Un petit Bourbon,

(pauvre Louis XVI, vous vous rendez compte : à 39 ans seulement, ce con !)

me chauffe la coiffe et le guignol. Me plonge dans quelque chose de ouaté...

 Il y avait bien longtemps que je n'avais pas consommé un « glass » au fond duquel deux glaçons finissaient leur besoin. Je vais donc continuer encore un temps. J'ai un sursis. Un sursis et cette lichette de Bourbon, croyez-moi c'est bon à prendre en fin de matinée ou après le taf ! Ça ouvre l'esprit et titille la sensibilité.

Alors qu'importe les chagrins et autres dénigrants... car il tient le chameau comme un bonhomme. Mon cœur ? bah si on pensait à la fragilité de notre cœur, on n'oserait plus s'en servir, non ? Et puis le destin, c'est jamais avant, toujours après...