Chapitre 74 : Lingerie
Pour les petites news, mes examens se sont bien passés et d'ici une semaine, j'aurai mes vacances et un peu plus de temps à consacrer à mon écriture ! (Et peut-être commencer ma nouvelle histoire BL :3)
Merci de me lire ça me fait plaisir !
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-C'était génial hier quand même...
-Oui, répondit Stefano. C'était intense en émotions mais incroyable.
-Je suis fière de toi, mon petit sucre !
-Merci...
Le jeune couple passait une journée tranquille après le vernissage de la veille.
Ils avaient préparé à manger ensemble à midi, et ils s'étaient offerts des petits cadeaux.
Ngôi Sao avait offert des nouveaux pinceaux à Stefano et lui, lui avait offert de nouvelles menottes à fourrure rouge très esthétiques et très...Connotées.
Pourquoi ces cadeaux ?
Parce que c'était la Saint-Valentin !
Stefano avait un peu de peine avec le côté commercial de cette fête, mais comme Ngôi Sao trouvait quand même la symbolique forte, comme le fait de célébrer ça en couple ou de s'offrir quelque chose, du coup le couple s'était mis d'accord pour s'offrir effectivement quelque chose mais pas quelque chose d'étiquetté "Saint-Valentin", comme par exemple des chocolats, des fleurs ou des bijoux.
Dans l'après-midi, après avoir regardé un film tous les deux allongés sous une couverture, appuyés l'un sur l'autre, ils restèrent un moment ainsi, en se caressant doucement leurs mains mutuellement.
-Ngôi Sao ?
-Oui ?
-Je...Je voudrais te faire encore plus plaisir mais je sais pas quoi t'offrir ou te donner en plus. T'aurais pas un souhait ?
-T'es trop chou ! sourit la jeune femme en lui frottant les cheveux de la main.
-Je veux simplement te faire plaisir...murmura le garçon.
Ngôi Sao se retint de dire que c'était une phrase presque typique d'un soumis et elle se contenta de sourire de plus belle.
-Laisse-moi réfléchir.
Après une assez courte réflexion d'une dizaine de secondes, Ngôi Sao caressa encore une fois les cheveux de son mari en lui demandant :
-Je pense que je sais. Si t'es partant pour une partie olé olé.
-Si c'est ce qui te ferait plaisir.
-Tu dois avoir envie aussi, je ne vais pas te forcer, petit sucre.
-Je suis assez rarement contre, tu sais...Tu...Tu me fais tellement de bien...finit le jeune homme dans un murmure, les joues rougissant à vue d'œil. Tu aimerais quoi ?
-Tester la lingerie qu'on a achetée y a un moment déjà. Et que tu n'as encore jamais essayée, sourit la jeune asiatique.
Stefano sentit ses pommettes chauffer. Puis il sourit doucement.
-D'accord. Je suis pas contre et je veux vraiment te faire plaisir aujourd'hui !
-T'es adorable, mon Stef', lui dit Ngôi Sao dans un murmure attendri.
Quasiment téléportés dans leur chambre vu la vitesse à laquelle ils s'y étaient rendus, Stefano retirait ses chaussettes quand Ngôi Sao, enlevant son t-shirt lui demanda :
-Et toi ? Il y a quelque chose de spécial que tu voudrais que je te fasse ou que je mette ? Quelque chose qui te ferait plaisir aussi.
Stefano ne réfléchit même pas autant qu'elle avant de répondre :
-J'aimerais que...Tu me prennes. Enfin, que tu me reprennes. Avec le...La ceinture...
Stefano avait le cou enfoncé entre ses épaules relevées en souhaitant ça, comme s'il était gêné de sa demande. Par contre, même si sa tête était tournée vers le sol, son regard était dirigé vers sa compagne, qui lui sourit.
-Bien sûr, mon petit sucre, avec plaisir !
Tout en sortant alors la ceinture qu'elle allait mettre plus tard, la jeune asiatique sortit de leur malette secrète la fameuse lingerie deux pièces noire.
-Ça me fait penser à un des tableaux qu'on a vu au vernissage hier, dit Stefano après enfilé la lingerie qu'ils avaient achetée il y a quelques semaines de ça.
Le tissu épousait très bien la forme de son corps, mettant en valeur sa bosse, honnêtement déjà à moitié dure, et ses légères pointes de pectoraux au bout desquelles il y avait ses tétons. Ngôi Sao voyait qu'ils pointaient légèrement vu la toute petite tension du tissu à cet endroit-là, ce qui la fit sourire. La couleur noire le rendait vraiment sensuel et irrésistible, surtout combiné à ce mélange de dentelles et de tissu satiné, presque simili-cuir.
