Blade(Colton chambers )

Arrivant difficilement jusqu'au bureau, ma queue gonflé me faisant terriblement souffrir contre la couture de mon jean.un bras entourant la taille de mon précieux chargement et l'autre sur sa cuisse juste sous ses belle fèsses pommelé toujours sur mon épaule qui a finalement cessé de se battre et attends sagement que je décide de la poser au sol. La porte est fermée à clé, mais je trouve rapidement la cachette de la clé de secours,l'insère dans la serrure d'une main, tourne et ouvre la porte en appuyant fort dessus puis m'avance de deux pas, puis claque la porte avec le talon de ma botte de moto ,toujours avec Cali sur mon épaule sans un mot, je ferme la porte  à clé pour être sûr qu'elle ne se tire pas avant qu'on est eu cette discussion qui me tient a cœur et j'en ai des choses à lui dire.

Une idée insidieuse germe instantanément dans ma tête, ne pouvant refréner mes pulsions ,me tirant une excitations tellement intense que je ne tergiverse pas longtemps pour l'appliquer.

au lieu de me pencher pour la relacher, je la laisse glisser contre moi en la regardant descendre lentement ,a cette sensation de frottement mes sens déjà electriser par sa présence,augmente en intensité comme un feu paille,dans tout mon corps surtout au sud augmentant le volume de mon sexe, me donnant envie d'arracher ses fringues, de la retourner et de la prendre en levrètte sur le bureau ou coucher sur se putain de canapé la bas ,mon jeans gonfle encore plus formant une bosse sous les sensation torride que je ressens. Et croyez moi je prends sur moi pour pas exécuter se que ma tête et ma bite veulent.cali a du forcément le sentir en coulant le longs de mon corps . comme j'ai besoin de lui parler avant, je serre les dents mettant ce fantasme a plus tard.

Dès qu'elle pose ses pieds au sol, mon ego se ragaillardi en voyant ses paumette rouge et son expression de surprise et gêner.

《 ouais tu la bien senti hein, l'effet que tu me fait et putain c'est vraiment vraiment dure》

Je lui attrape le bras .

__ va t'asseoir lui dis-je sur un ton ferme en la decalant légèrement vers le fond de la pièce.

__ va te faire foutre connard, gueule t-elle en me regardant droit dans les yeux,écartant sèchement son bras de ma prise sur son biceps ferme .

Renfrogné cali finit tout de même par obtemperer les bras croisés devant elle, je la suis en mattant son magnifique cul  proportionnel au reste de son anatomie, qui declanche une série de frissons submerge tout mon corps faisant gonflé mon troisième bras, devenant plus douloureux a présent. Sans qu'elle me voie je me réajuste en grimaçant d'inconfort et nous finissons par se retrouver séparé de quelques ridicule mètre, elle assise et moi devant elle. les images de son cul posé sur le cuir du canapé, des idées délicieusement erothique fleurie dans ma tête, mais  agacé je les repousse d'un revers mental.

Il faut absolument que je calme

《 c'est pas gagné 》.

Je l'observe un moment admirant la belle femme au courbe harmonieuse et sportive devant moi , cali enfonçant ses belle petite fesses que j'ai eu le plaisir de claquer au fond de l'assise du vieux canapé, les jambes serré et les doigts croisés sur ses genoux les phalanges blanchit, un air revêche transpirant sur son jolie minois au lèvre pulpeuses, tellement sensuel que j'ai envie de les bouffer, lui sautant dessus m'amusant à toucher la moindre parcelle de sa peau qui doit être douce et velouté a souhait, déposé des suçon a des endroits  stratégiques, la marqué de mes dents sur tout son corps,lui arraché ses fringues sans attendre pour la baisé comme il se doit et l'entendre gémir d'extase, puis crier mon nom jusqu'a se que tout le monde l'entendent a travers tout le clubs malgré la musique qui bat dans les grosses enceinte a tue tête.....STOOPP .

je m'engueule comme un sale gosse, qui est incapable de patienter et reviens a la réalité bien moins drôle mais important pour le reste de notre avenir.

__ cali regarde moi j'exigeais en scrutant son visage a la recherche d'une réaction

Aucun mouvement et aucun signe qu'elle mes bien entendu ou qu'elle compte obéir. Mais se qui commence a entamé ma patience c'est son air impassible dénué d'un quelconque sentiment, levant les yeux que pour vérifier ses ongles ou regarder la déco, soupire comme si elle avait un rendez-vous et que ce dernier n'était pas respecté..et en plus elle tapote ses doigts sur le cuir a ses côtés.

Alors j'aspire un grand coup le coeur battant a un rythme effréné essayant de rester  serein  car clairement elle se fou de ma gueule mettant mes nerfs a rude épreuve, attend tu va voir.
Ma patience a foutu le camp en un éclair et je grogne mécontents

__ calysta regarde moi, c'est la dernières fois que je te le dit mettant plus de fermeté dans ma voix.

Mais rien n'y fait, elle tourne la tête dans le sens opposé et hormis un coup d'œil ,cali bronche pas .

