Chapitre 59 : La fin de l'année

-Tu me verrais mieux avec quoi ? Du blanc ou du noir ?
Stefano jaugea du regard les quelques robes que Ngôi Sao lui montrait.
Elle était en train de choisir sa robe de cérémonie de mariage. Elle hésitait. Même s'ils ne feraient pas de cérémonie religieuse, elle voulait tout de même être bien habillée pour son mariage, même civil. Elle avait déjà prévu le costume de Stefano, qui avait à vrai dire un peu eu la flemme de chercher lui-même et il se fiait plus facilement au bon goût de sa future femme qu'au sien.
Ils avaient décidé, depuis longtemps déjà, de se marier en mai, comme le mois d'anniversaire de Stefano, mais le jour de l'anniversaire de Ngôi Sao.
Ça faisait bientôt un an que le jeune homme avait demandé sa dulcinée en mariage, à deux ou trois mois près. Il était heureux. Ça faisait du coup bientôt cinq ans qu'ils étaient ensemble et il n'y avait pas de problème majeur entre eux. De toute façon, dès qu'il y en avait un, petit ou grand, ils en parlaient et finissaient pas trouver un compromis ou une solution.

Stefano désigna deux robes de l'index.
-Une de ces deux-là. Pas de blanc. Je trouve que le noir te va beaucoup mieux.
Ngôi Sao sourit. Elle ne rougissait quasiment jamais, que ce soit en plein acte au lit ou par gêne, mais là elle aurait presque pu rosir légèrement tellement Stefano l'avait dit sur un ton mignon. La jeune femme alla donc s'enfermer dans une cabine d'essayage. Pendant ce temps, hors de la cabine, Stefano s'appuya contre un des piliers du magasin, dos contre le béton froid.
Il avait hâte de voir sa petite amie avec ces robes !
Ngôi Sao avait des robes mais ne s'habillait qu'assez sporadiquement avec. Elle préférait en général le confort et la couvrance d'un pantalon, même si la taille des poches laissait à désirer.
-Mais achète-toi des pantalons au rayon hommes, lui avait dit une fois une amie qui faisait presque la taille de Stefano. Tu auras des grandes poches.
-T'as vu mon mètre soixante ? lui avait répliqué Ngôi Sao en grinçant des dents. Certains pantalons petite taille chez les femmes sont déjà trop grands pour moi, alors imagine les petits pantalons du rayon hommes...
-C'est vrai que vu sous cet angle...
Ngôi Sao empruntait d'ailleurs fréquemment des shorts de sport que Stefano possédait en nombre dans son armoire qu'il portait surtout à la maison quand il avait besoin de porter quelque chose de confortable. Si ces shorts arrivaient entre mi-cuisse et le haut du genou chez Stefano, chez Ngôi Sao ça allait plutôt pas mal en-dessous du genou.

La jeune femme ressortit de sa cabine.
Après un autre essayage, elle ressortit à nouveau de sa cabine.
-Qu'est-ce que tu en penses ? demanda-t-elle à son futur mari.
-Je pense...Que je préfère la première. Elle te met mieux en valeur.
-Mince j'aimais mieux celle-là, moi, rit Ngôi Sao.
-Prends ce que tu veux, lui dit Stefano avec un ton soucieux. Je...Je veux pas te faire porter quelque chose que tu ne veux pas !
-Stef', je me forcerais pas de toute façon, sourit la jeune femme. J'aime beaucoup les deux de toute façon. Je vais prendre la première.
-T'es...T'es sûre ? demanda le brun tout paniqué.
-Mais oui ! lui assura Ngôi Sao en retournant dans sa cabine pour enlever la robe.

