chapitre 7
Durant le baiser, ils se collèrent l'un à l'autre. Erwin avait vraiment apprécier comme son petit brun lui avait sauté dessus. Pourquoi avait-il fait ça tout à coup? Il ne savait pas, et sans doute qu'il ne saurait jamais, alors il se dit pour lui, qu'il lui avait manqué. C'était plutôt plaisant.
Alors pour ce petit plaisir, Erwin glisse ses mains jusqu'aux cuisse de son petit voleur, qui se retira de sa bouche en le sentant trop le toucher, mais ne s'arrêtant pas là, il repousse le blond.
-Arrête de faire ça...
-Je veux juste te porter. T'avoir comme tu m'as sauté dans les bras
-non mais t'es tarer toi...
Livai s'apprêtait à le laisser, mais Erwin le prend par le bras, et malgré lui violent, il le tira vers lui, le calant contre le mur. Il a bien remarquer que le brun s'est cogné la tête contre le mur quand il y est attérit. Mais avant de s'en prendre une, il l'embrasse avec la même violence que quand il l'a tirer contre le mur. Et à sa plus grande surprise, Livai y répondit, avec un peu de mal, du fait qu'ils ne se sont jamais embrasser comme ça. Mais il fait l'effort de vouloir suivre son rythme.
Entre deux, Erwin le laissa un peu tranquille pour lui demander de le prendre dans ses bras. Et un "okay... Mais touches pas à mon cul" fut la réponse qu'il obtenu. Il lui attrape alors directement les cuisses, Livai l'aide en se tenant sur ses épaules et se soulevant. Il n'est pas bien lourd de toute manière. Et puis à hauteur de ses hanches, le brun croise les jambes pour se tenir à lui, dans la même position que quand il s'est rattraper à son bourgeois après la course qu'il a fait en l'entendant arriver. Il ne savait d'ailleurs même pas pourquoi il avait fait ça.. Mais étrangement, il se sentait plus heureux quand Erwin était près de lui.
Le baiser ayant repris, il restait fougueux. Mais alors que Livai commence à prendre correctement le rythme, un détail n'échappe pas à Erwin. Il l'a entendu presque gémir. En temps normal il ne fait que respirer fort mais là, il s'est retenu de ne pas gémir. L'idée de vouloir l'entendre n'était pas mauvaise. Il le prend alors en sandwich, entre lui et le mur, faisant pression contre lui, surtout au niveau du bassin, et pour mieux l'entendre, relâche ses lèvres et descend à son coup pour l'embrasser.
Livai lui, en frissonne dans un premier temps, et la pression qu'il ressent contre son bas ventre, le met plutôt mal à l'aise. Il lâche avec une de ses mains, les cheveux blond omniprésent devant lui, et vient coller sa paume contre sa bouche et son nez. Cette sensation, il ne la connaît pas. Mais ce n'était pas pour autant désagréable. Puis quand il sent Erwin lui arriver à hauteur de l'oreille, que cette dernière soit prise en otage entre les dents du bourge, il sent un frisson bien étrange le traverser, il appuis plus sur sa bouche pour se taire, n'arrivant pas à contrôler sa voix.
Lorsque, Erwin remarque qu'il étouffe ses gémissements que pourtant il attend, il le laisse tenir contre le mur et lui retire sa main de sa bouche. Lâchant son oreille, il lui commande de ne pas se retenir et se laisser aller. La chaleur monte aux joues de Livai. Gêné de la situation, il ne sait plus trop trop où se mettre. Surtout dès que son grand blond reprend là où il s'en est arrêter, cette sensation revient de plus belle et lui force à faire des bruits gênant sortant de sa gorge. il sent une vague de chaleur l'envahir, il faut qu'il l'arrête avant d'aller trop loin.
