Les carnets s'entassent sur le bureau
Et la pile s'élève au roulis
Rythmé par l'inconscience de mes mots
Qui se bousculent pour être écrits.
Des pages noircies par l'écriture
Car mon cœur vidé en est trop plein,
Par delà ces lignes qui perdurent
En se mêlant pour former cet essaim.
Un chahut d'idées poétiques
Qui naissent dans l'œil de la tempête,
Engendrées par mes excès nostalgiques
Et menées par ma plume qui guette
Les rimes qui s'imposent à elle
Et que la sonorité impose,
Comme pour faire vibrer le ciel
Et lui ravir son apothéose...
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