Chapitre Vingt-Et-Un
Point de vue Shoto
Ça doit bien faire une demie-heure que je le serre dans mes bras. Je ne veux pas le lâcher, je ne veux pas le perdre à nouveau.
- Ne me laisse plus... S'il te plaît...
- Excuse moi Shoto... Je n'aurais jamais dû embrasser Kacchan...
- Je m'en fous de ça, c'est déjà oublié...
Il me serre un peu plus et dépose des baisers dans mon cou.
- Shoto, on a un autre problème...
- Quoi?
- On n'est pas seul... Il faut que tu le fasses apparaître...
Quoi? J'ai mal entendu?
- Qui ça? Dis-je en mettant fin à notre étreinte.
- Sans lui je ne serais pas ici, sa seule condition c'était de venir avec moi, alors s'il te plaît appelle le...
- Euh d'accord... Il s'appelle comment?
- Dabi.
C'est très étrange comme situation.
- Dabi? Dis-je perplexe.
- Non mais fais-le avec plus de conviction.
- Dabi!
- Non, hurle-le.
- Mais pour toi, la première fois, je ne t'ai pas appelé.
- Si, dans ton sommeil, et quand tu te bran-
- Oui bon j'ai compris. DABI! Hurlais-je.
- Non, tu dois y croire!
- DABIII!
C'est alors, qu'un mec de notre âge à peu près apparaît lentement dans la pièce. Ok je savais pas du tout qu'Izuku fréquentait ce genre de gens. Attendez, c'était lui que j'entendais tout à l'heure?
- Merci Midoriya, bref je te laisse j'ai des choses à faire.
- Hors de question ! Je sais ce que tu vas faire! Tu restes ici! Je ne veux pas que t'ailles faire de conneries! S'énerva Izu.
- Tu racontes quoi encore? Et puis même si j'allais faire des conneries qu'est-ce que ça peut te foutre?
- Ça va nous retomber dessus! On a promis à Aizawa de bien se tenir !
- J'ai rien promis du tout moi, au revoir Midoriya.
- Dabi!
Je les regarde, amusé mais aussi jaloux. Ils étaient ensemble pendant un mois alors que je me morfondais. Je me demande ce que mon vert pense de lui. Autant lui demander.
- Izu? C'est ton ami?
- Oui! Déclara-t-il avec un immense sourire.
- Non, absolument pas, dit Dabi blasé.
Ce Dabi, je le trouve étrange. Il a comme une aura "mauvaise". Il ne m'inspire absolument pas confiance.
- Tu m'as manqué Shochan, dit mon bouclé avant de se loger dans mes bras.
- Vos surnoms sont moches, déclare Dabi tandis que je serre Izu dans mes bras.
- Comme ta sale gueule, dis-je froidement.
Mon vert semble choqué de mes paroles. Bah quoi? Je le pense. Je préfère les visages naturels comme le mien, lui, je le trouve juste vulgaire.
- Shochan! S'exclama mon vert.
- J'ai plus le droit d'être honnête ?
- Pff, dit Dabi avant de partir je ne sais où.
Il s'empresse de le suivre mais je lui tire le poignet pour qu'il ne parte pas.
- Shochan! Il va faire une connerie sinon!
- Quoi? Se suicider juste pour le plaisir de souffrir? Il a carrément l'air du mec qui a pour habitude d'aller au donjon sm.
- Je suis très sérieux!
- C'est plus un enfant, s'il veut vraiment le faire tu n'arriveras pas à l'en empêcher, puis honnêtement ça va vite me souler si tu passes tout ton temps à le surveiller au lieu de passer du temps avec moi.
- Pardon...
Il dépose un baiser dans mon cou. Ses bisous m'ont tellement manqués.
- Je t'aime Shochan, tellement.
- Moi aussi Izu, moi aussi.
- Viens on va sur le canapé, il m'a manqué lui aussi.
- Devrais-je être jaloux de ce canapé aussi?
- C'est vrai que des fois il me donne bien envie, me dit-il avec un sourire pervers.