Seulement Erwin ne démord pas, et ne laisse aucune occasion au brun de s'enfuir. Reprenant par ailleurs, possession de ses fines lèvres, tout en appréciant les gémissement que son élève fait entendre entre leurs bouches respectives. Pour Livai, ça allait mal, il devait faire en sorte que ça s'arrête vite avant que ça n'aille trop loin. Alors que pour l'autre, tout marchait comme il l'avait pensé, il voulait sentir que son petit brun le désir, sans le forcer, et là, au vu de ses réactions, même si contradictoirement, il tentait sans force de le repousser, il sent qu'il est désiré par son voleur. Il le "sent" même très bien.
-Erwin... Arrêtes.... Je ne veux pas..
-Ton corps me dit pourtant le contraire.
Voulant montrer qu'il avait tord, Erwin resserre alors la pression sur son bassin. La réaction de Livai se fait immédiate, il se cramponne dans son dos, à sa chemise, en lâchant un gémissement sans pouvoir se retenir, ne s'y attendant pas. Ses gestes se faisaient tout seul, il ne commandait plus rien, et surtout il ne comprenait pas ses propres réactions, pourquoi il faisaient ça? Et pourquoi il ressent ce sentiment bizarre? C'était nouveau pour lui. Serait-ce donc ça l'amour? Alors il l'aime parce qu'il réagit comme ça? Pourtant il ne se sent pas à lui dire "je t'aime".
Il se fait alors décoller du mur, Erwin le resserre contre lui avec ses bras autour de lui. Le baiser avait fini passionné. De temps à autres, Livai mordait sans grande force, les lèvres de son blond. Quand à lui, il le porte jusqu'à sa chambre, sans recevoir de réclamations négative de celui qu'il aime.
Entrant dans la chambre et refermant avec la pression qu'il donne à la porte avec son pied, il fini la balade sur son lit, déposant doucement Livai sur le matela bien cacher par les couvertures correctement ranger dessus. Et lorsque le brun relâche ses jambes et les retire de son tour de taille, Erwin se place bien au dessus ne lâchant pas pour autant ses lèvres, et commence à balader ses mains sur son buste.
Sur le coup Livai le repousse, jusqu'à ce que d'une main, Erwin lui retiend les poignets au dessus de sa tête. Apparemment, il n'y a que comme ça qu'il peut librement le toucher décidément. Il lui ouvre alors d'une main, son sweat-shirt et laisse glisser ensuite sa main de bas en haut pour lui soulever son tee-shirt, laissant ainsi apparaître son torse qui, depuis le jour où il l'a soigner, depuis le jour du premier baiser qu'il lui a donner, lui a été interdit. Alors aujourd'hui, il allait bien en profiter.
Il le carresse de toutes parts, embrassant chaque parcelle de ce torse, ayant en plus, la récompense des gémissements de son Livai. Il s'attarde bien sûr, sur les points de chairs de son aimé. Entre pincements, léchouilles, morsures et suçotements, il avait de quoi en gémir, voir se cambrer. C'est lorsqu'il pense Livai assez exciter, qu'il se décide à descendre sa main à son pantalon, tandis que sa langue goûtait sensuellement à son torse, remontant jusqu'au menton, ayant passer la gorge.
-Erwin.. Pas ça...
Il l'embrasse alors, en réussissant, de sa main de libre, à ouvrir son pantalon. Il ne voulait pas entendre quelque chose de négatif. Pas après le début imposant de ce pas en avant important entre eux. Sa main passe alors la barrière du pantalon. Pressant sur l'entre-jambe déjà bien enflé qui n'avait l'aire que d'attendre qu'on s'en occupe. Livai ne met pas longtemps à gémir un plaisir qu'il ne connaissait pas aupparavant. Trop de sensations le changeait.
Livai ne sait plus comment s'en soulager, il bouge presque sans cesse ses jambes ou son bassin, force sur ses mains toujours prisonnières. Jusqu'à ce qu'Erwin décide d'en faire plus, il entre alors sa main à l'intérieur du dernier tissu qui le cache. Puis, lui ressortant de son sous-vêtement, et lui prenant bien en main, commence une bonne série de vas et viens.
