Bonus : Le lapin en chocolat de Pâques

-Tu veux quoi pour notre menu de Pâques ?
-Du chocolat.
-Quoi d'autre ?
-Du chocolat.
Stefano soupira. Sa femme et ses envies de chocolat constantes...Par contre, cela lui donna une idée.
-Ça te dit une fondue au chocolat comme dessert ?
Ngôi Sao sourit et se leva, débarassant les assiettes de la table, embrassant son compagnon au passage.
-J'adorerais !

Ce fut alors décidé. Ils concteraient un menu simple et en dessert, il y aurait une superbe fondue au chocolat avec des fruits bien juteux !
-On prend quoi comme fruits ? demanda Stefano en prenant un bout de papier en guise de liste de courses.
-J'ai envie de fraises, même si c'est pas de saison.
-T'es enceinte ? ricana le garçon.
-Non, pas que je sache.
-Quoi d'autres ?
-T'as pas d'envies toi ?
-Des bananes, dit le jeune homme en écrivant sur la liste. Quoi d'autre ?
Ngôi Sao le regarda avec son fameux regard dominant, le menton légèrement relevé et les yeux mi-clos, sourire aux lèvres.
-Ta banane, murmura-t-elle.
Stefano rougit. Même après des années, son regard, son ton, toute sa personne en fait, lui faisaient toujours un effet dingue. Il réussit cependant cette fois à se reprendre :
-Volontiers après, mon abomination. Mais on va d'abord finir la liste...

Finalement, Pâques arriva. Le couple se réunit autour d'un plat composé d'une bonne viande et de légumes sautés. Ils n'avaient pas fait de pâtes ou de riz parce qu'il y avait leur super dessert, une fondue au chocolat !
Une fois le repas terminé, Ngôi Sao débarassa les assiettes pendant que Stefano préparait la fondue. Quand elle revint vers la table, après avoir tout mis dans le lave-vaisselle pour gagner du temps, elle ouvrit des yeux étonnés.
-Sur...Surprise ! dit son compagnon en souriant timidement.
Lui-même n'arrivait pas trop à croire ce qu'il venait de faire pour plaire à sa femme...Il avait confectionné en cachette un serre-tête avec des oreilles de lapin et l'avait mis sur sa tête. Il avait aussi retiré son t-shirt et il se retrouvait torse nu sous un nouveau tablier rose pastel à carreaux, avec quelques froufrous mignons cousus de part et d'autre.
-Baphy...murmura Ngôi Sao avec un sourire sincèrement touché mais aussi carrément libidineux.
-Mangeons ! dit-il avec un sourire qu'il espéra le plus pur possible.

Ils s'asseyèrent et dégustèrent leur fondue, avec des fraises, des bananes, quelques kiwis, des pommes et des poires.
-Stef', tu as...
Le jeune homme releva la tête quand il entendit sa femme lui parler mais elle se ravisa. Ne terminant pas sa phrase, elle se leva et s'approcha de son adorable amant. Il sentit un frisson d'excitation s'emparer de lui quand elle approcha ses lèvres de sa pommette, puis il sentit sa langue chaude et humide lui lécher la joue.
-Ngôi Sao...articula-t-il en levant les yeux vers elle.
-Tu avais du chocolat là, lui susurra la jeune femme à l'oreille.
Elle profita alors pour lui mordiller l'oreille et une de ses mains se glissa dans son pantalon sur une de ses fesses rebondies.
-Ça devrait être interdit d'être aussi mignon et séduisant...
Elle lui pelota alors la fesse et lui murmura encore plus proche de son oreille :
-Ça va finir en beauté au lit, tout ça...
Stefano se sentit rougir. Ngôi Sao se détacha de lui et comme si de rien n'était, retourna s'asseoir en face de lui, prenant un fruit trempé dans du chocolat et lui dit avec un air tout mignon :
-J'aime beaucoup les oreilles que tu as fabriquées.
Stefano rougit mais cette fois, pas parce qu'il était gêné mais parce qu'il était content.

-Il reste du chocolat dans le caquelon...soupira Stefano quand ils rangèrent la cuisine. On en fait quoi ?
Il sentit soudainement des bras autour de lui. Sa femme l'étreignait depuis derrière...Il rougit et sa couleur s'intensifia quand il sentit que ses mains se dirigeaient sous ton tablier au niveau de ses tétons nus sous le tissu.
-Ng...Ngôi Sao...gémit-il.
-Ça te dit, d'avoir du chocolat sur le corps ?

