard se porte vers l'arrière et je voie un autre forme plus affinez, mais grand cacher par une couverture, qui est tiré d'un bout a l'autre de la banquette, même si il fait noir dans la voiture, ont voie bien qu'il y a quelqu'un la dessous, intrigué les sens en alerte j'essaie d'en voir plus mais riena faire il fait trop sombre.
je voie pas bien juste que le corps est de grande taille et frêle. Je ne voie rien d'autre que aussitôt le véhicule repart en marche avant en trombe ,que mon corps est resté figé, quelques chose ne va pas ,j'en mettrais ma main a couper que l'homme au volant, était dans le restaurant. Alors je me reprends, n'y une,ni deux je court dans la ruelle, délaissant le type et son passager cacher sous la couverture, je regarde autour de moi pour repairer la moto de bomb mais ne voie aucune moto se qui me rassure , Maëlys et bomb ne sont plus la .
Quand cette idée fait enfin sont chemin dans mon cerveau, je m'arrête déçu aussi《 merde》. D'un côté je suis soulagé que cette homme et je suis sur maintenant était ici pour voler,
《 si s'était pas le cas》,
ne les aient pas trouvés et d'un autre c'est la merde car je ne sais pas comment entrer ou même savoir si réellement ils étaient dans le restaurant. Tout a mes réflexions ,mes pas me mène a la porte que je voie grande ouverte comme arraché de ses gonds, quand je voie sa mon sixième sens clignote comme un gyrophare une alerte c'est déclencher dans ma tête, ma raison me dit que c'est ridicule, car si ça se trouve elle est pas là. Je suis figé devant le spectacle a mon tour hébété, devant la porte . mes pieds se Soulève tout seul comme porté, mon corps prenant la relève, tout seul pour faire le reste du chemin,mes yeux se porte partout a la fois, je ne voie personne dans la pièce qui sert de cuisine alors qu'il y règne un bordel sans nom, mais je mit attarde pas .alors je sort ne voulant pas avancer plus profondément dans le restaurant. Ont ses jamais les voisins pourrais me prendre pour un vandales ou justement un voleur, bien que la police verrait que rien a bouger, mais bon comme je suis un bikers..
Mon téléphone sonne, sans regarder l'esprit flottant déboussolé ,je le sort de ma poche intérieure de mon cûte en cuire ,decroche en le portant a mon oreille, les yeux fixer sur la porte.
__ ouais
__ tes ou mon frère
A ses mots et sa voix inquiet je tique
__ devant la porte défoncé du restaurant pourquoi, dis-je prudent
__ ont a un problème m'avoue t-il
__ cali c'est fait enlever
Le silence me donne la réponse, suivie d'un raclement de gorge gêner.
Je leurs en veux, ont ne se cache jamais rien bomb et moi. Maëlys m'avait promis aussi de toujours être sincère, mais la c'est pas le moment, alors je lui balance .
__ ont s'expliquera plus tard, ramener vous ok et je raccroche aussitôt ne lui laissant pas le temps de me répondre.
Quand un image me percute,me faisant hurler a l'intérieur de ma tête, j'aurais put la sauver, elle était la bordel putain .
Quand ils arrivent ont se jauge du regard, sans que aucun de nous baisse la garde .c'est ridicule on dirait deux cowboys en train de se défier a un tête-à-tête meurtrier. alors j'avance d'un pas vers eux en leurs montrant l'entrée de l'arrière cuisine d'un coup de menton pour les invités à rentrer à l'intérieur. pendant que eux fond profile bas, je pose un dernier regard sur lui, comme je l'ai dit ont verra sa plus tard nous nous installons en veillant à ne pas toucher grand-chose au cas où et une fois installé avec une tasse de café devant nous je leur dit tout se qu'il vient de sa passé du début a la fin en omettant rien et eux aussi fond de même et cette fois ils me cachent rien, j'attendais sa depuis 2 jours déjà et tout y passe, de la soirée ou je l'ai séquestré dans le bureau de mon président a maintenant.
Se que je découvre me scie sur place et en même temps me donne quand même de l'espoir même si je sais que se sera long.
À la fin de la conversation les seuls mots qu'ils me disent
__ on est désolé de t'avoir menti mais on a juste respecter son choix dit bomb.
Pour tenter de se rattraper Maëlys dis penaude
__ j'ai tout essayé pour la convaincre de te parler mais elle est tellement têtu.
__ ça c'est sûr rigole bomb
Mais son rire se tarie rapidement quand il voit le regard que je leurs jettent et finit par se racler la gorge en baissant les yeux vers ses mains posé sur la table devant sa tasse de café.
Une fois la conversation terminée où j'ai appris pas mal de choses, Maëlys se lève et contourne bomb ,se plante devant moi
__ puisque nous sommes à l'heure du déballage de vérité j'ai quelque chose à te montrer je sais que ça va pas te faire plaisir mais tant pis.
Je fronce des sourcils perplexe et en même temps très en colère que me cache-t-il encore
Bomb comprend et dit
__ oui suis nous , nous avons quelque chose qui pourrait t'intéresser.
Sans comprendre il ne m'attendent pas et sorte m'attendant dehors , quand je les rejoins je les vois m'attendre devant un mur végétal qui me fait hésiter,je freine des quatre fers .
