VI

Ce coeur et sa flamme m'appartiennent-ils vraiment ?
Cette brûlante passion, celle m'étranglant,
Sautant les étapes du désespoir sanglant,
Elle, censer me purger en un être aimant .

Ce coeur dont la légèreté serait la plume,
Cette lune n'était qu'une perte de mes heures,
De son intégrité seul, ne restait la fleur,
Il n'y avait plus que des pétales que seul j'hume .

Ce cœur plein de pureté, rêverait des montagnes,
S'enfonçant parmi les secrets de cette hargne,
Me noyant sous les sombreuses crêtes blanches.

J'eus poursuivi ce prince noble dans ses lieux,
Au sein du glacier je me perdis loin des cieux,
Et je vis là ce cœur gelé en revanche .

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