essayer
Au bout d'une heure
__ voilà tu es contente je rouspète agacé par son air triomphant en serrant mon vers dans les mains .
Pourquoi je suis énervé, bah peut-être a cause des serveuse à moitié à poile qui tourne depuis le début de la soirée, en aguichant a grand coup de sourire lascif en minaudant dès qu'on s'adresse à elle ou quand elle exagére leurs déhanché quand un homme s'interesse un minimum a elle. certains des idiots présents dans cette soirée se laisse envoûter sans reagir, se laissant mener par le bout du nez..pitoyable.même le mec au bar m'aggace, il n'arrête de me faire du rentre dedans, pourtant il y en a des femmes se soir et des bien plus belles que moi et comme je ne réagi pas a ses avances, il insiste encore plus, devenant carrément lourd. Quand bomb s'en mêle en voyant son manège et apres avoir jeter un oeil derrière mon dos, il l'a gentillement obligé a arrêter en faisant le tour du bar pour lui agriper le tee-shirt au Cole, en lui promettant silencieusement d'un seul coup d'oeil noir ,de lui faire la peau a l'aide d'un scalpel si il cessait pas tout de suite son manège. Le pauvre j'ai eu pitié de lui sur le coup. Et se qui me gonfle par dessus tout sa, c'est le numéro complètement nul de son pote, blade au dire de bomb, qui s'affiche fièrement comme un coq au milieu de sa basse cours au prés de certaines nanas qui bave, devant son cuire accroché a son bras . Je rit car on dirait un mec qui essaye de rendre jaloux sa copine, alors que l'on est rien l'un pour l'autre et je suis encore libre de choisir avec qui je veux être..non. mais se qui m'énerve c'est le petit manège de bomb qui me colle avec l'approbation de Maëlys depuis qu'on est arrivé , je sais qu'ils s'amusent a provoquer son frère en prenant un malin plaisir a posé ses mains sur moi dès qu'il en a l'occasion en le regardant bien dans les yeux avec un air narquois et se qui m'énerve encore plus c'est qu'on se sert de moi et que maelys ne dit rien et me regarde bizarrement depuis 20 minutes.
《 oui je sais sa fait beaucoup d'énervement mais il y a de quoi non》.
Au lieu de profiter et me détendre, je suis sur les nerfs.
Quand je l'ai traîner au toilette je lui posé la question et la seul chose qu'elle a dit
__ il y a rien de définit entre nous en haussant les épaules, pour le moment ont fait que s'amuser voilà tout.
《 mais bien sûr, prendre moi pour une conne 》, leurs regards ne trompe pas quand il se regarde c'est deux là .
Je me suis mordu la joue violemment pour pas l'engueuler comme du poisson pourri, en voyant c'est yeux fuyant ; mais putain sa me saoule a quoi ils jouent tout les deux et puis son pote là blade il me fait quoi là comme délire, il me suit partout ou que j'aille et quand je cherche l'affrontement il m'éscives avec une pouffe a son bras. si il crois que je le voie pas faire cette abruti, il se fourre le doigts bien profond , il se trompe lourdement sur mon compte .même si a chaque fois j'ai des frissons qui m'envahis de la nuque jusqu'au orteil ,quand il est trop proche de moi,me frôlant en faisant mine de m'ignore.
《 n'importe quoi, un vrai gamin 》
il affiche un air orageux quand un mec tente de me parler, j'entends une exclamations de réprobation, alors que pour lui faire comprendre que je suis libre et que je n'ai pas de compte a lui rendre ,j'invente n'importe qu'elle prétexte pour que l'autre reste plus longtempsa mes côtés , se qui le fait rager et moi jubilé.
《 non mais serieux, faut que j'arrête, je deviens ridicule en faisant sa 》
Mais j'en frissonne 《 putain 》
Quand ses yeux croise les miens, me détaillant de la tête au pieds. Au final il a jeté tout les gonzesses quand il a vu que son numéro marchait pas, elles étaient déçu.
__ cali m'attend pas je reviens me dit-elle soudainement pressé
Mais qu'es qui lui prend a vouloir partir tout d'un coup pensais-je étonné inquiete de me retrouver seul ,
__ pourquoi je croyais que t'avais envie toi aussi
__ euh non, mais je reviens ok
__ ok je marmonne un peu decu,quand j'entends la porte claquer.
《 Je suis persuadé qu'elle me baratine 》 me dis-je Je le sent, je la connais depuis trop longtemps pour croire a son mensonge .
Pendant que je fait ma petite affaire l'esprit tourner vers charlie, puis vers cette imbécile ,qui ma suivie toute la soirée, sous le regard curieux des deux tourtereaux, qui ne se lâchais plus . je secoue la tête pour chassé les traits de son visage dont j'ai vaguement le souvenir. Une fois fini me rabille vite en tirant sur ma tenue et je deverouile la porte et tombe nez a nez avec.... lui.