Ils repartirent du magasin avec la première robe noire achetée. Elle était dans une matière assez élastique et épousait bien les formes de Ngôi Sao, surtout les hanches parce qu'elle en avait bien plus que ce qu'elle avait de poitrine, et il y avait une sorte de petite voilette paillettée qui virevoltait sur le devant du buste et derrière, comme une petite traîne mais qui ne touchait pas le sol.
-Je viens d'y penser mais c'est peu commun de se marier en noir, dit Stefano.
-Je sais. Mais le noir me va mieux je trouve et je dirai que je suis assortie à toi si on me fait une remarque !
-Oui d'accord.
Le jeune couple avait déjà trouvé l'élégant costume que Stefano allait mettre à leur mariage. Un costume noir satiné assez classique, avec une cravate d'un rouge foncé très sensuel et des chaussures vernies dont Stefano aimait beaucoup l'esthétique.

Trois semaines après l'achat de la robe, c'était Noël.
Le couple de jeunes gens mangea un repas de fête à midi. Une bonne viande d'agneau avec une sauce aux morilles. Ngôi Sao adorait ce plat ! Stefano affectionnait un peu moins les champignons que sa compagne à cause de leur texture spongieuse, mais il aimait beaucoup la sauce aux champignons.
-Tu as très bien réussi la sauce, Stef' ! le complimenta sa compagne.
-Merci. Toi tu as parfaitement cuit la viande.
-Beau travail d'équipe, sourit la jeune femme en posant sa main sur celle de son petit ami qui rougit légèrement.
Il agrippa sa main et l'embrassa. Le bracelet argenté qu'elle avait mis pour l'occasion cliqueta à son poignet quand il posa ses lèvres sur le dos de sa main. Ngôi Sao avait vraiment mis les bouchées doubles pour sa tenue de Noël. Elle avait mis une robe rouge, d'ailleurs plutôt sensuelle que Stefano aimait beaucoup, et beaucoup de bijoux que normalement elle ne mettait pas en même temps.
Elle avait mis des grandes boucles d'oreilles, des créoles dorées, des bracelets à chaque poignets, quelques bagues noires ou dorées, et un tour-de-cou en dentelles noires représentant des roses et des ronces. Stefano aimait beaucoup la voir avec ce genre de colliers. Ça lui donnait un quelque chose.
Ngôi Sao, elle, aimait également beaucoup le voir avec des tours-de-cous mais surtout en cuir noir et pour une toute autre raison...
Quant à Stefano, il avait simplement mis une chemise bordeaux et un pantalon noir élégant.

Une fois le repas fini, ils s'offrirent leurs cadeaux dans le salon. Ngôi Sao avait offert une boîte d'aquarelles à son cher et tendre artiste qui avait hâte de se lancer dans une nouvelle technique de peinture.
-Merci, mon abomination ! C'est toi la première que je vais peindre avec cette nouvelle palette !
-De rien petit sucre, j'ai hâte de voir ça ! sourit-elle en retour.
Stefano offrit à sa compagne un tableau qu'il avait peint. Il l'avait commencé il y a longtemps mais il s'était motivé a le finir récemment. C'était quelque chose de très subtil, toujours évocateur entre un homme à genoux devant une femme dans une tenue en noir. Ngôi Sao sourit devant la puissance évocatrique de cette scène. Elle embrassa son bien-aimé avec tendresse.
-Merci Stef' ! On va l'accrocher dans notre chambre au-dessus du lit !
-D'accord ma douce. J'ai encore un autre cadeau pour toi.
-C'est vrai ?
-Oui. Mais je dois aller dans notre chambre pour le préparer un tout petit peu. Tu veux bien attendre quelques minutes ici ?
-Sois pas trop long, le taquina-t-elle alors avec un petit sourire.
-T'inquiète pas. Je meurs d'envie que tu voies ce cadeau ! lança Stefano tout heureux en allant s'enfermer dans leur chambre.

Ngôi Sao resta au salon peut-être quatre ou cinq minutes à glandouiller sur son téléphone quand elle entendit son futur mari lui lança à travers la porte :
-C'est bon c'est prêt ! Tu peux venir !
La jeune femme se leva et se dirigea vers la chambre. Elle se demandait quelle surprise il lui avait encore concoctée. Elle avait une idée sur le thème qu'il avait choisi. Probablement que leur chambren avec leur lit et tous leurs accessoires pour des moments intimes, n'avait pas été choisie au hasard. Parfois, il la surprenait. Il avait beau être plutôt passif pendant les actes, il n'avait pas aucune libido ou envie pour autant !
Des fois elle était même très surprise qu'il lui fasse plaisir avec son côté ouvertement dominé, jouant le soumis avec un certain plaisir. C'était quelque chose qu'elle n'aurait pas imaginé avant de réellement se mettre avec lui il y avait maintenant quatre ans et demi de cela.

