Pour vous repérez avec les royaumes et tout regardez le média ! (vous en aurez certainement besoin) 

Après notre petite matinée, nous sommes allé en ville.
C'est ainsi que nous avons mangé des casses-croûtes, j'adorais ne pas être confronté à une immense table remplit de plat mais simplement un plat sans complexité me convenait parfaitement.
Avec tranquillité Armin et moi avons dîné ensemble.
Puis un tapage assourdissant résonna au dehors. Plusieurs personnes sortirent de la taverne pour voir ce qu'il se passait, à mon tour je fus curieux.
Je déposais la sommes de notre consommation sur la table avant de me lever en compagnie d'Armin. À l'extérieur, je crus voir une jeune femme au sol à genoux. Elle était face à un homme, elle suppliait.
Les éclats de voix étaient fortes comme l'agitation.
- Pourquoi me supplier catin ?! Je t'ai vu voler. Pire encore je t'ai surpris à faire léviter l'objet jusqu'à toi, sorcière. Monstre tu ne mérite que ce qu'il t'attends !
Il leva la main bien haut. Avant qu'il ne puisse faire ce à quoi il aspirait, j'étais déjà derrière lui. Sa main ne pu s'abattre, car j'agrippais son bras.
- On ne frappe pas une femme.

Il se retourna hâtivement vers moi à la fois surpris et en colère.
- De quoi j'me mêle ?! T'es qui pour me donner un ordre.
Un rictus se forma sur mes lèvres tandis que je baissais ma capuche pour laisser apparaitre mon visage.
Un chuchotement se fit dans la foule et ceux présent baissèrent directement la tête en signe de respect.
- P-Prince ?! Immédiatement l'homme se mit à genoux devant moi.
- Pourquoi vouloir "punir" cette femme ?
Ses yeux restèrent posés au sol, dans le seul but de ne pas croiser mon regard.
- E-Elle a volé sur mon établie.... et-
Je me retournais cherchant mon meilleur ami dans la foule, une fois rapidement trouvé je lançais :
- Armin, tâche de restituer le bien de cette homme.
Il hocha solennellement la tête.
- Bien votre Altesse.
En public, il n'avait pas d'autre choix que de se comportait tel mon valet et me montrer le plus grand respect et obéissance sans contester.
Je repris face à l'homme :
- Quelle est donc la raison suivante ?
- C-C'est une diablesse, elle a utilisé de la magie !..
Je posais mon regard sur la femme qui n'avait toujours pas bougé depuis le début.

Je contournais l'homme en rétorquant :
- Je ne vois point le soucis dans le fait que cette femme emploie de la magie. Elle ne pensait certainement pas à mal, sinon elle aurait pu vous tuez, je me trompe ? Outre que là, vous êtes dans le royaume Maria où je suis le prince héritier, je ne tolérerai guère une forme de discrimination dans notre belle population ! Cessez d'avoir inutilement peur, sinon vous ne pourrez même pas dormir la nuit.
Je m'accroupis au près de la femme, celle-ci me demanda d'une voix incertaine :
- S'il vous plaît majesté, ne vous abaissez pas près d'une personne telle que moi...
Je balayais sa demande de la main, avec un petit soupire :
- Ne dis point de sottises, relève toi je te pris. Tu n'as pas à t'excuser de pratiquer la magie, mais tu dois tout de même le faire pour ton erreur. Je souhaite que tu utilise ton don à bon escient, je veux bien oublier cette fois ci mais promet moi de ne pas recommencer ?
Doucement elle se redressa en opinant de la tête :
- Je vous le jure majesté ! Je vais réparer ma faute.
Je me relevais alors, tandis qu'Armin me donner la chose volé en question. Qui était un poisson. Mon valet avait consciencieusement mit la chose dans un tissus en sorte de ne rien salir.
Je le tendis à la femme, celle-ci le prit se leva en même temps que l'homme concerné et elle lui rendit son bien.
- Excusez moi monsieur, je regrette mon geste je souhaite me racheter au près de vous !
Il accepta et dandina sa tête d'un côté à l'autre.
- Je suis également fautif, je n'avais pas à te parler de la sorte. Rachète toi en venant travailler quelque jour dans mon magasin.
Tous deux en vinrent à faire le marché devant les témoins de la foule. L'homme autant que la femme ne pouvaient revenir sur leurs paroles, et ma présence ne faisait que certifier cela.
Ils finirent donc par faire la paix.
C'est une fois que la foule se fut dispersée que je repartis avec Armin et nos chevaux.
Puis direction le château une fois de plus.