- Pas grave, moi je te trompe avec mes mains.
- "Tes", dit-il ahurit tandis que nous nous dirigeons dans le salon.
- Tu t'es jamais branlé à deux mains?
- Je t'ai déjà dit que je ne l'avais jamais fait! Dit-il en me frappant l'épaule rouge de honte.
- Ah oui faut que tu me montres comment tu fais déjà. Merci de me le rappeler.
- Noon! Ce sera très gênant! Je sais pas le faire!
- Faut bien que tu t'entraines si tu veux me donner du plaisir, dis-je avec un sourire pervers.
Il est désormais rouge écrevisse, il a pas perdu les bonnes habitudes quand même ?
- Je ne te donne pas de plaisir d'habitude ?
- Bien sûr que si! Mais tu ne m'en as jamais donné avec ta bouche.
- Quel est le rapport ?
- Les premières fois, tu n'arriveras pas à tout prendre dans ta bouche, tu devras t'aider de ta main.
Il est à nouveau aussi rouge que ma partie gauche. Il est tellement mignon comme ça.
- Dis pas ce genre de choses aussi naturellement...
- Mais c'est la vérité.
- La vérité étrange! Celle perverse!
- Parce que y a plusieurs formes de vérités ?
- Bien sûr que oui! S'exclama Izu.
Tellement innocent. Enfin non, mais si à la fois.
- On passe notre vie sur ce canapé, dis-je las.
- T'en as déjà marre alors qu'on vient de se retrouver ?
- Non, juste qu'on est tout le temps comme deux zombies sur ce canapé à discuter.
Il semble refléchir et s'écrit :
- Tu sais à qui on me fait penser?!
- Euh non?
- À Orelsan et Gringe! Dans bloqué!
- Bloqué? Demandais-je un sourcil haussé.
- Mais si! On a regardé ensemble ! La série des casseurs flowteurs!
Bien sûr que je me souviens. C'est juste que c'est... peu valorisant et surtout très drôle.
- Imagine nous à leur place, ça le fait trop non?
- Seulement si c'est toi Orelsan.
Il prend alors une mine choquée tandis que nous rigolons à deux.
- Nos discussions m'avaient manquées, dis-je tristement.
- Moi aussi... Mais après pour toi ça a dû être pire.
- Pourquoi?
- Tu ne savais pas ce qu'il se passait et le temps passe plus rapidement là où j'étais.
Je hoche doucement la tête, on va avoir pleins de choses à se dire je pense.
- Dis Izu, c'est comment là où t'étais?
- Je te l'ai dit, comme ici.
- Je vais reformuler ma question. Raconte moi ces derniers jours que t'as passé? Ou semaines je ne sais pas.
- Oh euh d'accord... Dit-il en réfléchissant.
Il réfléchit longuement et pose ensuite sa tête sur mon épaule.
- On m'y a emmené de force, je n'ai pas choisi d'être là bas. Ils m'ont rappelé car ils ont appris une connerie que j'ai faite. À la base je ne devais pas revenir, j'ai été "puni" et ils m'ont envoyé seul dans une pièce en attendant que ton but soit atteint, de ton côté, quelqu'un d'autre a été chargé de t'aider. Mais là j'ai vu Dabi, et il a accepté de m'aider. On s'est enfuit, mais on nous a rattrapé. J'ai dû expliquer que sans moi tu n'arriverais pas à atteindre ton but et donc après de longues supplications et quelques conditions il a accepté.
- "Il" ?
- Quelqu'un, dit-il les yeux dans le vague.
Je ne vais pas lui poser plus de questions. Je ne vais pas le forcer à parler sur un sujet qui le met mal. Mais je dois savoir ce qu'il a fait comme connerie.
Je me rends compte qu'il fait beaucoup de choses pour moi, mais moi je n'en ai pas fait énormément. Je devrais l'aider, lui faire découvrir les belles choses de ce monde, mais je ne sais pas comment m'y prendre.
- Izu? T'aimerais faire quoi?
- J'ai envie de manger.
- Oui mais pas ça, dis-je en riant, dans la vie, t'as bien des rêves non?
