à l'aide, svp

Le chapitre précédent je l'ai écris suite à un réveil en pleine nuit, comme vous pouvez le constater. J'avais froid... il fait 27°C dans ma chambre.

Comme je savais que je n'allais pas réussir à me rendormir, je suis sortie de ma chambre, je suis allé dans le salon. J'y suis actuellement, en larme. Pour aller mieux, j'ai fouillé dans les affaires de ma mère. (ma mère est... plus là on vas dire, elle pas morte hein.) J'y ai trouvé un de ses cd, "Brigite" je ne sais pas si vous connaissez. Je l'ai mis dans le poste, j'ai baissé le volume et je l'ai écouté. Tant pis si je réveille mon père, je lui dirais que j'ai fais un cauchemar.

En fait je ne sais pas si j'oserais... ça fait 4 ans je ne n'ai pas dit un seul mensonge à mon père. mais, vraiment aucun, jamais. Je sens que si je le fais ça vas ne faire qu'agrandir la plaie. Alors j'ai prié mes dieux pour qu'il ne se réveille pas.

Bref, j'ai passé le cd et je l'ai écouté, j'essayais d'oublier mes problèmes en pensant à ma mère. Puis une chanson est venue. Les paroles disaient :"J'aiiiiiiii tellement besoins d'amour ! De ton souffle ! De ta voix de velour ! tum tudum tum tum tum..." Et là j'ai pleuré... J'ai plus sangloté que pleuré parce que je ne voulais surtout pas réveiller mon père, je ne voulais pas avoir à lui mentir. En pleurnichant j'ai eu l'impression que tout les problèmes émotionnels que j'avais eu dans ma vie me sont parvenue d'un coup : Les insultes, (bien que rare) les moqueries et les blagues que je subit au quotidiens. (franchement Randzah, il faudra que tu m'explique un jours comment tu as fait pour survivre à ce genre d'enfer pendant 4 ans. (je sais que toi c'était ce que je vis puissance 10) je comprends mieux maintenant pourquoi est-ce que par moment tu es capable de n'avoir absolument aucune pitié ni compassion, enfin bref je referme cette parenthèse). Mon moment de solitude quand ma mère a décidé de divorcer sans que mon père ne puisse le savoir. Mon oncle que j'adore qui me voit désormais comme une boulogne ou je ne sais quels mots il utilise. La solitude que j'ai ressentis quand mon père est resté un mois à l'hôpital (je ne sais plus pour quelles raison d'ailleurs). Ma première défaite amoureuse. le stresse que j'ai ressentie avant de faire mon "comming out" (un ou deux "m" ?) à mon père. L'inenvie d'aller un cours un jour de contrôle alors que je n'avais pas révisé. Même des petits malaise comme je viens de citer me sont revenus.

Je me suis mise en boule, j'ai pleuré. Puis, j'ai réfléchie. Au final, ma vie à été assez belle, et, j'espère continuera à l'être tout autant. J'ai été très heureuse, et je veux continuer à l'être à l'avenir. J'ai des ami(e)s sur qui compter, même si à cette heure (i/el)ls dorment toutes/tous, j'espérais qu'au moins une ou un d'entre vous voie le chapitre précédent dans l'heure qui suit. Mais bon, j'avais bien conscience qu'il faudrait beaucoup de chance pour qu'une réponse me parvienne avant demain matin. 

Vous avez peut-être remarqué que ce texte est un peu travaillé. En fait, à la base, je ne voulais pas le poster. Je voulais juste mettre les choses au clair dans ma tête, pour vous ça ne doit pas être le cas je pense mais pour moi, c'est moins floue. Je me suis souvenue d'une conseil de Randzah : Quand qqch nous fait peur, nous attriste, nous dégoutte, ou rend mal à l'aise. Il faut se familiariser avec, regarder comment s'est fait. Comment c'est dessiné, comment c'est sculpté, de quelle manière. On se familiarisera alors avec l'oeuvre et au moment de la re regarder, on ne verra plus que le travaille qui a été fait pour la créer. Un auteur ne vois pas son oeuvre de la même manière que qqn qui la découvre.

Alors j'ai voulu voir ce que ça donnait avec les sentiment. Et bien, ça marche un peu. J'ai toujours aussi mal, mais je ne pleure plus et je comprend mieux. Je crois que j'ai besoins de sortir. Je vais enfiler un pantalon par dessus mon pyjama, des grosses chaussettes et des bottes, et un pull et une veste par dessus mon haut de pyjama. Et je vais sortir dans la rue, pour, juste, marcher. Sentir le froid sur mon visage et... voilà. Je vais peut-être choper un rhume, au moins j'aurais une raison d'avoir envie de vomir. Car oui, cette sensation ne m'a pas vraiment quittée.

La seule chose qui me réconforte et que je verrai カラル (ma copine) à la rentrée. J'ai envie de l'appeler pour lui faire par de tout mais elle n'a pas le téléphone là ou elle est... Si je chope un rhume, quand elle rentrera, ça se passera peut-être comme dans その花びらにくちづけを.

Voilà... c'est mes problèmes. Je pensais que les rédiger comme si c'était un histoire me permettrait de m'en détacher mais j'ai toujours aussi mal. Tu as vu suzyange j'ai suivis ton conseil, je n'ai pas mis de smiley, Ah Ah... Pour dire vrai, à chaque fois que j'allais en mettre un, j'ai pensé à toi, ça me faisais sourire, et pour rien que pour ça, merci.

J'ai besoin de votre aide et de votre avis, est-ce que je dois en parler à mon père ? Si oui, qu'est-ce que je devrais lui dire ?

Je ne peux pas lui dire que c'est à cause de son frère (mon oncle) que je suis comme ça sinon je suis sûre que ça va mal finir...

Je suis bloqué, je pourrais lui parler du reste mais je ne sais pas du tout comment faire. Aidez-moi... S'il vous plait...

Mon père c'est vraiment qqn de génial, il à peut de défaut selon moi, je l'aime beaucoup, et depuis qu'il est sortit de l'hôpital (il y a environ 4 ans) on s'est promis de tous se dire. De rien ne se cacher, de ne plus jamais se mentir. Il m'a demandé de lui faire par de toute ma vie, qu'il ne me jugerai jamais mais qu'il ne ferai que me conseiller. Et c'est se qu'on à fait sans aucune erreur depuis 4 ans. Je ne peux pas lui mentir (parce que déjà il le remarquera direct (je ne m'appelle pas Randzah)),  parce que ça me ferra plus mal qu'autre chose.

J'y vais, je sors, je prends mon téléphone avec moi si par miracle quelqu'un répond rapidement. J'habite dans un village donc théoriquement je ne devrais pas croiser de psychopathe, voir je ne devrais croiser personne à 2h du matin. j'espère qu'il n'y à pas de coupure électrique pour que j'y vois qqch.

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