Nude Litéraire
(je teste des tucs )
Mes mains sont autour de mon bassin. Mon corps, encore envelopé d'une chemise de nuit rouge bordeau, se trouve face au miroir de cette pièce à la température idéale pour que mon envelope reste ferme sans que je n'ai froid.
Je remonte mes paumes pour retirer mon vêtement d'une main et cache pudiquement le bout de mes seins avec mon autre bras. Un léger sourire complice se dessine au coin de ma bouche sur lequel un rouge à lèvre rouge clair a été passé.
Ma tenue au sol, ma main libre redescend le long de mon corps, mon indexe éfleure sur tout le long du trajet ma peau encore tendu par l'exitation.
J'effleure la fausse de ma clavicule, qui se dessinent en deux magnifique silons qui n'attendent qu'à être carressés délicatement et tendrement.
Je dessend par la douce pente de mon torax puis contourne mon sein gauche, ce qui ne me laisse pas indeme, une sensation d'attente langoureuse commence à peine à se créer, et j'ai l'impression de la ressentir à l'interrieur de ce dernier.
Puis je descends le long de mon ventre jusqu'au duvet que j'ai en dessous de mon nombril. Mon bras est presque tendue et cache désormais ma vulve logée entre mes deux cuisses, surrement l'endroit le plus musclé de mon corps, sculté par des jours et des jours de vélos.
Je me cache, je cache ce que tu veux voir car le désir que tu as pour ces lieux n'en serra que plus grand.
Tu devines certainement mes fesses très peu rebondit. Ou mes omoplates qui se déplaçaient lentement sous ma peau en même temps que mes bras.
Mes yeux malicieux contemplent mon reflet, un grin de beauté au coin de l'oeil me donne un air plus téméraire, entreprenante. mon sourrire malicieux et complice est désormais plus grand.
Je lève lentement le bras qui cachaient mes tétons vers le ciel.
Mes seins sont petits, mais si bien détaillé. La peau plus foncée autour de mes tétons s'étend peu, comme un minuscule chapeau sur ces deux petite coline. Le froid les rends plus fermes, ils gardent leur formes un peu particulière mais captivante quelque soit mes mouvements.
Puis, tes yeux doivent sûrement se porter ailleurs. Je me tourne de trois quart et penche légèrement le bassin pour lui donner une forme d'élan immobile.
Je me courbe un peu, ce n'est plus ma main qui cache ma vulve mais mon avant bras, sur lequel a poussé un petit pellage de poil bien lisses, tous dans le même sens, qui lui donne un côté très esthétique.
Je le fait lentement bouger sur le côté, tel le pendule d'une horloge, tu commences à entrevoir mes poils pubiens, frisés un peu comme mes long cheveux chatins qui, eux, voilent maintenant le côté de ma croupe et de mon flanc.
Je commence à avoir chaud, et je sens mes joues rougirent peu à peu.
Mais c'est aussi la faute de l'exitation.
Puis enfin tu apperçois tout.
Tu vois enfin mon clitoris, timide, qui se manifeste en une petite bosse finalement bien ferme, qui trone fièrement au somet de mes lèvres qui semble descendre en ondulant tel des draps carressés par le vent. Je n'ai qu'une envie, c'est que tes doigts délicats viennent remplacer ce vent.
Nue face à ce mirroir, je me contemple un instant puis prie mes dieux pour que personne n'entre dans la pièce parce que BOULOGNE ce serrait trop la honte.....
(Vous en pensez quoi de ce concept ? (o゚▽゚))
Biz 😗
ジュリエット
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