* Puis merde*
Je sens le souffle chaud de quel qu'un dans mon cou, je sur sautes, il me touche, c'était lui. je le vois encore, c'était encore lui, il m'énerve ce lui la.
Moi en colère: Encore toi?
- Oui c'est moi ma tigresse. Dit-il joueur.
- Tu sais que tu m'énerves? Et qu'est-ce que tu fiches la?
- Je ne peux rester dans cette salle sans toi, tu es sortie et j'ai fais comme toi.
Je lui répond pas et continue de regarder mes notifications, un blanc s'installe entre nous, c'était la première fois avec lui que c'était le silence total. J'ai peut être parler trop vite!
- Tu me manques tu le sais ça ? Dit-il avec tristesse.
- Mon corps te manque, ma chatte te manque, dit ça de préférences. Dis-je sur un ton las.
Il me souris, et me fait un clin d'œil, et me dit d'une voix sensuelle.
- Ne me dit pas que capitaine ne t'as pas manquer?
Je lui secoue la tête pour lui faire comprendre que c'est non, il me dit avec une moue dans la voix et un peu coquin.
- Même un tout petit peu?
Je rigole en pensant a capitaine, à dire que c'est moi qui ai donner ce nom a son pénis c'est hilarant.
- Je m'excuse! Pour me faire pardonner suis moi.
Il me prend la main, et me conduit dans les toilettes des garçons.
- T'es fou ou quoi?
Il prend ma main, et le dépose sur son pénis et me dit, je suis pas fou, c'est capitaine qui est fou, il me pousse, puis verrouille la porte de la cabine, m'embrasse langoureusement, puis merde, je trembles comme une feuille par peur qu'on nous surprennent, c'est le renvoie direct, quand je suis coller a lui je frisonne, tant je suis exciter, son corps est très imposant , ces pectoraux bien fait, c'est un apollon, je ne me fais pas prier et il rentre sa langue dans ma bouche, goût de cigarette et de menthe, c'est si bon, oh mon Dieu que c'est bon, il me touche c'est ni électrique entre nous ni passionné, c'est juste sexuelle, je gémis, sa bouche coller a moi, je le sens sourire, il remonte ma jupe la froisse un tout petit peu, passe sa main, commence a jouer avec mon clitoris, avec le bout de son pouce, je pousse un gémissement, il me dévore littéralement la bouche, la cloche sonne, je le pousse un tout petit peu, pour m'arrangés les cheveux, puis ma jupe, je lui donne un petit bisou sur la joue et lui dit avec le sourire au lèvres.
- Je passe chez toi plus tard.
je lui fait un clin d'œil, je remarques qu'il était content, il rit de toutes ces dents, qui laisse apparaître des dents alignés si blanches, oh Dieu! au passage il m'engloutit littéralement les fesses avec ces mains, qui m'arrache un gémissements qui le fait glousser, je sors en courant des toilettes des hommes et me dirige à ma table.
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