VIII. Carmen
On ignore avec quel dieu
Elle négocie la nuit
Pour qu'une si violente magie
Se reflète dans ses yeux.
Le son de sa voix dans l'air
Repentit tous les bandits,
Et ses courbes meurtrières
Rendent les savants abrutis.
Elle passe son temps
À se faire courtiser,
La nuit, à regarder la lune, à rêvasser
Son regard est brûlant,
Je la verrais bien à mes côtés
Un doux et nostalgique soir d'été.
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