Mes poings se ressére contrarié par sa façon de m'ignorer et décide de passer l'étape suivante tant pis j'ai essayé de rester calme et un minimum civilisé pour ne pas l'effrayer , de garder mes distances de l'approcher petit a petit mais apparemment ça ne marche pas alors on va le faire a ma manière.
En deux enjambé je la rejoins me positionne face a elle les yeux écarquillés, je l'attrape par les dessous de bras,l'obligeant a se lever en la mettant face a moi, ignore ses mots tendre cracher avec colère, pivote en faisant un demi cercle et je m'assois choppes ses hanches entre mes mains tire avec force en l'obligeant a ce mettre a califourchon sur moi en tirant durement vers le bas, encercle sa taille en resserrant mon emprise en apposant mes deux mains entre ses omoplates. fière de ne pas lui avoir laissé le temps de réagir, je souriten voyant son regard aussi froid que l'Antarctique.

__ bien maintenant tu vas m'écouter faisant abstraction à ces joues rouge Cramoisie qui fait ressortir tout les nuances  de son regard clair qui me captive.

Malgré qu'elle soit à cheval sur moi , sa poitrine genereuse collé a mon torse, elle s'entête a regardé un point fixe au-dessus de mon épaule droite, ses belles lèvres pincer dans une expression volontaire accentuant leur teinte rosé, devenant rose bonbon,me donnantenvie de les dévorers . Calista fait tout pour m'ignorer, mes nerfs sont sérieusement en hausse quand je voie son refus, mais je dois encore garder mon calme et je vais lui avouer ce que j'ai sur le cœur et cela sans attendre de toute manière je ne peux plus attendre ça me ronge la tête. Oui je sais c'est mon défaut je ne sais pas être patient, mais que voulez-vous quand vous avez une bombe aussi sexy sur les genoux comment résister à la tentation croyez-moi c'est très difficile.

__ comme je t'ai dit tout à l'heure j'ai des choses à te dire, donc pas besoin que tu parles . voilà ce que j'ai à dire est très simple en gros depuis que je t'ai vu dans ce restaurant, je ne pense qu'à toi jour et nuit ,donc j'ai décidé que tu serais à moi et à personne d'autre. si jamais tu as un petit copain ce dont je doute car je t'ai assez observé pour le savoir et bien dis-toi il n'a aucune chance car je ferai tout pour t'avoir et l'écarter mon chemin.

Pendant toute ma diatribe je ne quitte pas ses traits au aguets, passe au rayon X toutes ces expressions et la dernière me fait bander comme un ane car elle est assez violente, j'adore quand cali passe en mode guerrière.

__ tu es vraiment un mec taré qui t'a dit de décider a ma place pauvre con de matcho et puis pour que tu te prends d'abord moi moi moi,me crache t-elle a la gueule.

《 Bordel se qu'elle m'excite quand elle réagi comme comme une lionne 》je vais finir par la bouffer toute crue si elle connue.

Hors d'elle cali essaye se ce dégager de mes cuisses, elle se débat,s'agite pour pouvoir se lever, à ruée dans les brancards, elle fait tout pour se soustraire de mon emprise,amusé je resserre mon emprise . Vu comment sa colère prend de l'empleur je ne voie qu'un moyen pour l'imobiliser,alors je bloque ses bras d'une et de l'autre j'attrape son menton  l'obligeant a me regarder. Dès que je vois ses  yeux briller de haine mélanger a de la surprise, je n'en fais aucun cas passant au-dessus, je l'approche d'un coup , colle violemment ma bouche en m'emparant de ses lèvres, comme un affamé sans passer la barrière de ses lèvres.

《 oh merde qu'elle sont douce 》

Perdu dans un brouillard de delices et de sensations charnelle tres hôte avec délectation . C'est tellement bon je ne voie pas le temps qui file, une douleur intense me fait revenir à la réalité. Sa me brûle les entrailles et surtout l'entre jambe, me faisant lâcher un cri de douleur,  c'est intenable, je suis obligé de la relâcher d'un coup ,pour porter  secours a ma queue, par automatisme de survie, mes mains se colle à mon entre jambe, par reflèxe je me suis relevé d'un coup la faisant tomber au sol. Elle n'avait pas dû prévoir ma réaction en m'aggripant les couilles comme elle l'a fait . Je sais qu'elle a fait ça par l'intention de se libérer . Le cul par terre elle ne perd pas de temps et se relève en 4e vitesse courant jusqu'à la porte en appuyant violemment sur la poignée, frappant frénétiquement sur le panneau de bois de toute ses force en hurlant ,qu'on vienne l'aider, pas de bol pour elle j'ai gardé la clé bien planquer.

Et puis de toute manière avec la musique qui braille à côté personne doit nous entendre et cela m'arrange franchement car je n'ai pas l'intention de laisser tomber et compte la punir parce qu'elle vient de me faire.

Je m'approche rapidement en me collant a elle de tout mon poids,la bloquant entre moi et la porte, les muscles son dos se raidisse et sa respiration se fait s'accader. je cherche son regard mais s'évertue a le cacher , sentant la peur qui  guengraine son âme me tiquer en comple cheminement de ses pensées.