-Ce que tu portes, tu dis ? lui demanda la jeune femme.
-Oui, confirma le jeune homme. C'était le tableau avec la posture en croix.
-Ce tableau, sourit sa femme en comprenant mieux. On n'a pas de croix de Saint-André pour te faire tenir la pose. Mais je peux toujours t'attacher.
-Je...Moi ça me va, déclara le jeune homme en se touchant la clavicule.
-Couche-toi alors, lui dit Ngôi Sao en souriant.
Le jeune homme s'allongea alors sur le lit, dans sa lingerie très sensuelle, et leva les bras au-dessus de sa tête en prévision des menottes qui allaient être fermées autour de ses poignets.
-Ta pose est magnifique, petit sucre, lui susurra sa femme en revenant vers lui avec les menottes qu'il lui avait offert le jour même.
Stefano rougit. Il savait très bien que cette pose, les bras levés au-dessus de la tête, excitait beaucoup le plaisir des yeux et la luxure de sa compagne. Lui se sentait extrêmement vulnérable dans cette position-là, couché ainsi à la merci de la personne en face de lui.
Mais ladite personne en face de lui n'était pas n'importe qui, et il avait une confiance aveugle en elle.
Cette dernière vint faire cliqueter les menottes en métal au-dessus de sa tête, se refermant donc sur ses poignets maintenant prisonniers. Il bougea légèrement et entendit un bruit de métal contre du métal, la chaîne des menottes avait cogné contre un des barreaux de leur tête de lit derrière lequel elle était glissée.
-T'es vraiment magnifique, murmura Ngôi Sao en passant sa main sur un des pectoraux de son mari, sous la lingerie, ce qui lui fit lâcher un petit couinement discret.
Avec son accord, elle lui attacha également les deux chevilles avec des lanières attachées chacune à un des barreaux du bas du lit. C'était seulement la deuxième fois qu'ils utilisaient cet accessoire mais la dernière fois, ça leur avait beaucoup plu aux deux. Cela empêchait Stefano de refermer ses jambes, bien que ces moments soient assez rares il faut le dire, et cela permettait du coup à Ngôi Sao de le titiller et le torturer un peu avec cette incapacité à bouger.
Stefano sentit alors que les préliminaires allaient commencer. Il appréciait beaucoup ces moments pour leur sensualité et la façon de le titiller dans tous les sens que sa femme avait. Elle avait clairement sur lui un pouvoir et une emprise absolus, une sorte de contrôle total, évidemment consenti. Il se laissait à sa merci bien volontiers parce qu'il savait qu'elle savait l'amener au septième ciel en passant par un long chemin de plaisirs intenses et divers.
Elle commença assez directement cette fois en se penchant sur lui, prenant un de ses seins dans sa main et son entrejambe déjà à moitié dur depuis un moment dans l'autre. La jeune femme, les cheveux légèrement devant son visage, regardait son dulciné avec une intense passion, ce qui le fit rougir un peu plus.
Elle commença à imprimer les mêmes mouvements de malaxation avec ses deux mains, comprimant avec subtilité son pectoral droit et sa bosse, ce qui fit serrer les poings à Stefano, incapable de bouger plus que ça.
Elle suçota son téton à travers le tissu en dentelles de son soutien-gorge. Sa main droite abandonna l'entrejambe dont elle s'occupait pour remonter le long de son torse légèrement cambré et appuya sur le tissu au-dessus de son pectoral gauche.
-Tu pointes déjà.
Stefano ne répondit qu'une sorte de grognement, qui n'approuvait pas mais ne contestait pas non plus.
-Très fort même...
La jeune asiatique caressa du bout du doigt cette pointe se dressant vers le plafond, de plus en plus vite, ce qui fit lâcher à son propriétaire quelques petits gémissements, puis sa main se glissa carrément sous le tissu pour venir pincer directement ce bout de chair plus foncée.
-Mmh...fit alors Stefano en bombant légèrement le torse, les yeux clos.
Quand elle vint mordiller doucement son autre téton tout en martyrisant l'autre aussi de ses doigts, il lâcha alors sa première exclamation de plaisir.
-Anh...
Ngôi Sao releva alors ce soutien-gorge, qui se retrouva entre ses clavicules et ses pectoraux, révélés au grand jour. Ils étaient déjà bien rosés, vu leur traitement préalable.
