IX. Sakura
L'ennui sonne à ma porte,
La peine est palpable,
Mais l'odeur de l'encre me réconforte,
Oui c'est indéniable.
Les aiguilles multiplient les tours,
Les deux astres s'enchaînent,
Le Temps s'en va, il court
Vers des contrées lointaines
Le cycle des saisons
Altère sans cesse la vue à ma fenêtre,
Chère fuite du temps,
Triste et malheureuse muse des poètes
Ralentis ta course
Et cette rafale endiablée
Qui dans le Gouffre pousse
Nos souvenirs adorés.
L'ennui sonne à ma porte,
La peine est palpable,
Mais l'odeur de l'encre me réconforte,
Oui c'est indéniable.
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