Elle abaissa la poignée et ouvrit la porte.
Et elle se figea quelques secondes les yeux écarquillés devant la délicieuse scène qui s'offrait devant ses yeux.
Sur le lit, Stefano était assis les jambes relevées vers lui, un peu en position fœtale, enroulé dans plusieurs mètres de ruban rouge avec un petit bonner de Père Noël sur la tête. Sa pose était très lascive en réalité, très subtilement érotique, ses jambes étaient légèrement ouvertes pour que Ngôi Sao depuis le seuil de la porte de la chambre puisse distinguer son entrejambe. Il avait fait un joli petit nœud autour de son membre encore au repos, pendant devant son entrejambe. Il avait pris soin de cacher ses tétons qui faisaient une légère bosse sous le textile, seul obstacle irrégulier se mettant sur le trajet du ruban. De ce que Ngôi Sao voyait de face, elle devina qu'il avait également bien recouvert ses belles fesses rebondies. Pour mieux les redécouvrir sans doute.
-C'est pour ça que tu avais acheté tous ces rubans...murmura-t-elle un sourire grandissant aux lèvres.
Stefano ne répondit qu'avec un sourire, paradoxalement à la fois soumis et à la fois un peu provocateur également.
-J'hésite entre continuer à te contempler ou à fondre sur toi comme un aigle le ferait avec une souris sans défense...susurra-t-elle avec toujours le même sourire.
Stefano leva une main vers elle, faisant très légèrement bruisser tout le ruban écarlate sur son corps.
-Tu peux venir me déballer, tu sais.
-Quel magnifique cadeau, lança Ngôi Sao.

Elle fit un pas dans la chambre et resta encore quelques secondes debout devant lui pour l'admirer.
-Je peux prendre une photo ? demanda-t-elle. Avant de malmener l'emballage et le cadeau...
Stefano rougit un peu.
-D'accord, mais sans mes parties.
-Merci.
Ngôi Sao prit sa photo, souvenir de cet intense moment. Stefano avait écarté ses jambes dans un mouvement très érotique mais il avait mis ses mains devant son entrejambe. Ça donnait une saveur particulière à la photo.
Ngôi Sao posa son téléphone sur la table de cheve et retira sa robe. Elle avait elle aussi mis une lingerie rouge, avant tout pour aller avec sa tenue de Noël, mais aussi parce qu'elle était jolie.
Elle se remit face à Stefano, toujours à attendre assis lascivement sur le lit. Il attendait le premier mouvement de sa compagne. La connaissant, soit son premier geste serait doux et elle irait donc très progressivement, soit il serait très engagé dès le début et ainsi, elle serait très bestiale dans ce rapport.

Soudainement, la jeune asiatique passa une main sur ses yeux et soupira d'un air exaspéré. Stefano se demande ce qui se passait pour qu'elle ait cette réaction peu attendue.
-Petit sucre...J'ai envie de tout te faire et ne rien te faire à la fois...J'ai envie de te prendre de toutes les façons possibles ou alors juste de te regarder tellement t'es magnifique comme ça.
Stefano sentait la tension érotique monter en flèche dans la pièce, son entrejambe lui le faisait savoir également.
Sa bien-aimée était debout assez proche du lit, donc il se redressa comme il put sur ses genoux dans les draps et le matelas mous, et il posa ses deux mains les doigts fermés sur le buste de Ngôi Sao, pour garder un certain équilibre. Il fit quelques halètements très lents volontairement pour montrer son envie.
-Ngôi Sao...murmura-t-il très doucement avec un ton sensuel et envieux qu'il ne se connaissait même pas. Déballe-moi. Je veux m'offrir à toi, encore et encore. Prends-moi. J'ai envie que tu me prennes toute la nuit. J'ai envie que tu me domines...Que tu me possèdes...