Stefano était rouge comme une tomate.
Mais il devait bien avouer que l'idée ne lui déplaisait pas du tout...Il s'imaginait déjà la chaleur humide de la langue de sa compagne courir le long de son corps où était déposé du chocolat fondu...Son corps frissonna et le jeune homme se tourna vers sa femme en se libérant légèrement de son étreinte.
-Je...J'adorerais...murmura-t-il, toutefois un peu gêné par cette idée.
Servir de plat ou de dessert à sa compagne, c'était très excitant, il ne pouvait le nier, mais cela ressemblait presque trop à un fétiche un peu étrange et il n'aimait pas trop cette idée-là.
-Va dans la chambre, proposa la jeune fille. Je finis le rangement ici, j'arrive.
Stefano comprit que cela sous-entendait qu'il pouvait aller préparer son corps...Il rougit et pris avec lui le caquelon avec le chocolat encore fondu et un sous-plat pour ne pas brûler la table de chevet.

Une fois dans la chambre, il se demanda s'il devait retirer son tablier pour être simplement torse nu et en jeans, une vision que Ngôi Sao aimait beaucoup, mais il se ravisa. Après tout, le tablier allait de pair avec ses longues oreilles blanches. Il décida à la place de retirer son jeans et de changer son boxer pour enfiler le seul sous-vêtement rose pastel qu'il avait dans son tiroir. Un peu court et légèrement translucide, tout ce qui rendait sa femme folle de désir. Elle lui l'avait offert un jour pour une raison dont il ne se souvenait pas, et il l'avait gardé pour une autre raison dont il ne se souvenait pas non plus.
S'il devait y réfléchir, c'était probablement pour continuer à lui faire plaisir.
Une fois couché dans cette tenue rose bonbon dans le lit, toujours avec ses oreilles de lapin, il posa le caquelon sur la table de cheveux avec le sous-plat. Il le fixa un moment sans raison particulière puis avec la cuillère qu'ils avaient mis dedans, il prit un peu de chocolat fondu et dessina quelque chose sur son torse, au-dessus de son tablier qu'il laissa tomber sur une de ses épaules...
-Je suis là, petit sucre, déclara Ngôi Sao en débarquant dans la chambre.
Elle se figea sur le seuil en voyant son mari.

Couché sur le lit dans une pose extrêmement lascive, jambes écartées et sa bosse bien visible sous le tissu ample de son tablier pastel, il regardait sa compagne dans les yeux mais avec un air timide, soumis. Il était adossé au lit contre le mur avec un coussin dans le dos, le côté gauche de son tablier à froufrous glissé le long de son épaule bien définie, et on voyait sous le tissu baissé qu'il avait dessiné un motif en chocolat sur son pectoral...
Il avait fait un cœur. Un cœur en chocolat, sur son cœur à lui, mais passant sur son bouton de chair rosé. Pour être sûr que Ngôi Sao s'arrêterait dessus quand elle viendrait lécher sa peau lisse jusqu'au moindre recoin...
-Mon petit sucre préféré, souffla Ngôi Sao, ses envies lubriques faisant un bond d'un seul coup.

Elle marcha de ses pas légers et alla se placer au-dessus de son partenaire.
-Ta bosse est plus grande que d'habitude...
-Je...J'ai pensé à ce que tu me ferais en me voyant comme ça...Et ça m'a excité...
-Seulement ? sourit Ngôi Sao, le connaissant par cœur.
-Et...Je me suis un petit peu touché aussi...avoua le jeune homme.
-Vilain, lui susurra sa femme tout en l'embrassant sur la joue. Vilain lapin...
Toujours le surplombant de son corps, elle glissa alors la main sous les froufrous de son tablier, caressant alors doucement sa bosse déjà bien dure sous ses doigts. Stefano gémit doucement.
Les yeux fermés comme souvent pendant que sa femme prenait soin de lui, il ne la vit pas s'approcher de son cœur, aussi bien le vrai que celui en chocolat dessiné sur sa peau...D'un coup, il sentit quelque chose aspirer le chocolat sur son bouton de chair rose !
Il laissa échapper un gémissement plus long que le précédent. Il y a longtemps, cette zone de son corps n'était pas la plus stimulante pour lui mais depuis que c'était Ngôi Sao qui s'en occupait...C'était bien différent. Même si tout seul quand il se permettait une séance de plaisir solitaire, il n'y touchait pas. Ce n'était pas le même effet de le faire soi-même et Ngôi Sao était la seule capable de provoquer en lui de telles réactions.

