Hérétiques
La flamme oscille, s'affaiblit.
Le brouillard encore s'intensifie.
Lumière, on t'étouffe sous le noir,
Le monde a oublié ton pouvoir
Te reléguant aux sombres coulisses,
Où seuls ceux au cœurs trop lisses
Pour monter sur la scène du mal
Attendent dans un espoir bancal.
Tu les éclaires beaucoup trop
Et ils éblouissent et effraient
Ceux qui profitent des maux
Qui sévissent quand meurt la paix.
Les mêmes qui soufflent ton feu,
Prêchent des principes creux
Tout en brûlant les dits hérétiques,
Des humains chérissant l'éthique.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top