《 putain elle croit que je vais abuser d'elle... sérieux jamais de la vie》

Ses réactions violente me font comprendre que j'y suis peut-être aller trop vite, trop directe ou trop fort.
Il faut que je la rassure un minimum si non je vais la perdre et je n'aurait plus aucune chance et qu'en même temps elle sache qu'elle m'appartient.

__ tout doux jolie calysta, je ne te fairais rien que tuvn'ait envie, je veux que sa soit toi qui vienne a moi pour le sexe et non l'inverse,

《 m'ouais 》

__ tu peu toujours rêvé dit-elle d'une voix étrange, comme étrangler .

__ je ne suis pas un violeur je rumine, ni un baiseur compulsif ,mais ton corps me fait très envie je salive quand j'y pense ou comme maintenant quand je suis pret de toi, a t-elle point que m'imaginer entre tes cuisses et ne pas pouvoir y accéder est une vraie dis-je en remontant lentement ma main sur son jeans a lisière de son entre jambe et enfonçant mes doigts dans ses chaires, glissant doucement en son centre.

Ma main recouvre son sexes d'ou le tissu rêche nous sépare, je grogne mécontents  et frustré, plongeant mon regard dans le sien m'y accroche commeun naufragés a sa bouer .

__ pervers, gemis cali d'une voix chevrotante ...Maëlys...Maëlys ma dit...elle souffle .

__ elle ta dit...dis-je curieux réprimant un rire

__ elle dit que des conneries dit-elle en riant jaune semblant se foutre de ma gueule.

Je me crispe a sa provoca,mais ne dis rien et passe à autre chose.

__ avec toi je serai toujours un pervers que veux tu ,tu es une femme attirante sur tout les plans . je te l'ai dit je te forcerai pas,je te veux oui et le premier mec  qui essaye il est mort, mais pas sous la contrainte..jamais dis-je en déposant  délicatement mes lèvres sur sa joue.

Toujours coincé entre moi et la porte elle ne se gêne pas pour répondre du tac au tac.

__ noel c'est pas maintenant connard

Je rit car cette femme a un tempérament de feu et je kiff .

Sa devient douloureux sous la ceinture et cali doit le sentir. Petit a petit sa respiration redevient tout à fait normal moins lourde et rapide.cela me soulage car je ne voulais pas l'effrayer ,le contraire m'aurais franchement  fait chier.  Non je voulais juste lui faire comprendre mes intentions et je m'y suis pris comme un bourrin. Mais à ma décharge il faut me comprendre je n'ai jamais eu personne dans ma vie à part les coups d'un soir quand il y en avait.

Alors toujours collé à elle je déglutis difficilement car ce que je me prête à lui dire et une première

__ je ne veux pas t'effrayé je ne cherchais pas du tout ça dis-je sur un ton doucereux,ce que je voulais que tu comprenne surtout...depuis le premier jour tu m'appartient,pas mes sentiments..enfin pas encore hein, je sais pas c'est embrouillé dans ma caboche...la voyant tourner la tête vers moi, ouvrir sa bouche prete a dégainer son venin, je pose mon doigt sur ses délicieuse lèvres, je lui intime le silence pas encore prêt a entendre sa décision.

Sans doute un refus d'entendre un rejet, mon orgueil sans doute.

__ grrr..mpff dit-elle sous mon doigts en me regardant d'un regard noir

__ Tu n'es pas obligé de me répondre maintenant ok...réfléchis à ce que je t'ai dit, c'est déjà assez dure pour moi de dire tout sa alors s'il te plait avant de me juger ou de donner tes impressions, penses a se que j'ai dit...peut-être pas avec les bon mots je suis d'accord mais c'est le sens de se qu'ils veulent dire qui compte .

《 putain d'ampoter que je fait》

Un lourds silence pesant dans toit la pièce, augmente les battements de mon cœur et l'inquiétude qui ne me lâche pas depuis que je l'ai vu paniqué remonte en flèche et puis enfin elle dit

__ ok dit-elle les lèvres encore bloquée par mon doigt .

Se qui me fait rire, car les mots son deformer ,je me sent vraiment
Soulager, mes épaules sont détendu en relâchant tout l'air de mes poumons .
C'est signe qu'elle ne me rejette pas au final,a moins que....

Petite maline, l'evidence me frappe, mais je décide de lui laisse le bénéfice du doute, car même si elle ment pour que je la libère de mon étreinte, je sais que mes mots ont toucher son bute ,qu'elle  pensera ce soir quand elle sera seule et comme toutes les filles en discutera avec sa meilleure amie a un moment donné, j'en mets ma main au feu.

__ merci en lui carréssant les cheveux.

Quand je retire mon doigt, elle jure

__ bon tu comptes rester là jusqu'à Noël ou quoi...bon tu dégage que je puisse bouger .

Je rit franchement à ça pique car cette femme a beau dire mais elle me rend dingue,je m'écarte lentement les sens aux aguets on ne sait jamais s'il lui prend l'idée de me frapper au moins je pourrai parré le coup