Il haletait de plus en plus bruyamment, la gorge devenant peu à peu de plus en plus sèche, tandis que Ngôi Sao finissait le tour du cœur en chocolat. Elle trempa deux de ses doigts dans le chocolat fondu et lui dit en les approchant de sa bouche :
-Lèche.
Stefano ouvrit ses lèvres, sortant légèrement sa langue presque timidement. Ngôi Sao lui mit ses deux doigts dans la bouche et Stefano se mit à les suçoter, les lécher à l'intérieur de sa bouche, passant sa langue de tous les côtés et entre les deux doigts avec une vitesse consciencieuse.
Pendant qu'il excitait sa femme avec sa langue douce et mouvante, Ngôi Sao se repencha sur les dernières traces de chocolat sur son pectoral. Elle se mit elle aussi à suçoter les dernières taches résistantes qui semblaient imperméables à une simple langue.
Stefano tressauta quand il sentit à nouveau son téton aspiré. De sa main libre, Ngôi Sao faisait des allers et retours entre le deuxième bouton rosé de son partenaire et son entrejambe grossissant de plus en plus...

Quand elle eut finit sa besogne et sentant que Stefano avait terminé de lécher le chocolat sur ses doigts, elle se redressa.
-Dommage, on a pas de chantilly...Tu serais le meilleur dessert.
Stefano rougit de plus belle et se cacha le visage avec les mains comme s'il avait honte.
-J'en...J'en ai acheté...Je l'ai cachée dans le frigo derrière les boissons...
Ngôi Sai ouvrit des yeux surpris. Elle se pencha alors sur son partenaire :
-Petit cachottier...Tu as des envies très audacieuses, mon petit Baphy ! Je vais la chercher.
Elle revint avec la bombe de chantilly.

-C'est froid ! fit Stefano avec une gémissement quand la crème fouettée se déposa pour la première fois sur son torse.
Ngôi Sao se lécha la lèvre comme un animal se lèche les babines en voyant la proie qu'il va dévorer incessamment sous peu. Stefano frémit en voyant sa compagne, la chantilly à la main, désireuse.
Comme sur une crêpe chaude, la crème fouettée commençait à fondre sur son torse...Elle coulait le long de son ventre et de ses côtes. Stefano se tortilla pour ne pas salir les draps en-dessous de lui. Ngôi Sao posa alors un seul doigt sur son torse nu.
-Ne bouge pas.
Stefano se figea, le regard à la fois timide et désireux. Il ferma ses yeux quand il sentit la langue de sa femme se loger entre ses deux pectoraux, où de la crème avait à moitié fondu.
-Aah...gémit-il.
Quand elle se remit à avidement lécher son bouton rosé, Stefano se dit qu'elle se mettrait bientôt à torturer l'autre. Il glissa alors la main à son entrejambe et frotta sa bosse devenue on ne peut plus grande à présent.

Mais Ngôi Sao ne l'entendait pas de cette oreille ! Elle attrapa son poignet avec fermeté, sans lui faire mal, et le plaqua avec impérativité sur son deuxième téton. Stefano haleta quand il sentit son mouvement et regarda alors sa compagne, les joues rouges depuis un bon moment.
-C'est moi qui m'occupe de ça...murmura-t-elle avec un sourire amusé. Amuse-toi sur ton torse.
Stefano lâcha un petit gémissement malgré lui. Les phrases si accrocheuses de sa femme lui faisaient encore de l'effet des années après avoir commencé toute cette décadence. Ngôi Sao lâcha alors son bouton rosé sur un dernier baiser et descendit plus bas. Elle déposa un autre baiser sur sa bosse chaude et durcie, ce qui fit frémir de plaisir son compagnon.
-Touche-toi, lui intima-t-elle.
Stefano finit par effectivement tripoter ses propres protubérances déjà rougies par les gestes de Ngôi Sao sur eux avant. Il jeta sa tête en arrière, yeux clos et bouche entrouverte, dans les coussins pour profiter pleinement de ce moment intime.
Positionné ainsi, il ne vit pas sa compagne glisser sa main jusqu'à ses flancs pour l'y frôler et ensuite lui retirer d'un coup son boxer pastel.
-Ça te va bien, le rose bonbon, Stef'...lui susurra-t-elle en laissant le sous-vêtement de côté dans le lit.

