XXII. Promenades
Assis au sommet de la falaise,
Nos quatre iris dévorent la vue,
La mer reflète le ciel et sa couleur braise,
Nos peaux se frôlent et l'harmonie est accrue.
Tes yeux sont une eau profonde
Dans laquelle mon âme se noie.
L'enfant ailé me cible avec sa fronde
Donc plus s'en vont les jours, plus je m'éprends de toi.
Quand je suivais tes pas
Dans ce sentier boueux,
Tous les arbres du bois
Chantaient un air joyeux.
Assis au sommet de la falaise,
Nos quatre iris dévorent la vue,
La mer reflète le ciel et sa couleur braise,
Nos peaux se frôlent et l'harmonie est accrue.
Tes cheveux dansaient
Avec la brise marine,
Et ton parfum remplissait
D'amour mes narines.
Le soleil mourant dans les nuées
Répandait sa poussière d'or sur la mer et dans le ciel.
Tes jolis mots et ton beau rire raffiné
Faisaient battre mon coeur si fort, c'est démentiel.
Assis au sommet de la falaise
Mes deux iris dans les tiens se sont perdus,
Si la nature me remplit de bonheur et m'apaise,
Tu es le plus beau paysage que je n'ai jamais vu.
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