Son petit discours fini dans un souffle à peine audible et le fait qu'il se soit redressé pour être plus ou moins à sa hauteur, debout sur ses genoux, finirent de convaincre la jeune femme. Elle empoigna alors avec fougue un de ses poignets qu'il avait posé sur son buste et de son autre main, elle pressa derrière sa tête pour qu'il ne la bouge pas tandis que ses lèvres fondirent dévorer les siennes.
Le premier gémissement de Stefano fut immédiat quand elle commença à l'embrasser. Leurs langues dansaient, provoquant un bruit humide très peu classe mais ils apprécièrent ce moment, interrompu de temps en temps par les gémissements sonores de Stefano.
Tout en ayant la bouche occupée, ce dernier fit descendre sa main vers l'entrejambe de sa compagne. Il se mit à frotter un peu à travers sa culotte, un peu maladroitement vu que son esprit était également occupé par l'intense baiser qu'il partageait avec Ngôi Sao.
-Et bien petit sucre, on est désireux ce soir. Ça veut aller vite dis-moi...lui murmura-t-elle quand elle sentit son contact, faisant cesser leur baiser.

Stefano n'eut rien le temps de répondre qu'il se retrouva couché sur le dos dans son lit toujours haletant, poussé par sa future femme qui était déjà à quatre pattes au-dessus de lui à le surplomber. Son regard qu'il ne connaissait que trop était bien celui de sa dominatrice favorite.
-Je...Je veux te faire plaisir aussi...fit-il avec un ton plaintif typique de quelqu'un de passif.
-Après...lui intima alors Ngôi Sao. Tu as dit que tu voulais que je te prenne, que je te domine et que je te possède, non ? Donc c'est ce que je vais faire mon petit sucre...
Stefano rougit et sentit son entrejambe durcir un peu plus rien qu'à cette phrase dite sur un tel ton dominant. Cette femme respirait la domination quand elle était au lit, il adorait ça. Se laisser faire et gémir pour signaler à sa partenaire combien elle lui faisait du bien, c'était un vrai plaisir pour lui.
-Suce, lui dit-elle avec ce verbe de façon un peu plus grossière que ce qu'elle faisait habituellement.
Elle tendit deux doigts devant sa bouche. Stefano s'appliqua à enrouler sa langue autour de ses deux doigts, faisant bien attention à laisser de la salive partout.
-Aahn !
La jeune femme lui avait pincé un téton à traverse fin tissu du ruban pendant qu'il s'affairait avec ses doigts.
-Continue.
Stefano ferma à moitié ses yeux pour tâcher de mieux se concentrer sur les deux doigts dans sa bouche que les doigts qui étaient en train de jouer avec son corps, ses longs cils  bruns obstruant un peu sa vue.

Quand Ngôi Sao lui retira ses doigts de la bouche, elle lui demanda :
-Ça va aller comme ça d'un coup ?
Stefano la regarda et lui dit oui en hochant la tête. Sans aucune autre hésitation quelconque, Ngôi Sao enfonça alors ses deux doigts entre les fesses de Stefano qui eut une sorte de mugissement de surprise et de plaisir quand elle le fit. Il avait un peu mal parce qu'il ne s'était pas préparé avant et c'était la première fois que sa copine allait aussi vite pour lui les mettre, mais le plaisir intense qu'il ressentait depuis tout à l'heure vint sans problème compenser la petite douleur désagréable que ça lui procurait.
-Aah...
Son râle plaintif de plaisir un tantinet douloureux perça l'air et arriva aux oreilles de Ngôi Sao à peine deux secondes après avoir commencé des mouvements de ciseaux en lui.
-Petit sucre ?
-Aah...Ou...Oui ? gémit le jeune homme interpellé alors que son arrière-train était toujours très sollicité.
-Tu veux bien te caresser les pectoraux ? Ça te rendrait encore plus sexy, même si t'es presque déjà au maximum.
Stefano rougit. Il n'aimait pas particulièrement se toucher dans cette zone, car quand lui-même le faisait, ça ne dégageait presque pas de plaisir contrairement aux moments où c'était sa compagne qui le faisait, mais elle ne faisant pas beaucoup de demandes de ce genre pendant les actes au lit, il était vraiment heureux de pouvoir l'émoustiller si elle le trouvait sexy au bout du compte.