Maintenant à califourchon sur son mari, la jeune femme le dévorait des yeux, sentant aussi sa bosse chaude sous elle.
-T'es beau, dit simplement Ngôi Sao avec un sourire certes envieux mais sincère.
-Toi aussi...murmura le jeune homme les yeux légèrement ouverts dans sa directement.
-Toi encore plus, susurra-t-elle.
Et avant qu'il ait le temps de renchérir quoi que ce soit, elle se pencha sur lui pour venir emprisonner ses lèvres et l'embrasser avec avidité.
Le jeune homme tentait de son mieux de suivre le rythme endiablé de la langue de sa femme, sensuelle et avide de la sienne, cherchant dans les moindres recoins comment le faire réagir.
Stefano finit par s'écarter pour reprendre son souffle, laissant entre leurs deux bouches un très léger filet de salive. Sa compagne sourit, le regarda haleter quelques secondes, avant de lui faire tourner la tête pour reprendre goulûment ses lèvres.
-Nnh...
En plus d'avoir ses lèvres prises en otage par celles de sa femme, appuyée avec une de ses mains sur son pectoral, elle commença alors à bouger son bassin qui se mit alors à frotter sur son entrejambe déjà dur depuis belle lurette.
Ce contact, même à travers les tissus de leurs deux culottes, fit pulser le sang de Stefano encore plus fort dans toute sa longueur. Stimulé à deux endroits en même temps, il ne tiendrait pas longtemps ainsi...
-Ng...Ngôi Sao...
-Oui ?
-Tu...Tu peux me mettre l'anneau ? Je...Sinon je vais venir beaucoup trop vite...Alors qu'on en est qu'au début...
-D'accord, sourit-elle.
La jeune femme s'interrompit alors pour prendre l'objet dans la malette. Elle coinça ensuite le haut de la culotte sous ses testicules, le tissu étant déjà humide et froid fit sursauter Stefanonà son contact. Puis elle vint glisser le long de son membre veiné, perlant déjà de liquide de préparation, l'anneau pénien qui le contiendrait un peu plus longuement.
-Déjà si excité...le titilla-t-elle en passant un doigt amusé sur sa longueur tremblottante de plaisir.
-Tu...Tu me fais tellement de bien...fit Stefano avec un ton tout penaud.
-J'aime ça, et j'aime te voir comme ça, sourit sa jeune femme avec amour et amusement combinés. Te voir au bord de l'explosion comme ça, les joues rouges et avec cette expression sur son visage, c'est incroyablement excitant.
-C'est toi qui m'excites...rétorqua le jeune homme en bougeant son bassin pour désigner la preuve la plus physique de ce qu'il disait.
-Je vois ça...dit la jeune femme en chatouillant le sommet de son membre, lui arrachant un gémissement sonore.
La jeune femme vint détacher les menottes des barreaux du lit mais les laissa autour de ses poignets. Stefano ne dit rien, il savait qu'elle allait lui demander ce dont elle avait envie.
-Petit sucre, tu veux te préparer tout seul cette fois ? Moi je m'occuperais de l'autre partie de ton entrejambe.
-D'accord, murmura-t-il les joues cramoisies.
Il était toujours un peu gêné de ça, mais ça ne lui posait plus problème de le faire devant sa compagne. De toute façon, il aimait qu'elle le regarde avec cette faim et ses crocs avides dans ses yeux.
Il glissa alors ses mains jusqu'à son entrejambe, ses deux poignets n'étant de toute façon pas dissociables à cause de ses étaux, et il commença à se triturer l'anneau de chair entre ses deux fesses. Le jeune homme devait se préparer à recevoir un jouet là-dedans s'il ne voulait pas avoir trop mal.
Ngôi Sao, satisfaite des halètement progressivement plus sonores de son mari, empoigna alors avec sensualité sa longueur déjà toute humide et n'opposant aucune résistance. Elle vint en même temps se réapproprier ses lèvres pulpeuses, ce qui fit gémir son mari, les yeux clos pour intensifier encore plus le plaisir qu'il ressentait.
Sa main gauche vint se glisser sous son dos à lui, cambré, pour le maintenir encore plus près d'elle, leurs corps chauds et humides de sueur se collant pour ne former presque plus qu'un.
Stimulés à trois endroits différents en même temps, le jeune homme était content d'avoir demandé à avoir l'anneau à la base de son membre.
Sa femme maîtrisait de mieux en mieux l'art des va-et-vient à chaque nouvelle relation qu'ils partageaient, alternant parfaitement entre les longs à-coups sur sa longueur que les mouvements plus subtils à son sommet sur la partie la plus sensible.