- Je les ais abandonnés depuis un moment.
- Ça te dit qu'on les réalise?
- Hein?!
- "Hein?!" oui t'as bien entendu.
- Oh je ne sais pas Shoto...
- Allez viens, ça nous fera bouger de ce canapé, puis on a tout notre temps.
- Mh...
J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas?
- J'accepte, me dit-il doucement.
- Je suis content alors.
- Mais je veux quelque chose en contrepartie.
- Je te signale que c'est un service que je te rends.
- Je sais, mais en contrepartie de ma réponse positive à ta demande.
- D'accord d'accord. Donc, que veux-tu ?
- Un baiser, passionné, ardent.
Je ne me fais pas prier et me jette sur ses lèvres. Et dire que je ne l'ai pas embrassé depuis nos retrouvailles, ses lèvres m'avaient tant manquées. Mes lèvres bougent doucement contre les siennes. Contre toutes attentes, il prend l'initiative de passer sa langue sur ma lèvre inférieure pour que j'ouvre mes lèvres, chose que je fais sans hésiter. Nos langues se retrouvent pour un ballet endiablé. Ses mains se tiennent à mes omoplates, sous mon t-shirt. Mes mains à moi, quant à elles, sont sur ses fesses. Ma langue se frotte sensuellement à la sienne, dansant, jouant, bref, c'est un baiser ardent.
Je me sépare à contre cœur de lui, la respiration haletante, les yeux brillants. C'est de loin un des meilleurs baisers que nous nous sommes donnés.
- Shochan... Encore...
Je le regarde, haussant un sourcil, il sait ce que ça signifie non? Il voit bien l'état dans lequel nous sommes, ça risque de partir plus loin. Mais il me répond avec un regard contenant une lueur de défi et de luxure.
Je repose mes lèvres sur les siennes, plus délicatement cette fois-ci. Mais le baiser n'en est pas moins délicat et doux, il est tout aussi sauvage que le précédent. Ses doigts s'enfoncent un peu plus dans mes omoplates tandis je rapproche mon corps du sien, me permettant de sentir son érection naissante.
Je quitte ses lèvres pour prendre possession de son cou, je le mordille, le lèche, le marque. C'est mon Izu à moi et celui de personne d'autre, pas de Katsuki, pas de ce Dabi, non, le mien.
- Mhh Shochan, gémit-il.
Je suis sur le point de mourir. Il est trop excitant, entre ses gémissements, son visage rosit par l'excitation, sa respiration haletante, il est vraiment bandant.
Je l'installe plus confortablement sur mes genoux et passe ma tête sous son t-shirt pour m'occuper de ses boutons de chair. Je passe lentement ma langue dessus, puis mes coups de langue se font de plus en plus insistants. Je le suçote doucement, mes mains lui retirant son t-shirt.
Je m'arrête alors, parce que je sais que si je ne le fais pas il n'osera pas entreprendre quelque chose, et le regarde avec un regard encourageant.
Il pose ses lèvres sur les miennes tandis que ses mains caressent doucement mon torse. Nous nous séparons et il en profite pour retirer mon haut. Il veut s'approcher de mes abdos avec sa bouche, mais la position dans laquelle nous sommes ne le permet pas.
Je rigole légèrement et le porte jusqu'au lit où on sera bien plus à l'aise. Il se met au dessus de moi et embrasse doucement mes abdos, il les aime beaucoup trop j'ai remarqué. Il y fait ensuite de nombreux suçons, il remonte jusqu'à moi et me fait de jolies petites marques violassées sur toute mon épaule.
- Tu es à moi, me susurre mon bouclé.
- Bien sûr, tout entier.
- Pour toujours ?
- Pour toujours Izu.
Il sourit satisfait et s'assoit sur mon bassin. Il roule doucement des hanches, ses mains étant posées sur mes omoplates marquées par ses suçons.