《 mais qu'est-ce qu'il foute》
et les dévisage tout les deux, alors qu'ils attendent en silence juste à côté,les bras croisés sur ke torse ,dansant d'un pied sur l'autre. je me rapproche d'eux intrigué leur fait signe de continuer ce qu'il font sans tarder et je les vois passer derrière ce mur qui cache en fait une porte dérobé. Et je comprends alors que depuis tout ce temps elle se cachait ici. que cette porte mène à un logement de fonction, personne ne pouvait le voir bien caché par ce mur de plante .Maëlys sort une clé et déverrouille la porte, entre sans attendre, bomb la suite de près des qu'elle entame les première marche et moi je finis la marche ,dans le noir total, qui monte à l'étage .
En haut nous rentrons directement dans une pièce assez grande. le salon est dans un état déplorable, tout est retourné cassez, nous continuons notre progression en regardant partout a la fois et allons de découverte en découverte , la chambre aussi a été retourné. Ont ne risque rien puisque je l'ai laissé filer avec qu'elle, a cet idée mes poings se serre de colère, bomb s'en aperçoit, se rapproche de moi tant dit maëlys faire le tour des pièces ravagé essayant de trouver des indices qui pourraient nous mettent sur la voie.
Bomb capte mon regard , dans le sien il n'y a pas de pitié ou compassion, non juste de la détermination.
__ on la retrouvera
__ je sais dis-je en espérant que rien ne se passe pendant se temps la
__ non il ne lui fera rien, sauf si.. dit maëlys qui c'était rapproché sans qu'on la voit.
__ tu le connais je lui demande quand bomb se pousse en retirant sa main de mon épaule, pour que je puisse m'approcher.
__ non mais elle ma parlé de lui, quand elle ma enfin fait confiance, de toute..toute les horreur qui lui a fait subir .
__ la marque sur sont épaules
__ oui dit-elle en coupant la parole a bomb
Je les dévisage les sourcils froncés, alors qu'ils me regardent tout les deux ,et un truc me reviens,
__ l'agression qu'elle a subit, c'est lui
__ oui soupire t'elle
__ quoi tu savais s'étonne mon pote les yeux écarquillés.
__ oui j'ai fait enquête en demandant a cartouche.
Bomb comprend et hauche la tête
Maëlys aussi a compris mais n'aime pas sa pour autant et râle, tu n'avait pas le droit, dit-elle en me fusillant du regard. D'un pas je me rapproche, virulent le sang bouillant dans mes veines ,bomb le voie et pour la protéger de ma colère, se mets entre nous deux . Je n'ai jamais frappé une femme de ma vie, alors je reste a ma place, le torse collé a celle de mon pote, penche ma tête sur une maëlys déstabiliser et peu sur d'elle ,sa grande gueule close, devant ma haine qui doit transparaître dans mes yeux et lui avoue sans remord.
__ aussi j'en ai le droit depuis le premier jour a vrai dire, depuis que j'ai croisé sont regard, elle est a moi je rugi sans me contrôler.
Je peu pas resté calme en sachant que cali est en danger et la ont perds clairement du temps.
__ qu'est ce qu'ont fait demande bomb
Inquiet.
Maëlys se redresse souriant alors que quelque minutes en arrière elle avait l'air apeuré.
《 je le sens pas ou》
__ facile dit-elle ragaillardi
__ ont t'écoute dit bomb me coupant l'herbe sous le pieds,
Elle s'empresse de lui dire
__ j'ai fait le tour des pièces, sont portable n'ai plus la ,donc je pense que cette idiot la soit emmener ou alors il a été malin et la jeter , moi je pense que je vais appeler les flics pour faire constater en montrant le tout de sa main droit en faisant un cercle et vous bah vous me la retrouver.
《 ont est d'accord 》
Bomb sourit fière, en la regardan les yeux plein de tendresse.
《 ah ouais sa aussi ont en discutera mon pote 》
__ ok dit-ont en même temps
__ allez allez perdons pas de temps dit-elle en nous lachant, l'oreille deja coller a son biguo.
__ viens me dit bomb en montrant la sortie en tapant sur mon épaule.
J'ai juste le temps d'entendre maëlys discuter avec un flics que nous sommes déjà en bas
__ appelle cartouche ont sait jamais si il peut tracer son téléphone,moi j'appelle brutus ou sin
J'acquiesce et sort rapidement mon téléphone .
__ ouais dit une voix pâteuse
__ tu dormait
__ oui connard grince cartouche
__ pas désolé j'ai besoin de toi les mâchoires crispé a moitié fou de colère face a sa mauvaise humeur.
Mais je m'en tape car a l'heure qu'il est une seul chose m'importe, alors que bomb parle au téléphone de son côté avec brutus...calysta
Je ne sais pas si c'est le ton de ma voix qui lui indique mon humeur, mais cartouches comprends rapidement le sérieux de mon coup de fil en pleine nuit, il capte immédiatement que ma demande est important pour moi.
J'attends le froissement des draps, signe qu'il se lève et je l'entends juré avant de me dire
__ raconte-moi tout je t'écoute ,je ferai tout mon possible pour t'aider
__ merci dis je d'un ton ou transparet le soulagement.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top