Ses lèvres et sa langue étaient couverts d'attention, ce qui le faisait respirer de plus en plus fort et quand sa femme lâchait ses lèvres quelques secondes pour qu'il puisse reprendre sa respiration, il lâchait de longues inspirations et expirations accompagnées de gémissements et de plaintes en tous genres.
Et enfin, le plaisir qu'il se procurait à lui-même en venant préparer son antre était une addition à tout le reste, intensifiant encore plus ce qu'il faisait avec ses doigts en lui-même en écartant progressivement ses chairs.
Au bout d'un moment, le jeune homme haletant, ayant un léger filet de salive perlant à la commissure de ses lèvres, murmura :
-Je...Je pense que je suis prêt...
Son corps était parcouru de tremblements et de spasmes de plaisir, comblant de joie sa femme souriante qui les sentait absolument tous au vu de la proximité de leurs corps brûlants. La jeune femme alla alors détacher les entraves qu'il avait aux chevilles avant de se lever pour aller prendre la fameuse ceinture à laquelle était accroché un jouet cylindrique.
Pendant qu'elle l'enfilait avec une vitesse surprenante, elle lui intima avec une voix à la fois douce et assez ferme :
-Mets-toi en position. Montre-moi bien tes fesses.
Stefano rougit, un peu gêné de ces paroles, mais se tourna, se mettant à quatre pattes, appuyé sur ses bras et mettant bien en haut ses petites fesses adorables.
-T'es vraiment beaucoup trop attirant, lui susurra sa femme ne pouvant pas détacher son regard de ses fesses blanches toutes lisses. Si tu n'existais pas, il faudrait te créer pour pouvoir te prendre.
Stefano rougit de plus belle mais Ngôi Sao ne put pas le voir vu qu'il était dos à elle.
Ou plutôt fesses à elle...
-Et cette lingerie, elle te rend encore plus irrésistible...lui dit-elle en se penchant sur lui, venant agripper un de ses seins pour le titiller un peu.
-Ngh...
La jeune femme glissa ses doigts jusqu'à son antre de désir, qui avala pratiquement deux de ses doigts sans problème. Elle en glissa un troisième par acquis de conscience et il fut apsiré presque aussi vite que les deux premiers.
-Tu t'es bien préparé, mon petit sucre.
Stefano appréciait le compliment mais il ne dit rien, se contentant d'enfouir son visage chaud et rouge dans ses bras croisés sur l'oreiller, sentant que sa femme retirait ses doigts après quelques petits mouvements circulaires en lui.
-Anh !
Il sursauta quand il sentit la langue de Ngôi Sao passer tout autour de son anneau avant de rapidement se glisser en lui. Cette zone était déjà une des plus érogènes et efficaces pour le faire durcir, si pas la plus érogène, de son corps, venir y toucher avec sa langue était clairement un des plus grands plaisirs qu'il avait au lit.
Il n'arrivait pas à se retenir de gémir en sentant les mouvements lubrifiés de la langue de sa femme en lui, allant et venant dedans et dehors, alternant les cercles et les grands mouvements amples ou rapides de haut en bas. Il se mordit le poing pour ne essayer de ne pas faire trop de bruit et ne pas hurler de plaisir, pour se contenir ne serait-ce qu'un tout petit peu.
-T'es sensible aujourd'hui dis-moi, entendit-il à un moment, ce qui fit trembler sa longueur perlant et coulant sur les draps du lit malgré lui. Ça se sent et ça s'entend aussi...
-Annh...lâcha juste Stefano pour toute réponse.
Ngôi Sao se redressa, et le prit alors aux hanches pour le bloquer contre elle afin qu'il ne puisse plus bouger. Alors qu'il sentait entre ses fesses le jouet frotter, entre ses deux buttes de chair par-dessus sa culotte qui rentrait un peu dans sa fente, allant et venant au tempo que sa femme lui imprimait, Stefano prit d'une main tremblante de désir son propre membre, ne laissant que sa tête appuyée sur l'oreiller pour se maintenir dans cette posture, et se mit à y imprimer des mouvements d'allées et venues au même rythme que ce qu'il avait entre les fesses.
Après un moment qui lui parut à la fois trop long et trop court, le jeune homme sentit Ngôi Sao se reculer pour écarter ses deux fesses ainsi que le pan de tissu de sa culotte en dentelles pour avoir accès à son entrée, bien préparée depuis un bon moment déjà. Le jeune homme gémit au préalable, avant même qu'elle ait pressé quoi que ce soit contre son anneau de chair.