Elle suréleva alors son ccompagnon en prenant son bassin entre ses jambes, les siennes sous celles du jeune homme pour qu'elles fassent une sorte de mouvement de levier et lui permettent de le surélever sans effort pour se maintenir ainsi.
-Ngôi Sao...gémit Stefano maintenant les mains non plus sur son torse mais agrippées aux draps à sa gauche et à sa droite.
L'interpelée sourit simplement, à la fois désireuse mais très sincère, et prit alors sa longueur dans sa main droite. Cela eut pour effet de faire tressaillir son propriétaire qui haleta encore plus fort.
-Tu veux que je fasse quoi de plus, mon lapin ? demanda Ngôi Sao en faisant toujours des va-et-vient rapides sur son membre.
-Je...Nnh...Là...Là s'il te plaît...
Stefano, une main vers sa bouche, se tourna légèrement et de son autre main, désigna la zone entre ses fesses.
-Là quoi ? le nargua la jeune femme en continuaient toujours ses mouvements de sa main droite.
-Là...Mets...Mets-moi ton...Ton doigt...bégaya Stefano, assez péniblement à cause des stimulations intenses sur sa virilité en ce moment.
-J'ai pas entendu...sourit Ngôi Sao, le narguant jusqu'au bout.
-S'il...S'il te plaît...
-Je préfère ça, s'amusa-t-elle. Lèche.

Stefano, se tortillant toujours à cause des effets de ses gestes sur son membre, s'appliqua comme il put pour lécher deux doigts de sa compagne qu'elle lui avait tendus.
-C'est bien...
Elle retira ses doigts de sa bouche et les dirigea vers son orifice à son entrejambe. Elle caressa du pouce son périnée, tout en continuant ses va-et-vient sur le principal membre de Stefano, puis introduisit son premier doigt en lui.
Il eut un sursaut et cambra son dos avec un à-coup assez brusque.
-Aanh Ngôi Sao...
Elle venait, après quelques va-et-vient en lui avec son premier doigt, d'y ajouter le deuxième dont la salive avait déjà légèrement séché.
Stefano lâchait désormais des gémissements et des halètement absolument adorables, qui rendaient Ngôi Sao encore plus désireuse.
Elle commença des mouvements de ciseaux entre ses fesses, et ces derniers combinés à ses mouvements intenses sur son membre, eut raison de Stefano.
-Ngôi Sao je vais...Ça...
Il s'étala sur son propre torse et un petit bout de son tablier à froufrous. Ngôi Sao retira ses doigts de son postérieur et sur une dernière caresse de son périnée, elle opéra également le dernier mouvement sur son long membre qui commençait à dégorger de son sang.
Encore rouge, haletant, Stefano releva les yeux vers sa compagne, tellement douée de ses mains et de ses doigts. Elle ne l'avait même pas pris en bouche et elle lui avait malgré tout fait tellement d'effet...Elle était en train de finir de le nettoyer avec un mouchoir quand il ouvrit la bouche pour parler.

-Tu...Tu veux que je fasse quelque chose pour toi ? demanda-t-il.
Même s'il avait fini et que ses envies de luxure commençaient à baisser drastiquement, il savait bien que sa compagne n'avait pas encore eu droit à la réception d'un plaisir physique aujourd'hui. Il cherchait à faire plaisir à sa compagne en lui proposant ces gestes.
Ngôi Sao se pencha vers lui et l'embrassa langoureusement. Stefano, les mains sur ses épaules comme pour la soupeser, gémit très légèrement et quand Ngôi Sao lâcha ses lèvres, elle lui dit :
-Non, ça va. Te voir comme ça dans tous tes états, c'était bien suffisant. Tu étais magnifique comme ça.
Stefano rougit un peu.
-Je sais que tu préfères recevoir que donnet, en tout cas dans ce contexte-là, mais des fois, je peux aussi prendre soin de toi, tu sais ça ?
-Je sais, mon petit lapin, sourit la jeune femme. Merci. C'était une super soirée de Pâques !
-Oui...sourit Stefano en embrassant sa femme, bras autour de son cou. Il faudra finir la fondue d'ailleurs.
-Sur ton corps encore une fois ? lui sourit lubriquement Ngôi Sao.
Stefano allait protester mais il finit par dire, sachant que ça lui ferait plaisir :
-Si tu veux...
-Alors je te reprendrai encore un peu plus tard, souffla Ngôi Sao, laissant Stefano les joues rouges.

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Merci d'avoir lu ce bonus, j'espère que vous l'avez aimé ! 😄😁

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