Agacé par la sensation étrange que je ressens quand je suis dans la même pièce que c'est imbécile de Blade, je ronchonne en le voyant si détendu face à moi ; de plus je ne l'ait pas entendu rentrer .il me dévisage d'un air sombre appuyer contre le lavabo dos au miroir, les jambes croisés et les bras le long du corps; alors que je me réajuste une dernière fois je voie son regard changer devenant beaucoup plus sombre alors qu'à la base ses yeux sont d'une couleur extrêmement clair à la limite de translucide ,descendre lentement sur moi le visage marqué par qu'une seule chose , la convoitise . Je vois a ses yeux l'exprimer clairement tellement ils sont intense . je refuse de le regarder franchement je suis toujours dans l'encadrement des toilettes accoudé sur mon épaule droite, n'arrivant plus à supporter l'atmosphère étouffante tant la pièce est imprégnée, rien qu'en sa présence. irrité de le voir ici dans les toilettes des femmes ,alors qu'a tout moment l'une d'elle pourrait débarquer et le surprendre ici entrain de me reluquer, je suis sur que sa leurs plairait a ses nanas. alors que moi je refuse de lever la tête pour faire pareil que lui , gardant quoi qu'il arrive mes yeux baissé vers le bas,je ne veux pas . je voie quand même a travers mes cils, qu'il est toujours la en face de moi, au moindre mouvement de sa part je le saurai.
Je sais pas pourquoi je refuse de le regarder, de savoir à quoi il ressemble vraiment, peut-être par respect pour l'homme que j'ai aimé. pourtant même comme ça à chaque fois qu'il est près de moi je ressens une drôle de sensation m'electrisant de la tête aux pieds, une sensation que je n'arrive pas à définir et qui me rend vraiment dingue .lui et moi nous nous connaissons pas et je n'en ressent pas franchement l'envie de le connaître.
Ne voulant pas m'apesentir je secoue la tête dans l'espoir de chasser mes idées alambiqué brouillant mon esprit ,je ne veux pas savoir se qu'il fait la; alors j'hausse les épaules sous son regard intense et troublant qui me chamboule toujours. Je m'écarte de l'encadrement et relève la tête un minimum pour voir où se trouve la porte en faisant un pas sur le côté, frôlant les cabines de toilette de mon épaule droite en me dirigeant vers celle-ci en m'eloignant le plus possible de lui.
Même sans le connaître son aura envahi toute la pièce en aspirant l'air, me faisant suffoquer ,j'ai du mal a respirer normalement .mais qu'est-ce qu'il se passe bordel, je connais pas se mec et pourtant sa présence agit comme un aimant, dans ma tête un seul mot prédomine pour le moment, tournant en boucle comme un refrain.
《 ont ne se connais pas, ont ne se connais pas 》
Et c'est vrai ont ne sait vu que deux fois en tout et pour tout, alors pourquoi ? .
Au moment où j'atteinds presque la porte je me sentie tirée en arrière par mon bras gauche, refusant de me retrouver face à face, je garde la tête tourner vers la porte.
__ regarde-moi j'entends
Je refuse de tourner la tête et je la secoue pour dire non incapable de prononcer un mot tant sa présence est imposante, mais je me laisserai pas déstabiliser.
__ regarde-moi tête de mule
À nouveau je secoue la tête
__ c'est pas grave ricane t-il, alors écoute-moi bien car je ne compte pas me répéter dit-il en resserrant ses doigts sur mon bras.
Je hausse des épaules pour lui faire comprendre que je m'en tape qu'il peu toujours dire ce qu'il a à dire mais que j'en ai rien à carrer.
__ je ne vais pas y aller pas 4 chemins car je déteste mentir et je crois que c'est l'une de mes très rares qualités la franchise alors voilà je te suis depuis le jour où je suis venu manger dans ton restaurant et oui je sais que c'est le tien, il t'a été donné par les deux personnes qui t'ont recueilli donc tu as bien compris dit-il après une ou deux secondes de silence je te surveille depuis un moment je me suis rencarder sur toi pour savoir qui tu étais.
Je grogne mecontente lui faisant bien comprendre que je détestais ce que j'étais en train d'entendre même si je n'avais rien à foutre de ce que lui il pensait de moi.
__ tu n'as rien à dire à cela
__ non dis-je simplement toujours la tête tournée vers la porte.
__très bien.... alors voilà si j'ai fait tout ça si j'ai voulu apprendre à te connaître par les informations que j'ai récupéré sur toi et crois-moi j'en sais beaucoup et tu te doutes bien que l'on ne m'a rien caché absolument rien insiste-t-il si j'ai fait tout ça donc c'est simplement parce que tu m'intéresses beaucoup.
__ premièrement je n'irai jamais dans votre plumard je ne servirai pas de vie de couilles et deuxièmement on ne se connaît pas alors lâchez-moi dis-je sur un ton sec.
Sans avoir besoin de le regarder je l'entendis éclater de rire.