Il se cambra légèrement, toujours haletant à cause des mouvements qu'elle faisait en lui. Il commençait même à ne plus avoir mal. Elle se rapprochait cependant très vite de sa prostate, endroit de tous les plaisirs...Il prit alors ses deux pectoraux en main, créant un pli, une sorte de tout petit bourrelet de peau, et les serra entre ses doigts. Il vit au tout petit sourire dominant de Ngôi Sao, s'étirant sur un côté, que ça lui plaisait.
Il continua alors à se tripoter le buste puis passa ses doigts sur ses tétons à travers le ruban qui les récoivraient toujours. Puis il passa ses doigts en-dessous. Il se touchait directement alors que Ngôi Sao ne le voyait pas bien à cause des rubans.
La jeune femme ne tint plus devant un tel érotisme sous ses yeux. Continuant toujours ses gestes en lui, elle se pencha sur lui pour suçoter un de ses tétons. Une fois le ruban rouge trempé de sa salive, elle le décala sur le côté pour venir lécher avidement et titiller son téton rougi par tous ces traitements successifs.
Elle fit de même pour le second téton, ce qui fit gémir Stefano toujours plus fort.

Ngôi Sao finit après encore un moment à le lécher, par retirer ses doigts de lui. Elle les essuya rapidement avec un mouchoir puis passa enfin au déballage de son cadeau de Noël.
Elle défit le petit nœud que Stefano s'était fait autour de son membre veiné, pulsant à pleine puissance et semblant plein à craquer. Il était recouvert d'humidité à cause de tous ces préliminaires qui l'avaient beaucoup excité.
-Stef'...susurra-t-elle en enlevant le nœud autour de son entrejambe.
-Quoi ? lâcha le soumis sur un ton plaintif qu'il voilait justificateur. Sinon j'allais finir tout de suite telement j'étais excité...
Sous le nœud rouge, il avait enfilé autour de sa longueur un anneau pénien, pour réfréner son débordement.
-En même temps c'est tellement bon ce que tu fais...murmura-t-il en se cachant le visage avec ses mains.

Sans crier gare mais tout sourire amusé sur le visage, Ngôi Sao agrippa son membre pour venir y imprimer des mouvements de haut en bas très vigoureux.
-Maaah...gémit Stefano, un peu surpris, en se tordant tout entier, courbant l'échine la tête en arrière et attrapant les draps du lit au-dessus de sa tête entre ses doigts tremblants de plaisir.
Ses joues brûlaient de plaisir, ses pensées étaient complètement englouties par lui, il n'arriverait même pas à aligner trois mots dans cet état. Sa bouche ouverte ne cessait de haleter depuis plusieurs minutes et ses cordes vocales déformaient tous les sons sortant de sa bouche pour les transformer en longs gémissements et complaintes d'un intense plaisir.
Pendant son intense masturbation, Ngôi Sao se pencha vers lui et lui susurra à l'oreille :
-Petit sucre, comment tu veux venir ?
-Hgn...fit Stefano en serrant les dents. Comme tu veux, mon abomination...
-Réponds, lui murmura Ngôi Sao un peu plus fermement.
Stefano n'arrivait pas à se concentrer assez pour trouver ce qui lui ferait le plus plaisir. Tout lui faisait plaisir et ce, depuis plusieurs intenses minutes jusque-là.
-Quand...Aah...Quand tu m'auras pris dans...Dans ta bouche...réussit-il à articuler avec peine.
-Très bien. Bon choix, sourit Ngôi Sao.