Il dépose un baiser dans mon cou et le mordille doucement sans cesser ses mouvements de bassin. Il me retire mon bas ainsi que le sien qui commençaient à nous gêner. Normalement, là, il va perdre tous ses moyens, c'est toujours comme ça à partir de ce moment là. Et comme prévu, son visage s'empourpre et il se laisse tomber contre mon corps. Je comprends donc que c'est à moi de reprendre le dessus et le fais.
Je caresse du bout des doigts la bosse dans son sous-vêtement et l'embrasse. Je me mets à la lécher sur toute sa longueur, le faisant frémir de plaisir tandis que ses mains se posent instinctivement dans mes cheveux. Je me décale doucement et lui fais un de mes plus beaux sourires.
- Izu~ minaudais-je.
- Non...
- Tu ne veux pas te toucher devant moi?
- J'ai honte, avoua-t-il avec d'énormes rougeurs sur les joues, je ne sais vraiment pas le faire, tu vas te moquer...
- Il n'y a pas de manières de le faire, je ne risque pas de me moquer, dis-je en me plaçant derrière lui de sorte à ce qu'il soit assis sur moi.
Il baisse son unique vêtement avec gêne et détourne le regard. Sa main tremblante s'avance contre son membre qu'il empoigne doucement avant de commencer de lents vas et viens plutôt maladroits.
Je dépose des baisers dans son cou pour l'encourager tandis qu'il tente d'accélérer ses mouvements. Je l'entends alors gémir et se tendre contre moi, ce qui a le don de me donner encore plus envie de lui. J'ai envie de me toucher moi aussi, mais je vais faire autrement, bien que mon érection soit très douloureuse, je dois m'occuper de mon bouclé pour l'instant.
Je pose ma main sur la sienne et le guide dans ses mouvements, provoquant des gémissements plus sonores de la part de mon homologue.
Mes vas et viens s'intensifient tandis que ma main libre cherche ce dont nous aurons besoin pour la suite dans le tiroir que j'ai ouvert au préalable.
Je le laisse venir dans ma main? Oui je suis gentil. Il se déverse dans un long gémissement sur nos deux mains. Je me lèche les doigts tandis que mon autre main s'approche de sa bouche pour qu'il suce mes doigts. Ayant compris mes intentions, il prend ma main dans la sienne et l'apporte à sa bouche avant de sucer trois de mes doigts, chose qui m'excite encore plus, rendant mon érection très douloureuse.
Je retire mes doigts de sa bouche, les jugeant prêts. Je l'allonge sur le ventre, lui écarte les jambes et entre doucement un doigt en lui. Je commence mes mouvements et rapidement, un second doigt vient rejoindre le premier puis un troisième.
Sa respiration s'accélère, ses fesses bougent au rythme de mes doigts, il est prêt. Je le retourne et lui tends un préservatif qu'il s'empresse de me mettre. Il se met sur le dos et écarte les jambes, offrant à mes yeux emplis de désir une vue des plus orgasmiques.
Je rentre doucement en lui et attends son signal. Il ancre son regard dans le mien et pose ses mains dans mon dos.
- C'est bon, dit-il doucement.
Je commence par de lents vas et viens, faisant gémir faiblement mon bouclé. Mes coups de reins se font rapidement plus réguliers et rapides. Je sens ses ongles s'enfoncer dans ma peau, je vois ses yeux s'embuer par le plaisir, je sens ses jambes trembler contre le matelas, aucun doute, il me rend fou. Un plaisir immense prend part en moi à cette vue des plus belles.
Je me penche pour l'embrasser tandis que mes coups de bassin touchent enfin sa prostate, le faisant gémir contre ma bouche.
- Shoto... Continue...
Il me dit souvent ça, comme si j'allais m'arrêter. J'accélère du mieux que je peux pour toucher à nouveau ce point qui lui fait voir les étoiles. Ses hanches bougent au rythme de mes mouvements, voir qu'il y prend autant de plaisir que moi ne me donne que l'envie de continuer.
Je lui jette un coup d'oeil avant de loger ma tête contre son cou. Des larmes de plaisir coulent doucement de ses yeux. Tout cet effet, c'est moi qui le lui fais, il cri pour moi actuellement.