__ parce que tu crois que j'ai fait tout ça juste pour coucher avec toi. Si je voulais juste ça je l'aurais eu dès le premier soir où je t'ai vu, alors non je ne veux pas que juste coucher avec toi je veux plus que ça et je sais que je l'obtiendrai . J'ai en ma possession une deuxième qualité , je suis très patient quand je veux quelque chose et je fairais tout ce que je peux pour.
Une fois ça diatribe terminée je me pince violemment les lèvres empêchant une question qui brûle ma langue de les traverser, mais apparemment mon cerveau est plus tenace que moi trop tard les mots échappent
__ et qu'est-ce que vous voulez
《 et merde 》
__ toi dit-il sans préambule
Un longs frissons me picote l'échine comme un fer chauffer a blanc remontant mon dos ,me faisant frémir d'appréhension. Refusant d'y croire je rit a mon tour et dit sur un ton âcre.
__ retourner avec les femmes dans la salle allez vous soulager les couilles avec elles et foutez moi la paix dis-je blasé en tirant sur mon bras de toutes mes forces pour qu'il me lâche.
Refusant toujours de le regarder, il tira sur mon bras pour essayer de me rapprocher de lui, mais je résiste aussi fort que je peu en maintenant ma position.
Je senti toute la force dont il disposait dans sa simple prise sur mon bras et moi je me penche un peu plus en avant en essayant de faire un pas en avant , pour me rapprocher de la porte ,mais impossible mes pieds recule de leurs simples volonté et non de la mienne ce qui fait que je me retrouva à moitié coller sur son torse. Un simple souffle chaud lourd de son expiration balayant de petit cheveux sur ma nuque, le reste retenu en queue de cheval.
__ pour le moment tu me résistes...très bien ,au contraire j'adore ça. Sa me montre à quel point j'ai eu raison de m'intéresser à toi, d'ailleurs ce n'est pas très compliqué de l'être intéressé à toi dit-il d'une voix suave.
La chose qui ne ma pas lâché depuis tout à l'heure augmenta fais-en vibrer mon corps pour le calmer je me mordis l'intérieur de la joue presque à sang, pour m'interdire de ressentir quoi que ce soit. Je décide de rester muette à ses paroles refoulant tout au fond de ma tête en mettant une barrière bien solide. Et ça il l'avait bien compris alors il se rapproche doucement et rajoute toujours prêt de mon oreille.
__ lutte tant que tu veux ma puce mais tôt ou tard tu seras a moi, dans mes bras dit-il déterminé
Une peur insidieuse parcouru tout mon être en un éclair, refusant de le regarder ,je me retourne alors que j'étais dos a lui, qu'il me tient toujours par le bras. Dans un seul élan je lève la jambe, plie le genou et frappe fort au hasard , rencontrant un muscle dure ,se qui le fait dès-serré sous la surprise et le fait grogner de mécontentement, me relâchant légèrement, grâce a sa je tire franchement sur mon bras et me libére, sans attendre je file alors que lui gueule
__ reviens tout de suite ont a pas fini de discuter.
Le seul mots qui sort de ma bouche avant de quitter la pièce
__ connard de prétentieux en empoignant la poignée a pleine main et claque la porte derrière moi.
Blade
Quand calysta me frappe intentionnellement pour que je la libére de mon emprise sur elle; je suis tout d'abord étonné de sa force et a la fois fière. Cette femme a du caractère et j'aime sa. Ce qui ma rendu vraiment euphorique c'est la détermination qu'elle a mis a ne pas me regardé, comme si elle avait peur ...mais de quoi; c'est étrange quand même mais je mets cette question de côté en me disant que je la remettre sur le tapis plus tard, car la j'ai plus urgent a faire ,quand je la voie disparaître de ma vu aussi vite comme si elle avait le feu au cul.je n'ai lu aucun crainte dans ses yeux , non juste de la détermination a m'éviter et sa, ça me fait vraiment chier de savoir que je vais ramer comme un con pour l'avoir; et bah tant pis je le ferai, si c'est sa qu'elle veut soit .j'eclate de rire quand je sais qu'elle va m'en baver c'est indéniable mais je suis heureux de savoir que malgré tout ,elle est receptive, je l'ai vu putain la chaire de poule sur ses bras et ses joues qui sont devenus rouge, j'en suis tout émoustillé non de dieu . mon cerveau se mets tout de suite en route pour trouver un moyen de la coincé pour finir cette conversation qu'elle fuit.
Je sort des toilettes en croisant trois femmes qui y rentrent et comme par hasard c'est celle qui me tourne autour depuis le début de la soiree et pour pas changer elles se léchent les lèvres avec gourmandise tout en me détaillant de la tête au pieds. Sa m'énerve tellement que je les bouscule sans un regard et franchis l'espace pour me rendre dans la salle sous leurs air déçu et moi dans ma tête je me dit
《 cette femme va me rendre dingue ouais aussi sûrement qu'un animal sauvage prisonnier dans une cage》
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