Dans cette pièce, on pouvait n'entendre que les gémissements de Livai. Omniprésent, il ne pouvait pas retenir les bruits que sa voix forçait malgré lui. Quand Erwin daigne lâcher ses poignets et descend son visage. Le brun l'arrête en lui tirant les cheveux, pour le retenir de descendre plus, déjà à hauteur de son nombril.
-Arrêtes... T'en fais trop...
-Laisse moi faire.
-C'est dégueulasse ....
-Je ne le ferais pas si c'était dégueulasse. Tu es propre non?
-C'est pas la question.. C'est le fait.. Qui est dégueulasse...
Erwin reprend ses poignets après "l'avoir" lâcher et lui place les mains sur chaques côtés du visage.
-Écoutes si tu bouges encore tes mains pour m'arrêter, je te promet que tu le regretteras, tu seras puni en conséquences.
Comprenant qu'il valait mieux ne pas désobéir, lorsqu'Erwin redescend, il attrape le draps en dessous de lui en guise d'aide. Et il sent ce muscle humide "le" toucher. Le léchant sur sa longueur, finissant entre ses lèvres, qui en suçotant le sommet, quémandait sa récompense. C'est d'abord dans un râle de plaisir que le brun se retrouve, avant la fin de ce geste où il émet un large gémissement, basculant sa tête en arrière et serrant de ses mains, le draps qu'il tiend.
Erwin le prend alors entièrement en bouche, exerçant les mêmes vas et viens produits plus tôt par sa main. Les gémissements de l'autre se font plus important. Ce geste, il le continu, arriver au bout, il suçait comme aspirant une boisson par la paille. Et ce, jusqu'à la libération finale de Livai, qui se cambre à ce moment. S'étant déverser dans la bouche du blond, qui se surprit lui-même à apprécier son goût. Et fini par le relâcher.
Se replaçant près de Livai, à côté de lui, il appréhendait de se faire frapper. Mais ne reçoit rien. Livai s'est seulement tourné dos à lui et reste silencieux.
-Livai? Tu m'en veux d'avoir été si loin?
-.......
-Excuses moi... Tu peux me frapper si tu veux..
-Idiot..
Il se retourne alors vers le blond et se blottit contre lui. Sans aucune violence. Il se colle complètement à lui. Erwin préfère en profiter plutôt que d'être choquer, et le prend dans ses bras. Mais Livai brise vite le silence.
-depuis quand tu bandes comme un gros pervert?
-Ahah... Depuis que je t'ai entendu gémir... C'est un peu gênant là..
-Hein? Pourquoi alors?
-Pourquoi quoi?
-Pourquoi tu t'es arrêtés là si tu as si envie?
-Je ne peux pas.
-Je peux en connaître la raison?
-Tu ne m'as pas donner ton consentement.
-Bah... Vas y si tu veux...
-Hein? Livai je dis pas ça pour que tu te forces. Ça me gêne pas d'attendre encore.
-Je ne sais pas si c'est parce que je suis amoureux de toi, mais si tu as envie, si ça peut te soulager, je le ferais.
-Livai...
Ce dernier se redresse, et se mettant à quatre pattes au dessus de lui, après l'avoir basculer sur le dos, décide d'y aller de manière plus franc.
-Je crois que tu n'as pas bien compris. Erwin, je veux qu'on couche ensemble. Fais moi l'amour.
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Fin du chapitre 7 avec 1820 mots!
Eh ouais je suis méchante de couper là! :D
Aaaah bah ils avancent bien les tourtereaux hein? Alors? Décus ou pas de ce chapitre? :3 j'avoue avoir eu du mal à l'écrire xD
Sur ce, je vous retrouve au prochain chapitre :D (et dans les commentaires)
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