C'était plutôt rare de trouver des êtres surnaturels dans notre royaume, car ils se trouvent en majorité dans le royaume de Synre le pays voisins.
Mais depuis que la famille royale, tous des êtres surnaturel, s'est fait tuée et renversée par des envahisseurs... Beaucoup de choses ont changés.
Dont une tuerie en masse des êtres magiques qui refuser ces horribles mercenaires en tant que souverains. Quelques-uns se sont donc enfuis dans les autres pays.
Notre royaume au sud : Maria
Au Nord-Est d'ici : Rose
Au Nord-Oust : Sina
Et celui du milieu : Synre
Les êtres magique étant différents des autres se font énormément persécuter, cela créer même quelques tensions.
Mon père ne souhaite pas intervenir dans ces conflits, il laisse la population vivre comme elle l'entends. Tant que celle ci ne se fait pas trop entendre.
Nos pays ne sont pas rentré en guerre depuis... des lustres. Et nous espérons que la prospérité soit permanente.

Lorsque nos chevaux furent dans leur box, il était temps pour moi de prendre une leçon. Mais celle-ci ne me déplaisait pas, le tir à l'arc.
C'est avec une jeune fille, de mon âge, du nom de Sasha que je perfectionnais mes tirs, plusieurs fois nous avions été à la chasse. Cela permettait un entraînement sur cible mouvante, et à chaque fois la fille me laissait étonné devant sa si grande capacité de chasse. Elle m'avait déjà raconté que sa famille était chasseurs et que la chasse été leur meilleur atout.
Mais qu'elle avait fuit son foyer pour avoir une meilleure situation, et qu'elle n'y retournerait pas avant d'avoir un grand courage et une fierté.
C'est en décochant de nombreuses flèches que je finis par avoir légèrement une douleur aux bouts des doigts.
Le cours finit, j'en profitais pour fuir dans le jardin du château. Les fleurs embellissaient les allées et entouraient joliment le kiosque en pierre, où quelque fois des personnes du château venez lire.
Cette fois-ci je ne fus pas surpris de ne retrouver aucun individu.
Une fontaine coulait non loin et des oiseaux produisaient une jolie mélodie. C'était très reposant d'être au milieu de tout cela les yeux fermés et l'esprit libéré.
La fin du jour se déroula comme une journée habituelle.

Le lendemain matin pour le réveille et le déjeuné ce fut la même chose. Sauf que soudainement alors que je mangeais en tête à tête avec ma sœur, quelqu'un surgit.
- Bonjour.
Je me retournais pour découvrir la présence d'un soldat, c'était Annie. La grande blonde fit un signe de respect.
- Je suis Annie, soldat engagée dans la garde du royaume de Maria dans le secteur de Trost, la capitale. Je suis au service du prince Eren Jaeger de Trost pour les sorties en villes chaque jours.
Elle portait de simples habits, certainement pour la facilité de mouvement. Au ceinturon elle avait une épée protégée d'un fourreau.
- Bonjour... j'espère que nous ferons du bon travail ensemble. Je compte sur toi!
Je lui lançais un vague sourire et elle hocha la tête.
Je regardais Mikasa qui dévisageait la blonde sans aucune trace de discrétion.
- Il parait que tu es très forte dans l'art du corps à corps ?
Les deux jeunes filles se toisèrent, une certaine rivalité semblait s'être encrée avec une raison que je ne pouvais déterminer.
- Il est vrai princesse.
Je toussais et me levais rapidement, je m'approchais de ma sœur toujours assise à table. Puis je me penchais pour déposer un baiser sur sa joue.
- Passe une bonne journée, on se revoit ce soir pour le diner !
- Toi aussi mon frère, travaille bien.
J'agitais la tête en signe d'approbation avant d'ouvrir la voie et de me diriger vers la cuisine, j'y trouvais Armin qui finissait son petit déjeuné tout en lisant un livre.
Lorsqu'il me vit en compagnie de la blonde, il se mit debout sur ses deux pieds d'une façon bien trop brusque car il fit presque tomber les assiettes amassées sur la table.
Il nous salua et reprit ensuite son calme, il me présenta alors la journée qui s'offrait à nous.
Bien évidement, nous allons commencer par les villages et villes les proches. Ce n'était peut-être pas dans celles la qu'il fallait débuter pour débusquer les quelconque problèmes et éventuelles demandes. Mais je préférais procéder de cette manière.