- Shochan~
J'aime vraiment ce surnom. Il est adorable. Comme lui d'ailleurs. L'entendre gémir ce surnom affectueux sonne comme une douce mélodie à mes oreilles.
- Je t'aime Shochan...
- Moi aussi Izu...
Son dos se cambre violemment sous mes coups de reins, il est sur le point de venir. Je me mords la lèvre retenir des gémissements de sortir. Seul un s'en échappe, un long gémissement rauque, je me déverse lentement dans le préservatif tandis qu'il se vide sur son torse.
Il me fait un sourire tremblant que je lui rends en me laissant tomber à ses côtés. Nous attendons un peu, nos respirations étant trop irrégulières pour prononcer un mot.
- Dis, pourquoi on se protège? Demanda Izu après avoir retrouvé son souffle. On peut pas avoir d'enfants.
- Mais on peut avoir des infections, des IST et pleins d'autres maladies dégueulasses comme le VIH.
- Mhh, mais tu l'as pas non?
- Je ne me suis jamais fait dépisté du coup rien n'est impossible.
- Comment on fait pour se dépister? Demanda-t-il dubitatif.
- Faut le faire avec un médecin.
- On peut pas le faire nous? Comme ça plus de préservatifs.
- Pour toi ça va être moyennement possible, t'as aucun papiers, rien, ils vont trouver ça bizarre.
- Mhh, mais j'ai pas de maladies moi, j'ai jamais eu de rapports avant toi.
- Des fois c'est héréditaire.
- Mhh...
- J'irai me faire dépister et on en reparle.
Il me sourit de toutes ses dents et passe sa main dans mes cheveux pour jouer avec.
- Dis, t'es gay ou autre?
- Gay pourquoi?
- Dommage, ça aurait été drôle si t'avais été bi.
- Pourquoi?
- Tout est "bi" chez toi, tes yeux, tes cheveux, enfin plutôt tous tes poils, dit-il en fixant mon entrejambe que je n'ai pas pensé à raser.
Mais qu'il est con quand il s'y met.
- Ça fait que deux trucs "bi" chez moi.
- Quand on avait fait nos dessins de super-héros t'avais dit que ton pouvoir ce serait un truc double! Genre la glace et le feu!
- C'est pas un argument ça, dis-je en riant.
J'attrape un mouchoir et lui essuie le ventre. Il m'a tellement manqué.
- Shochan ?
- Oui?
- J'ai envie de manger.
- Pour une fois que t'as pas envie de dormir après l'acte, riais-je.
- Si, mais mon désir de manger est plus fort. Ou sinon tu veux bien me faire à manger pendant que je dors et à mon réveil tu me le sers.
- Rêve pas trop Izu.
Il me fait une moue adorable et ferme doucement ses paupières.
Point de vue Izuku
Je suis réveillé par une douce odeur. Je me dirige jusqu'à l'odeur et croise Dabi assis contre un mur.
- Y a un canapé tu sais, lui dis-je blasé.
- J'ai pas envie de savoir ce que vous avez fait dessus.
- On a rien fait du tout ! Dis-je mort de honte.
- Oui bah tout à l'heure, dans votre chambre, vous étiez pas en train de faire "rien du tout". "Shochan Shochan", dit-il avec une voix nasillarde, j'ai des hauts le cœur rien que d'y penser.
Le rouge me monte alors au visage. Il a tout entendu...
- Izuuu? M'appela mon bicolore préféré.
- Mhh?
- Je suis étonné que tu ne te sois pas laissé guider par ton estomac, rit-il en apparaissant dans l'encadrement de la porte avec un sac de KFC.
Je me jette sur lui et l'embrasse longuement. Il s'en est souvenu. D'ailleurs ça me rappelle quelque chose.
- Ochako! M'écriais-je.
~~~
Enfin un chapitre sans supsense mdrr
Le premier chapitre a passé le cap des milles vues *^* merci
Ce weekend les résultats tant attendus du concours seront là
Désolé si y a des fautes, je suis complètement dans les vapes quand j'écris
Kyoshiko~
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