-Agnn...
Ngôi Sao avait remis ses doigts pour bien vérifier une seconde fois s'il était suffisamment détendu pour entrer en lui avec son attirail. Et aussi bien sûr pour l'embêter un peu, retardant le moment fatidique, tout en le stimulant. Satisfaite, elle retira ses doigts, arrachant un énième gémissement à sa victime docile, puis agrippa le bassin de son bien-aimé pour qu'il ne bouge plus.
-Hanh...Gnn...Anh !
Enfin, elle se glissa en lui avec son membre factice. Elle put sans aucun problème le rentrer en entier du premier coup, faisant claquer son bassin contre les fesses de son mari.
Ce dernier se sentait serré dans cette culotte noire, normalement pas faite du tout pour son type de morphologie, qui était à moitié écartée sur le côté pour que sa femme puisse avoir accès à son intérieur, mais il n'arrivait pas à y penser trop longtemps parce que les assauts de plaisir que sa femme commençait à avoir sur lui l'écartaient bien vite de ses pensées.
Imprimant en même temps des mouvements sur son membre veiné prêt à exploser à chaque instant, essayant de suivre le rythme des va-et-vient que sa femme avait à son arrière, le jeune homme haletait si fort qu'il peinait à produire le moindre son de gémissement.
Ngôi Sao avait un rythme à la fois soutenu et assez maîtrisé pour que ce soit sensuel voire même subtil malgré son tempo et la force qu'elle y mettait. Ses mains avaient agrippé les hanches de son mari pour la maintenir stable alors qu'elle donnait les meilleurs coups de bassin de sa vie dans le for intérieur de Stefano, respirant toujours plus fort.
Profitant de ses deux points de stimulation intense au maximum, il avait un poing serré tandis que l'autre allait de plus en plus vite sur sa longueur.
Il n'était plus qu'un corps de sensations et de plaisir charnel baignant tout entier dans la luxure la plus pure et la plus intense qui soit.
Après un intense et dernier coup de hanche de sa femme, dans un long gémissement des plus expressifs et sensuels que Ngôi Sao n'avait jamais entendus, Stefano se vida avec plusieurs longs spasmes sur les draps du lit, la main toujours autour de son membre tremblant de ses intenses jets translucides, malgré l'anneau enserrant toujours sa longueur.
Le filet de salive perlant à ses lèvres et ses yeux mi-clos le rendaient vraiment très érotique, dans cette seconde après l'acte, les joues encore rougies de l'intensité de ce qu'il avait ressenti.
Ses tétons lui faisaient presque mal tellement eux aussi avaient ressenti cette relation au plus profond, alors qu'ils n'avaient pas été stimulés depuis un bon moment.
Ngôi Sao se retira alors des fesses de son mari, puis vint l'embrasser directement.
Il était encore un peu dans un autre monde, complètement béat, essayant d'émerger peu à peu dans le sien, mais il rendit comme il put le baiser de sa femme mettant plus ou moins une fin officielle à leur relation du jour.
-Tu...T'étais incroyable...finit-il par réussir à souffler. Ça.. Ça fait si longtemps que je n'avais pas...Joui aussi fort...
-C'était intense, te voir comme ça c'était vraiment excitant, petit sucre, lui dit Ngôi Sao en caressant ses cheveux avec tendresse. J'ai beaucoup aimé. Ça faisait longtemps que ça avait pas été aussi intense non ?
-Oui...Tu...Tu es si douée...haleta Stefano, tentant toujours de reprendre son souffle et une couleur normale pour ses joues.
-C'est toi qui me donnes envie de tout te donner et de te faire craquer comme ça, sourit-elle.
-C'est toi la meilleure.
-Non, c'est toi le meilleur petit sucre du monde.
-Non, c'est toi la meilleure, parce que c'est toi qui me procure ces sensations incroyables...
-D'accord, d'accord. Pour une fois, je capitule.
-Cool...
-J'espère que t'as passé une bonne Saint-Valentin, petit sucre.
-Beaucoup trop bien, oui. Et toi ?
-C'est toi tout entier, ma meilleure Saint-Valentin.
-Je t'aime, tu sais ça ?
-Oui je sais, sourit la jeune femme en ordonnant encore ses mèches brunes folles. Moi aussi je t'aime.
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C'était long, intense et très chaud ! 🔥 Mais j'espère que ça vous a plu !
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