C'est à cheval que nous nous rendons dans les villes situées vers le sud, nous y récoltons tout un tas d'information.
Mon valet notait tout cela sur un petit livret, il sera ainsi très utile pour nos investissement et décisions sur la situation.
Il faut de l'aide et l'approbation pour faire un puit ; il faut que la garde intervienne un peu plus car des brigands pillent les récoltes et réserves, etc....
C'est lorsque l'après midi touche à sa fin que nous étions sur le chemin du retour.
Une fois dans la capitale, un cri retentit. Je descendis de mon cheval et me dirigeais à travers la foule, malgré qu'Annie essayait de me rattraper, c'était trop dense.
Armin ne pu que s'occupait de tenir nos montures tout en essayant de se mettre un peu à l'écart de l'excitation de la foule.
- L-Là bas ! Indiqua une veille femme de son doigt.
Sans attendre je m'y précipitais, je longeais des ruelles et des habitations mais toujours aucun signe de rien du tout.
Alors je vis des traces de pas, je les suivis en direction de la forêt. Les traces de pas s'accompagnaient de traînées de sang.
J'effectuais mes approches avec une très grande attention, alors je découvris une prairie.
Cette même où il y avait mon petit lieu secret. C'est avec étonnement que je suivis cela jusqu'à la petite maison.
Un sanglier était raide mort à l'arrière du bâtiment, le sang était bien le sien. Peut-être qu'il avait attaqué la femme, mais s'est rare qu'il s'approche autant des villes. Et encore moins qu'il ait contacte avec les Hommes.
J'inspectais alors les alentours, il n'y avait personne. J'ouvris alors avec discrétion la porte la plus proche de la maison, j'y entrais avec lenteur tout en gardant l'œil bien ouvert.
La maison était toujours dans l'état propre de la dernière fois.
L'ambiance sonore était calme, rien ne porter à croire qu'ici se trouvait quiconque.
Le plancher grinça sous mes pas prudents, par pure précaution je tenais dans ma main un couteau. L'épée était restée en suspens sur la selle de ma jument, je n'avais pas d'autre arme que cette dague.

Soudainement un bruit se fit à ma gauche tout en entraînant un mouvement. Une silhouette me sauta dessus, le bruit de deux lames qui s'entrechoquent résonna dans la pièce.
Mon assaillant se trouvait être un homme, il en avait la carrure.
Je repoussais son attaque et le regardait, il était face à moi. Sa taille légèrement inférieur était une tromperie face à sa force.
Il avait comme une animosité dans ses fins yeux bleu-argent, et ses cheveux de jais qui retombaient un peu devant ceux-là soulignait son regard féroce.
Une distance s'installa entre nous.
Je perçus très bien qu'il était très méfiant, car il fixait mon arme avec insistance.
- Je ne vous veux aucun mal, si vous, vous ne m'en voulez guère également.
Comme mes paroles ne semblaient que très peu le convaincre je baissais lentement et avec attention le couteau que je brandissais jusqu'alors devant moi.
Je savais qu'il y avait un énorme risque, mais je préférais le prendre. 
À son tour, en me fixant dans les yeux il abaissa son simple couteau.
- Qui êtes-vous ? Fis-je un peu déconcerté.
Il me dévisagea avec autant d'insistance qu'il avait fait avec ma lame auparavant.
- C'est plutôt à moi de te demander qui tu es. Rétorqua t-il avec froideur.



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TA TA TAM !
Bien le bonjour <3

J'ai pleiiin de chose à dire mais j'ai pas le courage donc je vais juste dire une chose et voilà XD
J'ai eu de bons résultats à mes épreuves pour le bac DONC c'est la joie !

J'ai pas très très envie de parler mes soldats donc.. Dites moi juste ce que vous pensez de ce chapitre !
Des idées suppositions pour le chapitre suivant ? :p

Sur ce je vous laisse :

Je vous fais de groooos bisous et vous souhaite une bonne continuation ~ <3

(j'ai l'impression d'avoir oublier des choses o.o)