Elle arrêta ses mouvements sur son membre bouillonnant. L'anneau rendait certes sa longueur beaucoup plus dure et la faisait durer plus longtemps également, mais il n'empêchait pas le jeune homme d'être très humide au point qu'on aurait pu croire qu'il ressortait d'entre les lèvres intimes d'une femme...
Ngôi Sao retira sa jolie culotte trempée puis se positionna de façon à ce que Stefano voie ses fesses au-dessus de lui et de façon à ce qu'elle ait devant elle sa longueur dressée vers le plafond.
-Tu peux me faire plaisir maintenant. Seulement avec ta langue aujourd'hui, petit sucre.
-D'accord...murmura-t-il.
Il commença avant elle à jouer avec sa langue entre ses lèvres intimes. Il se mouilla le nez et la bouche, elle avait visiblement été vraiment très excitée par les moments précédents. Quand il entendit le premier râle de sa petite amie, apparemment pleinement satisfaite, il ne put s'empêcher de sourire malgré lui avant qu'il ne sente la bouche de la jeune femme autour de son membre, presque jusqu'à la base où il y avait son anneau pénien.

-Ahn...geignit-il en tentant de tout son soûl de ne pas se contortionner de plaisir dans tous les sens.
-Reste calme, continue, lui dit doucement Ngôi Sao avant de le reprendre dans sa bouche.
-Je...J'essaie...bredouilla-t-il.
Il s'attela au mieux à faire plaisir à celle qu'il aimait plus que tout. Elle avait peu de réactions comparé à lui qui tordait son corps ou gémissait pour tout, mais il savait qu'elle lui dirait s'il pouvait améliorer quelque chose ou si elle n'aimait pas une autre chose. Les seuls sons qui sortaient de sa bouche quand il lui faisait plaisir, c'était des râles très typiques des dominants. Les dominants ne gémissent pas, voyons.
Il sentit la langue agile de sa compagne s'enrouler autour de lui. Malgré lui, il se confentrait plus sur ses sensations à l'entrejambe que sur son action, mais il tenta de faire de son mieux pour se concentrer à donner du plaisir à Ngôi Sao, toujours au-dessus de lui.
-Petit sucre...Viens quand tu veux...murmura soudainement la jeune femme entre deux longues lapées de son membre dur.
-Dans...Dans ta bouche ?
Une touche subtile de ses doigts sur son membre veiné lui confirma ce qu'il avait demandé. Stefano se lâcha alors et d'un coup, se déversa dans la cavité buccale de Ngôi Sao et un peu sur son bas-ventre à lui.

La jeune femme se redressa et Stefano vit un mouvement de déglutition traverser sa gorge. Elle lui sourit, amusée et encore très dominante dans ses gestes. La jeune femme se pencha alors vers lui et l'embrassa avidement en prenant sa mâchoire large dans sa main.
Stefano n'appréciait pas plus que ça son propre goût mais si Ngôi Sao lui le faisait gober comme une mère oiseau avec ses petits, il était d'accord. Elle le faisait si sensuellement...

-J'ai bien profité de mon cadeau de Noël, qu'en penses-tu ? lui sourit-elle, mesquine, se détachant légèrement de lui tout en gardant sa main sur sa joue.
-Oui...Je trouve que tu as magnifiquement bien profité...soupira d'aise Stefano avec un air béat, épuisé de ce moment intime intense.
-Très bien. Je pourrais le réutiliser bientôt ?
-Quand tu veux...fit Stefano avec un sourire amusé mais un poil fatigué.
Ngôi Sao sourit avec une pointe de sadisme.
-Tu veux repartir pour un deuxième tour ?
Stefano soupira.
-Si tu veux encore profiter de ton cadeau de Noël...
-Évidemment ! dit Ngôi Sao, le faisant à nouveau basculer sur leur lit, lui enfonçant le dos dans leurs draps.

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Un autre immensément long chapitre, de presque deux fois la longueur habituelle d'un de mes chapitres classiques. J'espère du coup que ça vous a vraiment vraiment plu ! 😊 Personnellement j'ai adoré écrire ce chapitre très chaud ! 😏😌🔥
Merci d'avoir lu jusque-là et j'espère que vous avez aimé ! 😄😁

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